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| | Manuscrits et confinement | |
| | Nombre de messages : 592 Âge : 70 Localisation : Entre Bretagne et Sarthe Date d'inscription : 16/02/2020 | Emsi / Gloire de son pair Lun 29 Nov 2021 - 13:15 | |
| Cet exercice est en tout cas intéressant à travailler pour de prochains formulaires. Hélas, autant j'étais bonne en dissertation autant j'étais nulle en "résumé de texte" (même si eux se faisaient en plus de 500 signes). Je n'ai aucun plaisir à retirer ce qui fait selon moi le sel d'une présentation : l'élément en apparence secondaire et dont on ne peut donc pas parler, mais qui s'avèrera au final... le plus important. On peut arriver à le caser dans un "résumé de texte" (même si j'ai du mal) mais dans le nommé "pitch", inutile d'y songer. Je crois que ma réticence envers le pitch est avant tout psychologique : cet exercice correspond à une époque où "on n'a pas le temps", où il faut entrer dans des cases, où la nuance n'est guère permise, et je sens venir le jour où, après avoir demandé des résumés qu'on a défini en page, puis en lignes, puis maintenant en caractères toujours moins nombreux, on va finir par simplement nous présenter une série de 3 photos en nous demandant de choisir "celle qui définit le mieux votre récit" ! Déjà, vous noterez qu'on doit cocher une case (roman OU polar OU romance OU... OU... OU... Comme dans ces QCM de malheur où on vous demande si vous êtes plutôt mer ou montagne, chien ou chat, Beatles ou Stones (euh là je révèle mon âge...  ) sans vous autoriser à être l'un ET l'autre. Bref, derrière ces cases et ces "500 caractères pour résumer votre roman", j'ai toute cette imagerie de monde pressé, qui veut du "gros trait". Mais je suis consciente d'avoir ici un raisonnement contestable !!!  |
| | Nombre de messages : 1979 Âge : 44 Localisation : Devant mon ordi Date d'inscription : 26/01/2014 | MaddyForeigner / Journal du posteur Lun 29 Nov 2021 - 23:52 | |
| Je ne sais pas si on peut comparer. J'étais douée en résumé et en dissertation. J'ai eu 16/20 deux fois à celle du CAPES, la première fois en venant mains dans les poches à 20 ans et en me retrouvant donc admissible malgré un 1/20 en ancien français (improvisation totale...  ). Idem à l'agrégation : j'avais la moyenne. Mais depuis que j'envoie des manuscrits...  c'est un autre monde. Je pense même que mon bagage universitaire me nuit. |
| | Nombre de messages : 592 Âge : 70 Localisation : Entre Bretagne et Sarthe Date d'inscription : 16/02/2020 | Emsi / Gloire de son pair Mar 30 Nov 2021 - 10:38 | |
| - MaddyForeigner a écrit:
- Mais depuis que j'envoie des manuscrits...
c'est un autre monde. Je pense même que mon bagage universitaire me nuit. Je partage à 300% ! Tout dépend bien sûr de la cible visée comme lectorat, mais en me relisant après reformulation de certaines phrases, dans le but qu'elles soient plus "grand public" je me dis que la première formulation était plus riche (je parle ici de syntaxe plus que de vocabulaire : on peut faire admirable avec un vocabulaire réduit, mais le rythme d'une phrase, sa ponctuation, sa construction, c'est ce qui inconsciemment transporte le lecteur... ou le fait te juger "écriture facile" quand ces notes sont appauvries). Pour en revenir au fameux "pitch" du formulaire Laffont and Co : dans mes années de marketing direct, plus d'une fois j'ai dû montrer les avantages d'un produit, que ce soit de la farine ou de la maroquinerie de luxe, en moins de 500 caractères, mais il y avait toujours, immédiatement derrière, un laïus secondaire permettant de mettre l'accent sur un point précis du produit ou de sa destination. Les 2 étaient liés mais surtout, le second immédiatement accessible, sans effort (le B.A BA de la vente : éviter l'effort) Dans le sacré pitch (qui est donc le matériel avec lequel l'auteur va se "vendre" à l'éditeur), le "derrière qui va nuancer et en dire plus" n'est accessible que si on ouvre un fichier joint (celui du manuscrit). Or avoir à faire ce geste d'ouvrir un fichier joint, c'est un frein. Je suis certaine qu'à lire certains pitches je n'aurais pas ouvert des fichiers de roman dont la lecture m'aurait pourtant transportée. Alors que si j'avais pu lire un résumé plus important, j'aurais ouvert le fichier joint. Donc je pense qu'il en va de même pour la personne qui reçoit le formulaire Laffont : "j'ouvre ? j'ouvre pas ?... Bon, hésiter c'est déjà un signe, donc.. passons au suivant !" C'est assez amusant de voir qu'à l'heure du "story telling" où la pub, elle, a bien compris l'avantage d'être "long" (toute proportion gardée), l'édition, dont le domaine est pourtant par définition le "racontage d'histoires" nous demande un schéma aussi réducteur, en tout cas dans ce type de formulaire (Dieu merci d'autres éditeurs nous permettent de présenter quelque chose de plus nuancé) |
| | Nombre de messages : 5552 Âge : 123 Pensée du jour : Déifier des prunes. Date d'inscription : 12/12/2006 | Mokkimy / Maîtrise en tropes Mar 30 Nov 2021 - 11:44 | |
| Je suis d'acc avec ton analyse du "éviter l'effort" pour l'éditeur.
Le truc, c'est que les éditeurs sont débordés par le nombre de manuscrits reçus.
Ils peuvent prendre le risque de passer à côté d'un manuscrit génial, parce qu'ils savent que derrière, ils ont encore 4999 manuscrits en attente de lecture, et que statistiquement, il y en aura d'autres géniaux dans le tas, qui eux seront mieux présentés, ou plus simples à repérer. Je suppose que c'est pour cela qu'ils jugent d'abord sur le résumé et next, si ça ne plait pas. Même si cela peut être parfois injuste, c'est à nous de trouver des ruses pour leur donner envie d'aller jusqu'à la lecture du manuscrit. ^^
Dernière édition par Mokkimy le Mar 30 Nov 2021 - 12:35, édité 1 fois |
| | Nombre de messages : 592 Âge : 70 Localisation : Entre Bretagne et Sarthe Date d'inscription : 16/02/2020 | Emsi / Gloire de son pair Mar 30 Nov 2021 - 12:03 | |
|  Oui faisons-nous renards et renardes, goupils et goupiles : rusons et (dé)goupillons nos astuces ! Moi j'ai en tout cas trouvé comment contourner le "choix unique" dans la rubrique "genre de votre manuscrit". Mes romans étant hybrides à part égale de composantes, je coche une des composantes (bien obligée sinon le formulaire ne part pas) mais je les indique toutes à la suite du titre. Par exemple : Titre du livre roman hybride mystère romance sociétal tout sur la même ligne. Et je reçois en réponse un Nous accusons réception de votre manuscrit "Titre du livre roman hybride mystère romance sociétal". Je me dis que dans la mesure où ils regardent le titre du manuscrit (enfin espérons-le...) au moins ils voient que c'est un roman hybride et ça peut jouer en ma faveur. Cela dit, ce "choix unique imposé" dans le formulaire est une incompréhension de plus de ma part : l'hybride est un fait aujourd'hui reconnu dans l'édition, consciente qu'à côté du "pur polar" ou de la "pure romance", il y a un mélange des genres. Or le formulaire reste ancré dans l'ancien schéma... Ah la la, ma pauv' dame... |
| | Nombre de messages : 419 Âge : 37 Date d'inscription : 20/01/2013 | Verowyn / Pour qui sonne Lestat Mar 30 Nov 2021 - 12:46 | |
| Bon, alors, je ne suis pas chez Laffont mais en tant qu'éditrice, je préfère largement recevoir un pitch de 3 phrases qui présente rapidement le genre, le thème et les enjeux, qu'un résumé avec des noms de personnages et de lieux dans tous les sens que je vais pas du tout retenir, et une intrigue vidée de son intérêt par la brièveté du propos.
En ce qui me concerne, je ne prends pas ma décision de publication en fonction dudit pitch et/ou résumé. (Et, honnêtement, je pense que peu d'éditeurs s'amusent à cela.) Simplement, en général, un comité de lecture, c'est plusieurs personnes. Donner un aperçu rapide du manuscrit vous assure que c'est le lecteur le plus à même d'être touché par votre texte qui va le lire. À mon sens, c'est plus facile d'opérer cet aiguillage avec un pitch qu'avec un synopsis de cinq pages qu'on va juste survoler parce que déjà, lire les manuscrits ça prend du temps, on n'a pas envie de se rajouter ça en plus, sachant que les exigences mêmes de l'exercice n'en font pas une lecture agréable en général.
Et puis, quand bien même il n'y aurait qu'une seule personne en charge de lire les manuscrits, il y a simplement des jours où on est plutôt d'humeur pour un certain type de lecture que pour un autre. Si je suis un peu déprimée, bah "un voyage dans des terres inconnues qui présente un écho du deuil que traverse l'héroïne" attendra la semaine prochaine. Ça ne veut pas dire que je ne le lirai pas, ça ne veut pas dire que je refuse le roman sur la base d'un résumé de trois lignes, juste qu'il attendra un peu. Et à mon avis, c'est une bonne chose pour l'auteur car mon jugement sera certainement plus favorable à un moment où je me sentirais plus réceptive. |
| | Nombre de messages : 5552 Âge : 123 Pensée du jour : Déifier des prunes. Date d'inscription : 12/12/2006 | Mokkimy / Maîtrise en tropes Mar 30 Nov 2021 - 12:55 | |
| Ok ! Donc plutôt pitch que résumé, alors. =)
Intéressant, intéressant ! |
| | Nombre de messages : 419 Âge : 37 Date d'inscription : 20/01/2013 | Verowyn / Pour qui sonne Lestat Mar 30 Nov 2021 - 12:59 | |
| C'est mes préférences personnelles, hein, pas une règle d'or ! Le mieux est toujours de bien se renseigner sur ce qu'attend l'éditeur à qui on s'adresse.  |
| | Nombre de messages : 592 Âge : 70 Localisation : Entre Bretagne et Sarthe Date d'inscription : 16/02/2020 | Emsi / Gloire de son pair Mar 30 Nov 2021 - 13:00 | |
| - Verowyn a écrit:
- Bon, alors, je ne suis pas chez Laffont mais en tant qu'éditrice, je préfère largement recevoir un pitch de 3 phrases qui présente rapidement le genre, le thème et les enjeux, qu'un résumé avec des noms de personnages et de lieux dans tous les sens que je vais pas du tout retenir, et une intrigue vidée de son intérêt par la brièveté du propos.
... À mon sens, c'est plus facile d'opérer cet aiguillage avec un pitch qu'avec un synopsis de cinq pages Je conçois tout à fait qu'on puisse discuter mon avis, mais tout de même Verowyn, relisez-moi : je n'ai jamais opposé un pitch de 3 lignes à un synopsis de cinq pages !!!! Ni à un "résumé avec des noms de personnages et de lieux dans tous les sens" !!! Il y a tout de même une sacrée marge entre les deux, et tout de même aussi des éditeurs qui ont conscience de cette "juste marge" et la proposent (et d'ailleurs pas seulement des petits éditeurs supposés avoir du temps). Il ne faut pas caricaturer mon propos...  |
| | Nombre de messages : 419 Âge : 37 Date d'inscription : 20/01/2013 | Verowyn / Pour qui sonne Lestat Mar 30 Nov 2021 - 13:15 | |
| Alors, en ce qui me concerne les envois se font par mail, pas par formulaire à contraintes, donc l'auteur envoie bien ce qu'il veut. Et oui, ça varie du pitch de 3 lignes au synopsis de 5 pages. Je n'ai pas dit que tu disais ça, hein, je parle de mon expérience, tout simplement. Enfin, ce n'était pas vraiment ça, l'important dans mon propos. Mais le principe même de pitch a l'air de te scandaliser (et je ne suis pas sûre de caricaturer) : - Citation :
- Je crois que ma réticence envers le pitch est avant tout psychologique : cet exercice correspond à une époque où "on n'a pas le temps", où il faut entrer dans des cases, où la nuance n'est guère permise, et je sens venir le jour où, après avoir demandé des résumés qu'on a défini en page, puis en lignes, puis maintenant en caractères toujours moins nombreux, on va finir par simplement nous présenter une série de 3 photos en nous demandant de choisir "celle qui définit le mieux votre récit" !
Ce que j'en dis, c'est qu'à mon avis, pour cet éditeur comme la plupart de ceux qui demandent un pitch, le but n'est pas d'éliminer les manuscrits à tour de bras en se basant sur 3 lignes. C'est juste un outil, pour se faciliter la vie et choisir ses lectures selon ses goûts ou son humeur. Travailler pour un comité de lecture ce n'est pas une sinécure, hein.  Donc comprenez qu'on essaie de se faciliter un peu la vie, et non, ce n'est pas forcément "réducteur", "manquer de nuances" ou "faire du gros trait". Pour finir - Citation :
- d'ailleurs pas seulement des petits éditeurs supposés avoir du temps
chacun n'a que le temps dont il dispose, ni plus ni moins. Les petits éditeurs reçoivent moins de manuscrits, mais ils ont aussi beaucoup moins de personnel, ils ne confient pas le service manuscrits à des stagiaires mais s'en chargent eux-mêmes, à côté de toutes leurs autres tâches. |
| | Nombre de messages : 592 Âge : 70 Localisation : Entre Bretagne et Sarthe Date d'inscription : 16/02/2020 | Emsi / Gloire de son pair Mar 30 Nov 2021 - 14:00 | |
| Pas de souci Verowyn le but d'une discussion est d'échanger des arguments, parfois en accord, parfois en désaccord. Comme tu le soulignes en citation, j'ai indiqué moi-même le cadre "psycho-sociétal" de mon désaccord, et la gêne que j'éprouve envers ce cadre n'est pas forcément partagée, je le conçois et je l'avais déjà indiqué. Je ne suis pas "scandalisée", juste "somptueusement agacée" et j'ai indiqué pourquoi. Cela dit, je lis les arguments contraires ou simplement différents, avec intérêt, donc merci de ta contribution. |
| | Nombre de messages : 270 Âge : 25 Pensée du jour : Vide Cor Meum Date d'inscription : 08/01/2016 | A.J.B / Autostoppeur galactique Mar 30 Nov 2021 - 14:55 | |
| D'accord avec Verowyn.
Je ne prends pas le temps de lire un long texte de présentation. Pour la simple et bonne raison que le choix se fait — le plus souvent, à de rares exceptions près — sur les vingt premières pages du manuscrit. L’on devine assez facilement le potentiel d’une oeuvre (du moins, au regard de nos préférences), qui nous donne envie de poursuivre la lecture et, éventuellement, d’approfondir le propos auprès de l’auteur (nous demandons alors la genèse, le contexte d’écriture, etc.).
Pour tout dire, j’ai même appris à éviter de regarder de trop près les présentations, et donc à n’en lire que quelques lignes. Il faut que l’auteur me donne l’idée conductrice de l’ouvrage d'emblée en quelques mots. Pourquoi ? Parce qu’en général, les auteurs pensent rendre justice à leur manuscrit en essayant d’être le plus exhaustif possible lors de sa présentation. Or, la plupart du temps, cela ne fait que le desservir. C’est maladroit, c’est dense et un peu fouillis ; preuve d’un esprit et d’une plume qui ont tendance à surcharger le texte, à peu maîtriser la construction d’une intrigue et le style/la langue.
C’est pour cela que nous préférons les présentations d’auteur et de projet. J’ai remarqué — et c’est éminemment subjectif — que ces dernières en disent souvent plus, et parfois mieux sur l’oeuvre que la présentation de manuscrit. De surcroît, leur lecture permet parfois d’indiquer le chemin à suivre pour le travail éditorial. Par exemple, l’auteur a écrit telle ou telle chose dans son manuscrit qui, pour un lecteur, est imprécise. Mais comme l’éditeur connaît ce pourquoi ce passage est si important pour l’auteur, quel message il souhaite transmettre, il est plus facile de suggérer des éléments de clarification qui embrassent l’oeuvre.
Quant au genre et sous-genre de l’ouvrage… il n’est jamais facile de le déterminer avec justesse. Autant pour l’auteur que l’éditeur ou le libraire. Souvent, le plus simple est le mieux. Donc je préfère : genre = fiction, roman ; sous-genre = littérature générale (ou blanche)… Que : genre = roman adolescent ; sous-genre = dystopie, policier, voyage + romance, etc. Un lecteur n’a pas besoin de tant d’informations, parfois absconses et contradictoires (et trop révélatrices de l’intrigue, voire d’une certaine manière de son dénouement). En gardant à l’esprit qu’un roman de littérature généraliste peut être coloré de nuances de littérature rose (romance), noire (polar) ou bleue (imaginaire) ; et qu’inversement, un roman de l’imaginaire/de niche peut contenir des éléments d’ordre plus général. C’est à la narration de surprendre le lecteur. Un peu de mystère, pardi ! |
| | Nombre de messages : 592 Âge : 70 Localisation : Entre Bretagne et Sarthe Date d'inscription : 16/02/2020 | Emsi / Gloire de son pair Mar 30 Nov 2021 - 21:07 | |
| Je pense qu'on n'oppose tout simplement pas les mêmes choses, et c'est ce qui fait qu'en dépit de l'intérêt que j'ai à vous lire l'un ou l'autre, je n'avance pas dans ma propre réflexion puisque vous m'opposez des choses pour lesquelles je suis d'accord avec vous : préférer ne pas être noyé sous les détails, être face à du dense, du maladroit et du fouillis, bien sûr qu'il faut éviter ça à qui nous lit, comment ne pas être d'accord. Sur ce point je vous assure que la pub est une excellente école pour justement ne pas tomber dans ces travers. Rédiger un document pour des gens que vous ne connaissez pas mais que vous devez séduire, c'est un exercice qui je peux vous le dire, demande à bien maîtriser le dosage. Quant au genre tel ou tel qui "peut contenir" un sous-genre qu'on n'a pas besoin de spécifier d'entrée, là encore je suis d'accord, sauf qu justement, je ne parlais pas de contenu additionnel vaguement saupoudré ici ou là, mais bien de roman hybride qui relève à part égale de deux (voire trois) genres. Ce n'est pas un hasard si maintenant chez plusieurs éditeurs on peut cocher plusieurs cases, et si le mot "hybride" a fait son entrée dans les interviews ici et là de directeurs éditoriaux. Le problème pour moi c'est ce nivelage par le bas : parce qu'il y a des gens qui ne savent pas présenter leur manuscrit, qui en disent trop, le disent maladroitement, etc, et que ces tonnes indigestes gonflent l'éditeur, alors l'éditeur décide que tout le monde devra se débrouiller avec 3 lignes. Voilà, mais je quitte maintenant cette discussion car j'ai trouvé intéressantes vos interventions, mais il me semble que nos réponses (et je m'inclus dans le lot) ne sont justement pas des "réponses" puisqu je suis d'accord avec vos critiques. Donc nous sommes d'accord, voyons les choses comme ça. Bonne soirée (et bonne journée, pour les Québecois de passage !).  |
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