Bonjour,
En espérant que cela peut vous aider. Peut-être que certains d’entre vous le font ou le savent déjà. Aucune vérité, seulement des pistes qui ont déjà fait leur preuve dans le domaine de la publicité : parfois ça donne de bons résultats, parfois non, et parfois c’est pire.Afin de faire court, je ne vais que dans les grandes lignes sans rentrer dans les détails.Important : si je suis dans l’erreur, n’hésitez pas à me le signaler. Ainsi, je vais pouvoir approfondir ma connaissance du milieu de l’écriture. Je suis encore un Newbie. L'ENCAS - CLAIRE RAPHAËL a écrit:
- La plupart des auteurs vont publier leur actualité (publication, rencontres littéraires, mais aussi questionnement sur un projet en cours), leurs lectures (un auteur est aussi un lecteur), et pourquoi pas des citations ou des portraits de modèles artistiques.
Merci beaucoup pour cette information. Ça confirme un peu ce que je pensais.
- CLAIRE RAPHAËL a écrit:
- Se créer une identité, c'est, je pense, choisir ce qu'on dit de soi et ce qu'on ne dit pas. Il ne s'agit pas d'inventer mais de sélectionner.
Cela me parait très juste. Bien qu’il pourrait avoir encore plus, mais je pense que tu couvres le plus important.
- CLAIRE RAPHAËL a écrit:
- ne pas oublier que les utilisateurs sont souvent sur leur téléphone, donc sur un petit écran, il faut éviter d'écrire trop petit.
Je l’avais oublié.
Peut-être que Radischat (ou autre boss du Forum) pourrait communiquer les choix typographiques du Forum Jeunes Écrivain(e)s. Cela pourrait peut-être nous donner une idée.
NOTRE VITRINE INTERNETPARTIE 2 : NOTRE VITRINE INTERNET – Focus sur se faire connaître. Nous animons une quelconque plateforme pour nous faire connaître, et en final, nous avons eu plus d’emmerdement qu’autre chose (les trolls, beaucoup d’énergie pour un maigre résultat, etc.).
A – Nos deux focus – peut-être le problème. À cela, nous pouvons supposer deux raisons principales :
• Nous avons vendu la mauvaise chose.
• Notre contenu n’est pas concurrentiel.
A1 – Nous avons vendu la mauvaise chose. Mise en situation hypothétique.Je fais des vidéos sur TikTok pour parler de l’histoire de l’art. Mes vidéos ont beaucoup de succès et de followers. Sauf que personne n’achète mes peintures. Les consommateurs considèrent mes peintures horribles.
Conclusion : ce n’est pas parce que j’ai une connaissance incroyable de l’histoire de l’art que je sais peindre. Animer une quelconque plateforme en partageant notre savoir de la littérature, c’est se vendre nous-mêmes et pas nos écrits. Cela a de la valeur, mais ne prouve en rien que nous pouvons écrire des livres passionnants.
A2 – Notre contenu n’est pas concurrentiel. Mise en situation hypothétique.Mes vidéos TikTok sur l’histoire de l’art sont d’une heure, mon élocution endort les internautes, ma voix ne possède aucun charme, mon contenu ne possède rien de particulier. En gros, je fais une vidéo qui dit « Hey les gars, regardez moi comme j’ai de magnifiques connaissances sur l’art. » L’internaute va me répondre : « On s’en fout de ton savoir, tu nous casses les couilles avec tes vidéos foireuses. »
Conclusion : je me suis focalisé sur moi-même et non sur ce que les consommateurs demandent. De plus, je n’ai rien offert de différent de ce qui existe déjà sur Internet. Exemple.Pour le jeu Guild War 2, les guides YouTube de Ayin Maiden sont les meilleurs guides pour ce jeu online. Elle ne vient pas casser les pieds des joueurs : pas de musique prise de tête, elle ne parle presque pas, on ne voit pas son visage. Elle est focalisée à 100 % sur les besoins des joueurs et non sur elle-même, avec des vidéos très bien réalisées. B – Nos deux focus – des hypothèses de solutions. B1 – Nous avons vendu la mauvaise chose – mais, indirectement, ça pourrait jouer en notre faveur. Ce vendre nous-mêmes (notre savoir de la littérature/écriture) n’est pas une perte de temps, bien au contraire. Cela nous permet de nous faire connaître en tant « qu’expert ».
Par la suite, on pourrait être invité à joindre un quelconque compte ayant une bonne réputation (Podcast, blog, TikTok, etc.). Par l’entremise de ce compte, la notoriété sur nous-mêmes ainsi que sur notre écrit pourrait augmenter.
Par exemple, la responsable de ce compte dit : « Cette jeune autrice vient de publier son premier roman et ce roman est très passionnant. Comment avez-vous trouvé cette histoire si originale ? » Ça a bien plus d’impact quand cela vient de la bouche de quelqu’un d’autre. Non ?
Conclusion : un bon moyen pour se créer un réseau et peut-être placer certains de nos écrits.B2 – Notre contenu n’est pas concurrentiel – mais nous possédons en nous le nécessaire pour faire la différence. En premier lieu, il s’agit de savoir un peu ce qui se fait. Donc nous fouillons un peu sur Internet pour savoir comment font les autres (nos concurrents). Ensuite, déterminer qui sommes-nous et comment on pourrait se démarquer.
Quelques hypothèses exemples (à nous de les ajuster en fonction de notre personnalité)
Mise en situation : Nous allons proposer des petites critiques littéraires (parler de nos lectures et conseiller les lecteurs).
Hypothèse 1 : Nous avons de l’humour.Les gens autour de nous disent que nous avons beaucoup d’humour, donc pourquoi pas l’exploiter en parlant de littérature.
Hypothèse 2 : Nous avons une belle voix.Bon, un podcast ou une vidéo pourrait être une option. Notre voix va déjà attirer du monde.
Hypothèse 3 : Nous avons l’esprit de synthèse.Un ami nous pose la question « J’aimerais lire un livre fantastique avec de la romance, mais un livre pas trop long. Aurais-tu des suggestions ? ». Et hop, notre cerveau prend note de ses préférences, et nous pouvons lui résumer quelques livres qui vont répondre à ces besoins.
Sur notre plateforme Internet, on pourrait imaginer une quelconque demande des lecteurs, puis proposer les différents livres qui vont les satisfaire.
Hypothèse 4 : Nous dessinons bien.Peut-être une vidéo TikTok dans laquelle nous faisons un genre de spectacle de marionnette avec des parties de nos romans déjà publiés ou imaginer des histoires.
Conclusion : nous partons d’une de nos forces (autre que l’écriture) et nous l’utilisons pour donner une valeur ajoutée à notre contenu. C – Trois hypothèses centrées à 100 % sur nos écrits ou futurs écrits (et pas sur nous-mêmes). C1 – Mise en situation (le calvaire de l’écrivain). Je suis un peintre artiste. Je présente mes peintures sur Internet. Les Internautes les aiment et les achètent. Problème réglé.
Je suis un musicien. Je fais une vidéo YouTube où toute la beauté de ma musique est véhiculée. Les Internautes aiment et se précipitent à la FNAC pour acheter mon CD (si ça existe encore). Je suis un écrivain. Je présente la couverture de mon livre + la 4e de couverture et… merde. Personne ne me connaît. Le consommateur a besoin d’acheter mon livre pour connaitre mes magnifiques compétences d’écriture et mes capacités à créer des histoires inoubliables. Nous sommes comme dans un genre de cercle vicieux qui ne joue vraiment pas en la faveur de l’écrivain.
Conclusion : nous sommes en face d’un obstacle (Merde ! Double merde !). C2 – Hypothèse 1 : allécher l’internaute (sur Instagram ou similaire). Mise en situation : Nous n’avons encore rien publié (valide si nous avons déjà publié).
Objectif : Séduire nos potentiels acheteurs en leur montrant nos capacités à écrire et raconter des histoires.
Comment : Le concept des 100 mots. Chaque semaine, nous écrivons un petit quelque chose très court (environ 100 à 200 mots, on ne veut pas faire fuir les gens, mais les accrocher sur le long terme + si on doit le faire chaque semaine et avec de la qualité, il est préférable de faire court).
Résultats : Ces petits textes vont permettre aux internautes de découvrir notre plume + notre capacité à créer des histoires attractives. Nous pouvons reformuler des passages de notre propre écrit, nous pouvons le faire en cliffhanger, nous pouvons les écrire sans aucune connexion les uns avec les autres, nous pouvons rester dans le thème de notre futur écrit, etc. Aucune limitation, mais une obligation : prendre le temps de les travailler comme-ci c’était notre livre.
C2 bis – Hypothèse 1 bis : on reprend le concept de l’hypothèse 1, mais nous le faisons plus interactif. Nous demandons aux Internautes de nous proposer trois mots (dans le genre le jeu des 10 mots) ou un thème. Nous pouvons donner des restrictions pour éviter les trolls et les débordements, nous pouvons le faire tous les 15 jours en alternance avec l’hypothèse 1. Encore ici, nous restons court avec une recherche de qualité.
C3 – Hypothèse 2 : concept Teaser (sur Instagram ou similaire). Mise en situation : Nous avons déjà publié un ouvrage ou plus.
Objectif : Séduire nos potentiels acheteurs en leur donnant un petit quelque chose de nos romans.
Comment : Le concept de la bande annonce. Chaque semaine, nous choisissons un petit passage (encore ici, pas trop long et évidemment, pas un élément crucial de notre roman) que nous l'offrons aux internautes : un simple copier/coller.
C4 – Hypothèse 3 : Jouer au conteur (Podcast, TikTok ou similaire). Compétences nécessaires : Avoir une belle élocution et voix. Si c’est une vidéo, être quand même agréable à l’œil (mais on peut contourner cela), de préférence avoir déjà publié un écrit (mais pas forcément obligatoire). Si nécessaire, nécessite quelques compétences de montage vidéo et peut-être aussi investir dans de l’équipement audio et/ou vidéo.
Objectif : Séduire nos potentiels acheteurs en leur contant des passages d’un de nos écrits.
Comment : Le concept du conteur d’histoire. Chaque semaine, nous lisons un petit quelque chose de nos écrits (environ 5 min, encore ici, nous recherchons la qualité et non la quantité). Ça suit la même logique que le concept de la bande annonce de film. Si nous avons la personnalité pour cela, notre élocution pourrait amplifier la beauté de nos écrits et ainsi attirer les Internautes à acheter notre livre.
Revers de la médaille : L’internaute va peut-être préférer nous écouter que d’acheter notre livre parce que nous faisons un magnifique travail de conteur.
Point positif : Nous pouvons aller dans différentes stratégies avec deux grandes. Seulement, conter les passages qui donnent l’eau à la bouche, et pour la suite, désolé, faut acheter. On va seulement conter un de nos écrits (pas le pire et pas le meilleur) et ainsi les consommateurs vont déjà avoir une idée de nos capacités d’écrivain.
NB : pour du TikTok ou YouTube, il faut quand même avoir un certain charme ou charisme d’un point de vue de l’apparence physique (désolé de le dire, mais une réalité). Par contre, on peut contourner cela tout en ajoutant une petite touche d’attrait en portant un masque. Nous pouvons supposer un masque en adéquation avec notre écrit. Pensez à Daft Punk. Conclusion : Peu importe la plateforme, peu importe le contenu, la seule et unique chose qui va faire la différence, c’est le « comment nous partageons nos capacités de raconter des histoires orales ou écrites ». Keywords : court, se démarquer, focalisé sur notre plume et focalisé sur l’histoire, et non notre savoir. D – Une reprise de deux concepts présents sur le Forum Jeunes Écrivain(e)s. Deux concepts que nous pouvons parfaitement exploiter sur notre propre plateforme (si le Forum n’est pas le garant des Copyrights). L’un est focalisé sur notre savoir de l’écriture et l’autre sur un double registre savoir/créativité.
D1 – Conseil aux jeunes auteurs/autrices – Focus sur notre savoir de l’écriture. Une très belle initiative de la part d’un de nos modérateurs. En le lisant, j’ai découvert une petite faiblesse qui peut-être va être ajustée dans la version finale. Les conseils sont pêle-mêle sans une prise de considération de : le parfait débutant, l’intermédiaire encore junior, l’intermédiaire un peu plus expérimenté, l’expérimenté mais pas encore une célébrité, etc.
Compétence nécessaire : Avoir déjà de bonnes connaissances de l’écriture. Nullement besoin d’être un expert, mais il faut avoir les bases.
Comment : Sur notre compte Instagram, nous pouvons nous placer comme « docteur écrivain pour le parfait débutant ».
Qui ciblons-nous : les grands débutants de l’écriture.
Objectif : ne pas aller à la recherche du conseil original, mais plutôt la base de la base.
Par exemple :
• Utiliser des verbes forts, expliquer ce qu’est un verbe fort, donner des exemples ;
• Préconiser plus le Show que le Tell, expliquer la différence, donner des exemples.
Etc.
Résultats : Aucune idée. Personnellement, je ne sais vraiment pas si cela a de la valeur, mais l’idée a traversé mon petit ciboulot.
D2 – Donner la définition d’un mot (re-maxterisé) – Focus savoir / créativité La première fois que ce topic est arrivé sur le Forum Jeunes Écrivain(e)s, mon feeling était : « Bon d’accord, ils connaissent du magnifique vocabulaire. Boff, cela me parait être plus du show off qu’autre chose. » Désolé.
Compétence nécessaire : aucune
Comment : On garde le procédé de base (un mot + sa définition) et on rajoute une définition fausse que nous avons imaginée. Puis on propose une petite phrase.
Exemple :Définition réelle
Chaussure n. f. : partie du vêtement qui protège le pied.
Définition fictive
Chaussure v. : avoir beaucoup d’ampoules au pied après avoir marché longuement.
Exemple : Aujourd’hui mes pieds chaussurent. Résultat : En proposant des mots rares, nous pouvons démontrer notre maîtrise du vocabulaire + en allant dans le fictif, nous partageons notre capacité à imaginer.
Bonus : Nous pouvons le faire de manière participative sur notre compte Instagram. Les Internautes peuvent aussi jouer au jeu. Amener les Internautes à être actifs et non passifs est une méthode très utilisée pour attirer les consommateurs à revenir.
Voilà. Maintenant, ma tête est vide.
Teaser : il me reste encore trois choses à écrire :• Suggestion 3 (couverture + dos)
• Suggestion 4 (les cartes d’affaires)
• Un plan de bataille qui couvre une période d’environ 11 mois.
Merci de votre attention et d’avoir été jusqu’au bout. Le pire, c’est que je ne suis allé que dans les grandes directions.
En espérant donner une information pertinente sans insulte ou préjugés. Merci beaucoup.