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 À quel point vous préparez-vous à écrire un roman ?

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Quelle importance accordez-vous à la préparation avant d'écrire un roman ?
Très importante : j'ai besoin d'avoir un plan précis et j'y passe autant de temps sinon plus qu'à l'écriture du roman en question.
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Moyen : j'aime avoir les grandes lignes pour me guider, mais sans plus.
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Aucune : j'écris en suivant mon instinct et je vais là où l'inspiration du moment m'emmène.
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Aredhell
   
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   Pensée du jour  :  "Si le monde entier te persécute, tu te dois de persécuter le monde"
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Aredhell  /  Déesse rousse des koalas, éleveuse de panda roux et trolleuse d'Elfe


Citation :
Je suis d'accord, sans oublier que le genre est l'histoire jouent un rôle prépondérant : si on écrit de la fantasy, on aura besoin d'un plan précis, d'une structure et d'un schéma détaillé (de même pour un roman policier), de peaufiner l'histoire et la mythologie, ainsi que la géographie du monde, comme le dit Eiki

Tandis que si on fait dans le réaliste, cela nécessite moins de préparatifs et de fignolage. On peut se lancer, suivre son instinct. Par exemple, l'archange, ton récit est en grande partie inspiré de tes sentiments, ce qui fait que tu peux coucher spontanément les mots sur papier, même que cela joue en ta faveur puisque déverser ses sentiments sans réfléchir donne du vrai à ton texte. Et comme tu adopte un style proche du journal intime, cela te rend plus libre quand au rythme et à la continuité des événements du récit...

Tout d'abord, je rejoins Nywth. Pour ma part, j'ai plus un sensation de besoin de plan si je veux écrire quelque chose de réaliste, ou, par exemple, qui se déroulerait sur Terre en long terme.
Là, j'écris de la fantasy. Ben, j'ai pas de plan, et je m'en sors très bien comme ça globalement.
J'ai un projet qui se déroulera sur Terre, j'aurai besoin de beaucoup plus de recherche, car justement, ça se passe sur Terre.
Si on écrit un truc qui se passe dans un endroit qui existe, il faut faire attention, car le moindre détail doit correspondre au lieu d'origine ! Alors que si ça se déroule dans un monde qu'on a complètement inventé, personne ne pourra dire "Hey, mais ça, ça va pas, c'est pas du tout comme ça !" (bon, à moins d'écrire des trucs incohérents, mais c'est autre chose là.). Donc y'a beaucoup plus de liberté en Fantasy que dans le Réaliste, contrairement à ce que tu dis, Ezechiel : Dans la Fantasy, les seules limites que tu as, c'est celle que tu te donnes, alors que dans quelque chose de réaliste, tu dois te contenter de ce qu'il existe. Tu peux éventuellement modifier les lieux, mais ça ne doit pas être trop flagrant, ou alors, l'explication en sera "ouais, mais ça se passe dans le futur, donc c'est bon". Ok, c'est une explication qui marche. Mais chaque particule qui nous entoure, chaque objet, chaque bâtiment, a une histoire qui lui est propres. Tu peux créer une Paris futuriste (sans forcément faire quelque chose qui soit de la science-fiction), si tu décides de laisser énormément de bâtiment qu'il y a maintenant, avec leur noms, mais que les habitants ne savent strictement pas pourquoi... Il y a un problème je pense...


Ensuite, la construction de ton argumentation me fait penser que le "texte de archange" était quelque chose de réaliste. Hors, (et dis moi si je me trompe) j'ai la sensation que tu dis que parce que c'est réaliste, on peut s'inspirer du vécu, et que ça sera plus facile à retranscrire. Et que, au contraire, on ne peut pas s'en inspiré dans de la Fantasy (c'est surtout là que j'interprète), ou que c'est plus difficile à représenter. Je ne suis pas d'accord.
D'abord, je pense que le vécu d'une personne influe nécessairement sur ce qu'elle écrit. On doit sûrement pouvoir retrouver des éléments de sa vie dans son texte, si on connait la personne qui l'écrit. Ensuite, la capacité à retranscrire ses sentiments dans le texte, ça dépend de l'auteur, de comment il voit ses propres sentiments dans la vie, de comment il veut les aborder... En aucun cas, ça ne dépendrait du type de texte.

 
Aventador
   
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   Pensée du jour  :  "J'ai pris l'habitude de ne jamais être satisfait ; c'est une position confortable qui me permet de ne pas en changer." J.P.Melville
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Aventador  /  Iphigénie in a bottle


J'ai répondu "moyen", parce que j'écris sans plan. Par contre, je sais précisément où je veux aller et ai une idée assez précise du "comment je veux y aller", même s'il peut y avoir des variantes.
Je ne fais pas de recherches préalables, je les fais au coup par coup, quand j'en ai besoin (un exemple tout bête : j'avais besoin pour mon roman en cours d'un restaurant qui existait déjà en 1980 sur l'avenue des Champs-Elysées, donc recherche internet. J'accorde beaucoup d'importance au réalisme et ai horreur des anachronismes).
Pour mon précédent roman (un polar), je suis également parti sans plan. Toutefois, arrivé à mi-parcours, j'ai éprouvé le besoin d'en faire un (assez peu détaillé) pour calibrer la suite, surtout le format, sachant que j'avais la volonté de construire un roman sans temps mort (au final, j'ai même sabré 3 chapitres entiers qui cassaient le rythme sans apporter d'éléments déterminants).
http://raphaelcoleman.canalblog.com/
 
Wahya
   
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   Pensée du jour  :  Si tu révèles ton secret au vent,Tu ne dois pas lui reprocher de le révéler à l’arbre (Khalil Gibran)
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Wahya  /  Effleure du mal


Bonjour, pour ma part, je suis partie de deux choses : un arbre et une femme. Je ne sais pas pourquoi, peut-être que ma vie allait prendre un tournant décisif (elle l'a pris en février !!). L'arbre est le déracinement (prémonitoire pour moi).
Ensuite j'ai commencé à élaborer un plan. Je voulais écrire du fantastique. J'ai commencé à travailler sur l'origine de l'arbre... ensuite tout s'est enchaîné... catalpa = haricot en cherokee = caroline du nord = indien = sorcier.
Ensuite, j'ai établi mon plan. qui sans cesse changeait. Mon indien a 184 ans, il a fallu créer un arbre généalogique. Pas évident pour arriver à faire coïncider les descendants d'un indien de cet âge.
En fait, le vrai plan, je n'ai pu le réaliser qu'à la fin de l'histoire pour contrôler que tout s'enchaînait parfaitement.
 
Ézéchiel
   
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   Pensée du jour  :  «L’immoralité est un mythe inventé par les honnêtes gens pour expliquer la curieuse attirance qu’exercent les autres. » Oscar Wilde
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Ézéchiel  /  Rouleau russe


Aredie, en fait, ce n'est pas ce que je voulais dire, je suis moi-même u amateur de fantasy et ne jure que par ce genre, voilà pourquoi j'ai parlé ainsi. Certes, le monde que tu as crée, dans tes écrits, est le tien, tu n'es, comme tu l'as dit, limité que par ton imagination. Sauf qu'une fois que ton idée est arrêtée, que tu as posé les bases de cet univers, tu dois t'y plier, pour ne pas être en contradiction avec toi-même et ne pas brouiller le lecteur. Voilà pourquoi j'ai évoqué la nécessité d'un plan, parce que tu es seule à savoir comment ton univers sera, quelles lois le régissent, tu dois donc les avoir devant toi pour ne pas te mélanger les pinceaux plus tard...

Pour le réaliste, je parlais surtout des écrits comme celui de Mickaelgil (l'archange), qui est en grande partie inspiré d'un certain vécu. Sauf que même pour d'autres œuvres réalistes (thriller, policier, etc...) se déroulant dans un cadre réel (mettons Paris, par exemple...), tu peux prendre une certaine liberté dans l'écriture vu que la seule contrainte que tu as est la géographie ou les lieux principaux, tandis que les gens restent parfaitement humains (au contraire de la fantasy où tout doit être planifié, chaque détail de l'univers), tu peux donc t'inspirer de tes relations avec les autres , tes dialogues et plaisanteries de tout les jours (bon, il y'a des écrits fantasy comme celui de Firenze qui font ça aussi) ta vision de l'humain dans ces relations sociales...bref, cela demeure néanmoins proche de ce que nous connaissons, on ne se lance pas en terra incognita, on peut donc ne pas avoir besoin d'un plan aussi précis que pour un récit fantasy, on peut se mettre à écrire, tout simplement, sans avoir besoin de mettre devant soi le schéma complet de l'histoire (d'ailleurs, n'oublie pas que cette notion de "plan avant d'écrire" et de facilité d'écriture est la seule facette que j'aborde)

Et puis, comme je l'ai indiqué plus haut, j'écris surtout de la fantasy, cette complexité est donc pour moi tout ce qui fait la richesse de ce genre et tout son attrait ,-)
 
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Je fais partie de la moyenne.
Je projette mentalement, je me ressouviens, j'ai éventuellement un canevas dispensable.
 
Mr. Jack
   
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Mr. Jack  /  Petit chose


Une prof de français quand j'étais au collège avait dit qu'une histoire, ça se commence toujours pas la fin avant d'en écrire le début. Partir du point Z et remonter doucement vers le point A, par une réversion de la narration où il faut partir d'une conséquence pour aller à sa cause, elle même causée par une autre cause, etc.

Sinon on se retrouve vite à faire de l'improvisation et ça ne peut pas être bien bon. J'adore ces histoires (en film comme en littérature) où l'auteur sème des détails futiles (un personnage qui dit "je n'aime pas trop les trains" ; une voiture en panne) et dont nous comprenons l'intérêt que bien plus tard (ce personnage a subi un traumatisme dans un train ; la voiture en panne empêche un personnage de se rendre quelque part pour en sauver un autre).

Ce qui est essentiel, c'est de connaitre les faits qui précèdent son histoire. Que se passait-il quelques jours/mois/années avant le début du roman, et qui a pu enclencher çi et ça ? Pourquoi le personnage va réagir comme ça et pas autrement ? Il faut connaitre ses personnages mieux que n'importe qui, et amener crédiblement les résolutions des trames narratives. Ce qui demande beaucoup d'écriture préalable, et souvent beaucoup de recherches. Encore plus si on se sert d'un contexte historique et social réel.

Après, il ne faut pas perdre des années sur son brouillon, et à un moment, faut bien sauter dans le plat, parce que les personnages prennent aussi forme de cette manière...













 
thibz
   
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thibz  /  Tycho l'homoncule


Pour ma part il est essentiel de savoir où je vais quand j'écris. Donc je développe l'intrigue principale puis afin d'avoir une idée tout de même assez détaillée, j'envisage les intrigues secondaires, les jeux d'acteurs, personnages, etc. un peu de la même manière qu'on préparerait une soirée jeu de rôle (même si je n'y ai quasiment jamais joué).

Maintenant, je ne pense pas bon d'écrire un résumé très avancé avant d'écrire. L'écriture est une joie pour moi en bonne partie parce que, bien que je dispose de l'intrigue principale et que je connais la fin de l'histoire, j'aime découvrir à chaque chapitre, à chaque page des situations, des phases auxquelles je n'avais pas pensé avant. C'est je pense important également pour rester dans notre récit : il doit parvenir à nous surprendre lui même en nous menant à des possibilités que l'on avait pas imaginées auparavant mais qui s'avèrent tout à fait logiques ou à l'inverse assez folles mais tellement prenantes! Smile
 
Free Bee
   
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Free Bee  /  Autostoppeur galactique


Je n'ai jamais essayé d'écrire un livre, sans savoir où j'allais. Celui que j'ai donc commencé, j'en connais toute la trame mais pas dans les détails. Et je n'ai pas eu besoin de grandement réfléchir, car l'inspiration m'est apparue sous la douche. Je vous assure que c'est vrai !
Dès que j'ai eu l'idée en tête, j'ai tout écrit sur quelques pages de bloc notes. Ce qui n'est pas grand-chose. Les détails des événements sont venus en écrivant, et j'ai rajouté quelques scènes que j'avais envie d'écrire, comme ça. Rien de très élaboré, mais qui m'a quand même permis d'écrire 15 000 mots jusqu'à ce jour avec seulement un blocage sur un passage. En ce moment-même, un quart de page, résume mon livre. Histoire de ne rien oublier. Je me débrouille avec le minimum, et ça me convient pour l'instant !
 
Sethi
   
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   Localisation  :  Proche d'Edelweiss
   Pensée du jour  :  La chair n'est pas vraie, c'est l'âme qui est vraie. La chair est cendre, l'âme est flamme. VH
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Sethi  /  Double assassiné dans la rue Morgue


J'ai écris le premier tome de ma trilogie sans vraiment savoir ou j'allais, jusqu'à avoir le déclic et the idée qui ma permis de finir en beauté. Pour le second tome, j'ai un plan des événements importants, pour n'en oublier aucun et ne pas me perdre dans des futilités. Sinon, on peut dire que j'y vais un peu au feeling ^^ et les imprévus deviennent inévitable dans mon histoire. Mais quel plaisirs de voir ses personnages prendre vie a tel point qu'ils réagissent de façon... imprévue !
http://lecrins.wix.com/l-ecrins
 
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Invité  /  Invité


J'écris facilement le Fantastique en m'inspirant des mythes,du coup en cherchant, les origines, les idées me viennent petit à petit. Je me précipite à rentrer pour commencer à écrire, c'est toujours hors de chez moi ou lorsque je me réveille que j'ai beaucoup d'inspiration.
Je suis sur l'écriture d'un deuxième roman à suspense, oui, j'aime le roman de la victime à la première personne, là je fais ressortir toutes mes peurs.
 
StephLeRouge
   
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   Localisation  :  Isère
   Date d'inscription  :  30/01/2014
    
                         
StephLeRouge  /  Petit chose


Il y a longtemps, j'écrivais par pulsions, et ne préparait jamais rien. Mais je ne finissais jamais rien, ou presque, car j'ignorais où j'allais, et très vite je m'enlisais, ne sachant quelle direction prendre.
Un beau jour, j'ai décidé de faire un plan, assez sommaire, et j'ai terminé mon premier texte long. Une révélation !
Depuis, impossible d'entamer la moindre rédaction si je ne sais pas déjà ce que je vais raconter, comment tout va finir, et quel(s) chemin(s) je vais emprunter.
Je procède également à de sérieuses recherches, qui peuvent varier en fonction de la longueur et du genre de texte : historique, personnages, lieux, faits, etc. Sur certains romans, cela peut prendre presque autant de temps que la rédaction proprement dite. Sur des textes plus courts, je peux passer deux fois plus de temps dans les recherches qu'à écrire.

J'ai beaucoup évolué depuis plus de 30 ans que j'écris, et je pense que ça se sent, même si j'ai toujours les mêmes frissons durant mes phases de rédaction. La recherche/planification, ainsi que les relectures, apportent énormément sans pour autant perturber ce qui fait mon plaisir.
http://stephanerougeot.fr
 
L.Aime
   
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L.Aime  /  Petit chose


Personnellement, je suis du genre à avoir le début et la fin avant d'écrire. J'aime planifier un peu mon roman pour savoir où je vais, j'écris les grandes lignes type :
Chapitre 1 : truc fait ça avec machine
Chapitre 2 : machine est pas contente et se dispute avec truc
Souvent au fur et à mesure que j'écris, des scènes se rajoutent et l'histoire se complexifie, mais j'ai besoin de savoir où je vais, d'avoir un objectif déterminé sinon je vais être trop dans le flou et ça va me bloquer.
Et si je prévois avec trop de détails... je vais avoir tout dans la tête et écrire sera presque ennuyant puisqu'il n'y aura rien de "neuf" par rapport à ce que j'ai à l'esprit.

En tout cas, plus j'écris et plus je prépare, comme monsieur ci-dessus. Avant je partais totalement en freestyle, maintenant je prends du temps à esquisser mes personnages et mes intrigues avant même de toucher à mon clavier.
http://mademoisellecordelia.fr/
 
léona
   
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léona  /  Tycho l'homoncule


Je ne prépare pas mes romans, je n'ai aucun plan, je ne sais même pas comment il va finir avant de commencer. Quand j'ai une idée en tête, je la couche sur papier. J'écris comme ça va vient, et au final les idées s'enchaînent sans vraiment que j'y réfléchisse, et pour finir je retape sur ordi, mais bien souvent en changeant de nombreux point.

Au début je m'effrayai moi-même. Comment l'histoire pouvait avancer sans véritable plan? Mais quand je relis mes textes, ils sont plutôt cohérents. Je suis du genre instinctive , j'écris en fonction de ce que mon imagination me donne.
 
Géronimo
   
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Géronimo  /  Tapage au bout de la nuit


J'essaye d'avoir un plan, au moins pour savoir où je vais et pour ne pas me perdre moi-même dans mes élucubrations.

En revanche, écrire un plan au début ne veut pas dire s'enfermer dans une idée.. Il m'est arrivé de partir d'un plan - synopsis, personnalité des personnages, événements marquants, rebondissements... - et d'ajouter ou transformer tant d'éléments qu'à la fin, ça n'avait absolument plus rien à voir avec la première histoire. Je pense que dans un premier temps, je me sers d'un plan pour me souvenir de mes idées, pour m'obliger à coucher tout ça sur le papier, mieux y réfléchir, puis après seulement je m'en sers pour savoir où je vais.
 
Séléné.C
   
    Autre / Ne pas divulguer
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   Pensée du jour  :  Confiance et longueur de Temps...
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


C'est en général après avoir écrit au moins une page, parfois déjà une dizaine, que les idées se mettent en place.
 scratch  Et à vrai dire, quand je lance les premières lignes, je ne sais pas d'avance si ça sera un conte, une nouvelle, un roman ou de la pâte à tartiner.
Réponse C
Mais avec une option sur la réponse B, quand même.
Une fois que j'ai une petite idée de la forme que va prendre mon machin, j'essaye de ne pas trop partir en live. Sur un "grand format", les effets fourre-tout, c'est ingérable. Mais plus qu'un plan précis, je construis un univers, et je m'y immerge pour écrire l'histoire. Ca ne me dit pas "où je vais" mais ça me dit au moins "comment".
Ecrire avec un plan prédéfini ? J'ai essayé, à une époque... Jamais réussi à respecter mon plan. L'histoire ne se terminait jamais comme j'avais prévu. J'ai renoncé.


Mr. Jack a écrit:
Une prof de français quand j'étais au collège avait dit qu'une histoire, ça se commence toujours pas la fin avant d'en écrire le début. Partir du point Z et remonter doucement vers le point A, par une réversion de la narration où il faut partir d'une conséquence pour aller à sa cause, elle même causée par une autre cause, etc.

Sinon on se retrouve vite à faire de l'improvisation et ça ne peut pas être bien bon.
On m'a dit ça, aussi, au collège...
Sûrement pour ça que j'ai essayé de faire des plans.
Mais "laisser mijoter les idées dans la marmite" me convient mieux. Même si c'est juste une version améliorée de l'improvisation.
Au lycée, j'ai eu un prof qui aimait beaucoup la littérature absurde et le surréalisme. C'est sans doute lui qui m'a appris à faire confiance aussi au travail que l'inconscient effectue dans notre dos.
Avec un peu de méthode au niveau technique, on peu "mettre l'instinct en boite".
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