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 Perte de confiance ( bis ) et/ou jalousie

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Paige_eligia
   
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Paige_eligia  /  Bile au trésor


Je compléterai par ce que j'ai lu récemment, un peu dans la carotte et le bâton.

Il faut à la fois croire que l'histoire sur laquelle tu travailles est la plus grande œuvre de génie, et à la fois que l'histoire est un tas d'immondices.

Il fait s'en servir pour avoir le courage de poster et de l'envoyer a des me et dans le même temps se dire qu'il faut le corriger, l'améliorer...

Tu m'as l'air d'être dans la phase 2, mais le doute permet de réfléchir et d'avancer. Donc fais toi confiance et écris Wink

Bref, force et honneur !!
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Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


tcn2010 a écrit:
Tu devrais te donner un nouvel objectif, pas celui d'être publié, mais celui de faire tout ce que tu n'as pas envie de faire. Parce que je parie que quand tu veux envoyer ton manuscrit à quelqu'un bizarrement, tu as envie de travailler sur autre chose.
Justement.
Mon objectif, autrefois, était uniquement d'écrire et point barre.
Ensuite, il y a eu celui de transformer mes blablas en quelque chose de lisible.
Puis l'édition, preuve que c'est en effet lisible.
Je suis une énorme entêtée, ce qui m'a longtemps poussée en avant là-dessus.
Sauf qu'il y a six ans (date d'écriture de mon roman), mon état de santé ne me permettait aucune autre activité que l'écriture. Mon projet professionnel d'illustration était tombé dans un énorme ravin nommé "incapacité physique". Depuis, je vais mieux et entre deux emmerdes de santé, j'essaye de trouver un chemin valable.

Travailler à autre chose pendant que je fais mes envois : c'est en effet ce que je pratique, mais je ne me suis jamais trouvée en situation d"avoir subitement envie de ça. J'ai simplement constaté qu'ayant plusieurs types d'univers, me consacrer à celui-ci écarte mes pensées de celui-là.
Seulement, les textes en premier jet sont bien meilleurs pour le moral que les textes en peaufinage.
Mon texte actuel a été entamé non pour ne pas penser aux envois (je n'en ai plus en cours) mais pour me servir de carotte pendant les travaux de peaufinage et correction des autres (pas le droit d'y toucher si je n'avance pas à côté)

Il y a six ans, l'écriture a pris dans ma vie beaucoup de place, et elle ne l'a plus lâchée depuis, bien que depuis plus de trois ans la majeure partie de ce que je fais soit du peaufinage et de la correction, choses beaucoup moins amusantes et beaucoup plus chronophages que l'écriture d'un premier jet.
Si je reviens au bon vieux temps où j'écrivais seulement pour écrire, alors je reviendrai à l'écriture des premiers jets et n'irai pas plus loin. Je reviendrai au bon vieux temps d'il y a dix ans, où les textes achevés allaient s'enterrer au fond du disque externe.

J'ai très très très souvent envie de bazarder le peaufinage de mes Errances Galactiques, qui me gave copieusement, et si je ne l'ai pas encore fait, ce n'est même plus parce que ma caboche d'entêtée s'y refuse mais parce que Nillac apprécie le texte, ainsi que quelques autres JE, et que cela m'aide à me souvenir que "ça serait trop bête que tout le temps passé là-dessus ait juste été du temps perdu".

J'ai commencé à penser auto-édition il y a quatre ans, quand mon pari idiot avec moi-même "Sinistre discoBall" a commencé à prendre l'allure de pouvoir atteindre la fin du premier jet (en ajoutant cette AE audit pari idiot).
Et petit à petit, cela s'est étendu à "Tutore Noctis" et "Howahkan", qui eux, sont des projets normaux, stables, et à traiter sérieusement.

Je me suis mise à écrire parce que je ne pouvais plus dessiner.
Malgré une blessure à la main il y a trois ans qui a bien failli y mettre un terme pour de bon, à présent, je peux dessiner, et donc employer mon temps créatif autrement qu'en fignolant pendant des jours entiers des textes qui ne quitteront jamais mon disque dur.

Il y a deux ans (période où ma santé était pourtant franchement alarmante, puisqu'on m'annonçait en danger de mort), je me suis donné comme objectif de jumeler mon autoédition western et ma reprise d'activité illustration.

Depuis décembre dernier, suis à incident que j'aimerais mieux oublier, je suis brouillée avec la recherche éditoriale, ce qui pourrait régler une bonne fois pour toutes le doute naissant des non-succès juxtaposés aux réussites des autres.

Sauf qu'en même temps, je vois des autoédités réussir à publier deux livres pendant que moi j'en suis encore à préparer le premier.

Ce n'est même pas une question de talent littéraire, mais juste globalement de capacités.

Citation :
Tu connais la réponse, allez hop au boulot! Et oublie l'idée de performance ou de résultat, écrit juste quelque chose qui va dynamiter ton genre ou le cerveau de tes lecteurs.
Je ne me soucie jamais du lecteur au moment où j'écris un premier jet. Absolument jamais.


Paige Eligia a écrit:
Il faut à la fois croire que l'histoire sur laquelle tu travailles est la plus grande œuvre de génie, et à la fois que l'histoire est un tas d'immondices.
Heu... quelle œuvre ? Mes acharnements d'autoédition ? Mes crises de nerf de peaufinage ?

Très envie d'écrire, en ce moment (d'ailleurs ça fait trois nuits que je rêve de mes trappeurs), mais pas assez de temps vraiment à moi pour y consacrer une soirée.


Merci à tous / toutes

Pour le moment, je suis quelque part entre "il faut trouver la voie de l'Ouest" (quand je suis devant mes palettes de couleur pour préparer mon exposition potentiellement jointe à l'autoédition) et "il faut tuer le soldat crayon" (vu que mon talent à gérer mon illustration est aussi grand que celui à cases mes textes). Et dans l'immédiat, incapable de marcher ou dessiner parce que messire l'épilepsie est venu me faire la causette, ce qui a au moins le bon côté que du coup j'ai le temps de trainer sur JE.
De toute façon, pour un peu plus d'un mois encore, je n'ai le temps de rien.

Ceci étant, j'ai créé le topic en précisant en bas du post que tout le monde a le droit de s'y épancher.
Neutral C'est gentil de me soutenir ainsi, mais en fait, même si certains ont dit qu'ils connaissent le sentiment, j'ai encore plus l'impression d'être seule sur mon naufrage.
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Je pense que c'est normal de se sentir "seul(e) dans son naufrage" quand on affronte des sentiments comme ça, qui remuent beaucoup de choses, beaucoup de peurs, de craintes, d'espoirs, de question d'ego, etc. et que, même si on sait que d'autres traversent la même chose, en fait, ce n'est jamais vraiment la même chose parce que les situations sont toujours un peu différentes (par exemple, je n'ai pas 120 000 projets en cours comme toi (je trouve ça très impressionnant, d'ailleurs !!)). Au final, ce sont des sentiments qui touchent à des choses vraiment intimes (parce oui, on écrit pour être lu, mais le processus de création, quel que soit ladite création, est intime).

Ce que je vais dire ne va sans doute pas beaucoup aider, ni toi, ni les personnes qui lisent déjà ce sujet, ni les personnes qui viendront y jeter un œil plus tard mais : je pense que c'est un processus interne de rééquilibrage des émotions, des attentes, autour des valeurs, des aspirations, de ce dont on a l'espoir d'être capable, confronté à ce dont pense être réalisable face à ce qui a déjà été réalisé. C'est un peu comme quand on aime plus son boulot et qu'on se lance dans une reconversion professionnelle. Ça demande beaucoup de ressources psychologiques et même si des personnes extérieures peuvent intervenir pour rassurer, donner des conseils, partager des expériences, raconter leur propre chemin, au final c'est à nous même de trouver la sortie du labyrinthe. Dont on ressort plus fort et plus sûr de nous !
 
Paige_eligia
   
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Puisque Séléné nous avait bien dit que ce post permettait de s'épancher entre nous, à mon tour de lancer une bouteille à la mer.

Depuis la fin du premier jet et le plaisir d'avoir enfin fini une histoire, je bataille avec la réécriture. Si j'ai au départ eu l'impression que c'était bien et que ça donnait une plus value, ça fait bien deux semaines que plus j'avance plus je trouve mon travail à jeter par la fenêtre.

J'ai relu mon propre conseil ci-dessus, mais ça ne m'aide pas beaucoup.
J'ai zéro motivation, aucune envie de modeler la suite en mieux... Pourtant j'ai les solutions ! Je sais que tel chapitre je dois faire comme ça, tel chapitre j'aimerais ça... Mais impossible de me lancer.
Et plus je me force, moins j'ai envie. Mais j'y crois et ça me désespère de pas y arriver.

Quand je vois certains qui sortent un roman tous les six mois, ça me laisse dubitative. Comment ils font bon sang ?
Je n'ai aucune envie de partir sur un autre roman, tout mon esprit est concentré dans cette histoire, bref je suis bloquée. Je ne sais pas comment relancer la machine.
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Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Ce dégoût de mon propre texte, façon indigestion d'en avoir trop bouffé, j'ai souvent ça. C'est même la raison pour laquelle j'ai toujours plusieurs textes en travail.
En ce moment, les textes dont je suis en "trop-plein" sont des trucs en peaufinage et/ou correction, ce qui rend assez naturelle la sensation de "j'en ai marre-marabout", mais il y a quatre ou cinq ans, il m'arrivait régulièrement d'en avoir plus que ma claque de celui-ci ou celui-là de mes univers. Quand cela arrivait, je zappais vers un autre... et y revenais quand cet autre me gavait à son tour.

Smile

Edit = il y a quatre/cinq ans, j'avais beaucoup de textes en "écriture 1° jet"...


Dernière édition par Séléné.C le Jeu 3 Sep 2020 - 21:20, édité 1 fois
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Si tu as les solutions, et que c'est "juste" un problème de ras-la-cacahuète, je pense que c'est peut-être juste le signe que tu as besoin d'une pause, une toute petite pause ou une pause plus longue, mais une pause qui te permette de... lâcher-prise et arrêter de forcer ton cerveau à réfléchir.

Je sais d'autant plus que c'est plus facile à dire qu'à faire que je suis un peu dans le même cas ! Je suis en passe de terminer le premier jet de mon roman, j'ai juste un tout petit blocage, l'une des dernières scènes, je ne trouve pas comme la débloquer pour rattraper à la séquence d'après et je me flagelle de pas y arriver et plus je me flagelle moins j'y arrive et je sais que je dois lâcher-prise mais j'y arrive pas, que je dois arrêter de me forcer à y penser mais j'y arrive pas...

Le truc, c'est qu'il faudrait réussir à trouver le truc pour "hacker" le cerveau, lui faire croire qu'on ne le force pas, que c'est lui qui a eu l'idée ! Wink

Je m'égare.
Je pense que tu as besoin d'une pause. Ou de changer le regard que tu portes sur les corrections. Si tu vois ça comme une corvée, c'est sûr que les mener à terme va être plus compliqué !
 
Paige_eligia
   
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Paige_eligia  /  Bile au trésor


C'est une bonne idée ce que tu fais Séléné, tant mieux si ça te correspond Smile

Pour moi c'est mission impossible, surtout que c'est mon premier roman donc d'autres projets je n'en ai pas. Je pense que je fonctionne un peu selon l'adage "un cheval à la fois" . Je suis coeur et âme dans un projet et tant qu'il n'est pas terminé je ne passe pas à autre chose. C'est comme quand j'ai voulu apprendre à jouer de la guitare, je n'ai fait que ça jusqu'à réussir à jouer ma musique objectif ^^

@Enirtourenef oui le lâcher-prise j'ai beaucoup de mal avec cette notion. Si j'ai enfin réussi à l'appliquer dans ma vie professionnelle, bizarrement c'est tout l'inverse côté personnel ^^ Ce que tu décris c'est exactement ça !

Changer le regard, oui. Comment je ne sais pas encore. Le déclic viendra peut-être en dormant. ça fait du bien juste d'en parler déjà ^^
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Pour changer de regard, il faut déjà savoir quel est notre regard actuel. Ensuite il faut trouver les "points positifs" en lien avec nos valeurs/objectifs.
Par exemple quand j'ai commencé à apprendre le code de la route j'en avais trop marre, j'étais trop nulle, je comprenais rien, je me souvenais de rien, je me trouvais minable et ça me mettait vraiment dans un cercle vicieux et j'avais pas envie, etc. Et j'ai compris que j'y arrivais pas parce que je n'avais pas de motivation ou en tout cas pas de bonne motivation. Du coup je me suis posée et je me suis dis "OK meuf, sans code, pas de permis, sans permis, pas de boulot" et "je vais apprendre un nouveau truc" (j'aime apprendre, c'est une de mes motivations principales pour faire quelque chose). Et après ce petit changement cognitif eh ben bizarrement c'est allé tout seul.

Y a trois motivations intrinsèques (les bonnes) : la motivation à la connaissance, la motivation à la sensation (genre un nageur qui aime bien l'eau sur sa peau), et à l'accomplissement. Si tu peux savoir laquelle de ces motivations te pousse le plus, ou même sans ça caser ton projet dans l'une de ces motivations, tu vas peut-être te redonner un coup de fouet (ce qui n'empêche pas de faire une petite pause). La motivation qui me paraît la plus adéquate à la situation c'est l'accomplissement : accomplir le projet Roman, avoir cette satisfaction d'avoir fait un truc, d'avoir fini, d'avoir grandi Smile
 
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Paige_eligia a écrit:
C'est une bonne idée ce que tu fais Séléné, tant mieux si ça te correspond Smile

Bonne idée... ou pas.

Disons que ça me convenait pour certains textes, mais un jour, je me suis rendue compte que l'un de mes bébés était très possessif et refusait cette manière de procéder.
Ce qui m'a conduite à développer de la concentration !

Ce texte capricieux était "Ange Martin", et il ne supportait de cohabiter qu'avec "Sinistre DiscoBall" (et encore...). J'ai donc mis tous les autres univers en pause.
Peaufinage des Errances Galactiques, écriture de Tutore Noctis, préparation de préquelle des Errances, cogitations sur un 2° western...
Cette confrontation avec mon texte a été comme un huis-clos avec une personne dotée d'un sale caractère. Pas vraiment agréable, mais tout de même constructif ! Ceci étant, c'était aussi affreusement éprouvant pour les nerfs, et si je suis allée jusqu'au bout c'est parce que je suis une tête de mule et que je ne voulais pas m'avouer vaincue.
A présent, je me dis que c'était ultra masochiste !!!
Mais ce fut un très bon apprentissage.
J'y ai très largement accru mes capacités de concentration. Cessé de m'en tenir à ce qui vient facilement sous le crayon, à poursuivre l'idée comme un chien de chasse au lieu de la laisser se poser sur ma tête quand elle en a envie. Gagné aussi au niveau de l'immersion dans le texte.

Bon apprentissage ou pas...
... ne s'y risquer qu'en étant bien conscient que c'est un chemin très désagréable, qui éloigne l'écriture du simple loisir ( pour en faire quoi... je ne sais ! )
scratch quand j'y songe... si j'avais eu autant de doutes sur mon écriture que j'en ai depuis depuis une paire d'années, je n'aurais jamais réussi à boucler ce texte ! Et... c'est "marrant", mais ces crises de giga-doute ont commencé après l'achèvement de ce texte.

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Le doute c'est bien, dans l'absolu, mais il ne faut pas que ça t'empêche d'avancer (je sais de quoi je parle :/)
Quoi qu'on fasse, en écriture comme dans pratiquement tous les sujets, on progresse.

Tu as une capacité de travail et une rapidité d'exécution qui me sidèrent et me donnent envie. je suis très fan de tes univers et de la personnalité que tu dégages à travers eux. Je les trouve très originaux, et parfois surprenants (agréablement). C'est exactement ce que je demande à l'Art.
Alors madame l'artiste, ne lâches rien ^^.
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Izuchux a écrit:
Tu as une capacité de travail et une rapidité d'exécution qui me sidèrent

Comme Paige en est à son premier roman, j'ai du mal à évaluer sa vitesse de travail...
Mais c'est vrai qu'un premier jet de 100.000 mots entre novembre et juillet, ça n'est pas mal, et l'organisation pour le peaufinage est rudement énergique.
http://jeunesecrivains.superforum.fr/t54792p15-correctionle-violon-de-thera
En tous cas, je ne lui conseille pas de forcer le blocage comme j'ai fait avec Martin. Sur un premier roman, c'est sûrement un très bon moyen de se dégoûter définitivement.
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@Eni : oui je vois ce que tu veux dire, c'est un peu comme le concept de la pensée positive

@Séléné : oui c'est ce que j'ai fait durant le processus d'écriture, je me "forçais" à écrire le début pour que les idées viennent et que la suite s'écrive. J'ai eu parfois les moments les plus productifs alors qu'au départ je n'était pas motivée, mais là avec la réécriture je n'arrive pas à retrouver cette dynamique.

@Izu : oh merci Izu ça me touche ce que tu dis là Embarassed je ne sais plus vraiment si mon univers en vaut la peine alors ça m'aide un peu de savoir que d'autres pensent que oui !

@Séléné : je vais laisser reposer tant que je ne le sentirai pas. De toute façon mon travail me prend beaucoup de temps en septembre, donc tant pis pour ma deadline de janvier, ça me paraît impossible.
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Paige_eligia a écrit:
tant pis pour ma deadline de janvier
Une deadline, quand on a déjà du mal à progresser, c'est "mortel".
Tu peux te fixer une date en objectif, mais en sachant qu'elle peut être repoussée.
Pendant un moment, je me fixais des dates (mes différents JdB en portent la trace pour ceci ou cela de mes différents travaux. Les dates en question étaient fort peu tenues, mais une fois de temps en temps, je faisais un bilan de situation, pour voir à quel niveau d'avancement j'en étais, à tant ou tant de la date.

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Paige_eligia a écrit:
@Eni : oui je vois ce que tu veux dire, c'est un peu comme le concept de la pensée positive.

Oui et non, parce que la pensée positive ne fonctionne que si on associe : image/sensation/émotion. En gros, la pensée positive, il faut y croire et la ressentir ! Juste se dire "je vais y arriver" et se le répéter, ça ne fonctionne pas.

Paige_eligia a écrit:
donc tant pis pour ma deadline de janvier, ça me paraît impossible

Ce qui est bien avec les règles qu'on s'impose, c'est que comme c'est nous qui les édictons, on peut décider de les changer ! Wink
 
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Un truc que je pratique depuis l'automne dernier = la carotte pour avancer
> peaufiner tant de chapitres sur les Errances me donne droit à une soirée d'écriture sur Matoskah.
Bon... ça vaut ce que ça vaut.
Au début, ça marchait bien et m'avait donné un bon rythme, mais en mars, ça s'est effondré, et après le confinement je n'ai pas réussi à reprendre sur la même lancée (il faut dire que j'avais trop de trucs à penser pour me concentrer sur mes textes).
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