il faut que tu leur poses toutes les questions que tu as en tête, un bon éditeur est avant tout un éditeur passionné et qui communique! ,-)

tiens nous au courant !

Ils te demandent toujours une souscription, Mary ?

J'avoue avoir laissé en attente leur proposition de contrat. J'ai niaisement argué du fait que j'étais en vacances et que j'étudierais ledit document en en revenant.
Rien de bien glorieux mais ; comprenez-moi bien j'attends aileurs...

tu as raison mary !!! attends le maximum de retours !!! et tu feras le bon choix !!!

Citation :

J'avoue avoir laissé en attente leur proposition de contrat. J'ai niaisement argué du fait que j'étais en vacances et que j'étudierais ledit document en en revenant.
Rien de bien glorieux mais ; comprenez-moi bien j'attends aileurs...

Je leur avais dit la même chose, mais fin janvier, donc sans les vacances. Résultat : ils ont piqué une colère, supprimer mon fichier et ne m'ont plus jamais répondu. A croire que le roman ne leur avait pas vraiment plu... mais pourquoi voulaient-ils le publier dans ce cas ?

Je ne suis pas là pour critiquer vos choix, mais je ne comprends pas pourquoi vous avez envoyé votre manuscrit à une maison que vous jugez bof bof. Je conçois que l'on veuille le meilleur pour son manuscrit, mais je conçois aussi qu'un professionnel qui a accepté de vous faire confiance et à qui vous opposez une fin de non recevoir s'agace un tantinet. Pourquoi leur avoir adressé vos écrits, dans ce cas ? Pourquoi ne pas avoir attendu d'être refusé par tous avant de vous rabattre sur le second choix ?

Peut-être l'avez-vous déjà fait, mais dans votre situation je mailerais tous les autres éditeurs pour dire qu'on m'a proposé un contrat. Si silence radio, si même ça n'incite pas à ce qu'ils sortent votre manuscrit de sous la pile, c'est qu'il n'y a pas grand chose à attendre...

(ce que je dis ne prend pas en considérations les pratiques de Terriciaë ou son sérieux, c'est juste mon ressenti quant au choix de faire lanterner ou non l'éditeur).

C.P.Metzquer a écrit:

ils ont piqué une colère, supprimer mon fichier et ne m'ont plus jamais répondu. A croire que le roman ne leur avait pas vraiment plu... mais pourquoi voulaient-ils le publier dans ce cas ?

Pour t'en vendre 30 exemplaires... 

Non, même pas, quand je leur ai dit que je voulais attendre, ils m'avaient répondu que si cela posait problème je n'étais pas obligé de faire les souscriptions... encore une incohérence de leur part.

Pêche Melba a écrit:

Je ne suis pas là pour critiquer vos choix, mais je ne comprends pas pourquoi vous avez envoyé votre manuscrit à une maison que vous jugez bof bof. Je conçois que l'on veuille le meilleur pour son manuscrit, mais je conçois aussi qu'un professionnel qui a accepté de vous faire confiance  et à qui vous opposez une fin de non recevoir s'agace un tantinet. Pourquoi leur avoir adressé vos écrits, dans ce cas ? Pourquoi ne pas avoir attendu d'être refusé par tous avant de vous rabattre sur le second choix ?

Peut-être l'avez-vous déjà fait, mais dans votre situation je mailerais tous les autres éditeurs pour dire qu'on m'a proposé un contrat. Si silence radio, si même ça n'incite pas à ce qu'ils sortent votre manuscrit de sous la pile, c'est qu'il n'y a pas grand chose à attendre...

(ce que je dis ne prend pas en considérations les pratiques de Terriciaë ou son sérieux, c'est juste mon ressenti quant au choix de faire lanterner ou non l'éditeur).

Alors pour ce qui me concerne, j'ai envoyé mon tapuscrit à une bonne trentaine de maisons sans en connaître aucune. Je ne me suis jamais intéressée à l'édition mais alors ce qui s'appelle jamais.
La seule connaissance que j'en avais était celle qui différenciait les comptes d'auteur des autres et encore...
Au risque de te faire bondir, je n'y entendais tellement rien, que même Bragelone m'était inconnue.
Mais je te rejoins sur ce point et dis moi-même qu'il n'est pas glorieux de faire patienter une maison parce qu'éventuellement une autre...
Le souci est aussi le suivant Une maison (nord Avril) m'affirme être intéressée par mon tapuscrit et souhaite m'éditer fin 2013. Par courtoisie, j'en informe immédiatement les autres maison auxquelles j'avais envoyé mon petit chef d’œuvre. Et puis v'là ti pas que Nord Avril se rétracte. Bref, me voilà bien eue. Et évidemment pour les 10 ( à l'époque) maisons ; c'était cuit de chez cuit.
Alors, certes j'aurais dû attendre et avoir signé et cela n'excuse rien. peut-être juste, cela explique-t-il les choses.

je suis désolée mais je ne vois pas pourquoi l'on devrait dire ''oui'' rapidement et sans délai.

dans ma démarche, j'ai envoyé à beaucoup d'éditeurs, des maisons m'ont déjà dit oui, mais par respect pour les autres maisons a qui j'ai envoyé et parce que peut être que d'autres maisons accepteront mon manuscrit, je ne prends pas de décision trop hâtive.
les maisons qui sont en attente, je les ai prévenues, elle ont compris, et nous communiquons de temps à autre, pour nous tenir au courant.

une maison m'a fait du forcing en me disant '' je lance les nouvelles publications pour noel (...) ça pourrait faire un beau cadeau pour les fêtes etc etc... entre les appels et les mails, leur insistance m'a saoulé. je ne travaillerais pas avec eux.

C'était Gallimard ou Albin Michel ?

Caroplume, il ne faut pas inverser les rôles. Tu raisonnes comme si les éditeurs attendaient ton manuscrit. Je suis désolée, mais faire attendre untel pour ne pas priver les autres de son chef-d'oeuvre , j'y crois moyen. Autant assumer carrément le fait de vouloir mieux...
As-tu seulement rappelé l'éditeur qui t'inonde de mails pour lui dire franchement que tu ne travaillerais pas avec lui ?

Il n'est pas question de dire oui rapidement et sans réfléchir. Tout cela se prépare lors de la phase d'envoi. Il faut être sûr de vouloir travailler avec ceux à qui on adresse son texte. C'est juste mon point de vue, taper la qualité plutôt que la quantité pour éviter des situations telles que celle-ci, qui donnent au final une mauvaise image des nouveaux auteurs et qui laisse prise à de nombreux malentendus.

Imagine toi chef d'entreprise cherchant un collaborateur, et faisant une promesse d'embauche au candidat qui t'a plu. Et ce dernier de te dire : "Ah non, monsieur, je préfère rester chômeur et attendre la proposition d'une meilleure boîte". "Ah ? Alors pourquoi vous m'avez envoyé un cv, tiens ?"

+1 Pêche Melba

caroplume, tu as eu des réponses positives d'éditeurs à compte d'éditeur (sans rien à débourser ni souscriptions ?)

Je comprends que l'on puisse faire patienter (un peu) des maisons qui demandent une participation de notre part. Pour les autres, il faut faire attention, je trouve, on peut perdre sur tous les tableaux.

L'Ivre-Book (éditeur à compte d'éditeur) donne par exemple son ressenti ici : http://jeunesecrivains.superforum.fr/t31717-ecrivain-de-merde
Ce n'est pas inintéressant. Les éditeurs ne sont pas à notre service, non plus. Il faut aussi respecter leur travail.

c'est la meilleure offre qui compte !

ils nous font bien attendre pour lire nos manuscrits, je ne vois pas pourquoi nous aussi nous n'aurions pas ce privilège là !

après ce n'est pas une question de chef d'oeuvre, je n'ai absolument pas cette prétention là ! c'est pour ma part, une question de respect et de communication! j'ai envoyé, j'attends !

si les maisons m'avaient dit quelles ne fonctionnaient pas ainsi, j'aurais agi autrement... mais, la plupart ont compris mon point de vue et m'ont même encouragées à chercher encore!

Coline a écrit:

+1 Pêche Melba

caroplume, tu as eu des réponses positives d'éditeurs à compte d'éditeur (sans rien à débourser ni souscriptions ?)

Je comprends que l'on puisse faire patienter (un peu) des maisons qui demandent une participation de notre part. Pour les autres, il faut faire attention, je trouve, on peut perdre sur tous les tableaux.

L'Ivre-Book (éditeur à compte d'éditeur) donne par exemple son ressenti ici : http://jeunesecrivains.superforum.fr/t31717-ecrivain-de-merde
Ce n'est pas inintéressant. Les éditeurs ne sont pas à notre service, non plus. Il faut aussi respecter leur travail.

non non ! pas à compte d'éditeur... celles qui patientent sont les participatives !
pour un compte d'éditeur, je ne me lancerais pas non plus de suite mais n'attendrais pas 107 ans non plus.

je me suis fixée la fin de l'été pour prendre une décision et un maximu de retour. un premier tri sera fait et le gros des éditeurs aura répondu je pense.