Personnellement, ma rédaction ne démarre qu’après la finalisation du plan sous Excel. J’utilise un fichier qui ressemble tout à fait à celui de Page.
La marge de manœuvre pour improviser me semble encore plus confortable, car j’ai les éléments en tête ou vraiment près de moi. J’ai une idée immédiate de la cohérence de mon écart.
Concernant les cartes, je n’avais pas pensé à m’appuyer sur des sites pour m’assister. Malgré mon incompétence en dessin, j’utilise une feuille sur laquelle je trace des lignes pour les routes, des ronds ou parfois des formes plus complexes pour la délimitation approximative des forêts, des villes, des montagnes… Cela m’a toujours suffi pour me rappeler si le chemin traverse ou bien contourne le bois. Ensuite, je liste dans mon fichier Excel, le temps mit pour aller d’un point A à un point B en fonction du moyen de transport (pour reprendre l’information plus tard si nécessaire…). Bref, je note et comme l’écrit Plumerose : cela limite grandement les problèmes.
J’évite de perdre mes personnages, mais j’ai déjà utilisé un marais ou une falaise pour les retarder. Comme la carte est uniquement pour moi, je l’ajoute à ce moment-là.
Je dresse aussi des plans sommaires des lieux particuliers avec un degré de précision proportionnel à l’importance du site (mais ça, c’est mon passé de maître de jeu).