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 Quand renoncer et faut-il le faire?

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Invité  /  Invité


Je poste ici sans être certaine d'être dans la bonne section.
Ma question se veut simple, mais je sais qu'elle ne l'est pas. A partir de combien de refus avez-vous renoncé à faire publier un manuscrit ? Ou, au-delà du nombre de refus, quel a été l'événement ou le non événement qui vous a incité à renoncer à un projet. Je m'explique.
J'ai écrit un premier roman, avec déjà, au moment de l'écriture, une interrogation sur son genre. J'avais conscience que l'histoire oscillait entre le jeunesse, l'adulte, le noir, le burlesque, le suspens. Naïve sans doute, je pensais que ces oscillations constituaient une force.
Que nenni, la force est de constater, après quelques bêta-lectures professionnelles et de rares retours personnalisés de ME, qu'il n'en est rien. Elles veulent un genre bien défini. Une ligne directrice.
Pour moi, cela reviendrait à déconstruire toute mon histoire et finalement à la réécrire. Je ne m'en sens, ni le courage, ni l'envie. J'ai d'autres idées en tête et je mets la touche finale à un second projet ( dont j'ai mis les premiers chapitres ici, depuis largement réécrits )
Bref. Et vous, chers, chères JE, avez-vous connu ce genre de situation ? Avez-vous renoncé à un projet définitivement ou seulement momentanément ?
Parce que je me dis que si j'ai remisé Noémie ( le roman en question) au placard, cela traduit peut-être un défaut de persévérance ?
Je me pose des tas de questions Mad Mad Mad et je me dis que vos expériences pourraient m'aider à y voir clair. En tout cas, un peu plus :Electricité:
 
hodobema
   
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Alors personnellement oui, j'ai déjà renoncé à 2 romans définitivement. Mais ça n'avait rien à voir avec le nombre de refus de ME. Tout simplement, avec du recul, je trouvais qu'il y aurait TROP à corriger et je ne me voyais pas retourner sur ces manuscrits qui datent de plusieurs années parce que j'ai avancé entre temps, j'ai écrit d'autres romans, c'est un peu comme refaire face à mon moi du passé. Je préfère m'attarder sur mes projets actuels dont je suis fière plutôt que perdre mon temps avec des anciens projets qui ne me correspondent plus du tout.
Pour moi, ça ne veut pas dire qu'on manque de persévérance, simplement ces romans n'étaient pas faits pour être éditer. Ce n'est pas une perte ou du gâchis non plus, ils m'ont beaucoup appris et c'est grâce à eux que j'ai pu écrire mes romans actuels dont je suis fière.
Je pense qu'il ne faut pas hésiter à lâcher l'affaire plutôt que de se prendre la tête et se remettre sans cesse en question à propos de romans qui nous correspondent plus du tout. Les corrections c'est CHIANT, alors il faut vraiment aimer son manuscrit pour le corriger. En l'occurrence, je n'aime plus du tout mes deux premiers romans donc je les laisse à la poubelle Laughing
Bon après, je ne sais pas ce qu'il en est de ton roman, je parle vraiment pour moi !
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Emsi
   
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Emsi  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Lola P a écrit:
J'avais conscience que l'histoire oscillait entre le jeunesse, l'adulte, le noir, le burlesque, le suspens. Naïve sans doute, je pensais que ces oscillations constituaient une force.
Que nenni, la force est de constater, après quelques bêta-lectures professionnelles et de rares retours personnalisés de ME, qu'il n'en est rien. Elles veulent un genre bien défini. Une ligne directrice.:

Las... Rage déjà évoquée ici et là (ce n'est pas un reproche, bien au contraire, ça montre que cette obligation de se situer dans un genre bien défini, et d'ailleurs l'impossibilité, sur la plupart des formulaires internet de cocher plusieurs cases de genre, contrarie, voir décourage, plus d'un d'entre nous !)/

C'est d'autant plus agaçant que, comme je l'ai dit sur un autre fil, dans des interviews récentes ici t là, on voit qu les éditeurs font ce constat d'une littérature qui évolue vers un mélange des genres et en semblent heureux. Donc cherchez l'erreur ! Il serait temps de revoir les formulaires de dépôt de manuscrit.

Je ne pense cependant pas qu'il faille se décourager.
Il y a deux options : soit on veut impérativement être édité et alors on oriente vraiment le texte dans un genre précis, en supprimant les à-côtés qui le font osciller vers d'autres genres, soit on garde le texte tel qu'il est et on attend l'éditeur (plutôt généraliste dans ce cas) qui dira que le texte est inclassable et que... c'est pour ça qu'il le prend.
C'est ce qui m'est arrivé avec mon premier roman. Avec certes des suites désastreuses en matière de rapport humain avec l'éditeur, mais au moins le roman est sorti tel que je l'avais voulu.

Il faut aussi se dire qu'il y a des éditeurs qui, tout en revendiquant un genre bien défini (par exemple policier) incluent dans ce genre des sous-collections avec chacune une identité différente. Il faut bien regarder ce que les éditeurs proposent, il y en a tout de même qui, même dans un genre précis, acceptent des "chemins de traverse".

En dernier recours, il y a aussi bien sûr l'auto-édition je suppose, mais il faut reconnaître que les conseils d'un véritable éditeur (j'insiste sur "véritable", et pas sur un éditeur qui est en fait un imprimeur auto-proclamé éditeur) sont en général bien constructifs.

Personnellement, je ne laisse pas tomber mon second roman qui comme le premier mélange les genres, tant qu'un éditeur que j'estime ne m'aura pas dit ce qu'il lui reproche (et là simplement, je verrai). Mais comme tu dis, beaucoup n'expliquent pas leur refus...

Tant qu'on sait reconnaître les défauts structurels de son texte, à partir du moments où ces défauts sont mis en avant par quelqu'un qui malgré tout comprend notre démarche, il ne faut pas laisser tomber à mon avis.
 
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Hobodema Je te rejoins dans l'idée que les corrections c'est chiant surtout que mon parti pris, parce que c'en était un, était d'écrire au feeling sans me soucier des questions de genre. Avec une espèce de vertige à la fin, en me disant : Euh, j'ai écrit quoi au juste !
Emsi a écrit:
Las... Rage déjà évoquée ici et là (ce n'est pas un reproche, bien au contraire, ça montre que cette obligation de se situer dans un genre bien défini, et d'ailleurs l'impossibilité, sur la plupart des formulaires internet de cocher plusieurs cases de genre, contrarie, voir décourage, plus d'un d'entre nous !)/

Ah, j'ai pas trop compris. J'ai exprimé de la rage ici et là ? Si c'est la cas, franchement  Je ne m'en suis pas rendue compte. Actuellement en tout cas, je suis plutôt perplexe et franchement je ne vois pas quel éditeur pourrait s'intéresser à cette histoire. La blanche aujourd'hui est très orientée autofiction sociale hyper réaliste avec des écritures naturalistes qui me laissent de marbre ( C'est un point de vue ) et les autres littératures sont des littératures de genre et je me retrouve confrontée au problème évoqué : mon histoire n'est pas assez genré
Comme tu dis, il y a l'autoédition, mais c'est pas pour moi. Au moins une chose dont je suis sûre. Il faut être multi-tâches et je ne le suis pas.
Pour l'instant, je penche pour le laisser tomber avec une pointe de regret...
 
Emsi
   
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Emsi  /  Double assassiné dans la rue Morgue


LolaP a écrit :
Ah, j'ai pas trop compris. J'ai exprimé de la rage ici et là ?

C'est une question de perception personnelle Lolap : l'écrit a ses limites quand on n'entend pas le ton de voix de la personne qui écrit. La forme de ton message, avec ce "Que nenni" qui est une formule tout de même un peu "moqueuse" ou "agacée" selon comme on la dit, mais qui dénote en tout cas une insistance, me semblait montrer que tu étais très agacée par le fait que ce que tu croyais (fermement pour ce que j'ai cru comprendre) être un avantage, à savoir, le mélange des genres, te fermait au contraire les portes.
Tu as écrit : (j'enlève juste le "la" devant "force")
"Naïve sans doute, je pensais que ces oscillations constituaient une force. Que nenni, force est de constater, après quelques bêta-lectures professionnelles et de rares retours personnalisés de ME, qu'il n'en est rien. Elles veulent un genre bien défini. Une ligne directrice."
Du coup je rebondissais là-dessus, et quand je parlais de "rage déjà exprimée", ce "déjà exprimée" ne faisait pas référence à toi, il était d'ordre général. J'aurais aussi bien pu dire "agacement déjà exprimé", ou, de façon effectivement beaucoup plus neutre "sentiment déjà exprimé". Mais comme plusieurs personnes ont ici et là évoqué, sur tel ou tel fil, cet écueil "mélange ds genres", avec, à chaque fois, plutôt un ressenti d'injustice et une certaine incompréhension, j'ai parlé de "rage déjà exprimée".
D'accord, le mot était un peu fort mais il venait de ce qu'effectivement, le mélange des genres en agace plus d'un.
J'espère avoir été plus claire ainsi. Smile
 
BoiséeNoire
   
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BoiséeNoire  /  Crime et boniment


Je pense que ce topic aurait été très intéressant à placer dans la section "Édition/Publication" (puisque cela concerne directement l'édition) et que tu y aurais peut-être eu davantage de réponses !

Pour ma part, je dirais qu'au-dessus d'une trentaine de refus, c'est terminé, certains vont jusqu'à soixante (ça dépend aussi, je pense, des ME auxquelles tu envois : si tu envois même aux petites maisons d'édition / micro éditeurs ou pas).

Et pareil que pour Hodo... je considère mon écriture en constante évolution et après un certain laps de temps (un certain nombre d'années), je n'ai tout simplement plus envie de me pencher sur mes vieux textes... ni de les corriger... alors je laisse tomber (et sans regret !). De nouveaux textes, plus intéressants et plus aboutis, prendront leur place. Je ne m'accroche pas.

L'édition, ça fonctionne aussi par effet de mode : Twilight a relancé les vampires, Hunger Games a relancé la SF et les dystopies, Fifty Shades a remis la littérature érotique au premier plan, la mise en avant de Bridgerton (dont les premiers livres ont pourtant été publiés il y a plus de vingt ans) a permis un retour à la romance historique... Ce n'est pas parce qu'un manuscrit ne trouve pas d'éditeur aujourd'hui qu'il n'en trouvera jamais. Parfois, il peut être bon de faire une pause et d'y revenir plus tard.

On peut aussi se servir de la technique "des petits frères" pour caser un manuscrit plus... inclassable. Cela consiste à parvenir à publier un roman moins marginal et à refiler l'autre, plus original, au même éditeur (dont on a acquis la confiance) derrière.

Je suis confiante que tous les bons manuscrits finissent (un jour, peut-être pas tout de suite) par trouver un éditeur... mais pas forcément un grand (cela dit), donc tout dépend des désirs et des attentes de chacun et des concessions que l'on veut bien faire (ou pas).
 
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Ah Emsi Il n'y a pas de mal. Je suis bien plus volontiers ironique que rageuse. Puis avec le recul, j'ai vraiment mélangé beaucoup de genres. Un peu comme un pianiste qui fait ses gammes. C'est OK, ça peut montrer qu'il maitrise un certain nombre de trucs, mais ça ne fait pas une mélodie. Et le résultat peut manquer de justesse.
C'est l'image qui me vient en tête.
j'ai tenté un genre d'anaphore avec le "la force est de constater" Smile  Laughing
Boisée
Je crois que j'en suis à 31 refus. Mais j'ai envoyé au moins la moitié à des ME jeunesse et je suis convaincue maintenant que ce roman n'est pas du tout jeunesse. L'intention ne l'est pas, le propos non plus ; même si la narratrice est une ado et qu'il y a des scènes collège
J'adore ton idée de petit-frère. C'est peut-être pour ça que je m'investis sur mon thriller qui lui est vraiment un thriller !
Si un modo juge bon de déplacer le sujet qu'il n'hésite pas.
Merci pour vos réponses. Le nombre importe peu, elles m'aident. :flower: :flower:
 
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Emsi  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Ah OK Lolap, autant pour moi (oui je sais qu'il faudrait écrire "au temps pour moi", mais franchement cette vieille expression ne signifie plus rien, alors qu'autant pour moi a un sens tout à fait judicieux. Vive l'évolution des langues !!! Smile
 
BoiséeNoire
   
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BoiséeNoire  /  Crime et boniment


Lola P a écrit:

Boisée
Je crois que j'en suis à 31 refus. Mais j'ai envoyé au moins la moitié à des ME jeunesse et je suis convaincue maintenant que ce roman n'est pas du tout jeunesse. L'intention ne l'est pas, le propos non plus ; même si la narratrice est une ado et qu'il y a des scènes collège
J'adore ton idée de petit-frère. C'est peut-être pour ça que je m'investis sur mon thriller qui lui est vraiment un thriller !
Si un modo juge bon de déplacer le sujet qu'il n'hésite pas.
Merci pour vos réponses. Le nombre importe peu, elles m'aident. :flower: :flower:

Je pense que tu peux faire comme si tes envois/refus à des ME jeunesses n'existaient pas. Ils ne sont pas le reflet de la qualité de ton manuscrit ni de son intérêt commercial, puisque ce sont des maisons d'édition que tu as mal ciblé. Je te suggère de refaire le compte à partir des maisons d'édition adulte contactés ou à contacter.

Quant à la technique du "petit-frère", bien évidemment, ça ne fonctionnera que si l'éditeur du manuscrit A publie aussi des manuscrits dans le genre du manuscrit B. Je veux dire... inutile de proposer un roman de littérature blanche à un éditeur qui ne publie que du policier pur. Même si l'éditeur te fait confiance suite à ton premier roman chez-lui, ledit "petit-frère" doit quand même pouvoir s'insérer un tant soit peu dans sa ligne éditoriale (même s'il mélange les genres).
 
Henry
   
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Henry  /  Clochard céleste


Sur l'idée du renoncement. (et petit hors sujet)

J'ai un éditeur qui m'a fait confiance sur un texte vraiment bancal. Je n'ose imaginé s'il était sorti. Je ne l'ai pas retouché.
Récemment, j'ai envoyé une histoire en correction. Douche froide, comme je convoitais l'auto-édition, je pensais qu'un correcteur corrigeait tout (béta lecture, orthographe/conjugaison, faiseur de miracle...). Depuis que cette personne m'a livré son travail, mes textes sont meilleurs, mais je ne pense pas poursuivre cette histoire.

Plus que l'histoire en elle-même, ce sont mes personnages que je n'arrive pas à abandonné. Donc je dirai que je recycle tout. Jusqu'à ce que quelque chose émerge et me satisfasse.

Les refus, je n'en ai pas essuyé beaucoup, à part quelques AT, parce que je ne montre absolument rien. Et pour moi c'est ça la douche froide, me dire, par dépit, paresse ou lassitude que le texte passe, alors qu'en fait absolument pas. Sur mes deux (seules) expériences, la non publication est toujours venue de moi. Je ne me crois pas assez fort pour enchainer les refus. Et pourtant ! Mes textes n'ont jamais pris autant de galons que lorsqu'ils ont été partagé et durement jugés.

edit : J'ai un doute sur ce qu'il ressort de ce que je viens décrire. J'ai essayé de dire que je n'avais pas confiance en moi, que j'avais très peu d'expérience et que je n'ai jamais été aussi récompensé que lorsque j'ai surmonté mon blocage, même si le texte était mauvais.
 
BoiséeNoire
   
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BoiséeNoire  /  Crime et boniment


Henry a écrit:
J'ai essayé de dire que je n'avais pas confiance en moi, que j'avais très peu d'expérience et que je n'ai jamais été aussi récompensé que lorsque j'ai surmonté mon blocage, même si le texte était mauvais.

Ce serait à partager sur ce topic tiens !
 
Henry
   
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Henry  /  Clochard céleste


Ah oui, merci Smile
 
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olknox  /  Barge de Radetzky


Une petite trentaine d'envois me paraît aussi un chiffre raisonnable, quand on croit dur comme fer à son projet.

Récemment une forumeuse de JE a dit avoir envoyé 62 manuscrits - si je me rappelle bien - sur lesquels... elle avait reçu 2 réponses positives.

Depuis que j'ai lu ce post, je me fixe ce chiffre de 30 envois. Smile

Après, c'est un chiffre conséquent, et je n'en ferais pas autant si je débutais dans l'écriture.

La plupart des écrivains, à mon avis, doivent envoyer une poignée de manuscrits avant de se décourager.

Aussi, l'erreur fréquente, c'est d'envoyer à des éditeurs comme Albin Michel ou Michel Lafon, qui ne publient pour ainsi dire pas de premiers romans.

*Pour Albin Michel j'exagère peut-être un peu, ils doivent en publier un par an (sur 7000 manuscrits reçus study )
 
Jimilie Croquette
   
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Jimilie Croquette  /  De l'Importance d'être Constamment Là


je suis entrée dans la légende. Quand renoncer et faut-il le faire? 1f601
https://linktr.ee/emilie_goudin.lopez
 
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Olknox a écrit:
La plupart des écrivains, à mon avis, doivent envoyer une poignée de manuscrits avant de se décourager.
C'est aussi que, perso, vu ce que j'écris, entre les questions de ligne édito et de nombre maximum de mots autorisés, même en comptant les petites et micro-ME, je suis trèèèès loin de pouvoir envoyer à 30 comités de lecture ! J'atteins même pas les 20.

Comme pour moi l'édition est plus un rêve, un bonus, qu'un objectif, et que vu ce qu'on apprend ces derniers mois j'ai tendance à prendre du recul sur mes probabilités de réussite (en plus de la qualité de ma plume), "j'abandonne" à partir du moment où le roman suivant est prêt. Là j'attends encore les Murmures pour Roman 1, mais c'est la dernière vraie échéance. Ensuite je considèrerais à la rentrée que c'est mort (et pour Roman 2 aussi, vue que c'est une Mary Sue) et je terminerai tranquillement l'écriture de Roman 3.
 
   
    
                         
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