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 Qui, parmi vous, a tué le plus de personnages ? Avouez vos crimes

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Brontë
   
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Brontë  /  Autostoppeur galactique


dans mon premier "roman" (j'avais treize ans?) je tuais 3/4 de mes personnages, l'intrigue se déroulant dans un pensionnat détourné en secte par un directeur complètement dingue

depuis je suis plus sage, j'ai simplement pas mal zigouillé en faisant du rp

dans mes textes la mort arrive toujours à un moment ou un autre, c'est plus tragique et ponctuel que systématique
& quand je me compare aux autres tueurs de J.E je trouve que c'est tout à fait raisonnable
 
Robax-Man
   
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Robax-Man  /  Clochard céleste


Moi je dirais que quand je tue un personnage, ça dépend.

si c'est un personnage en secondaire j'y vais sans hésitation, mais je n'ai jamais eut assez de cœur pour tuer un principal.

Mais si c'est un méchant, alors je vais être très sadique Twisted Evil Twisted Evil
 
vendarion
   
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vendarion  /  Clochard céleste


oui votre honneur, j'ai tué des personnages, mais j'ai des circonstances atténuantes.

En fait, je me demande si la question est bien posée...

Bref, il me semble, votre honneur, qu'il y a un vice de procédure.



Avant d'être auteur, j'ai été joueur puis maître de jeu à Donjons&Dragons, puis à d'autres JdR... et là, on débutait avec un "groupe de personnage". Je présume que l'accusation de "tuer des personnages" concerne exclusivement les membres de ce groupe.
Les autres sont de toute manière des "PNJs" dont la vie ou la mort n'a pas la moindre importance.

Parce que s'il faut considérer n'importe quel quidam comme un "personnage", alors il convient d'arrêter rapidement Roland Emmerich qui ne s'est pas gêné pour exterminer 7 milliards d'individus dans 2012.
Ce n'était pas un JdR mais le principe est plus ou moins le même... un petit groupe de héros est confronté à une "aventure" et doit trouver un moyen de survivre.


Quoi qu'il en soit, un JdR et un roman ont tout de même des différences notables, même si certains auteurs rôlistes ont une fâcheuse tendance à les oublier.

La première est que, dans un JdR, certains personnages sont favorisés, les "PJs".

La seconde, c'est que la campagne de JdR tourne autour de ces personnage. Quand vous arrivez chez "le maître" avec votre fiche et vos dés fétiches, vous vous contrefichez complètement de savoir si vous allez massacrer de l'orque ou sauver une princesse d'un abominable tyran... ce qui compte, c'est que votre petit personnage acquière fortune et gloire, et accessoirement revienne vivant, parce qu'une gloire posthume, ça ne permet pas d'emballer les admiratrices qui viennent célébrer vos exploits.

Dans le roman, officiellement point de "personnage privilégié". Ce qui est important est "l'histoire" avec un grand H et les "personnages" n'en sont que de modestes serviteurs. Taillables et corvéables à merci, et accessoirement tuables si ça peut mettre un peu d'écarlate sur une page blanche.
C'est pour cette raison que certains personnages sont surnommés "red shirt".

(je passe le cas des récits centrés autour d'un héros qui revient d'un épisode à l'autre, le genre a connu son heure de gloire, mais George RR Martin est passé par là et a lancé la mode de massacrer un héros à chaque épisode, la victime étant choisie aléatoirement par un tirage de dés derrière le paravent -- fin de la parenthèse)

En résumé, dans un JdR, l'histoire est au service du héros alors que dans un roman, le héros est au service de l'histoire. Le pitch du JdR étant que "tel héros (avec un grand H) va s'impliquer dans [histoire random]" et va forcément en sortir vivant, sauf s'il fait un mauvais tirage au JS ou que le MJ pique une crise de rage lorsque son PNJ fétiche (et accessoirement fétichiste puisqu'il s'agit généralement d'une midinette à forte poitrine et tenue moulante) se fait décapiter par le barbare du groupe après avoir tenté - et souvent réussi - à humilier ces vilains machos PJ.
Accordons une minute de silence à la mémoire de Gruubork le sanguinaire, victime de son devoir... enfin; disons trente seconde parce qu'on n'a pas que ça à faire.

Par contre dans un roman, le pitch serait plutôt: "il y a bien longtemps dans une lointaine galaxie, le maléfique empire traque le dernier jedi (tous les autres ont été massacrés) qui a pris la fuite après le meurtre de sa famille en compagnie d'un vieux maître jedi (tiens, c'était l'avant-dernier) qui se fait tuer en cour de route par un méchant bonhomme en noir...
Bref, les morts font pratiquement "partie du contrat" et servent le récit, contrairement aux victimes d'un MJ ou d'un George Martin sadiques qui ne trouvent le plaisir qu'en faisant pleurer les joueurs et les fans de la série.

Et toute la différence est là... le romancier ne va pas "décider de tuer un personnage". Par contre, il va créer des personnages dont le rôle est de mourir à un certain point du récit... C'est ainsi que Denis Nedry et Donald Gennaro (Jurrasik Park) ne sont pas tués par un scénariste sadique, mais noblement sacrifié pour nourrir l'intrigue, et accessoirement les dinosaures. Paix à leurs restes dont on peut retrouver quelques brins d'ADN à l'endroit ou les T-rex se soulagent, pour le cas ou une civilisation de dinosaure chercherait à créer un "Modernik Park".

J'en arrive à mes propres crimes...

Dans "l'Âme de l'Assassin", il y a un assassin et il tue des gens... c'est son métier.
Ses premières victimes sont un groupe de tueurs lancés à ses trousses dont deux seulement ont le privilège d'avoir un nom: Jadar (un assassin concurrent) et Thurold (un guerrier nordique avec une grosse hache et des muscles d'acier qui a failli prendre la place dArnold dans "Conan le Barbare")

Mais sachez, votre honneur, qu'à aucun moment je ne me suis dit: "tiens, je vais tuer Jadar et Thurold" pour la simple raison que ces deux personnages étaient morts avant même d'être créés...
L'intrigue exigeait que les compétences de "l'Assassin" soient démontrées au lecteur. Sans cette nécessaire démonstration, Jadar et Thurold n'auraient pas été tués, mais ils n'auraient pas été créés non plus et ne seraient pas plus vivant qu'ils ne le sont aujourd'hui.

C'est pourquoi je vous demande le non-lieu.


Bien sûr, j'en ai tué d'autres... Dans les portes de l'Agartha, c'est une bonne partie de l'équipage d'un u-boot de la kriegsmarine qui passe l'arme à gauche (triste fin pour des gens d'extrême droite), mais chaque mort est justifiée par la situation, et accessoirement par un arc narratif personnel qui rend inutile la survie du personnage en question. Je prendrai l'exemple de deux soldats qui, contrairement à leurs camarades qui obéissent aux ordres sans état d'âme et/ou sans connaissance de leur finalité, possèdent chacun une morale dont ils sont les représentants. Ces morales étant antagonistes, ces deux personnages font monter la pression auprès des autres membres de l'équipage, obligent le héros et l'antagoniste à choisir ouvertement leur camp -- ou à assumer la lâcheté de ne pas choisir -- et finalement provoquent une bagarre.
Au moment ou cette bagarre éclate, l'arc narratif de ces deux personnages est pratiquement terminé: ils ont joué leur rôle et leur survie n'apporte plus grand chose au récit... l'un d'eux est tué dans la bagarre et l'autre survit pendant un ou deux chapitres, le temps d'exposer une dernière fois ses critères moraux à un des protagonistes qui, très vexé, décide de le tuer dans un accès de colère.
Outre le fait qu'elle nous débarrasse d'un personnage inutile, cette mise à mort donne au lecteur une information utile pour comprendre la suite du récit: certains protagonistes sont plutôt susceptibles et il vaut mieux éviter de les caresser à rebrousse poil.

En conclusion, un mort apporte toujours quelque chose au récit... une information dont le lecteur a besoin, un élément déclencheur pour une série d'événements "domino", parmi lesquels il y aura peut être d'autres morts.
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Matrix
   
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Matrix  /  Blanchisseur de campagnes


Je tue mon héro dans le premier paragraphe du premier chapitre du premier tome. Je gagne combien de point pour ça ? :p
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vert alligator
   
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J'ai lu un peu (en diagonale parce qu'il y en a beaucoup) les morts parfois extrêmement tragiques de vos personnages et ça m'a assez surpris.e de constater que peu d'entre vous tuent par mort naturelle ! (cette phrase est assez surprenante....).
Enfin si, de maladie, il y en a une pléthore, mais par vieillesse ? ça me fait un peu me questionner sur la mort en littérature... j'ai l'impression qu'elle résulte de/provoque moult situations, voire même qu'elle est (souvent) utilisée pour faire avancer le récit. Mais pourquoi choisir la mort comme élément déclencheur ? Pourquoi c'est aussi récurrent ? Je ne sais pas trop par où je voulais aller en parlant de ça mhh, peut-être que c'était parce que je me disais que ça amenait le récit à devenir violent (parce que la mort, c'est violent au moins pour quelqu'un, un deuil, c'est difficile - difficile mais intéressant à écrire)...
Je m'éloigne du sujet!!!

Justement dans mon deuxième livre je voulais tuer un des personnages principaux, pour provoquer un choc. J'ai renoncé parce que je me suis dit qu'un accident, ou une séparation, c'est aussi voire d'autant plus douloureux (dans la séparation : idée que l'on pourrait se revoir mais pourtant). Dans mes deux romans je parle de la guerre mais j'hésite à supprimer ces passages parce que la mort y est traitée en surface. Ce sont des soldats, donc, on s'y attend - c'est presque normal.
Mais ça ne l'est pas ?

@vendarion a écrit:
Au moment ou cette bagarre éclate, l'arc narratif de ces deux personnages est pratiquement terminé : ils ont joué leur rôle et leur survie n'apporte plus grand chose au récit...

Je trouve ça hyper intéressant !! Je ne saurais pas trop expliquer ce que je pense à ce propos... ça m'interpelle que, parce qu'ils ne servent plus à rien, tu les élimines. Mais pourquoi choisir la mort ? Pourquoi ne pas leur trouver une fin moins terrible ? Même si dans ce cadre c'était compliqué. Je comprends qu'ils soient devenus encombrants, et je ne remets pas en cause ton choix ! Je me questionne juste sur le fait que souvent, on a recours à l'assassinat de nos personnages alors qu'on pourrait leur trouver une fin beaucoup plus douce...

Mais encore une fois ce n'est pas le sujet arghghgh
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vendarion
   
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vendarion  /  Clochard céleste


"Mais ce n'est pas le sujet arghghgh"

Hé bien si, justement, ça fait clairement partie du sujet... la mort d'un personnage est justement l'autre moyen de le sortir de l'histoire. Et comme tu le dis toi-même; c'est très compliqué de le faire partir autrement (rentrer à Berlin en traversant l'océan arctique en canot pneumatique ?), et je ne parle même pas de le faire mourir de vieillesse...

Je peux dire en ne spoilant que le premier chapitre qu'un des deux soldats a découvert ce qui se passe dans les camps et que toutes ses actions sont motivées par cette découverte... l'autre est un fanatique du système. La "bagarre" en question est la confrontation finale de leurs choix respectifs, elle ne pouvait se terminer que par un mort, même si je l'exprime avec beaucoup de cynisme.

J'ajoute à cela que, dans mon exemple comme dans le tien, nous sommes dans le cadre d'une aventure guerrière, la mort est un risque quotidien pour chacun d'eux. Il serait tout à fait déraisonnable d'écrire une bataille sans mort.

Je suis même presque étonné que la distinction entre "aventure guerrière" (ou "héroique") et roman d'un genre moins violent (enquête, romance ou roman psychologique) n'ait été posée en préalable à cette question.

Si nos deux soldats avaient été des vacancier dans une romance, opposés par leur rivalité vis-à-vis de la blonde Jessica et fans de club de football différent, il est tout à fait probable que le perdant ne serait mort que de honte ou de dépit.

Les morts naturelles et la vieillesse sont plus compliquées à amener parce qu'elles nécessitent une condition supplémentaire: l'âge et la mauvaise santé du personnage.
Pour l'âge, on peut dire que le décès est prévisible, mais pour une maladie ? Il s'agit d'un rebondissement plutôt inattendu parce que le décès n'est absolument pas lié à l'intrigue et peut décontenancer ou frustrer le lecteur... "comment va se terminer le procès Kramer contre Kramer ? - ben un des deux Kramer attrape le covid et meurt à l'hôpital... paix à son âme - et c'est tout ? - ben ouais"
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Hermès
   
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Alors niveau meurtre oulalala.

Dans mon projet El Diablo, pas tant que ça au final

Par contre dans un projet sur Halloween dans un stype d'horreur c'est une boucherie. Un bain de sang exprême. Un de mes persos à exterminer dans une crise de rage l'équivalent d'un ville du genre Brest ahahahah.
En même temps ce roman c'est une invasion du monde osbcur pour rendre les humains esclaves et jouer à torture.
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Xiep
   
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Xiep  /  Homme invisible


Comme mon roman se déroule lors d'une guerre civile, il y a légèrement de la casse.... Il y a un bombardement de Clermont-Ferrand par les Républicains, un de Paris par les Nationalistes, quelques charniers des deux côtés, et une scene de pendaison de 400 anciens diginitaires républicains en représailles à un massacre de supposés nationalistes.
 
Emsi
   
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Emsi  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Bonjour
Pour ma part je me reconnais plutôt dans la réponse d'Enirtournef au tout début de ce fil, et si ça peut nous élever d'un cran dans l'édition : on se retrouve toutes les deux sur la ligne de Fred Vargas, qui déteste voir mourir les gens et a toutes les peines du monde à décider de tuer.
Donc je tue quelqu'un parce qu'il faut bien, mais sans gros-plan-sur-la-tâche-de-sang, sans détails techniques ou morbides, et bien sûr sans médecin légiste (ses conclusions sont juste évoquées).
Comme Vargas aussi (à ce train-là je vais sûrement être aussi célèbre qu'elle un jour  Very Happy  !) je déteste l'idée même de méchanceté : mon coupable (parce qu'il en faut bien un malgré tout) est toujours quelqu'un qui n'est pas foncièrement mauvais. Il a pratiquement tué par hasard.
Il peut y avoir d'autres crimes commis, mais ils l'auront été par le passé, donc "ça ne compte pas vraiment".
En résumé, je tue donc une personne par roman. Et à la fin du roman, on se ficherait presque de savoir qui est le coupable, car l'histoire développée en parallèle de "l'enquête" (laquelle est finalement secondaire) est une histoire humaine qui prend le pas sur "qui a commis le crime et pourquoi".
 
Eyre
   
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Eyre  /  Autostoppeur galactique


J'ai tué quelques personnages, et maintenant que j'y réfléchis plus que ce pensais en premier lieu ^^. J'ai été surtout marquée par une, car c'est un personnage que j'appréciais beaucoup, qui comptait énormément pour mon héroïne avec un bagage émotionnel assez lourd et c'était horrible à écrire. Je n'aime pas relire ce passage ; je me demande comment ce sera perçu par les lecteurs (mon conjoint l'a mal vécu ^^).
https://linktr.ee/v_eyre_te
 
Emsi
   
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Emsi  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Eyre a écrit:
J'ai tué quelques personnages, et maintenant que j'y réfléchis plus que ce pensais en premier lieu ^^. J'ai été surtout marquée par une, car c'est un personnage que j'appréciais beaucoup, qui comptait énormément pour mon héroïne avec un bagage émotionnel assez lourd et c'était horrible à écrire. Je n'aime pas relire ce passage ; je me demande comment ce sera perçu par les lecteurs (mon conjoint l'a mal vécu ^^).

... Smile Une preuve de plus qu'on ne fait vraiment pas ce qu'on veut avec nos personnages : soit ils nous commandent (ce qui semble exclu ici puisque je suppose ton personnage n'a pas demandé à mourir), soit "quelque chose" commande nos doigts, qui alors écrivent ce qu'ils doivent écrire, et nous n'y pouvons étrangement rien.
Je précise que l'ésotérisme n'est pas du tout mon truc : quand je dis "quelque chose", je ne pense pas à un machin ectoplasmique qui s'emparerait de nous, mais plutôt, sans faire de psychologie de comptoir, à un truc au fond de nous, qu'on ne comprend pas bien nous-mêmes (voire qu'on n'aime pas, au point de détester se relire) mais qui nous pousse envers et contre tout à écrire les choses ainsi.
 
Phyrik
   
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Phyrik  /  Blanchisseur de campagnes


Je ne tue que par nécessité :mrgreen: .

2 principaux et un groupe de méchants dans le tome 1.
1 principal, une innocente (au moins) 2 ou trois méchants (certains cadavres sont trop dispersés pour arriver à les reconstituer), dans le tome 2..
Tome trois et 4 en cours d'écriture mais pour l’instant c'est plutôt calme.

La fin prévue est hors sujet si j'en crois les critères de ce sujet.
 
Uraeus Zahato
   
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Uraeus Zahato  /  Tapage au bout de la nuit


Maintenant que j’y réfléchis, je me rends compte que je tue des personnages dans tous mes romans.
Parmi les personnages principaux ou secondaires, j’en choisis généralement un ou deux (dont souvent un antagoniste ou un méchant), que je tue avec soin.
Parmi les figurants, j’ai légèrement tendance à faire des tueries de masse. Une ville, un village ou une planète entière exterminée hors champ.
J’ai aussi un truc avec les personnages tertiaires, en particulier les parents. Beaucoup de mes personnages commencent l’histoire sans parents.
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Kim Galé
   
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Kim Galé  /  Autostoppeur galactique


Bonjour,

Je crois que dans mes romans en cours, il y a toujours des morts. Comme des accidents de la vie, des en cours, ou de loin...
Mais la palme reviens au roman qui a été publié "Evan le repos du guerrier" d'un autre côté c'est dans le titre non ? Cela serait étrange un roman moyenâgeux sans morts. Là il y avait de tout, les nécessaires, les absurdes, les injustes...(j'ai eu du mal à tuer l'un des personnages d'ailleurs...)

Ensuite, la mort fait partie du cycle de la vie. Alors… est-ce vraiment un crime ?

Je m'interroge: est-ce que le rapport à la mort que nous entretenons avec nos personnages à des similitudes avec celui que nous entretenons dans la vraie vie avec la mort? Exemple: un écrivain qui exerce en tant que croc mort, aurait-il plus de facilité et tendance à tuer ses personnages qu’une institutrice auteur ?

confused
 
Phyrik
   
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En même temps, qui pourrait jeter la pierre à une institutrice qui voudrait éliminer ses élèves ?😁
 
   
    
                         
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