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Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Erbarme dich a écrit:
je parlais entre autres des personnes handicapées Mariolo, totalement absentes de ton propos.
Si tu avais entendu les propos de la toubib MDPH qui m'a reçue en novembre 2017...
J'ai ( 1 ) eu envie de lui conseiller un rendez-vous avec un neurologue pour lui demander si tout ce qu'elle écartait d'un revers de main était aussi négligeable qu'elle le croyait ( 2 ) regretté de n'avoir pas un magnétophone dans la poche, car non seulement elle a tenu des propos démontrant qu'elle n'est pas une pointure dans le domaine des soins au système nerveux mais en plus elle en a tenu qu'on peut qualifier d'insultants voire de "validistes"
Bref...
Elle n'a tellement bien expliquée que je ne suis pas "vraiment handicapée" que je suis sortie du bureau persuadée que mon attestation handicap ne serait même pas renouvelée. Finalement, elle l'a été, mais ça ne me conduit pas loin puisque je n'ai pas d'employeur à qui la montrer.
On m'a refusé la "carte handicap" parce que mes crises et chutes n'étant pas assez fréquentes, je n'avais pas besoin d'une carte donnant doit à une place assise dans les transports. Bonne nouvelle pour mon prochain dossier : je marche à présent avec une canne. En 2017, six crises m'ayant parfois obligée à m'asseoir par terre dans le tramway, ça ne me semblait pourtant pas négligeable (sans compter les prémices de crises qui le font aussi).
Quel rapport entre ça et les revenus ?
Très simple :
Selon cette dame, je ne suis "pas vraiment handicapée" et peux tout à fait travailler.
Le besoin (tout à fait prouvé, quoi qu'en dise cette femme) de calme et de repos pour une maladie neurologique handicapante est une grande gêne dès lors qu'on cherche du travail... gêne qu'elle n'a absolument pas niée, mais par contre, ce besoin a été très résolument assimilé par elle à de la paresse. Allez hop, affaire réglée.
Et le plus beau ?
Si j'ai lâché l'affaire et renoncé à faire appel, c'est parce que j'ai vite compris que mon système ne supporterait pas les tensions que je rencontrerai sur le parcours. Autrement dit : cette femme a nié le danger du stress sur mon état et c'est précisément ce danger qui lui a permis d'avoir gain de cause.
Au bout du compte ?
Ma foi...
Contrairement à ce qu'elle a soutenu, je ne peux pas chercher un travail dans une entreprise où on me mettrait derrière un bureau avec des heures fixes etc.
Mais ça ne change rien à mon existence parce que tout ça, ce sont des choses que bien peu de gens, depuis toujours, acceptent de prendre en compte.
Alors bon...
La place du handicap... la place du handicap.... y'a un sacré boulot à faire, dans ce domaine !!!

Erbarme dich a écrit:
Ca me fait penser aux panneaux propagandistes surviolents qui disent aux gens au RSA d'aller bosser bénévolement pour être dans la "vie active"
Ce qui dénote chez ceux qui rédigent ces panneaux une méconnaissance de la signification du terme "vie active" dans un texte socio-économique... ou bien une rude mauvaise foi visant à fausser la compréhension de ce terme par le public.
Hélas...
( sans compter qu'il saute au yeux que c'est une porte ouverte à tolérer du travail gratuit un peu partout sous prétexte de bénévolat )
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Fiction
   
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Fiction  /  Tapage au bout de la nuit


Personnellement je suis un adepte du "quand on veut on peut", dans une certaine mesure bien évidemment.

Tout est une question de calibrage.

Si tu veux écrire un best-seller, BIEN SUR que tu le peux. Des milliers d'autres l'ont fait. Mais personne n'y est arrivé en un claquement de doigts. Alors travaille. Ecrit tous les jours. Inspire-toi de ceux qui ont réussit. Ne t'arrête jamais. T'auras des échecs, des refus, mais ne t'arrêtes jamais. Et dans quelques années, si tu es resté régulier, et persévérant, tu y arriveras. C'est mathématique. Mais il faut jamais rien lâcher, et c'est là que ça devient compliqué. Voilà pourquoi peu de gens y arrivent. C'est pas une question de chance ou de situation Laughing J'ai eu la chance d'avoir un travail, des ressources, des amis, une femme qui m'aimait, de la famille, un appartement sans loyer à payer, et c'est pas pour autant que j'en ai profité pour lancer mon business, au contraire, je claquais mon argent n'importe comment et n'avançais pas dans ma vie. Aujourd'hui je suis dans une merde cosmique, seul, en pleine rupture, la moitié des meubles dégagé, sans salaire car barman (merci le covid) et pourtant, je n'ai jamais été aussi heureux et productif. J'ai écrit deux romans en un mois et demi, je me lève à cinq heure du mat' et je bosse.

Ceux qui critiquent cet adage, quand on veut on peut, désolé de vous le dire, mais (à mon avis) vous vous donnez des excuses pour justifier votre paresse... C'est humain et je vous en veux pas, je suis le premier à procrastiner d'ordinaire. Et il faut rester conciliant avec soit-même, on est pas des robots, le principe n'est pas de se foutre une pression et en devenir dingue. Mais pour moi, cracher sur cet adage, c'est se déresponsabiliser de la qualité de ta vie.

Et cracher sur "l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt", j'ai du mal à le concevoir. Qu'on ne veuille pas le faire, ça nous appartient, mais qu'on critique ceux qui le font... Bah désolé, c'est critiquer des gens qui se donnent les moyens de réussir...

Après, je tiens à nuancer mes propos. L'adage ne s'applique pas à tout et n'importe quoi, j'en suis bien conscient... Mais quelqu'un qui VEUT, qui VEUT vraiment, il PEUT y arriver. Mais quelqu'un qui veut "juste un peu" aura plus de mal. (genre moi, je VEUX devenir écrivain, mais je veut juste un tout petit peu me mettre à la musculation) Du coup je suis aussi épais qu'un salsifis cheers

Je vous souhaite une bonne journée !
 
Pasiphae
   
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Séléné : ce que tu racontes met tellement en colère... je suis désolée.

Mariolo : je vois ce que tu veux dire, et en même temps je ne suis pas tout à fait d'accord. Donner amour et affection, ce n'est pas uniquement donner des bisous ; on est également dans un cadre d'échanges.
Quand je téléphone à mes grand-mères – qui me racontent leur petit train-train pendant une heure et demie – je le fais parfois par plaisir, mais surtout par obligation filiale (moi, le téléphone m'épuise, mais je sais combien ce coup de fil, deux fois par mois, est important pour elles). Le maintien du tissu social est, dans presque toutes les sociétés (sinon toutes) assuré en grande partie par les femmes, et finalement, en parler comme d'un don, c'est oblitérer la charge que cela représente (et pourtant ce sont bien des tâches nécessaires !) : penser à souhaiter l'anniversaire d'unetelle, préparer un bon repas pour des ami·es, téléphoner à une tante, s'arrêter 5 minutes dans la cage d'escalier pour discuter avec la voisine, ou dans la rue avec le primeur, envoyer un petit message à untel qui s'apprête à vivre quelque chose de stressant... c'est du don d'amour, mais c'est aussi une forme de travail. Peut-être que c'est anodin pour certaines personnes, mais pour moi qui suis assez angoissée par les télécommunications et les interactions sociales, c'est "lourd" (et plaisant, hein, mais aussi fatigant et une charge mentale). Nous échangeons en permanence des marques d'affection, d'attention, du soutien et de l'écoute, et c'est une des denrées d'échange principales, même. Et cela peut être "coûteux", chronophage, mais c'est utile, et même, indispensable. Donc si le travail libre inclut toutes les tâches, le travail affectif / de maintien du lien social fait à mon avis partie du travail du care qu'on a trop longtemps dénigré car beaucoup échu aux femmes – et je comprends tout à fait pourquoi tu veux le garder dans la sphère du don ! mais le don, ça implique aussi des contre-dons, et c'est coûteux, non ? Wink
 
Tengaar
   
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Fiction a écrit:
Si tu veux écrire un best-seller, BIEN SUR que tu le peux.

Alors déjà, oui tu peux écrire un livre qui a les qualité d'un best-seller (et déjà la quantité de travail à fournir sera bien différente selon le niveau d'où tu pars : une fille de bonne famille avec une forte tradition de lecture, qui a été dans un milieu culturel favorisé aura plus de facilité à écrire un bon livre qu'une personne qui doit ne serait-ce que lutter pour écrire chaque phrase (ça s'applique évidemment à l'orthographe et à la grammaire mais même au style en tant que tel), et du coup, pour une personne ayant déjà des difficultés au départ, la marche sera incommensurablement plus haute et dire "cette personne est feignante" c'est ne pas reconnaitre cet écart de départ), mais le fait qu'il se vende cela ne dépend plus de toi exclusivement mais également du contexte et de la chance. Une personne qui a écrit un super livre, met en œuvre un super plan marketing pour sortir son livre le 16 mars 2020 aura mis toutes les chances de son côtés pour se planter magistralement et n'aura pas forcément les moyens financiers pour refaire une campagne marketing pour ressortir son livre.

Le succès dépend de tes capacités (définies par ta personne et ton milieu culturel) et de la chance (et de tes capacités financières aussi hein, parce que mettre les chances de son côté en intégrant par exemple une école de commerce côtée ou une bonne école d'ingénieur, ça suppose de pouvoir se payer les dites écoles (ou les logements qui vont avec) donc ça suppose des prérequis. Personnellement, oui j'ai un super boulot bien payé mais parce que mes parents m'ont financé mes 6 années d'études. Donc oui, j'ai travaillé dur, passé mes concours etc mais c'était tellement plus simple pour moi que pour une personne qui aurait dû faire trois jobs à côtés pour arriver au même point.
Et donc du haut de mes diplômes, je peux dire aux gens "han, vous êtes des feignasses, vous n'arrivez à rien alors que de base, j'avais beaucoup moins d'effort à fournir.
 
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Fiction  /  Tapage au bout de la nuit


Tengaar : Je comprends ton point de vue et je suis même d'accord. Mon propos n'était absolument pas de dire que les chances étaient égales pour tout le monde. Mais qu'importe d'où on vient, on peut écrire un Best-Seller (certains vont galérer plus que d'autres, mais la réussite n'en sera que plus belle !)
Tout dépend de son état d'esprit. Après, le fait qu'il se vende repose sur plusieurs facteurs que tu ne peux pas contrôler. Donc évidement, il y a une part d'injustice. Mais si tu ne t'arretes pas là et que tu continue, j'ai la croyance que ça va finir par payer. Je ne dis pas que c'est l'exacte vérité, mais je préfère penser comme cela, sinon je n'ai plus qu'à me mettre en position foetale et pleurnicher sur l'injustice de la vie, avant que la mort ne m'engloutisse.

Citation :
et n'aura pas forcément les moyens financiers pour refaire une campagne marketing pour ressortir son livre.

sur le moment, non, mais si c'est un déglingo et qu'il est têtu, il aura un jour assez d'argent pour tenter de nouveau sa chance.

Je ne dis pas que réaliser ses rêves c'est simple et que ceux qui n'y arrivent pas sont des feignasses. Je dis que ceux qui se donnent des excuses pour ne pas aller vers leurs objectifs se tirent une balle dans le pied.
 
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Mais peut-on savoir ce que l'on veut ? Cool
 
Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Fiction a écrit:
Ceux qui critiquent cet adage, quand on veut on peut, désolé de vous le dire, mais (à mon avis) vous vous donnez des excuses pour justifier votre paresse... C'est humain et je vous en veux pas, je suis le premier à procrastiner d'ordinaire. Et il faut rester conciliant avec soit-même, on est pas des robots, le principe n'est pas de se foutre une pression et en devenir dingue. Mais pour moi, cracher sur cet adage, c'est se déresponsabiliser de la qualité de ta vie.
J'ai envie de répondre comme Cyrano face au blanc-bec (mais lui c'est à propos de son nez) > qu'on peut se le servir à soi-même mais ne pas apprécier qu'un autre nous le serve.

L'adage, quand on se le dit à soi-même pour se motiver, n'a pas le même sens que quand on le dit à quelqu'un pour lui dire de ne pas procrastiner.

Fiction a écrit:
Si tu veux écrire un best-seller, BIEN SUR que tu le peux. Des milliers d'autres l'ont fait. Mais personne n'y est arrivé en un claquement de doigts. Alors travaille.
Même si des milliards d'écrivains se démenaient jusqu'au burn-out pour faire chacun un best-seller, le nombre de best-sellers dans les librairies n'augmenterait sans doute pas beaucoup.
En fait, on peut même imaginer que ça le ferait baisser et que le public achèterait autre chose que des best-sellers (qui du coup n'en seraient plus)... mais je crois qu'il vaut mieux ne pas trop croire à cette possibilité (et en plus ça sort du sujet).

Tu as beau admette qu'il y a des limites, tu dis aussi que ceux qui le mettent en doute se cherchent des excuses.
Navrée... je crois à cet adage, mais je crois aussi qu'il arrive qu'on abuse de lui.
C'est d'ailleurs le cas de beaucoup d'adages.

Fiction a écrit:
Ecrit tous les jours. Inspire-toi de ceux qui ont réussit. Ne t'arrête jamais. T'auras des échecs, des refus, mais ne t'arrêtes jamais. Et dans quelques années, si tu es resté régulier, et persévérant, tu y arriveras. C'est mathématique.
Je ne voudrais pas faire du jeunisme mais... ton profil indique 25 ans.
N'est-ce pas un peu tôt pour une telle certitude ?

Fiction a écrit:
C'est pas une question de chance ou de situation Laughing J'ai eu la chance d'avoir un travail, des ressources, des amis, une femme qui m'aimait, de la famille, un appartement sans loyer à payer, et c'est pas pour autant que j'en ai profité pour lancer mon business, au contraire, je claquais mon argent n'importe comment et n'avançais pas dans ma vie. Aujourd'hui je suis dans une merde cosmique, seul, en pleine rupture, la moitié des meubles dégagé, sans salaire car barman (merci le covid) et pourtant, je n'ai jamais été aussi heureux et productif.
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Fiction a écrit:
J'ai écrit deux romans en un mois et demi.
En premier jet, je suppose !
Entre cette étape et celle de livre publié, il y a une distance (certes variable en longueur)
Le premier jet, c'est l'étape facile du travail

Fiction a écrit:
Et il faut rester conciliant avec soit-même, on est pas des robots, le principe n'est pas de se foutre une pression et en devenir dingue.
Précisément, c'est de ça qu'il est question : des gens qui emploient cet adage pour mettre la pression à d'autres gens (voir le premier post du topic)

Fiction a écrit:
Après, je tiens à nuancer mes propos. L'adage ne s'applique pas à tout et n'importe quoi, j'en suis bien conscient... Mais quelqu'un qui VEUT, qui VEUT vraiment, il PEUT y arriver. Mais quelqu'un qui veut "juste un peu" aura plus de mal.
Pinocchio voulait être un petit garçon, Icare voulait toucher le soleil...
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L'affirmation "quand on veut on peut" implique déjà que l'on sache ce que l'on veut.
C'est peut-être pas le cas.
Peut-être qu'on se trompe.
Peut-être qu'on trompe ?
Comment ne pas tromper et se tromper ?
C'est déjà toute une anthropologie derrière, tout un tas d'idées.

Et ça personne n'en parle Sad
 
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Seb, moi je veux connaître le sens de ma vie, et le bon dosage chaux/sable pour un bon enduit Very Happy Very Happy

Je comprends Pasi, c'est aussi du taf ce que tu décrit, ça a un coût, une energie. C'est très gentil aussi d'ailleurs. Et les échanges, plein d'affection de ma part, en tout bien tout honneur et sans attenter à la pudeur, sur la question du mérite, du travail, de nos capacités, montrent bien que ce sont des sujets très complexes et subtils.




 
Jdoo
   
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Jdoo  /  Maîtrise en tropes


"quand on veut on peut" c'est clairement une injonction rhétorique pour te pousser à faire ce que tu n'as pas envie de faire. C'est à chacun de voir si on souhaite tomber dans ce  piège ou pas. Le pire c'est que parfois on n'a l'impression de ne pas avoir le choix, ce qui est  bien dommage. Je ne  vais pas discuter sur le coté outrancier de la généralisation, qui comme 99% des généralisations sont fausses. A titre personnel si j'ai envies d'être un fainéant ou si j'ai envie de faire l'éloge de la paresse dans un monde de brasse bouillon, j'estime que c'est une contrepartie bien anodine à ceux qui viennent nous dire, à nous les faignants ce qu'on a à faire. Donc oui ce sont des adages de vieux cons (ou de jeunes futures vieux cons, ce qui est pire car ils ont l'avenir devant eux).
tcho.
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Bonjour

Débat intéressant, de la volonté, j'en ai, le talent, je sais pas, la manière pour y arriver, j'ai toujours pas trouvé.

Je vais voir si attirer l'attention de l'univers sur moi fonctionne : je veux devenir une écrivaine de best-sellers, je veux devenir une écrivaine de best-sellers, je veux devenir une écrivaine de best-sellers, je veux devenir une écrivaine de best-sellers, je veux devenir une écrivaine de best-sellers, je veux devenir une écrivaine de best-sellers, je veux devenir une écrivaine de best-sellers, je veux devenir une écrivaine de best-sellers, je veux devenir une écrivaine de best-sellers, je veux devenir une écrivaine de best-sellers, je veux devenir une écrivaine de best-sellers, je veux devenir une écrivaine de best-sellers, je veux devenir une écrivaine de best-sellers, comme ça durant quinze minutes tous les jours.

J'arrête, sinon on va me prendre pour un troll.

Bonne journée.
 
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Ce topic va trop vite pour moi Shocked un grand merci pour toutes vos interventions ! j'essaie de les lire et d'y répondre ce week-end.
 
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Séléné C : Oui, bien sûr, c'est un adage qu'il faut utiliser pour soi-même et ne pas l'infliger aux autres. Je suis désolé si mon message sonne ainsi.

Citation :
Même si des milliards d'écrivains se démenaient jusqu'au burn-out pour faire chacun un best-seller, le nombre de best-sellers dans les librairies n'augmenterait sans doute pas beaucoup.
Mais ce n'est pas le cas, il y a toujours quelque chose à faire pour sortir du lot, je pense. Evidemment, ce n'est pas simple.


Citation :
Je ne voudrais pas faire du jeunisme mais... ton profil indique 25 ans.
N'est-ce pas un peu tôt pour une telle certitude ?
Pour ce qui est des romans, je suis effectivement trop jeune pour me vanter. Mais à 25 ans, j'ai quand même compris que plus tu travaillais, plus tu avais des résultats, et j'applique le même schéma pour la publication d'un best-seller. Qu'importe d'où tu viens, si tu bosses, tu as des résultats. Je ne veut pas attendre d'avoir 50 ans pour me dire cela.

Citation :
En premier jet, je suppose !
Entre cette étape et celle de livre publié, il y a une distance (certes variable en longueur)
Le premier jet, c'est l'étape facile du travail
Deux jets chacun, mais je comprends ce que tu veux dire et j'en suis conscient. Mais rien d'impressionnant, ce sont des romans assez courts. Je dis ça parce qu'avant, quand j'étais dans le "confort", j'ai écris le premier jet de mon roman en presque dix ans, donc le "confort" n'est pas forcément un avantage.


Seb : pour savoir si l'on se trompe dans ce que l'on veut, je pense qu'il faut essayer et voir ce qu'il se passe

Jdoo : je sens beaucoup de colère et de frustration dans ton message, je ne sais pas d'où elle provient, alors je respecte et je ne chercherais pas à te convaincre. Bonne journée.
 
Séléné.C
   
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Fiction a écrit:
Citation :
Je ne voudrais pas faire du jeunisme mais... ton profil indique 25 ans.
N'est-ce pas un peu tôt pour une telle certitude ?
Pour ce qui est des romans, je suis effectivement trop jeune pour me vanter. Mais à 25 ans, j'ai quand même compris que plus tu travaillais, plus tu avais des résultats, et j'applique le même schéma pour la publication d'un best-seller. Qu'importe d'où tu viens, si tu bosses, tu as des résultats. Je ne veut pas attendre d'avoir 50 ans pour me dire cela.
J'ai bientôt 46 ans et je suis persuadée qu'en bien des occasions j'ai commis l'erreur de TROP bosser et ne pas reculer à temps.
Si, si, si... et je ne dis pas ça pour justifier des reculs à venir.

Actuellement, j'envisage (à grand regret) la possibilité d'abandonner les Errances Galactiques (hé oui... scoop pour ceux qui suivent l'évolution dudit roman).
J'espère ne pas en arriver là, car j'y ai consacré énormément de temps, mais ce roman aura du mal à s'intégrer dans un ensemble cohérent avec mes autres projets et par conséquent je dois le mettre en pause pour mieux me consacrer à eux.
Pourtant, je voulais aller jusqu'au bout, juste histoire de ne pas abandonner lâchement.
Et voilà que je suis obligée de l'imaginer.

J'ai aussi voulu à toute force être archéologue, puis faire de l'animation culturelle en costume, mais l'un et l'autre ont été balayer. Ma vie est une suite de "ratés" dont il serait inutile de faire l'énumération.
Ce qui compte c'est ce qui est devant... mais très objectivement, il serait abusif de penser que le "Quand on veut on peut" est systématique.
"Aide-toi, le Ciel t'aidera", ça, sans aucun doute (même si on n'est pas croyant).

Fiction a écrit:
Citation :
En premier jet, je suppose !
Entre cette étape et celle de livre publié, il y a une distance (certes variable en longueur)
Le premier jet, c'est l'étape facile du travail
Deux jets chacun, mais je comprends ce que tu veux dire et j'en suis conscient. Mais rien d'impressionnant, ce sont des romans assez courts. Je dis ça parce qu'avant, quand j'étais dans le "confort", j'ai écris le premier jet de mon roman en presque dix ans, donc le "confort" n'est pas forcément un avantage.
Je te laisse chercher mes topics sur JE, si tu veux te faire une idée du temps passé sur mes romans.
Dix ans, c'est long, quand on le dit... mais pas tant que ça, en fait.
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Citation :
Actuellement, j'envisage (à grand regret) la possibilité d'abandonner les Errances Galactiques (hé oui... scoop pour ceux qui suivent l'évolution dudit roman).
J'espère ne pas en arriver là, car j'y ai consacré énormément de temps, mais ce roman aura du mal à s'intégrer dans un ensemble cohérent avec mes autres projets et par conséquent je dois le mettre en pause pour mieux me consacrer à eux.
Pourtant, je voulais aller jusqu'au bout, juste histoire de ne pas abandonner lâchement.
Et voilà que je suis obligée de l'imaginer.

C'est dur de mettre un tel projet de côté, mais ce n'est en aucun cas lâche, si tu juges que c'est bon pour toi. C'est comme rompre avec un partenaire qui ne te rend pas heureux. C'est très dur, mais ce n'est en aucun cas lâche, bien au contraire. Je t'envoie de la force et te souhaite plein de bonheur pour la suite !
 
   
    
                         
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