Je suis assez d'accord avec ces deux pistes:
- ne pas éluder la violence des scènes
- alterner les passages de torture avec d'autres qui enrichissent le personnage. Pas forcément des souvenirs de guerre ou de mission. Sa vie d'homme normal, quoi. Même si pour cela il faut remonter à loin, à l'enfance peut-être.
Le contraste des deux univers rythmera ta partie.
De plus, l'alternance de points de vue avec un autre personnage, Sujin par exemple, donnera une seconde respiration à ce huis-clos. Du coup, n'hésite pas à nous faire voir de grands espaces, à accentuer les paysages, la culture locale etc...
Ne te bloque surtout pas sur cette scène. Elle est nécessaire, ok. Si tu veux l'écrire de manière sèche, presque dépersonnalisée, ça ira bien avec le contexte. Mais si, en plus de ça, les parenthèses et les récits croisés que tu intercales sont écrits de manière plus anecdotique, plus détaillée, plus poétique même, alors tu n'auras plus l'impression de dévider de l'action pour de l'action.
Enfin c'est mon avis hein
Que penses-tu des avis reçus jusque là ? T'ont-ils apporté un éclairage intéressant, voire un début de réponse?