Je pense qu'il y a tout à fait moyen de faire passer n'importe quelle critique de manière "diplomatique", peu importe ce qui nous gêne dans telle ou telle lecture.
Ceux qui sont acerbes et cassants, ça cache autre chose (le plaisir d'être condescendant, de la provocation, pour le plaisir aussi sûrement, de la fierté mal placée... etc.).
Donc ouais ne pas hésiter à interdire les critiques dures, tout le monde est capable d'être constructif sans être méchant.

Mes pires critiques.... Alors :

Il y a des années, j'avais à peine posté le début de mon premier chapitre (celui que je soumets sur JE) sur un autre forum de relecture que, bam ! Quelqu'un m'a assené en rigolant "ah encore une histoire où...". Sous-entendu ton histoire est construite autour d'un cliché monstrueux et du coup elle en est risible. Merci de juger de l’œuvre complète en ayant lu que le tout début... Ca m'a plutôt cassée, je me suis dit que j'écrivais de la merde en fait. Puis j'ai été furieuse. Cette histoire, j'y tiens alors non, je ne l'abandonnerai pas !

Bien plus tard, publiée par Edilivre (et oui...), j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai démarcher quelques librairies. Aucune n'a voulu de mes romans. Un libraire a juste posé les yeux sur les couvertures, en disant que c'était pas de bonnes couvertures, que ça ne donnait pas envie (merci Edilivre), et qu'il les refusait. Je suis sûre et certaine aussi qu'il a été rebuté par le logo d'Edilivre... Il a dû jeter un œil de trois secondes sur les quatrième de couverture, et il a décrété que ce n'était pas digne de sa librairie. Là aussi, j'ai été blessée, l'impression qu'on refusait de me donner une chance. Évidemment, maintenant, je sais très bien que mes textes n'étaient pas aboutis, loin de là, donc il a eu raison de refuser. Mais naïvement, j'aurais aimé qu'il me dise "vos textes ne sont pas publiables ni commercialisables en l'état, retournez les corriger et revenez me voir quand ils seront corrects et on verra éventuellement...". Mais c'est utopique.  

J'ai pu faire lire cette version là du "Miroir de jais" à une journaliste. Elle m'a dit qu'elle n'avait pas détesté (ben tiens), mais qu'elle ne s'attendait pas à ce que ce soit autant pour "ados". Du coup maintenant, j'aimerais me détacher de cette étiquette. Vu que cette journaliste n'a pas voulu lire la suite, j'ai compris qu'en fait elle n'avait pas aimé.

Sur un site de fanfictions, j'avais posté une autre histoire originale qui me tient à cœur elle aussi. Rien à voir avec Le Miroir. J'ai reçu, Ô joie, une longue critique, plutôt sévère, où on me disait Ô désespoir, que mon idée de départ était kitschissime...  Je me suis sentie humiliée comme si c'était ma propre personne qu'on qualifiait de kitsch. Ce commentateur m'a dit ensuite qu'il avait l'habitude d'être sévère et qu'il avait du mal à complimenter...

Et ici, sur JE, d'apprendre que mes personnages sont limite antipathiques, en tous cas trop naïfs voire bêbêtes, qu'ils n'ont aucune crédibilité... Alors que je considère qu'ils sont moi d'une certaine façon, d'une façon symbolique, hein. Ben oui ça fait mal. L'impression d'être attaquée sur ma propre personnalité.  

Mais là, c'est mon égo d'auteure qui parle. Quand je réfléchi, j'ai parfaitement conscience que personne ici ne cherche à me casser, qu'on veut m'aider au contraire. Comme je tiens vraiment à améliorer mon texte, à le rendre présentable (c’est que je vise l'édition au bout de ce long chemin), je sais que j'ai tout intérêt à écouter ce qu'on me dit. Même la critique avec le kitsch, j'ai corrigé le texte concerné en fonction de certaines choses dites, par contre, l'idée de départ, ah ça non désolée je garde !

J'ai chaque fois la trouille dès que je vois que j'ai un commentaire mais je suis aussi très contente et fébrile. Je m'attends au pire, c'était nul, ça n'a pas plu... Mais je peux parfois avoir de très bonne surprises. De toute façon, j'ai besoin de ces critiques pour m'améliorer.

Alors petit message à tout ceux qui ont eu la gentillesse de donner leur avis : ceux-ci sont précieux, merci beaucoup !

@Grisebouille

Pour répondre à ton commentaire, la BL dont je parlais est mère d'un enfant porteur d'une de ces pathologies et défendait donc que sa vision et approche du handicap était forcément plus étayée que la mienne. Pas de bol... Mais la vérité, c'est que c'était une BL que j'avais fini par secouer un peu parce qu'avais bêta-lu ses 118k en quelques semaines, alors qu'elle même traînait la patte sur mon projet depuis des mois. Alors ça lui a pas plu... Qu'à l'avenir on me préserve de ce genre de gens

Ainsi j'encourage tout le monde à se méfier avec les échanges de bêta-lecture. C'est une expérience qui peut-être formidable mais dans une bonne partie des cas, l'apprenti auteur en face a le temps d'être lu mais pas celui de lire... Quant à prendre en compte les remarques qu'on lui donne, c'est encore une autre paire de manche !

Scarlet Dream > Les gens n'attaquent jamais ta personne, ils "attaquent" un personnage, qui certes est sorti de toi mais demeure une création. On commente uniquement les gens qu'on veut faire progresser. Quand un texte est sans espoir à nos yeux, on lit en diagonale et on ne laisse pas de coms. Dans ton cas, je pense que ce qui te cause bcp de tort, c'est l'étiquette vampire qui a déjà été surexploitée par la saga Twilight qui est pour le coup très étiqueté "ado" et "mièvre". C'est comme les histoires d'amour, c'est tjrs compris comme de la littérature guimauve sans talent ni enjeux littéraires, de la littérature de bonne femme...Je pense que l'important, cela reste d'assumer ses choix...Et les conséquences. On peut écrire pour soi des choses qui nous plaisent tout en sachant que ce n'est pas éditable mais dans ce cas, il faut pas se faire d'illusions. On peut cracher pendant des heures sur l'édition qui ne fais pas de prises de risques, publie tjrs les mêmes choses, un éditeur ne publie que ce qui va être acheté et lu. Ce n'est pas une assoc caritative, et certains thèmes ne plaisent pas, ou plus, aux gens. C'est le cas des vampires, c'est aussi le cas de que j'écris moi. Quand je dis que ça cause de lutte ouvrière aux gens qui me demandent de quoi ça parle, je vois bien les réactions (moi-même, quand je dis "lutte ouvrière" j'entends la voix nasillarde de A. Laguiller qui faisait "Travailleurs, travailleuses, le patronat vous lent..." etc etc ^^). Récemment on m'a dit "Y a pas de mal, hein, je critique pas, Staline a fait de bonnes choses aussi !"

Leah B > Ah, ok. J'avais pas saisi l'enjeu BL qu'il y avait derrière et ça, c'est encore différent du commentaire sur un extrait.

Hello,

Je viens de parcourir un peu tous ces posts, et bon... on avait parlé déjà de la particularité de la ME avec un logo "chat noir" de casser les auteurs, de façon souvent peu constructive (quoique bon, dans mon cas, ça l'avait été... )...

Mais les retours de lecteurs sont, d'une façon générale, à prendre avec un certain recul à mon avis, et ceci, pour deux raisons :

- tout d'abord, il peut y avoir une réelle intention de blesser l'auteur ; mais aussi, une simple maladresse dans la formulation ; ou bien encore, une incompétence à évaluer un texte, et d'ailleurs, l'évaluer SUR QUELS CRITERES ??? Rappelons que la plupart des ME, surtout les grosses, donnent certes à l'auteur une forme de légitimité, mais n'évaluent guère que sur des critères de rentabilité commerciale... rien à voir avec la "qualité littéraire" d'un texte, donc... alors, le "BL", sur quoi peut-il "juger" ??

Partant de là, les choses sont complexes... sans compter tout ce que le lecteur projette sur l'histoire... et puis, il peut tout simplement ne pas avoir aimé. Point.

- ensuite, et surtout : il me semble ESSENTIEL de décoller de son propre texte : j'entends par là, de ne surtout pas confondre "soi" et "sa production".

Je vais citer deux exemples personnels :

--- j'ai écrit une courte romance pour un recueil collectif de Noël. Or, au moment où je l'ai soumise, j'en connaissais les failles, à savoir : trop de choses dites en trop peu de pages, ce qui donnait certes du rythme et du suspense, mais cassait aussi le côté un peu "romance rose" vu qu'il y avait, du coup, pas mal de conflits que les deux personnages devaient résoudre. Je me suis dit : "bon, ça passe ou ça casse, mais si la ME veut du très rose et sucré, ça ne passera pas".
Cela n'a effectivement pas passé pour ces raisons, d'ailleurs...
J'ai été déçue, en un sens, mais bon, voilà, quoi...  : il s'agissait de ma production, pas de moi !

--- ensuite, il y a l'aspect "très bon texte", qu'importe l'auteur. Et quand un texte est excellent à tous points de vue, que je peux exposer ces raisons, et qu'il ne gagne pas un concours alors qu'un autre texte moins bon le gagne, je peux aller jusqu'à demander des explications quand c'est possible, pour un texte que je n'ai pas écrit (je l'ai déjà fait, à Shortédition, notamment : on m'a répondu avec honnêteté qu'il y avait eu l'aspect subjectif du jury, voilà, voilà... ).


MAIS LES CONCOURS : c'est encore autre chose, ça... ça mérite un fil à part, je crois qu'il y en a un ou même plusieurs sur le forum...

BON DIMANCHE !

JE VIENS DE LIRE : "Quand je dis que ça cause de lutte ouvrière aux gens qui me demandent de quoi ça parle, je vois bien les réactions (moi-même, quand je dis "lutte ouvrière" j'entends la voix nasillarde de A. Laguiller qui faisait "Travailleurs, travailleuses, le patronat vous lent..." etc etc ^^). Récemment on m'a dit "Y a pas de mal, hein, je critique pas, Staline a fait de bonnes choses aussi !" Razz
@Grisebouille : tu m'as bien fait rire !!!

@Grisebouille. Oui je sais que les gens n'ont aucune raison de m'attaquer moi personnellement et que leurs critiques visent à me faire progresser, c'est d'ailleurs pour ça que je remercie ceux qui le font et que j'essaie d'écouter ce qu'on me dit, dans la mesure du possible. C'est juste que mes persos m'accompagnent depuis très longtemps, si bien que j'ai l'impression d'être très liée à eux. Mais ça ne m'empêche pas d'apporter du changement. J'ai modifié radicalement l'entrée en scène d'un perso non encore apparu dans l'histoire, parce que la version précédente n'allait pas du tout. Il faut juste que je puisse retomber sur mes pattes.

En fait, entre autres, je voudrais tenter ma chance avec une maison d'édition spécialisée. Mais déjà, j'espère que la situation actuelle ne lui causera pas trop de tort au point de la faire fermer (ça me fait peur) et d'autre part je sais que j'ai très peu de chance de leur plaire. Même si, après leur avoir envoyé un mail de questions, ils m'avaient répondu que mon histoire pouvait éventuellement prendre place dans leur ligne éditoriale.

Je ne veux pas faire du Twilight mièvre avec des vampires qui brillent au soleil. Certains thèmes de mon histoire sont quand même plus sombres, j'espère ! Et il n'y a pas que le vampire, mais une saga familiale, avec un symbole qui va plus loin que juste "le buveur de sang".

Après, bien sûr, en l'état, même avec mes corrections, ce n'est pas publiable. C'est pour ça que je voudrais corriger encore et encore jusqu'à ce que ça passe. Hors de question de lâcher l'affaire : c'est un rêve de gamine, le seule rêve que j'ai.

Tu vas rire, mais des fois je me sens comme Naruto du temps de l'Académie quand il criait à qui voulait l'entendre qu'il deviendrait Hokage, et que tout le monde se payait sa tête car on n'avait jamais vu un apprenti ninja aussi peu doué...  Voilà, j'ai l'impression d'en être à ce stade : viser les étoiles sans moyen pour les atteindre. Sauf si j'y travaille, et je veux y travailler le temps qu'il faudra. Contrairement à Naruto, je ne deviendrai peut-être jamais Hokage (c'est-à-dire éditée), mais je ferai ce que je peux... Quand je me compare à ce ninja, je veux juste dire que, comme lui à une époque, je ne paie pas de mine, mais comme lui j'ai envie de persévérer.

Et je suis triste de comprendre que certains me lisent en silence et sûrement en diagonal parce qu'ils estiment que ce texte est irrécupérable et sans avenir... Il n'y a aucune possibilité qu'on lise par curiosité et peut-être, soyons fous, par plaisir, mais sans avoir envie ou la motivation de commenter ? Ceux qui ne commentent pas, ce sont forcément des personnes qui détestent ?

« Tu écris comme les bouquins de YA merdiques que tu lis, va lire des classiques ».

Je crois que ça a été mon retour le plus méchant.

Avec du recul, il était fondé. Et en plus, il m’a fait si mal sur le coup qu’il m’a un peu anesthésiée pour les retours que j’ai eus par la suite, même si aucun n’a égalé son niveau. D’ailleurs, je pense que je n’ai pas eu de retours méchants ensuite, simplement des retours critiques.
Il faut dire aussi que je m’expose très peu à la lecture, ça limite forcément.

Léa > J'ai lu, je me suis dit : Ouah, super commentaire, tellement constructif. Puisqu'on parle de classiques, tu parles comme Albert Cohen tu mets trois tonnes d'un gros pâté pour te masturber de ta propre virtuosité alors qu'un simple "j'aime pas" aurait suffit... (Petite réaction à chaud)

Serieux, les mecs/nanas qui commentent ça, ils espèrent réellement faire progresser les auteurs-rices ? En plus c'est d'une condescendance...Va lire des classiques, genre. C'est pas parce que j'ai lu Hunger Games que je suis pas capable de lire Racine.

Spoiler:

Je fais des tests, ha ha, tout ça, parce que j'ai peur de rater les tous derniers chapitres de mon roman.... donc, je fais royalement autre chose, quoi !!!

En plus, ce n'est sûrement pas mis dans la bonne rubrique, si nécessaire, j'effacerai...

Bonne nuit aux insomniaques !

Personnellement je prends plus de critique pour oser avoir utilisé Amazon que l’œuvre elle-même dont les thématiques sont suffisamment clivantes pour déchainer la hai.. les passions.

Vasec a écrit:

Personnellement je prends plus de critique pour oser avoir utilisé Amazon que l’œuvre elle-même dont les thématiques sont suffisamment clivantes pour déchainer la hai.. les passions.

 De toute façon, il y aura toujours des gens qui trouveront un prétexte pour cracher leur mépris (au mieux... ) ou leur haine (au pire... ). Surtout sur les réseaux, c'en est déprimant si on y reste trop longtemps...

Il y a une personne, sur un autre forum, qui m'avait dit un jour que mon style était faible et qu'il n'était pas agréable à cause de ça. Elle m'avait dit d'autres choses encore, comme par exemple que je ne comprenais pas mes personnages. J'ignore quel crédit apporter à ses propos, étant donné qu'à chaque fois qu'elle me parle, c'est systématiquement désagréable (au point que j'ai fini par la blacklister, première fois que je fais ça). Je précise que cet autre forum n'est pas à vocation littéraire et que cette personne n'a pas, à ce que je sache, lu mes romans, sans doute juste mes fanfictions. En tout cas, c'était la première fois qu'on me disait que mon style n'était pas agréable, mais les goûts et les couleurs... A chacune de ses interventions me concernant, je me sentais mal, à croire qu'elle avait une dent contre moi... On ne peut pas plaire à tout le monde mais je me demande ce que je lui ai fait...

Il me semble qu'il faut vraiment choisir des bêta-lecteurs qui aiment le genre dans lequel on travaille ou qui sont capables de se décentrer pour se mettre à la place des lecteurs de ce genre-là.
Depuis que j'ai une liseuse, j'achète des romans que je n'aurais jamais achetés auparavant car ils sont à moins de 2 euros. Je pensais que ce serait intéressant d'ouvrir un peu mon horizon...

Mais en fait, non, ça ne fonctionne pas comme ça, les bras m'en tombent.

Je viens par exemple de lire une autrice publiée chez Albin Michel, je me demande comment un éditeur peut publier un tel ouvrage, et pourtant il y a des plusieurs centaines d'avis positifs sur son roman. En fait je ne suis pas du tout dans la cible. Je trouve ça épouvantablement mauvais, c'est tout ce que je trouve à dire (elle est publiée, on ne me demande pas mon avis, mais j'imagine combien il aurait pu être destructeur si on m'avait proposé de lire le manuscrit).

Donc il faut garder un certain recul par rapport aux gens qui nous lisent. Certains vont apporter de bons conseils, d'autres ne sont pas capables de voir ce qu'il y a de bon dans notre travail car il n'est clairement pas pour eux, mais il peut plaire à d'autres.

Oui tu as raison, Anna Labrousse.

Cette personne dont je parle n'a vraiment pas été touchée, comme toi avec cette auteure publiée que tu mentionnes.

N'empêche, en lisant son commentaire, j'ai eu l'impression que je faisais de la m* et ça m'a blessée. C'était son droit le plus stricte de ne pas aimer et de le dire, seulement comme elle s'est montrée désagréable avec moi à chaque fois qu'elle me parlait, ça m'a donné la sensation que ce n'était pas juste mon travail qu'elle n'appréciait pas mais aussi moi même.

Pour ce qui est de choisir ses BL, je ne peux pas faire ça, je prends juste les commentaires qu'on veut bien me donner.

SCARLET DREAM a écrit:

J'ignore quel crédit apporter à ses propos, étant donné qu'à chaque fois qu'elle me parle, c'est systématiquement désagréable

Voilà, tu as là la réponse : aucun crédit à apporter à ces personnes.

Tu sais, j'en ai moi-même de ce genre, et même dans la vraie vie : un type qui, sans avoir jamais acheté aucun de mes livres, s'est permis de me dire que "je devrais écrire sur d'autres thèmes" !!!    Tu vois le genre ??  (j'écris des nouvelles réalistes, fantastiques, du thriller psychologique, du feel good, de la romance, etc... mais je n'aime pas "l'historique", je ne sais pas le faire, hé bien, d'après ce type, je devrais faire du roman à contexte historique, ben voyons... )

J'ai donc décidé que, la prochaine fois que je le croiserai, je lui demanderai quelles fleurs il a dans son jardin... et s'il a des roses, je lui conseillerai d'y planter des orchidées, par exemple....

SCARLET DREAM a écrit:

A chacune de ses interventions me concernant, je me sentais mal

Voilà, il y a des gens qui sont là uniquement pour casser, toi, moi, n'importe qui... ces personnes sont comme ça, il faut les fuir. Tu as bien fait de la bloquer.

ANNA LABROUSSE a écrit:

Je viens par exemple de lire une autrice publiée chez Albin Michel, je me demande comment un éditeur peut publier un tel ouvrage, et pourtant il y a des plusieurs centaines d'avis positifs sur son roman.

Voilà, tout à fait la raison pour laquelle, on l'aura compris, je n'ai pas une grande considération pour les grosses ME.
La réponse au "pourquoi" = parce que les ventes de ce livre sont importantes, ça fait du chiffre.

DONC : ne jamais croire que parce qu'on est publié dans une grosse ME, c'est que ce qu'on écrit est super-bien et de la "belle et bonne littérature". Cela peut l'être, tout comme cela peut être, d'un point de vue "littéraire", la pire des horreurs...

PS : rien à voir mais quand même, je passerai à l'occasion sur le fil "Charleston", pour y poser une question, car je ne comprends pas que cette ME puisse laisser autant de grosses fautes dans les livres publiés et distribués en librairie...