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 Faire le deuil ?

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Zazoudesbois
   
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Zazoudesbois  /  papote


Ahava-brumes a écrit:
Mouarf, j'ai envie de te faire un gros câlin. Je ne doute pas de tes immenses efforts, ni de l'ampleur de ton désarroi. En plus, je pense vraiment qu'il y a des périodes où quand ça veut pas, ça veut pas.
On peut rationaliser le milieu de l'édition à mort, beaucoup d'éléments échappent à notre contrôle. Il faut aussi que les étoiles s'alignent.
Parfois, il y a des opportunités, parfois non. C'est dur de se glisser par la fenêtre quand on ignore ses heures d'ouverture. Il faut parfois faire preuve d'observation, de stratégie et d'anticipation. Et en même temps…

Déjà, le mieux que tu puisses faire c'est de parler avec des auteurs ou des gens qui connaissent le milieu, ce que tu semble faire déjà, ne serait-ce qu'en venant sur ce forum.
Tu verras que ce n'est simple pour personne. Même après la sacro-sainte signature avec une maison d'édition.

Ensuite, quand tu auras un peu plus la tête à ça, réfléchis aussi dans quelle direction littéraire tu désires t'orienter. Ça te permet non seulement de cibler les ME appropriées, mais aussi d'identifier une stratégie de parcours vers la professionnalisation.
En réalité, le milieu de l'édition s'aborde de différentes manières. Et on ne part pas à l'assaut de ce monde opaque et inconnu avec le même plan martial. D'ailleurs, rien que sur ce forum, tu verras que chacun adapte son offensive, si je puis dire. Et c'est souvent lié au genre littéraire. Very Happy
Je ne vais pas te submerger de conseils, là je pense que tu es surtout dans l'émotion et que tu veux vider ton sac.
Je te fais donc un gros, un énorme câlin. Tu as toute ma sympathie.

En réalité, nous sommes beaucoup à ressentir une douleur comparable à la tienne, car ce milieu est rempli de désillusions.

Merci beaucoup rendeer J'écris plutôt des romans feel good, avec parfois une petite note fantastique. J'ai l'impression que beaucoup d'auteurs qui ont mon profil sont hyper prolifiques sur les réseaux, ont une vaste communauté. Ce qui n'est mais alors là absolument pas moi ! Je ne suis pas du tout réseaux, je déteste mettre en avant ma vie et publier des passages de mon roman sur internet.

Merci pour ton message Pompom girl


Que des bons conseils ici. Si j'ai bien compris, tu n'as tenté de publier que deux romans : ce n'est pas assez pour se faire une idée. D'autant plus si ce sont des premiers romans, il ne faut pas s'attarder sur la publication de premiers romans, c'est pas une bonne utilisation de ton énergie.

.[/quote]

merci pour ton message !!

Laurent_Lhomme a écrit:
Salutations. Ton message m'a interpellé et je me suis senti en nécessité d'intervenir.
Tel un preux chevalier !

La démotivation est la raison principale du fait de ne jamais devenir un écrivain publié.
C'est ce que je me dis souvent. Qu'au final, ceux qui n'ont jamais été publiés sont ceux qui ont fini par arrêter d'envoyer.



Comment faire le deuil de tout ça ? Et bien, c'est simple : ne fais pas ce deuil. Parce que ton rêve n'est pas mort. Mais toi, tu voudrais le tuer, ce rêve. Tu peux tout à fait le faire, bien sûr. C'est juste que tu vas devenir quelque chose d'horrible : tu vas devenir aigrie. Ne fais pas ça ! N'accepte pas l'échec : continue et re-continue, jusqu'à ce que ça passe, sois bornée, insiste. Un jour, tu y seras, à la Foire aux Livres de Colmar, mais de l'autre côté de la table. Ca te prendra toute ta vie s'il le faut.
Je suis peut être déjà aigrie. En plus ce qui est très dur, c'est qu'une de mes amis a plagié mon idée à été publié dans une maison d'éditions avec cette idée. Ça m'a plombé.
Il y a aussi une chose que tu dois savoir : tu ne peux pas devenir écrivain. Parce qu'en réalité, tu l'es déjà. Et si tu fais référence aux écrivains publiés, déjà ils sont ultra-peu nombreux, ensuite ils vendent peu de livres même publiés, et ne perçoivent que 10% du prix du livre. Leurs relations avec les maisons d'édition sont souvent très houleuses. Ils ont dû produire un nombre de textes énorme avant que leur premier soit publié (sauf les fils à papa, mais bon ça c'est hors catégorie). Et aussi, ils ne publient pas toute leur production annuelle chaque année. Ils écrivent beaucoup plus de livres que ce qu'ils ne publient. Ils travaillent aussi dessus pendant parfois des années.

Maintenant je vais aussi aborder la chose sous un autre angle : tu ne seras peut-être jamais publiée. Et tu seras écrivain quand même. Il n'y a pas de "diplôme" d'écrivain, c'est un statut qu'on s'auto-attribue, il n'y a aucun truc officiel qui te désignera comme écrivain ou non-écrivain. Le monde de l'art et de l'édition a seulement mis quelques rituels, comme les Prix Littéraires, le "statut" d'auteur publié (qui n'a aucune valeur légale en dehors de ceux qui y croient), l'acceptation au sein de la SGDL réservée aux auteurs "non-auto-édités" (complètement arbitraire).

Dans le monde de l'art, il faut pas attendre la bénédiction venant des autres pour se définir comme un artiste. Car dans le milieu littéraire, ça ne marche pas. On est obligés de prendre l'initiative de se définir comme artiste produisant des œuvres de l'esprit impossibles à créer de façon artificielle ou à l'usine. Pour ma part, il y a eu un net changement au moment où j'ai commencé à dire aux gens : je suis écrivain, c'est mon métier, je fais ça tous les jours, je produis des textes tous les jours que je propose ensuite aux maisons d'édition, qui les évaluent et acceptent ou non de les imprimer afin d'engranger un profit grâce à eux, profit dont je percevrai une part déclarée aux impôts. Le but de mes textes est de raconter des histoires qui permettront à des gens de s'évader l'esprit dans un monde imaginaire, et de raconter le parcours initiatique de héros auxquels ils s'attacheront.

Et, désolé mais à un moment, il faut aussi se faire violence, d'accepter que ce statut d'écrivain, personne ne te le donnera jamais. C'est toi qui dois le décider. Mais attention : si tu t'engages à le suivre, cette voie de l'art, il y a des contraintes : on ne cesse jamais d'être écrivain, il n'y a jamais de retraite, on n'a pas droit au chômage, on ne vivra jamais grassement de nos œuvres, la plupart des gens ne comprendront pas ce qu'on écrit, il y aura aussi des haineux parfois. Et c'est aussi un métier très difficile. Ceux qui n'écrivent pas n'en ont aucune idée, d'à quel point écrire un livre est difficile.
Au niveau confiance de soi, c'est quand même dur de s'auto-proclamer écrivain. Je pense pas que j'ai assez de courage et de foi en mes écrits pour me dire écrivain.
Fais-en ce que tu veux. Si tu abandonnes, c'est toi que tu abandonnes. Tes écrits, eux, publiés ou non, existent déjà pour toujours. Et même après notre départ de ce monde, nos héritiers en récupèrent les droits. On leur lègue ça. Et si on a la chance d'être un jour publié, les histoires que l'on a passé tant de temps à écrire vont être lues par bien d'autres. Il y a une chance que cela arrive. Infime ? Oui, peut-être. Et alors ? Les gens jouent bien au Loto alors qu'ils ont une chance sur 19 millions, on a quand même beaucoup, beaucoup plus de chances d'être édité qu'eux de gagner ! Franchement, les premiers livres qu'on fait sont souvent nuls à chier. Désolé du langage. Mon premier livre, il avait une super histoire, mais indigeste à lire ! Les suivants sont largement plus fluides et aérés. Et je découvre des techniques d'écriture, des moyens de me faciliter le travail, de faire mieux et plus vite. En écrivant, tu gagnes en compétence d'écriture, et à 35 ans, ton œuvre d'art, tu es à peine sur le point de la produire. Parce qu'avant ça, il faut apprendre. Et ça, ça nécessite des livres avant cette oeuvre-là, celle qui justement sera retenue, celle qui sera sur la table de Colmar !

Cette oeuvre-là est actuellement à l'état d'idée dans ton esprit, et toi seule peux la produire. Être publié, en vrai on s'en fout, ça arrivera si ça doit arriver, et ce n'est même pas notre boulot. Notre boulot, c'est juste d'écrire des histoires, c'est tout. Le reste, c'est du ressort de l'éditeur. Pour ma part, je travaille depuis le 12 Juillet sur un roman de SF qui fait désormais plus de 700 pages. On est le 23 décembre, il est en cours de correction, il me reste 344 pages à corriger. Un travail de titan, mais... je ne peux plus renoncer. Je ne peux plus le laisser inachevé ! Parce que pour moi, ce serait pire, j'ai trop investi de temps dedans. Il sera fini, quoiqu'il en coûte, et lorsqu'il le sera, je l'enverrai aux éditeurs qu'il faut, et je commencerai le suivant. Parce que la production d'art, ça ne s'arrête jamais, je m'interdis de faire une pause ne serai-ce que d'une journée.

Toi, tu as de l'avance sur moi : tu as déjà été publiée une fois, et en plus tu as déjà écrit 10 livres ! J'aimerais bien en dire autant :mrgreen: mais aucune publication pour l'instant, et 4 livres écrits (en comptant celui en cours). Mais je vois depuis longtemps comme ce milieu marche, et c'est impitoyable : tant d'auteurs abandonnent ! Le succès ne toquera à ta porte que quand il le voudra, ni avant, ni après, ni quand tu voudras. Une autre chose est sûre : si tu arrête d'écrire, il ne toquera jamais à ta porte du tout. Et ça, ça va te démolir, parce qu'écrire, tu as clairement ça dans le sang. Ca fait déjà partie de toi, et depuis longtemps en plus. Le métier d'écrivain ne commence pas quand on est publié, mais quand on écrit le premier mot de son oeuvre. Et être publié, c'est juste une étape : l'aventure ne s'arrête pas à ça. Stephen King, qu'on ne présente plus, qui n'a plus besoin ni de gloire ni d'argent, écrit encore aujourd'hui, chaque jour. Et c'est pas le seul. Parce qu'à un moment, tu vas découvrir qu'être écrivain, ce n'est pas seulement ce que tu es, mais c'est aussi toute ta vie.

C'est toi.

Merci beaucoup pour tes douces paroles. C'est vrai, au final écrire, et bien je ne sais faire que ça. C'est la seule chose qui me rend véritablement heureuse, qui me console qui me fait sourire, qui me fait tout oublier. Je ne sais faire que ça. Et c'est bien là que c'est triste : je ne sais que faire ça... mais c'est peut être mauvais.


Dernière édition par Zazoudesbois le Ven 27 Déc 2024 - 13:03, édité 1 fois
 
Chamanii
   
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Chamanii  /  Déesse de l'Amor (hein ?)


Hophophop, Zazou s'il te plait, arrête de faire des double post, répond à tout le monde dans le même message ou édite le dernier envoyé. On ne fait pas plusieurs messages à la suite sur le forum (sauf dans les sujets perso d'écriture cela va de soit).


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Zazoudesbois
   
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Chamanii a écrit:
Hophophop, Zazou s'il te plait, arrête de faire des double post, répond à tout le monde dans le même message ou édite le dernier envoyé. On ne fait pas plusieurs messages à la suite sur le forum (sauf dans les sujets perso d'écriture cela va de soit).

Coucou ! Oups désolée mais du coup je n'arrive plus à supprimer les autres messages et à tout éditer en un seul !
 
Chamanii
   
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Chamanii  /  Déesse de l'Amor (hein ?)


Non mais c'est pas grave je te le dis pour que tu ne le fasses pas plus, mais laisse comme ça.


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Evademoi
   
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Evademoi  /  a dit coucou


Salut Zazoudesbois,
J'ai 22 ans et déjà l'impression d'être une écrivaine ratée haha. Je pense qu'on a tous nos moments de doute parce qu'être écrivain implique souvent, malheureusement, de se sentir très seul et incompris par rapport à son travail. Ce qui m'a fait relativiser personnellement et peut-être que ça peut t'aider aussi, c'est quand j'ai appris par exemple que Proust a dû publier à compte d'auteur chez Grasset "Du côté de chez Swan" d'A la recherche du temps perdu suite au refus de publication de Gallimard (entre autres maisons d'édition). Il est aujourd'hui considéré comme un chef d'oeuvre. Des éditeurs peuvent ne pas croire en ton potentiel, le plus important est de croire au sien.


Ce matin, je lisais L'Analphabète d'Agota Kristof. Cette autrice a aussi eu du mal à faire connaître ses écrits. Dans son chapitre "Comment devient-on écrivain ?", elle explique ce qui peut paraître évident mais qui est pourtant difficile à accepter quand on écrit :
Citation :
"Il faut tout d'abord écrire, naturellement. Ensuite, il faut continuer à écrire. Même quand cela n'intéresse personne. Même quand on a l'impression que cela n'intéressera jamais personne. Même quand les manuscrits s'accumulent dans les tiroirs et qu'on les oublie, tout en en écrivant d'autres".

Puis, lorsque l'autrice raconte avoir finalement rencontré le succès, elle conclut à la fin du chapitre :
Citation :
"A Berlin, le soir, nous avons une soirée de lecture. Des gens y viendront pour me voir, pour m'entendre, me poser des questions. Sur mes livres, sur ma vie, sur mon parcours d'écriture. Voici la réponse : on devient écrivain en écrivant avec patience et obstination, sans jamais perdre la foi dans ce que l'on écrit".

Sur ces conseils que j'espère utiles, bonne journée !
 
BoiséeNoire
   
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BoiséeNoire  /  Bottin de l'Édition


ZAZOUDESBOIS a écrit:
Effectivement, je pense que c'est peut-être le problème. J'ai une lettre assez bateau, mais je DÉTESTE me vendre. J'ai une amie qui m'a montré sa lettre dans laquelle elle dit en gros que c'est un génie de l'écriture, moi je peux pas. J'arrive pas à dire que ce que j'écris c'est génial. En gros je présente mon roman, les points forts, et une petite biographie, mais c'est tout.

Il ne faut pas en faire trop. Se présenter comme "un génie de l'écriture" peut également être mal perçu par une maison d'édition. Il ne faut pas s'enfler la tête non plus ! Mais oui, il est important de savoir correctement se vendre. C'est un milieu où il y a beaucoup d'appelés et peu d'élus, un milieu avec beaucoup de concurrence. Il faut donc savoir mettre les points forts en avant et user de tout les arguments à sa dispositions. Le dossier de présentation doit être aussi soigné que le manuscrit, car ce sera le premier contact de l'éditeur avec le texte, avec l'auteur. De plus en plus, les maisons d'édition sont à la recherche d'auteurs qui seront aussi gérer leur communication de leur côté. En leur montrant que tu sais correctement te vendre dans ton dossier de présentation, c'est déjà un point de plus.

À l'occasion, n'hésite pas à mettre ton synopsis et ta lettre de présentation sur le forum, dans la section Écritoire par exemple. Je suis certaines que des JE se feront un bonheur de te donner leur avis et de t'aiguiller pour les améliorer.

ZAZOUDESBOIS a écrit:
Il écrit dans le même genre que moi. Par contre il commence à se faire vieux (lol) et je pense que sa vision n'est pas hyper moderne. Il a descendu mon dernier roman en me disant globalement que c'était super mal écrit, mais en le relisant je me dis qu'il a du potentiel.

Ceci confirme ce que je pense : tu as décidément besoin d'autres avis. Et des avis objectifs extérieurs de personnes qui ne te connaissent pas, qui ne sont pas tes amis. Je t'encourage vivement à poster les premiers chapitres de ce texte sur le forum pour recueillir de tels avis.

Peut-être que ton ami se trompe en effet.
Mais peut-être aussi qu'il a raison ? Il est possible que ce texte en particulier ne soit pas suffisamment abouti ou cohérent et que c'est ce qui explique les nombreux refus que tu as reçus. Mais ni moi ni les autres ne pouvons nous prononcer sans l'avoir lu. Je t'encourage donc vivement à utiliser le forum pour recueillir d'autres avis et vérifier ce qu'il en est Smile

Les JE pourront aussi te dire si ton manuscrit rentre dans les bonnes cases niveau édition et ligne éditoriale.

ZAZOUDESBOIS a écrit:
J'écris plutôt des romans feel good, avec parfois une petite note fantastique. J'ai l'impression que beaucoup d'auteurs qui ont mon profil sont hyper prolifiques sur les réseaux, ont une vaste communauté. Ce qui n'est mais alors là absolument pas moi ! Je ne suis pas du tout réseaux, je déteste mettre en avant ma vie et publier des passages de mon roman sur internet.

Sur les réseaux, on montre seulement ce qu'on a envie de montrer !

Ceci dit, bien qu'il ne soit pas impossible de publier sans communauté et sans présence en ligne, c'est de plus en plus apprécié par les éditeurs et encore plus si tu dis naviguer dans les genres de la romance et du feel-good. En romance, j'irais presque jusqu'à dire que c'est quasiment obligatoire maintenant... La communication est le job de l'éditeur, certes, mais maintenant, de plus en plus, ça devient (malheureusement ou heureusement) aussi celui de l'auteur. Les éditeurs sont de plus en plus à la recherche d'auteurs qui savent communiquer et se vendre.

Si tu ne le fais pas ou ne veut pas le faire, tu peux quand même arriver à publier. Mais c'est un désavantage quand tu "compétitionnes" sur le marché du manuscrit avec d'autres auteurs très présents sur les réseaux.

ZAZOUDESBOIS a écrit:
Et concernant l'appel à texte Emergences, merci beaucoup je ne connaissais pas, par contre celui de cette année c'est un concours jeunesse non ?

C'est en effet un concours de littérature jeunesse organisé tout les ans par la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse. Il est réservé aux auteurs français et, permet, chaque année, de faire démarrer des carrières en mettant en contact les lauréats avec plusieurs grosses maisons d'édition. Azaby te l'a suggéré, car tu disais avoir écrit pour de la presse jeunesse dans ton premier message.

ZAZOUDESBOIS a écrit:
Merci beaucoup pour tes précieux conseils et d'avoir pris le temps de me répondre de façon si complète !!

Avec plaisir !

Si je puis me permettre... le rose que tu utilises pour écrire... ça devient de plus en plus clair et très difficile à lire sur ton dernier message où tu réponds à Laurent ! 😅
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