carnet de voyage dans la Légende de Muirgen Danshi
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Mar 22 Oct 2024 - 11:45
Le titre "la Légende de Muirgen Danshi" a été inventé exprès pour ce topic, afin de réunir deux romans : "Ainsi fut l'Ancestrale" et "Homo Sideralis". Dans l'absolu, on peut même y ajouter "Errances Galactiques", roman déjà écrit.
Tout cela est de la SF, mais alors que les Errances relèvent du Space Fantasy (comme Star Wars), l'Ancestrale est plutôt Post-Apo et Sideralis probablement entre les deux.
Le but cette Exploration est de brainstormer un bon coup afin de pouvoir reprendre les deux préquelles sur des inspirations efficaces.
La base commune est dans les nombreuses ouvertures laissées sur les Errances.
"Ainsi fut l'Ancestrale" et "Homo Sideralis" sont techniquement des préquelles. Mais il est hors de question qu'on soit obligé de tout lire !!! Le gros écart chronologique entre ces deux et les Errances réduit beaucoup de risque de ce côté. Il reste tout de même possible entre les deux préquelles. Comme j'ai les idées très floues sur l'Ancestrale et compte (justement) sur Sidéralis pour me les éclaircir, j'aime à croire que là aussi le risque est réduit (mais bon...)
Il est fréquemment question, dans les Errances, d'un individu nommé Dan Morgan, sur lequel les différents camps ne racontent pas exactement les mêmes choses mais qui a clairement marqué une époque, qu'on désigne comme "le Temps de Dan Morgan", dans un passé déjà lointain de quelques siècles mais fondateur. Il s'agit d'une période de conflits violents, avec usage de robots de combats, guérilla et déportations politiques dans les premières spatiocités.
Ainsi fut l'Ancestrale s'intéresse à cette période
On y rencontrera bien sûr Dan Morgan... qui était en fait une femme nommée Muirgen Danshi. Au début de "Ainsi fut l'Ancestrale", elle est adolescente. Chose totalement oubliée par l'Histoire : c'est une modiclonée conçue pour les travaux subaquatiques. Le nom "Dan Morgan" n'a pas encore été employé et je ne suis pas tout à fait sûre de le faire dans ce roman. Elle est potentiellement le seul personnage commun aux trois romans. Cette histoire se place sur notre planète, hautement modifiée par le réchauffement climatique et la montée des océans. Bien évidemment, il y sera question des conflits évoqués par les légendes quelques siècles plus tard.
Etat actuel
Spoiler:
La toute première tentative de préquelle pour cette époque date de 2015, peu avant achèvement des Errances Galactiques. Echec ! Puis une autre, il y a quelques années. Echec encore. Puis, il y a un an et demie : cette en cours actuellement, qui est en pause depuis janvier dernier, car j'ai les idées de moins en moins claires. Trop d'inspirations pas toutes conciliables, avec un résultat chaotique impossible à cristalliser en texte, Et en même temps, pas assez d'idées sur d'autres points du scénario. Enfin : l'impression que ça va donner un roman aussi épais que les Errances Galactiques, ce que je voudrais éviter.
Bref : en pause, avec un bon paquet de pages déjà écrites, et plusieurs personnages mis en place, ainsi qu'un lieu imaginaire mais majeur au scénario.
Les deux personnages déjà inscrits sur le "Mur", c'est à dire pour lesquels j'ai fait des "visas d'Exploration" appartiennent à ce roman, qui est celui pour lequel je ressens le plus grand besoin d'un solide brainstorming. Muirgen Danshi, adolescente aux cheveux rose, née en machine après conception en ordinateur. Volée par un mouvement opposé à l'esclavage des modiclonés, et élevée par le Pr. Sudachi Umiko (Sudachi est le patronyme). Celle que les légendes et livres d'Histoire nommeront Dan Morgan. Sudachi Umiko, scientifique vivant sur un bateau, avec une foule d'enfants plus ou moins adoptés. Elle étudie la biologie marine mais aussi la climatologie (différente de la notre) et ses effets sur les régions proches de la mer.
Ainsi fut l'Ancestrale - synopsis :
Pour chaque version, ça diffère... Cette fois-ci : - 1- >>> Implation d'un cadre de planète inondée et surchauffée ainsi que de personnages parmi lesquel la Pr. Sudachi, Muirgen et un jeune homme nommé Estevès et natif d'un Paraguay (désormais doté d'une frontière maritime). Un monde où le modiclonage humain est employé dans presque tous les pays mais de façon différente et avec des lois parfois opposées. Certains y voient une façon d'adapter la population humaine au changement climatique, d'autres une main d'oeuvre solide qui ne doit pas répandre ses gènes artificiels ni se dresser contre ses créateurs. Le contrôle météorologique est également important. On y trouve aussi une source d'énergie excellente mais mal connue et difficilement maitrisée : le lithospiritum, qui sera plus tard nommé usuellement cosmoplasma. >>> fait - 2 - >>> Voyage vers un port (imaginaire) situé en contrebas d'un emplacement nommé Kalki et qui est tout à la fois un laboratoire géant, un palais proche de l'oeuvre d'art, un lieu de gouvernement, un important centre de production énergétique, une secte supposée et... un des rares endroits tranquilles sur la planète. Kalki se situe sur les contreforts de l'Himalalya. Présentation au passage des conflits en cours dans les espaces limitrophes : océan indien + asie centrale + Inde + Chine >>> en cours - 3 - >>> heu... ça bloque !!! La suite... bah... c'est ce qu'il faut dessiner. La fin : même ça c'est un peu flou parce que ça débouchera quelques siècles plus tard sur un univers dystopique et super-technologisé
Une autre ouverture des Errances concerne ce qui suivit d'assez peu le retour à la paix dont Dan Morgan fut un des principaux artisans. Les Terrestres des Errances s'en fichent un peu et parlent tout au plus de "période de la colonisation spatiale", mais pour les Spatiaux, c'est un traumatisme historique désigné comme "le Grand Exil". La grande majorité des premiers habitants des spatiocités étaient des bagnards ou déportés dont l'espérance de vie sur place ne dépassait guère la quinzaine d'années.
Homo Sideralis parle de ça...
On y trouvera une partie des fondations de la "civilisation spatiale" des Errances, mais seulement une partie.
Etat actuel
En pause depuis mars ou avril, un peu par manque de temps et un peu là aussi pour clarifier mes idées. Inversement à l'Ancestrale, je manque plutôt d'inspiration, même si les personnages viennent assez bien. Résultat à atteindre = mieux défini sur le long terme (longtemps après) qu'au niveau du point final... A tenir en compte = emploi du cosmoplasma encore balbutiant mais bien présent, importance de Muirgen Danshi en tant que chef dans les combats et artisane de la paix obtenue. Le point final peut se situer à la victoire d'un camp ou bien à l'assassinat de Dan Morgan (quelques années après).
- 1 - >>> Mise en place du cadre de spatiocité plus ou moins bagne pour déportés biologiquement inadaptés à la vie spatiale, sous direction administrative de fonctionnaires pous la plupart modiclonés, d'une gouverneure âgée de 16 ans et dont on attend juste acte de figuration et qu'elle organise l'évolution génétique de la population. Autorité surtout de militaires dirigés par un général ambitieux et de réputation cruelle. >>> plus ou moins fait - 2 - >>> Malgré son jeune âge, la gouverneure agit avec les moyens qu'on lui laisse pour organiser le destin de la génération suivante, qui ne sera pas soumise aux mêmes règles que les déportés politiques. Il s'agit pour elle d'organiser le destin d'une cité qui ne sera pas une dictature militaire mais un lieu industriel et commercial, avec population suffisamment unie pour ne pas avoir besoin d'une autorité armée. >>> en cours. Bien évidemment, le général n'a pas la même vision des choses. - 3 - >>> a besoin d'un bon gros brainstorming, parce que je suis totalement dans le vague !!!! Résultat à atteindre >>> (très) relative indépendance des spatiocité, indépendantes administrativement et force armée placée en position d'obéissance à la gouverneure (et non plus l'inverse). Début d'évolution génétique de la population. Stabilisation de l'organisation sociale. A tenir en compte = Les roturiers spatiaux des Errances sont politiquement dans un statut inférieur aux citoyens terrestres, et considérés comme des sous-humains. Cet état est un héritage de cette époque.
Autres ouvertures laissées par les Errances Galactiques aucun roman en cours là-dessus !
Époque de Nils Hamsa:
L'essentiel des fondements de la "civilisation spatiale" se construit en fait plus tard, dans ce que la mémoire culturelle nomme "L'époque de Nils Hamsa", scientifique ayant éclairci les capacités lithospiritum alias cosmoplasma et inventé (sans y penser) le plasmosabre. Pas de préquelle prévue là-dessus. L'aristocratie spatiale des Errances se base sur des lois et usages établis dès le Grand Exil mais n'a pris son statut nobiliaire que dans cette autre époque. Il y a aussi la naissance de la Flibuste. Je ne suis pas bien décidée sur le moment où elle apparait mais c'est également à l'époque de Nils Hamsa qu'elle prend son essor.
Un siècle avant les Errances:
Une autre période importante pour les Spatiaux se situe environ un siècle ou un siècle et demie avant les Errances. C'est un moment où les autorités terrestres s'inquiètent de la caste qui s'est bâtie avec les droits et privilèges accordés à l'aristocratie spatiale, et encore plus de la puissance économique des spatiocités. Il y a alors une tentative de resserer la vis... qui ne débouche en fait que sur un renforcement de l'unité culturelle spatiale et une consolidation de l'aristocratie. Époque qui correspond aussi au début d'un rapide déclin démographique sur Terre, et peut-être à la prise d'importance (sur Terre aussi) du peuple dendronien, de même que l'apparition de "jeux du cirque" confrontant des humains à des robots de combat.
+ suites potentielles:
Les dernières grandes ouvertures laissées par les Errances proposent non pas des préquelles mais des suites. Première : construction d'une nouvelle civilisation spatiale. Deuxième : guerre ouverte entre les mondes technologisé et dendronien, conflit qui jusque là n'a été que larvaire et/ou ponctuel, avec à la clef un monde rendu à Dame-Nature, selon philosophie commune des Dendroniens et des Spatiaux.
A tout cela peut s'ajouter :
"l'univers" de la petite nouvelle qui fut à l'origine des Errances : les aventures de lignes commerciales entre spatiocités. Et, de la même façon, des aventures dans le petit univers de la Flibuste.
Ensuite... ben... bon... dans l'immédiat, tout ça n'est absolument pas envisagé !
Dernière édition par Séléné.C le Sam 2 Nov 2024 - 13:36, édité 7 fois
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Ven 25 Oct 2024 - 8:29
Dernière édition par Séléné.C le Sam 26 Oct 2024 - 12:05, édité 2 fois
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Ven 25 Oct 2024 - 9:12
Sur le post ci-dessus, il manque un visa important : celui d'Estévès (pour le moment dénué de patronyme). Il faudra tout de même le faire, car à défaut d'avoir déjà (reste à définir beaucoup de choses), il est tout de même l'un des principaux "regards narratifs".
Les différents volets de la légende, leurs genèses, leurs contraintes, leur avancement...
"Ainsi fut l'Ancestrale" est le titre définitif... en théorie ! Cette formulation m'est venue à l'époque où j'écrivais le dernier tableau des Errances Galactiques. En septembre 2015, je crois. Pour faire plus court, quand je parle de ce projet de roman, je dis en général "l'Ancestrale".
Dans les Errances Galactiques, qui se déroulent plusieurs siècles après, l'Ancestrale est l'un des noms que les Spatiaux, donnent à la Planète-Mère, et l'un des éléments culturels par lesquels leur pensée rejoint celle des Dendroniens. Ce projet de roman raconte la guerre civile qui a conduit au peuplement des premières spatiocités. Il a connu plusieurs tentatives (voir plus bas). Seuls points imposes par les Errances : une période conflits à l'échelle planétaire, avec robots de combat et importance d'un héros nommé Dan Morgan.
L'autre projet actuellement en cours "Homo Sideralis" a été entamé début 2024, parce que j'avais besoin de me clarifier les idée sur le résultat à obtenir au niveau du point final. Celui-là raconte le peuplement spatialen question. Pas trente-six versions mais une seule, pour le moment. En revanche, plus de contraintes à respecter, au niveau de la cohérence avec les Errances Galactiques.
"Ainsi fut l'Ancestrale" a connu plusieurs tentatives. Celle-ci a mieux démarré que les autres, mais rien ne garantit qu'elle soit la bonne !
Bien que l'idée de base soit la même, le scénario change à chaque fois !!!!
La première tentative d'écriture de l'Ancestrale est contemporaine de l'idée du titre, et débutait par une tempête, avec une famille dans une maison proche d'une falaise. A l'époque, je n'avais pas encore pensé à faire de Dan Morgan une femme, et en plus de ça, il était déjà adulte (dans les 28 ou 30 ans). L'ambiance globale, pour le début, aurait probablement voisiné avec le Fantasy et glissé vers le post-apo ensuite.
La deuxième tentative commençait en mode "western post-apo", avec un voyageur arrivant dans une ville qui fut autrefois "normale pour nous" mais désormais petit ilot de survie au milieu d'un désert de plantes grasses et d'arbres morts. Pour dater, il faudrait que je remonte dans mes archives. Dan Morgan y était un des ados vivant dans cette ville, âgé de 13 ans.
La troisième était dans une ambiance très sombre, avec une modiclonée s'enfuyant du centre de production pour échapper à la "destruction" à laquelle elle a été condamnée à la suite d'une erreur de modélisation (de même que les autres modi du même génome artificiel). Ceci au moment où un groupe armé se prépare à attaquer ledit centre de recherche. A ce moment, il était décidé que Dan Morgan serait un modicloné, peut-être programmé à des fins d'exploration spatiale (mais ça n'aurait pas été cohérent avec certains éléments définis pour lui).
La quatrième tentative commençait dans le QG d'une organisation à la fois rebelle et scientifique, sur une île échappant totalement... heu... à quoi ? un gouvernement mondial totalement dénué d'influence sur des coteries et groupes armés ? ou bien plusieurs pays ? ou bien même plus de pays ? et avec quel décor naturel ? En tout cas, cette version était très clairement Science-Fiction et bien ancrée dans un monde où on se protège du soleil et des tempêtes avec des moyens SF. Bref... comme ce début ne quittait qu'à peine ce très grand bâtiment et pas du tout l'île, je n'ai jamais vraiment défini tout ça. Dan Morgan n'a pas le temps d'y apparaître et je n'avais pas d'idée claire à son sujet. Probablement un chef guérillero hors de l'île mais en contact avec les dirigeant de cette organisation. Cette version (qui fut la plus élaborée à défaut d'être la plus longue. Son élément le plus important était l'usage du cosmoplasma comme source d'énergie, et surtout la façon de l'activer. Cette méthode est la même dans la version actuelle, et j'en ai même glissé quelques traces dans les Errances Galactiques (toujours pas finies de peaufiner). Peut-être était-ce la meilleure tentative ? En tout cas, elle ne me passionnait pas.
Sixième tentative : l'actuelle. Contrairement aux autres, elle n'a pas été précédée d'une intense cogitation (ce qui explique bien pourquoi je galère à présent). Début 2023, traversant une crise d'inspiration et incapable d'écrire un paragraphe entier aussi bien sur Matoskah que sur Tutore Noctis ou même sur un appel à texte... j'ai suivi le fil de la première chose qui m'ait permis de produite une page entière. Il s'est trouve que c'était "Ainsi fut l'Ancestrale". Cette fois-ci, Dan Morgan est une femme et son vrai nom est Muirgen Danshi. C'est une modiclonée à l'ADN programmé pour l'exploration sous-marine et les travaux en milieu aquatique. Muirgen est l'une d'entre eux, dérobée/libérée par une organisation qui dérobe des prototypes dans les laboratoires, n'en prenant jamais plus d'un ou deux par modèle. Cette organisation cible particulièrement les prototypes dont le modèle a été écarté et qui devraient normalement être détruits (point commun avec la 4° version). Ils sont alors des enfants, et il faut donc les élever. Muirgen a pour mère adoptive la professeure Danshi, qui vit sur le "Jimetsu", un bâteau-laboratoire, la planète ayant connu une énorme montée des océans qui a redediné les côtes et rendu fréquent les habitants flottants pas tous dotés d'une nationalité. Point commun avec la 3° version : un lieu à multiples fonction qui centralise les déplacements des personnages sans être officiellement leur QG. Cette fois-ci, c'est à la fois un laboratoire de recherche, un espace neutre et diplomatique, le QG d'une secte, un point commercial, un lieu de production énergétique et le "palais" d'un individu qu'on désigne comme "Messire Kalki" mais que bien peu ont rencontré. Le palais et le port portent le même nom. Comme les Errances Galactiques, cette version débute par un prologue situé beaucoup plus tard que le dernier chapitre (selon date prévue pour lui).
"Homo Sideralis" n'est qu'à sa première tentative.
L'histoire se déroule un peu après la fin de la guerre racontée par l'Ancestrale. Toutefois, ici aussi le scénario est mal défini. En fait, il est même encore plus "dans le flou", car sur l'Ancestrale, au moins, j'ai un élément (un personnage) fixe pour poser mes marques.
"Errances Galactiques" a vu son 1° jet terminé il y a neuf ans...
Je n'en placerai pas ici un résumé (ça ne servirai à rien), mais je viendrai éditer le post pour indiquer les éléments qui figurent dans les Errances et doivent être repris dans les deux préquelles.
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Dernière édition par Séléné.C le Sam 26 Oct 2024 - 18:28, édité 6 fois
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Ven 25 Oct 2024 - 15:20
Ainsi fut l'Ancestrale se déroule sur une planète Terre inondée par la montée des océans. J'ai fait mes repérages avec un simulateur de montée des océans, disponible en ligne. Je ne suis pas sûre qu'il soit optimal, car en fait, il faudrait prendre en compte l'érosion des côtes par les intempéries de plus en plus violente... mais bah... je fais comme si c'était nickel !
Sur ce post, j'ajouterai une ou deux copies d'écran pour cartographier.
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Dernière édition par Séléné.C le Sam 26 Oct 2024 - 18:29, édité 3 fois
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Ven 25 Oct 2024 - 15:26
Puisqu'il est question d'explorer nos univers de romans... il serait dommage de ne pas remarquer combien "Ainsi fut l'Ancestrale" comporte du voyage et de la découverte.
Post concernant seulement "Ainsi fut l'Ancestrale"
Le chapitre que j'ai posté tout à l'heure en comporte une jolie dose ! https://www.jeunesecrivains.com/t59559-ainsi-fut-l-ancestrale-science-fiction-post-apo#1297317 Il se situe après que Estévès ait quitté le Paraguay sur le bateau du Pr. Sudachi, et alors qu'il fait connaissance avec d'autres lieux, et aussi d'autres lois. N'ayant jamais quitté la ville où il est né, il n'a pas une vision très large du Monde.
Comme ce chapitre (le 6° ) est un véritable tour d'horizon de la législation sur le statut des modiclones dans les différentes régions du monde je mets ça ci-dessous en spoiler. En commençant toutefois par un bout du chapitre 1.
Le modiclonage est un élément important du background des deux romans en cours, et aussi de celui qui est terminé. C'est un petit bout de SF tout à fait classique voire cliché : produire un être vivant de façon entièrement artificielle, en programmant l'ADN sur ordinateur et développant l'individu en machine. Dans les Errances et Sideralis, c'est surtout du background, mais dans l'Ancestrale, c'est un élément important au scénario même... Le terme peut aisément se comprendre "cloné et modifié" mais c'est une fausse piste : en fait c'est "modélisé et produit en série comme des clones"
Paraguay : Modiclonage à but reproductif améliorateur. Le modiclonage est employé pour modifier progressivement la population, afin de rendre les humains capables de mieux résister aux changements survenus dans les milieux naturels. Résumé rapide des statuts ailleurs dans le monde. Parfois servile, avec création accélérée et implant de réflexion artificielle. Parfois reproductif, comme au Paraguay? Parfois pour des ouvriers ultra-spécialisés, des combattants d'élite etc.
chap - 1 - extrait:
Combien étaient-ils, sur ce navire ? Combien de frères et sœurs adoptifs avait cette demoiselle à l’âge indéterminable ? Les rumeurs faisant d’eux des modis étaient-elles exactes ? Muirgen ne ressemblait pas aux modis que Domingo avait vus sur des documentaires à propos des pays où on les exploitait comme des animaux. Elle était trop normale. Ni à ceux qu’il croisait parfois chez des amis. Elle ne l’était pas assez. De toute façon, les modis étaient un sujet vaguement tabou. On en parlait sans gêne quand il s’agissait de pure théorie scientifique ou politique, mais personne n’osait avouer qu’il en possédait un parmi ses amis ou pire encore dans sa famille.
La sœur aînée du père de Domingo avait deux enfants modis, achetés hors de prix à un laboratoire bas de gamme. Des mioches robustes. Ni plus bêtes ni plus malins que d’autres. Ni plus beaux ni plus moches. Juste solides comme les rochers de la baie, capables de résister aux pires tempêtes et même aux paquebots venant s’écraser sur eux. Pour Domingo, les modis, étaient un peu comme les écueils. Indestructibles, et capables de résister à tout, même à la fin du Monde. Ces deux cousins avaient huit ans, et lui vingt-trois. Il n’avait jamais beaucoup joué avec eux, et ils étaient trop jeunes pour qu’il sache de quoi leur parler. Sa sœur de douze ans aimait jouer avec eux. Son frère de seize ans les trouvait habiles avec un ballon. C’étaient des enfants sages avec des notes correctes à l’école. L’un se rêvait médecin, l’autre constructeur de bateaux. Que demander de plus ? Connaître qui était modi et qui ne l’était pas n’apporterait rien de bon à personne.
Ils devaient vivre normalement, se marier normalement et avoir normalement des enfants pas tout à fait normaux qui engendreraient une nouvelle normalité, plus robuste et mieux adaptée à un monde tellement hostile que pour beaucoup de gens l’émigration spatiale était la seule solution.
Domingo évitait de se demander s’il tomberait amoureux un jour. Dans deux ou trois ans, il s’inscrirait sur une liste de prétendants au mariage avec des femmes modis. On analyserait son ADN pour lui trouver une conjointe adaptée à produire une descendance optimale. Elle ne serait ni belle ni moche, ni bête ni géniale, parce qu’il était interdit de modeler des humains hors des mesures moyennes. Ils se fréquenteraient pour être sûrs de s’entendre une fois mariés. Ensuite, ils seraient un couple ordinaire, et ils vivraient heureux en regardant grandir des mioches solides comme les rochers de la baie dont les camarades de jeux ignoreraient la différence. Des bouts de choux possédant quatre ou cinq fois plus de chances pour survivre aux cataclysmes. Extérieurement, les modis vivant au Paraguay étaient semblables à tout le monde. Leur ADN optimisé était un germe pour les générations futures. Dans certains pays, il y avait des modis aux regards creux et aux gestes mécaniques, portant un implant dans la nuque et un tatouage sur le cou. Des entités biologiques sans plus d’âme que des machines. Était-ce vraiment dans ces pays-là que la professeure Sudachi adoptait ses mômes ? Est-ce que cette Muirgen avait été créée pour devenir l’une de ces choses humanoïdes ? Si c’était le cas, comment ne l’était-elle pas devenue ? Ça semblait impossible. La demoiselle du bateau avait la voix emplie d’intonations fortes et intelligentes. Elle n’était peut-être pas ce qu’il avait cru cerner en elle, mais elle ne pouvait être une chose animée. Est-ce que dans ces pays, il existait plusieurs catégories de modis ? Les documentaires qui semblaient si précis n’étaient, sans doute, que très incomplets et subjectifs.
Europe Legislation complexe, avec plusieurs statut des modiclones, selon typologie et usage. Floride Situation variable, à cause d'une forte instabilité politique du pays. Cité océanique pacifique - sur plate-formes flottantes Présence modiclonée très forte dans la population. Statut citoyens à part entière. Archipels d’Asie du Sud-est probablement variable (Estévès n'a pas eu le temps d'observer) Japon Législation très favorable, mais ambiance sociale pas fabuleuse.
Spoiler:
En Europe, où avait été fabriquée Muirgen, la plupart des pays avaient à ce sujet une législation complexe, prévoyant plusieurs statuts légaux en fonction des différentes catégories de modiclones. Les modis à but reproductif étaient peu nombreux et beaucoup plus surveillés qu’au Paraguay, mais bénéficiaient d’excellentes conditions de vie. Ils ne possédaient pas un statut citoyen, mais toute discrimination à leur égard était sévèrement sanctionnée. Ceux détenant des capacités d’ordre surhumain étaient mieux traités que dans moult régions du globe, mais cela tenait à leur très haute valeur financière et a leurs utilisations potentielles. Ils n’étaient légalement pas libres et on pouvait leur appliquer la même formule qu’aux esclaves agricoles de la Rome Antique : des outils animés dotés de parole, néanmoins le modiclonage à but uniquement servile était strictement interdit dans tous les pays de cette partie du monde, et la nature désagréable d’une activité ne justifiait pas l’emploi de modis spécialement fabriqués. Afin de reconnaître facilement les personnes dotées d’un ADN artificiel et de capacités supérieures, les laboratoires étaient priés de leur programmer des pigmentations capillaires anormales, et pour ne pas répandre dans la population des génomes trafiqués, ils étaient systématiquement stérilisés avant leur mise en fonction, et bien entendu équipés d’un implant d’immatriculation assorti d’un discret tatouage. Muirgen aurait dû faire partie de ceux-là, mais un commando contestataire avait perturbé le destin.
Au début, Estèves avait supposé qu’il lui faudrait au moins six mois pour retenir la géopolitique du modiclonage. Quelle naïveté ! Très vite, il avait compris qu’il n’y parviendrait pas avant deux ou trois ans, au grand minimum.
En Floride, pays ayant souvent attiré l’attention planétaire depuis la désagrégation des anciens USA, c’était un chaos innommable. À chaque changement de gouvernement, la législation changeait presque du tout au tout, mais un récent coup d’État avait mis en place une courte dictature militaire, après quoi un soulèvement universitaire avait produit des émeutes redoutables et instauré un début de monarchie, elle-même remplacée quelque temps par une théocratie, qui avait déclaré la guerre à la Louisiane, mais s’était trouvée renversée par un général proche parent de l’ancien souverain, ou plus exactement de son épouse. La situation temporaire était celle d’une restauration. Au travers de tout cela, les modiclones avaient gagné des droits puis perdus, re-gagnés et encore re-perdus. En fin de compte, plusieurs laboratoires de production avaient déménagé leurs usines à l’étranger et même les locaux de conception allaient s’expatrier. Pour les modiclones de nationalité étrangère ou apatride, c’était tout aussi variable, mais plus simple : interdits de séjour une fois sur deux et violemment pris à parti dès leur arrivée sur le territoire, ils évitaient désormais d’y rester plus de quelques heures.
Sur les plateformes de la cité océanique pacifique, la population comprenait de nombreux modiclones à statut servile et capacités humaines optimisées, mais à but reproductif. Les trois quarts des enfants en dessous de douze ans possédaient des gènes modifiés et on en trouvait déjà chez quelques membres du gouvernement. Leurs rapports diplomatiques à travers le monde devenaient de plus en plus problématiques.
Estèves n’avait pas eu le temps de se faire une opinion, en traversant les archipels d’Asie du Sud-est. Muirgen lui avait donné quelques explications, mais c’était trop différent d’une île à l’autre et tout ce qu’il avait retenu c’était qu’on y croisait aussi bien des terroristes anti-modi, que des abolitionnistes ou des trafiquants, et que le Jimetsu s’attardait rarement dans cette région.
Au Japon, pays natal et ancestral de la professeure Sudachi, le statut des modiclones était plutôt enviable, à condition qu’on leur ait accordé citoyenneté et installé l’implant signalétique qui en faisait foi, celui d’un visa de séjour, ou à défaut, un pendentif présentant les mêmes informations. Le moindre clandestin encourait la peine de mort, ou plutôt de "désactivation", puisque c’était le terme employé. Les enfants de la professeure disposaient presque tous d’un de ces passeports, mais n’en profitaient que pour descendre quelques heures à terre, sans jamais s’y attarder. Le pays n’était pas des plus accueillants. Trop de robots. Trop de regards vides masquant une hostilité indéchiffrable. Trop de tension dans les bars portuaires. Trop d’individus suspects, évoluant aussi bien dans les hautes sphères de la criminalité que dans les bas-fonds de la politique. Trop de courants mystiques dans les conversations de vestiaire, aux bains publics. Trop de cinglés persuadés qu’une première Apocalypse avait eu lieu et qu’il s’en produirait bientôt une seconde, qui déboucherait prochainement sur une troisième et dernière. Tout cela mis à part, être modicloné dans ce pays pouvait sembler cool, et on pouvait sans risque affirmer qu’aucun endroit de la planète ne leur était aussi favorable.
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Dernière édition par Séléné.C le Sam 26 Oct 2024 - 18:29, édité 2 fois
Nombre de messages : 15007 Âge : 49 Localisation : Côte d'Or & d'Opale Pensée du jour : Confiance et longueur de Temps... Date d'inscription : 11/01/2013
Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Sam 26 Oct 2024 - 11:23
En dessins...
Il y a sur mon topic dessins des images se rapportant aux Errances Galactiques. Je les copie-colle dans le spoiler ci-dessous
Petits pirates:
futurs grands flibustiers...
Fillette aristocrate:
Elle se nomme Artala et est fille de Larry et Alysa (dessin suivant)
Unité d'élite STHU:
Larry et Alysa, deux des personnages les plus importants des Errances. Ils sont pilotes de chasse (ici en uniforme mais pas en tenue de combat)
Dessin inachevé = cette colorisation est un projet (d'où visage très plat visage de Larry)
Gestuelle spatiale de type mûdras:
Le baron Tahman Orionass en discussion avec un membre d'équipage de cargo
Baronne galactique:
Personnage anonyme, juste pour la coiffure
Inspiré par une scène onirique du roman:
Il est bel et bien question de panthère, dans le texte, et ça se situe pendant un combat spatial...
Baronne Lanokera:
Femme politique hors des sentiers battus et mère célibataire de huit enfants, dont Alysa (spoiler plus haut), laquelle n'est pas encore née sur cette image. J'ai sûrement la version terminée quelque part... mais bon...
Ainsi fut l'Ancestrale Pour ce roman, il n'y a encore que les portraits réalisés pour les visas d'Exploration.
Muirgen Danshi:
Pr. Sudachi Umiko:
Le portrait que j'aimerais avoir sous les yeux mais ne serai jamais capable de dessiner n'est pas un humain, mais un bateau : le Jimetsu, qui est à la fois le lieu de travail de la Pr. Sudachi, sa maison et son moyen de transport (ainsi que ceux de ses enfants). Longue description de ce navire dans le chapitre 3 - klik ici
Le port de Kalki, ainsi que le palais, ont aussi un gros potentiel à dessiner... que je ne pense pas être capable d'exploiter.
Homo Sideralis Actuellement : aucun visuel pour aucun personnage.
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Dernière édition par Séléné.C le Sam 2 Nov 2024 - 13:18, édité 1 fois
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Sam 2 Nov 2024 - 9:05
Je n'ai pas encore fait grand-chose de spécial sur ce carnet. Il a des airs de petit frère du JdB déjà existant !
Il y a une dizaine de jours, Radischat nous a proposé ce prompt
Citation :
Tout voyage implique un mode de transport, un trajet, une destination. Ouvrez votre carnet en contant votre départ. Décrivez-moi votre voyage. Quel véhicule prenez-vous ? Un vaisseau, une calèche, un dragon ? Est-ce long ? Qui prenez-vous avec vous pour vous accompagner ? Qu’avez-vous pris dans vos bagages, si vous en avez ? Et surtout, comment vous sentez-vous ? En 250 mots.
Alors... est-ce que je m'y colle ? Qui est le "vous" ? Si c'est moi, c'est mal barré !!!! Si ce sont mes personnages, c'est mieux engagé, car dans "Ainsi fut l'Ancestrale" on se déplace beaucoup, quoique beaucoup moins dans "Homo Sideralis". Allez bon... je m'y colle. J'éditerai ce post plusieurs fois dans la journée, pour faire répondre quelques personnages...
Pr. Sudachi Umiko - 221 mots
Tout a débuté, peut-être, dès mon enfance. Dans un monde où plus rien ne ressemble à rien et surtout pas le paysage aux albums photo ni les rivages aux planisphères, comment ne pas se poser des questions ? Il faut croire que c'est possible, puisque ma sœur jumelle a choisi, précisément, une carrière artistique afin de chercher des réponses "ailleurs", mais moi j'avais besoin de réalité. Après avoir entamé des études d'Océanographie, j'y ai ajouté la Climatologie puis la Génétique, ce qui me valut une image de génie que tous les laboratoire de recherche voulurent recruter. Suivirent quelques années de stress additionné de fierté, avec en fin de compte un énorme burn-out qui me fit, sur un coup de tête, acheter un bateau-laboratoire qu'on allait démanteler. Je le baptisais le "Jimetsu". Parmi mes collègues et confrères ici et là dans le Monde, certains partageaient les innombrables doutes qui me taraudaient. Voyager pour les rencontrer fut excellent pour ma santé, mais décidément, la science ne pouvait être, à elle seule, le sens profond d'une existence. Les mouvements intellectuels favorables aux modiclonés m'attirèrent et je devins bientôt un agent de liaison pour espions, une trafiquante de matériel interdit, puis selon certaines législations, une "voleuse de modis" (plutôt receleuse), et dans d'autres pays une héroïne luttant pour l'avenir d'une humanité contrainte à évoluer rapidement.
Muirgen Danshi - 280 (zut... trop gros)
Mon existence possédait un sens précis avant même que ma première cellule prenne vie. Je suis une modiclonée de qualité supérieure, conçue pour des travaux de haute précision en milieu dangereux. Après une gestation artificielle de trois mois, je naquis et les machines qui m'éduquaient accélérèrent mon développement physiologique à seulement 125 %, car plus rapide aurait été nuisible à mon cerveau. J'avais donc à la fois quatre et cinq ans quand je fut discrètement volée par un employé de la firme qui m'avait développée. Mon modèle a été produit à trente exemplaire. J'ignore ce que sont devenues les autres. Vivantes ? Mortes ? Esclaves ? Libres ? J'étais une enfant et fut adoptée par la Pr. Sudachi. Le Jimetsu devint ma maison, et comme j'étais à la base destinée à des travaux aquatiques, un bateau était pour moi un foyer idéal. La professeure dépose la plupart de ses jeunes protégés au palais Kalki, où on prend soin d'eux et les éduque comme des enfants ordinaires, mais moi, je suis restée à bord. Kalki est un endroit merveilleux, mais... en fait, bien trop beau. C'est une utopie où il serait facile d'oublier que le reste du Monde est composé d'enfers de toutes sortes. Je ne m'y trouve jamais à ma place, et pourtant, il faudra que j'y passe du temps, avant de choisir un chemin de vie distinct des routes du Jimetsu. Et puis, malgré tout, Kalki n'est pas un paradis. Il y a des règles très strictes et certaines ne me plaisent pas. En tant que modiclonée femelle et très adaptée aux conditions de vie selon évolution de notre planète, on exigera que je fonde une famille. Messire Kalki n'est pas favorable au clonage et se méfie des machines de gestation. L'avenir du Vivant ne peut se bâtir que dans le Vivant, dit-il. Enfin... c'est ce qu'on raconte qu'il dit. Je ne l'ai jamais rencontré, mais j'aimerais bien lui demander pourquoi, alors que sa demeure est l'un des lieux les plus technologisés de la planète, il est aussi attaché à une reproduction totalement naturelle.
Gal. Galdric Demigny - 232 mots
Le chemin qui m'a conduit sur la base spatiale City-05 n'est qu'un banal trajet dans une spationef au ventre rempli de bagnards enfermés dans des cuves de léthargie fixées entre elles comme les cellules hexagonales d'une ruche. Moi aussi, j'étais en léthargie, mais dans une autre partie du vaisseau : celle des hauts fonctionnaires et des officiers supérieurs. Le quartier VIP du navire, en quelque sorte. Mon chemin antérieur comporte, à mon avis, bien plus d'intérêt ! Mais on m'a dit, redit et encore répété que tout cela devait maintenant s'enfouir dans un passé dont il valait mieux ne pas raconter les détails aux générations futures. Je n'ai aucune envie d'être une relique... On m'a envoyé sur City-05 avec galons de général et mission de surveiller les prisonniers et assister l'administration civile pour bâtir des fondations sociales pérènes. Très peu pour moi ! Je me fous des opinions politiques des bagnards tout autant que des fonctionnaires, mais "Vae Victis". Ils ne sont plus humains et leur destin doit être celui d'un troupeau de bétail. Peu importent les générations futures. Je n'ai pas d'enfant ni personne qui y ressemble. La puissance, seule est importante. J'ai bien assez combattu dans des boues sanglantes, bien assez perdu des morceux de ma chair et de mon squelette. Je mérite une vieillesse étincelante... et pour le reste... si par hasard l'univers explose, tant mieux !
## Koto Soforealiasgouverneure Satô Koto - 336 mots (beaucoup trop long !!!)
Modiclonée prototype dérobée dans un laboratoire par un commando de libération. Modélisation sophistiquée à but d'espionnage et opérations secrètes. Physiologie performante. Cerveau supérieur. Capacités linguistiques et mémorielles très élevées. Pouvoir de télépathie. Je suis tout cela. Mes parents adoptifs m'ont élevée loin des conflits qui ensanglantaient la planète. Ils m'ont appris à aimer la musique et la danse, m'ont initiée à autant de cultures différentes qu'il ont pu le faire. Et puis... un jour... on est venu nous dire que je devais partir pour l'Espace où j'étais nommée gouverneure de la station City-05. J'avais treize ans. Mon petit frère n'a pas compris que je partais pour ne jamais revenir. Ensuite, on m'a donné un nouveau patronyme, des habits somptueux et des serviteurs. Accessoirement, on m'a rapidement expliqué ma mission. Dans un premier temps, on attendait que je sois une potiche. Ensuite, avec quelques années de plus, une reine des abeilles produisant autant de garçons que possible, pour qu'ils éparpillent mon merveilleux génome artificiel, et aussi quelques filles pour que l'une d'entre elles me succède. Interdiction absolue de mélanger mon ADN avec celui d'un humain normal. On m'a entourée de gardes du corps modiclonés parmi lesquels je suis supposée trouver de bons reproducteurs pour les futurs ancêtre d'un peuple spatial adapté à son milieu d'existence. On m'a amenée à mon royaume comme on transporte un mobilier précieux, et malgré mon statut de gouverneure, je ne suis factuellement pas grand-chose. Pourtant, l'avenir est à moi. Les exilés qui peuplent City-05 ne sont que des bagnards pour lesquels je ne peux presque rien, mais leurs enfants seront des citoyens libres. La reine des abeilles sera leur mère à tous. J'aurai bientôt dix-sept ans. On m'a très hautement et impérativement suggéré de prendre le général Demigny pour époux officiel. Comme un prince consort ! Je suis le gouverneure de City-05, et cet homme est mon ennemi, mon concurrent en autorité. Il ne me plait pas et ses projets m'inquiètent. Je n'ai pas beaucoup d'armes pour le contrer, mais j'en inventerai.
Aliona Bilodid - 282 mots (caramba... encore trop long)
Décrivez-moi votre voyage. _ Exil sur condamnation politique. Quel véhicule ? _ Spationef type cargo. Est-ce long ? _ Je l'ignore. En compagnie de qui ? _ Beaucoup de gens. Vos bagages ? _ Aucun. Comment vous sentez-vous ? _ Je n'ai pas le droit de me sentir quelque chose. Quelles idées ont entrainé votre exil ? _ Celles de mes parents. J'étais adolescente mais ne comprenais pas bien les guerres en cours. Que pensez-vous des modiclonés ? _ Je ne sais pas. Ils sont nombreux, sur City-05, mais très peu ressemblent à ce qu'on me racontait. On me les présentait comme des objets animés à l'intellect plus faible qu'un ordinateur archaïque. Que pensez-vous du général en poste sur City-05 ? _ Au début, il me semblait inquiétant et hostile mais je croyais avec un bon fond et des idéaux dignes. A présent, il me fait peur. Que pensez-vous de la gouverneure de City-05 ? _ Une pauvre enfant à qui on a fait enfiler un uniforme beaucoup trop lourd pour elle, mais qui le porte avec courage. Vous portez un enfant. Qu'espérez-vous pour lui ? _ Ils sont trois. Je n'ai pas le droit de songer à l'avenir et leur éducation ne m'appartiendra pas. Vous êtes servante du général. A quoi ressemble votre logement ? _ Je n'en ai pas. Je dors le plus souvent dans le couloir proche de sa chambre. Avant cela, comment était votre logement d'ouvrière ? _ Un dortoir avec des lits superposés sur plusieurs étages. Très grand. Je suis aveugle mais on m'a dit que c'était fort peu éclairé sauf à l'heure de se lever. Qui est le père de vos enfants ? _ Je l'ignore. Un soldat ou bien un fonctionnaire. Un modicloné, c'est tout ce que je peux dire.
Dernière édition par Séléné.C le Dim 3 Nov 2024 - 12:01, édité 1 fois
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Dim 3 Nov 2024 - 0:43
Les photos d'identité sont réalisées avec https://face.co/
Puisque j'ai ajouté des visages au post précédent, et que j'en ai réalisé d'autres dans le même mouvement, j'ajoute ces autres. Ils ne répondront pas forcément à la question posée !
********************
Pr. Ulysse Sauks. Humain normal A rencontré Sudachi Umiko à l'Université Était amoureux d'elle, mais elle ne s'en est pas rendue compte On le rencontre dans le prologue, vieux. En l'état actuel du texte, il n'est pas encore apparu dans les chapitres
Sudachi Tenchiko, sœur jumelle d'Umiko. Humaine normale Elle n'évolue pas dans les milieux scientifiques mais intellectuels et artistiques. Elle est chorégraphe et influenceuse.
Pecca Danshialias Peccadille-24 Modicloné Prototype conçu pour le combat (modèle rejeté) Fils adoptif de Sudachi Umiko Biologiste.
Messire Kalki - Kalki sama - Monsieur ? Madame ? Personne ne sait à quoi il ou elle ressemble ! Et pourtant, c'est une personne puissante à l'échelle mondiale. Demeure dans un "palais" qui est aussi laboratoire scientifique, QG de secte et bien d'autres choses. Son nom désigne aussi le palais, mais également un petit territoire au flanc de l'Himalaya et une agglomération portuaire. Le "Jimetsu" de la professeure Sudachi a son attache au port de Kalki.
Estévès - patronyme encore indécis Humain normal A embarqué sur le Jimetsu au Paraguay (lequel pays a gagné une ouverture sur la mer, suite au réchauffement climatique). En l'état actuel du roman, il se trouve au palais Kalki.
******************** 10 à 20 ans après la fin de l'Ancestrale
Orson Zéphir Modicloné membre de la garde rapprochée de la gouverneure Soto Safore. Modèle produit en développement accéléré, son intellect dépend fortement d'un implant cérébral.
******************** Plusieurs siècles après
Pilotes de l'unité d'élite STHU:
Larry Jenoran. Homo Sapiens. Citoyen terrestre, quoique issu du peuple dendronien. Probable descendant de Muirgen Danshi et Estévès. En couple avec Alysa Novaner Personnage majeur dans les tableaux 1 -5 - 8 - 9 - 10 du roman
Alysa Novaner. Homo Sideralis - type 3 Probable descendante commune à Koto Sofore et Orson Zéphyr. Héritière de trois lignée baronnales, mais aucune ne correspond à la cité qui fut gouvernée par Koto Sofore. En couple avec Larry Jenoran Visage défiguré par des cicatrices Personnage majeur dans les tableaux 1 - 8 - 9 - 10 du roman
Dosithe Dedes, aliasSwan Homo Sapiens. Citoyen terrestre. Ni blond ni albinos, ni mutant, il est leucique. Pour bien faire, j'aurais dû lui faire des cheveux et sourcils encore plus pâles, mais on n'aurait plus rien distingué. Un de ses ancêtres a combattu aux côtés de Muirgen. Personnage secondaire sur les tableaux 1 - 8 - 9 10
Bud Sokran Homo Sideralis - type 3 Complexé par ses yeux qui passent du noir au rouge et du rouge au noir... Personnage secondaire sur les tableaux 1 - 8 - 9 10
Aristocratie spatiale:
Tahman Orionass Homo Sideralis - type 3 Baron de Quercus-01, spatiocité détruite Membre des "Cygnes", avec statut de maître Grand leader, partiellement responsable de la Grande Révolte. Personnage majeur sur les tableaux 2 - 3 - 4
Riganor Orionass Homo Sideralis - type 3 Fils de Tahman Membre des Cygnes Fait partie des chefs de la Nouvelle Révolte Personnage secondaire sur le tableau 4 puis charnière dans les 8 - 9 -10
Alysa Novaner. Homo Sideralis - type 3 Probable descendante commune à Koto Sofore et Orson Zéphyr. Héritière de trois lignée baronnales, mais aucune ne correspond à la cité qui fut gouvernée par Koto Sofore. Visage défiguré par des cicatrices Membre de l'unité d'élite STHU En couple avec Larry Jenoran Personnage majeur dans les tableaux 1 - 8 - 9 - 10 du roman
Artala Novaner Jenoran. Homo Sideralis - type 1 ____ Hybride Sapiens et Sideralis Fille de Larry Jenoran et Alysa Novaner Aime les plantes et les chats S'intéresse à la médecine Mère de la petite Astréna qu'on voit au prologue Personnage d'arrière-plan aux tableaux 1 - 8 - 9 - 10
Dendroniens et Urbadendroniens:
Rahina Kibb Homo Sapiens Chamane dendronienne Mère de Bastian Obern Personnage secondaire du tableau 6 - très âgée à cette date
Bastian Obern Homo Sapiens Dendronien Gladiateur superstar Figure héroïque de la Grande Révolte spatiale Personnage majeur dans les tableaux 3 et 4 du roman
Larry Jenoran. Homo Sapiens. Citoyen terrestre, quoique issu du peuple dendronien. Probable descendant de Muirgen Danshi et Estévès. En couple avec Alysa Novaner Personnage majeur dans les tableaux 1 -5 - 8 - 9 - 10 du roman
Citoyens terrestres:
Philibert Ovocar Homo Sapiens Politicien sarcastique et extrémiste Conseiller en communication dans sa jeunesse Président de la Terre en fin de carrière Aurait aimé être un poète de talent Bien qu'adversaire politique de Moehna Janhur, il est aussi son meilleur ami. Personnage secondaire sur les tableaux 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10
Moehna Janhur Homo Sapiens Politicienne, trouvée trop dure par certains et trop conciliante par d'autres. Ministre de la Démographie, elle se fait haïr des Spatiaux. Forte amitié avec Philibert Ovocar, pourtant adversaire politique. Mariée à Pol Jenoran, organisateur de combats en arène. Assassinée alors qu'elle est Première Ministre. Personnage important sur les tableaux 5 et 6 Mentionnée aussi dans les 7 - 8 - 9 - 10
Larry Jenoran. Homo Sapiens. Citoyen terrestre, quoique issu du peuple dendronien. Probable descendant de Muirgen Danshi et Estévès. En couple avec Alysa Novaner Pilote de chasse très habile, il a même été instructeur Porté sur l'alcool et parfois la drogue Personnage majeur dans les tableaux 1 -5 - 8 - 9 - 10 du roman
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Lun 4 Nov 2024 - 10:52
Réflexions autour du casting
En réalisant le trombinoscope (post précédent), j'ai réalisé pleinement une chose que je savais déjà : le casting de "Homo Sideralis" est à cette heure fort peu étendu, et celui de "Ainsi fut l'Ancestrale" pas beaucoup plus. Ce n'est pas forcément une tare, mais juxtaposé avec l'immensité de celui des "Errances Galactiques" c'est flagrant !
Pour les Errances, le trombinoscope est très loin d'être complet, et pourtant il est beaucoup plus gros que les deux autres. J'y ajouterai peut-être encore des têtes, d'ailleurs, car la Flibuste est totalement absente, ce qui est un peu dommage.
Le post "trombinoscope" ne contenait que trois visages quand je l'ai fait. Il a déjà été complété plusieurs fois...
Concernant l'Ancestrale
Spoiler:
il n'y a pas des masses de personnages qui manquent au trombinoscope tel qu'il est à cette heure (il est possible que je l'édite encore pour en ajouter). Il faudrait que je fasse le tour du texte pour compter. Là, comme ça, de tête, je vois - le grand frère d'Estévès, sa petite soeur et la maman. - la cheffe du poste de douane où travaille le grand frère, et un collègue - le responsable du laboratoire d'observation où travaille Peccadille - et des personnages anonymes ici et là.
Pour "Homo Sideralis", il manque
Spoiler:
- la générale qui a précédé Galdric Demigny (elle est retournée sur Terre) - trois collègues d'Orson Zéphyr, gardes au palais, dont la présence se limite à la description des particularités que peuvent posséder les modiclones (pouvoirs et apparence).
Est-ce que grossir le casting aiderait à avancer sur le scénario ? Je ne l'exclus pas... mais j'en doute.
En fait, pour employer cette méthode, il faudrait que je le fasse avec un crayon et en griffonnant des scènes. C'est à dire en gribouillant tout à la fois l'histoire et ses protagonistes.
Le gros problème sur l'Ancestrale... c'est que j'ai beaucoup trop d'idées qui viennent en pagaille et pas assez qui s'ordonnent assez bien pour être retenues. Manque de cohérence solide.
Sur Sideralis, c'est presque le contraire : les idées sont là (du moins au stade où j'en suis) mais elles ne se développent pas assez.
Par ailleurs, il y a la longueur de texte déjà obtenue. Ce n'est pas tout, d'écrire, mais il faut que ça raconte assez pour que le lecteur reste accroché, ce dont je ne suis pas certaine. Moi-même ai visiblement du mal ! Et pour le moment, personne se s'est jamais attaché à lire plusieurs posts. Inutile de me lancer sur un rythme accéléré, tant que je ne saura pas avec précision quoi raconter...
SOMMAIRE de "Ainsi fut l'Ancestrale"
Spoiler:
Prologue - situé largement après le roman, mais à une date indéfinie, et le lecteur peut penser que c'est avant. On y rencontre Le Pr. Sauks (voir trombinoscope) et un jeune homme qui est dit son petit-fils mais qui dans mon background est un modicloné adopté, et qui avec certitude est tout au moins un fils de modicloné. chap 1 - Les garde-côte Le Paraguay est actuellement dénué de frontière maritime. Après une bonne grosse montée des océans, il en possède, via un énorme estuaire. Domingo y est douanier dans un port. Le chapitre parle de la situation géopolitique, sur laquelle le changement climatique a une influence importante. Explications aussi sur les modiclonés et la place qui leur est accordée dans la société du pays, avec mention qu'ailleurs c'est différent. Il s'agit là de poser le cadre. Ici, on peut croire que le héros du roman est Domingo. Ou au moins un proche dudit héros. J'en avais un peu envie, mais il me fallait quelqu'un qui puisse se déplacer et présente un caractère énergique. chap 2 - Sweet home, titre en anglais ! C'est la demeure et la famille de Domingo : mère, petite sœur, petit frère, et appartement souterrain où des combinaisons anti-solaires sont accrochées près de la porte d'entrée et d'une petite armoire à pharmacie de situation post-apo et un éclairage par lampe solaire dans les chambres. C'est encore de la mise en place. chap 3 - Le Jimetsu, célèbre bateau-laboratoire appartenant à la Pr. Sudachi fait escale au port ! Excitation d'Estévès qui tient à voir ça. Description du navire, qui est un multicoque à cinq coques dont certaines amovibles. On débarque un enfant pour le conduire à l'hôpital. Apparition d'un élément majeur du casting : Muirgen Danshi, qui entrera dans la légende sous le nom Dan Morgan et est comme tel.le mentionnée de nombreuses fois dans les Errances (jamais de façon très précise). chap - 4 : Peccadille, un des nombreux enfants modiclonés que la Pr. Sudachi a adoptés. Il est maintenant adulte et exerce une profession dite "gardien de zoo", très différente de ce que nous connaissons : il s'agit en fait de surveiller et étudier une réserve naturelle. En l’occurrence, une île où on a récemment découvert une espèce qu'on croyait disparue. Là aussi, surtout de la mise en place. En théorie, introduction d'un personnage récurrent. Pecca est destiné à ré-apparaître dans le casting, mais mes idées à ce sujet font partie de celles qui s'éparpillent en tous sens... Chap 5 - Chaos : Estévès se lie d'amitié avec une des filles adoptives de la Pr. Sudachi : Muirgen Danshi. Une guerre s'abat sur le Paraguay, et Estévès embarque sur le Jimetsu. Chap 6 - Terre et Mer ou Globe terrestre - chapitre au titre incertain ! Voyage du Paraguay à Kalki, avec description des ambiances et législations dans plusieurs pays. Chap 7 - Sans titre - peut-être "Kalki" ou "Titanesque splendeur" - Description de Kalki, vu de la mer puis intérieurement. Situation géopolitique autour de cet endroit, c'est à dire : Chine, Inde, Europe de l'Est, Est de l'Afrique. Chap 8 - En cours d'écriture - Déplacement de la ville portuaire de Kalki au palais Kalki, avec d'un côté une législation proche de la dictature sur une région beaucoup plus agréable à vivre que ses voisine, et de l'autre côté un espace immense, complexe et splendide où Estevès ne sait à quoi s'attendre. Les chapitres 1 à 5 sont réunis sur un même fichier texte. Les 6 - 7 - 8 ont chacun le leur et seront réunis plus tard.
SOMMAIRE de "Homo SIderalis"
Spoiler:
Prologue : inexistant. Chap 1 - pas de titre - Description de ce qu'est une spatiocité, c'est à dire un espace de déportation pour condamnés la plupart politiques. Un lieu de forte autorité à plusieurs "classes sociales" très distinctes ! Introduction du Gal. Galdric Demigny. Chap 2 - Description du quartier du spatioport, et des couleurs distinguant les différentes catégories de population. Introduction d'Aliona Bilodid, qui vient d'être choisie par le général comme servante personnelle, bien qu'elle soit aveugle. Chap 3 - Description du secteur des hauts fonctionnaires, notamment du quartier d'habitat de la gouverneure Satô Koto Sofore, jeune fille de 16 ans dont la fonction n'est qu'un titre pour le moment sans autorité. Le véritable gouvernement est aux mains de l'armée, c'est à dire du général Demigny. Explications sur l'état des choses et les perspectives prévues pour la cité, c'est à dire le changement qui s'opérera avec le changement de génération, les enfants des déportés n'étant pas soumis à la même autorité que leurs parents. Chap 4 - Évocation de la Gle. Karma Nakata, qui précéda Galdric Demigny et fut d'une grande influence dans l'éducation politique de la jeune gouverneure. Avis de la gouverneure Koto Safore sur le Gl. Demigny et présentation en dialogue de leurs rapports tendus. Chap 5 - Rapprochement de la gouverneure et Aliona Bilodid. Explications sur le statut d'Aliona et son rôle (inexistant) dans l'éducation des triplés qu'elle va mettre au monde. Législation à propos des condamnés sévèrement tenus tels qu'Aliona. Chap 6 - Statut d'Aliona de par son appartenance génétique, ainsi que celui de ses enfants. Projets du général à propos des enfants. Projets de la gouverneure à ce sujet et plus largement. Chap 7 - Introduction d'Orson Zéphyr, membre de la garde de la gouverneure. Présentation de cette garde et de son futur rôle sur la génétique de la population. Description d'Orson Zéphyr et quelques autres gardes, tous modiclonés porteurs de capacités particulières. Chap 8 - Introduction et description du lithospiritum alias cosmoplasma, et surtout de son rôle énergétique. L'activation de ce matériau est lié aux ondes gamma et peut se révéler nocive pour la personne activatrice. Tensions entre le général et la gouverneure à propos des lois concernant la seconde génération spatiale. Évocation des unions entre généraux et gouverneures sur différentes spatiocités. Réputation et passé du général Demigny. Chap 9 - Capacités à la réflexion et au libre arbitre des gardes (tous modiclones porteurs d'implants) et serviteurs. Projets de la gouverneure à propos d'éléments culturels dans la cité. Terrains d'action de la gouverneure, échappant à ceux du général. Marge dont elle dispose pour reprendre l'avantage sur lui.
Ci-dessous des personnages qui n'existent pas encore. Le premier a été dessiné pour rien, juste pour jouer avec les couleurs du logiciel en ligne... et ensuite, bah ça vient comme ça vient !
Spoiler:
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Mar 5 Nov 2024 - 18:36
Le bateau-laboratoire de la Pr. Sudachi est un élément important, même s'il n'est pas "en avant-plan". C'est à la fois un lieu de travail scientifique une habitation pour famille nombreuse un moyen de communication et transport entre groupes distincts mais alliés etc. il se nomme le Jimetsu C'est un mot japonais qui veut dire "autodestruction". La professeure avait le moral superbement haut, le jour où elle a baptisé son navire ! Comme elle était en burn-out et bien placée pour observer la destruction de la planète par l'être humain, c'est quand même compréhensible...
Grâce à Tengaar, qui a supplié les logiciels de dessin en ligne, je peux présenter ici une image ressemblant un peu à ce merveilleux navire...
Pourquoi un bateau ? D'abord parce que c'est bien pratique pour déplacer les personnages sur une planète surchargée de conflits... Et ensuite, parce que ladite planète étant passée par le réchauffement des océans, les habitats flottants sont désormais très usités. Ils sont plus sûrs que les régions côtières.
Estévès embarque sur le Jimetsu au Paraguay. Un pays actuellement dénué d'ouverture maritime...
simulateur de montée des océans : http://sboisse.free.fr/planete/simulateur-de-montee-des-oceans.php
Ouais... l'ouverture maritime obtenue est assez réduite ! Mais elle existe tout de même.
1° spoiler : une vue un peu plus large, sur une partie de l'Amérique du Sud :
[/url]
2° spoiler : l'Amérique du Sud actuellement:
60 mètres de grimpée des océans ? J'en fais beaucoup ? On est dans du Post-Apo, que diable !
3° spoiler : en en France, ça donne quoi ?:
4° spoiler : petite vue pour les Parisiens et les Normands:
J'enfonce une porte ouverte en disant que les continents sont re-dessinés (et les îles aussi).
Spoiler:
En fait, les cartes fournies par ce simulateur ne sont pas très fiables, car il faudrait aussi tenir lieu de l'érosion des côtes qui serait accrue par les tempêtes de plus en plus brutales, surtout dans les régions où la roche est fragile. Il y a aussi le déplacement des plaques tectoniques, et les conséquences potentielles des tremblements de terre. Sans oublier les possibilités qu'un volcan fasse jaillir un ou deux îles toutes neuves.
Je me place pas mon roman sur une planète ressemblant au film Waterworld.
pour les p'tits jeunes qui n'ont peut-être pas connu ce film:
Il reste des terres émergées ! Mais ces terres sont surchargées de zones en conflits, avec une multitude de belligérants aux opinions et intérêts divergeants.
Le Jimetsu a son port d'attache dans une région calme, mais bien entendu exposée à ne pas toujours le rester.
Le Paraguay, pays d'origine d'Estévès, où se déroulent les trois premiers chapitres, est assez pacifique (ou tout au moins désarmé) mais il se retrouve quand même emporté dans une guerre..
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Jeu 7 Nov 2024 - 16:25
Au clavier ?
Ce soir, je pense faire une session d'écriture
Bah ouais;.. parce que pendant ce mois où d'autres écrivent comme des forcenés, moi je me contente de cogiter dans le désordre...
Toute la question est de savoir lequel des deux romans va en profiter !
Le post précédent, avec le Jimetsu et les réflexions sur le niveau de la mer, m'avait orienté les pensées vers l'Ancestrale.
Les élections américaine le font aussi (avec des éléments différents) Et en plus j'ai laissé le truc en plan avec plein d'éléments pas encore posés, à propos du palais Kalki. Donc, à priori, il y a de la matière à traiter !
Mais je ne suis pas sûre d'arriver à claviotter de façon ordonnée. Encore une fois : des idées mais pas vraiment la façon de les raccorder.
Dans l'immédiat, sur l'Ancestrale, j'ai Estévès qui découvre Kalki, ses splendeurs, ses trucs inquiétants, etc. Ce n'est pas le moment pour disserter des inspirations sus-citées !
Sur Sideralis, j'ai très peu de matériel neuf, mais ça s'ordonne quand même. En l'état actuel, j'ai le choix entre
- une ellipse de deux ou trois ans - prendre la suite directe, sur les projets culturels de la gouverneure (oui, oui, elle a un programme culturel pour sa cité)
Sideralis démarre avec une énorme mise en place de plusieurs chapitres. Tout ça manque d'action, fait blabla, etc. Au bout d'un moment, faut pas abuser, le lecteur va s'impatienter ! Donc... peut-être que l'ellipse est préférable ?
A moins de trouver un petit chapitre d'action à intercaler...
L'élément culturel est important dans Sideralis, car cela fait partie des bases qui se posèrent lors du Grand Exil pour bâtir la société spatiale vue dans les Errances, et ses particularités culturelles (auxquelles les Spatiaux tiennent beaucoup).
Parmi les éléments à placer, il y a des tatouages, un langage gestuel et de la musique.
Ce n'est pas du tout le type de musique qu'on rencontre dans les Errances, mais je vais m'inspirer de ça. De toute façon, dans les Errances, j'ai évoqué surtout les chants spirituels et les balades mélancoliques, mais il y a aussi des passages avec des danses endiablées dans une taverne de spatiocité ou des couloirs de vaisseau flibustier.
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Dim 10 Nov 2024 - 11:09
Clavier...
En fin de compte, l'autre jour, j'ai à peine écrit. Mal aux doigts ! Et peut-être un peu de flemme ?
N'ayant pas touché à Sideralis depuis juillet, je croyais en être restée à la fin d'un dialogue à propos des projets de la gouverneure, mais en fait j'étais passée au chapitre suivant, où il est question du cosmoplasma, alias lithospiritum. Subséquemment... je n'ai pas abordé les questions de danse et musique ! Et ça me règle (ou repousse) la décision "ellipse ou pas ellipse".
Outre qu'il fait partie des éléments qu'on retrouvera dans les Errances, il est aussi évoqué dans l'Ancestrale.
Dans les Errances, c'est une matière très employée et assez bien connue quoiqu'il y ait encore de grosses zones d'ombre à son sujet. Le texte ne précise pas les détails de ses divers emplois, mis à part celui sur les plasmosabres. On sait toutefois que lesdits sabres ont été à l'origine conçus pour étudier les propriétés du lithospiritum et la manière dont il s'active. Le savant qui a fait cela se nommait Nils Hamsa et était un Spatial. Cette matière était déjà utilisée avant qu'il se penche dessus, mais sans en connaître le fonctionnement exact. Après tout, on a utilisé le feu longtemps avant de connaître les détails chimiques d'une combustion ! Nils Hamsa a travaillé plusieurs décennies avant le Grand Exil et n'apparaîtra pas dans Sideralis, ou alors seulement en tant qu'enfant, à moins que je mentionne juste ses parents pour présenter de quelle classe sociale il était issu. Ce n'est pas très important. Le cosmoplasma revêt aussi une importance un peu mystique, ce qui limite psychologiquement les travaux effectués sur lui pour le connaître, en même temps que cela les encourage. La dénomination"cosmoplasma" est la plus commune, mais le nom scientifique de cette matière est "lithospiritum".
Dans l'Ancestrale, le lithospiritum est connu et employé, mais les connaissances scientifiques à son sujet sont encore plus ou moins du néant. C'est une source d'énergie qui semble renouvelable à l'infini, bien qu'il y ait sûrement des limites. Ladite énergie n'émane pas de façon permanente, mais se produit à travers une activation par des ondes Gamma, c'est à dire... celles du cerveau ! Dans les Errances, les Homo Sideralis parviennent à à peu près tous à activer le lithospiritum en restant éveillés voire en poursuivant une autre action. Les Homo Sapiens en sont pratiquement tous incapables. Le cosmoplasma ne s'use pas quand on l'active (sauf activation trop brutale qui peut le faire éclater) et l'énergie produite ne dépend donc que des personnes qu'on peut trouver pour l'activer. Renouvelable à l'infini ? Dans les Errances, c'est possible, même si on en fait des usages de puissance assez astronomique. Dans l'Ancestrale, c'est nettement moins certain ! L'activation représente pour la personne qui l'effectue un danger qui peut aller de simples migraines à des dégâts neurologiques importants. Parmi les très nombreux types de modiclones, il en existe qui sont conçus pour parvenir à activer le cosmoplasma plus facilement qu'une personne normale, mais ces travaux ne sont encore que des balbutiements. Dans certains pays, les centrales énergétiques emploient des condamnés de droit commun. Dans d'autres, on se contente de limiter les durées d'activation par personne, et on utilise aussi l'énergie éolienne ou solaire. Dans le prologue, qui se déroule après l'histoire et non avant (comme pour les Errances), on rencontre un jeune homme dont les ondes Gamma sont particulièrement compatibles, et qui le cache pour qu'on ne lui impose pas un changement de profession. Dans l'entreprise où il travaille, les employés effectuent des siestes pour produire l'énergie employée, et il fait de son mieux pour ne pas dépasser le quota. Ce n'est pas explicité, mais ce jeune homme possède des gènes modiclonés.
Dans Sideralis est intermédiaire à ces deux histoires, mais antérieure tout de même aux travaux de Nils Hamsa. Quelle est la situation ? Selon ce que j'ai décrit dans mon début de chapitre : scientifiquement, ce n'est pas très différent. Les durées d'activation plus ou moins dangereuses sont tout de même mieux connues, et comme il a été constaté qu'un état d'euphorisme se produit avant la phase dangereuse, de nombreuses personnes utilisent les "salles de sommeil" du réseau de production énergétique comme des lieux de relaxation. Pour parler franchement : c'est devenu une drogue assez pratiquée, et comme les habitant de la spatiocité sont des bagnards, l'administration ferme les yeux. Néanmoins, l'usage du lithospiritum reste la production d'énergie. La phase euphorique donnant aussi une sensation qui sera à l'origine de son appellation "cosmoplasma".
Musique et danse dans Sideralis
Cela peut sembler mineur... mais ça ne l'est pas du tout ! Alors que le cosmoplasma, pour le moment, relève du background, l'évolution culturelle de la spatiocité représente pour la gouverneure un moyen de prendre possession de son "domaine" et arracher le pouvoir au général, qui pour l'instant, détient la véritable autorité. La cité est encore en cours de peuplement et les habitants sont pour la majorité des condamnés, politiques ou de droit commun. L'autorité militaire est de mise ! Mais la deuxième génération se prépare, qui n'aura pas le même statut. Il y a aussi des fonctionnaires et des militaires. La gouverneure (elle-même très jeune, d'ailleurs) cible cette masse de jeunes, et encore plus la troisième génération, qui commencera bientôt à naître.
Dans les Errances, une forme de musique est socialement très importante : les Chants Stellaires, sorte de mélopée effectuée dans des salles à fonction spirituelle. Un truc religieux, en somme ! Il y apparait aussi des balades qu'on pourrait comparer à celles du Moyen-Age, et des danses frénétiques pratiquées par les Flibustiers lors des cérémonies de funérailles. Fort peu de détails sur tout ça, excepté que certaines personnes (Alysa par exemple, ou bien Swan) chantent bien.
Dans l'Ancestrale, pour le moment, rien du tout, mais ça n'a aucune importance...
Ce qui va se mettre en place dans Sideralis est potentiellement des bases pour la société visible dans les Errances. Il s'écoulera trois siècles entre les deux, mais tout de même... C'est d'autant plus valable pour la musique et la danse que la gouverneure (et sûrement d'autres gouverneures sur d'autres cités) compte sur ça pour asseoir son autorité et celle de ses fonctionnaires, lesquelles sont directement "ancêtres" du statut aristocratique dans les Errances.
A quoi donc que ça peut ressembler ? Hein ?
Un langage gestuel spécifique à la culture spatiale, surtout à l'aristocratie et totalement inconnu sur Terre, apparaît dans les Errances. Dans Sidéralis, il a déjà été mentionné que les modiclonés du temps de l'Ancestrale employaient des langages par signes, et qu'il en est résulté de véritables langage dont la gouverneure connaît plusieurs (elle est multipolyglotte). Cette gestuelle fait partie des éléments dont la gouverneure compte se servir. Elle peut s'intégrer à une danse comme les mudras de l'Inde, par conséquent se transmettre aux jeunes spatiaux sans que l'armée composée de militaires sous autorité terrestre vienne y fourrer son nez. Une forme de communication propre aux citoyens spatiaux.
Ça n'a l'air de rien, comme ça, mais je vous assure que notre société actuelle ne favorise pas de développer la souplesse des phalanges !!!
Les pianistes, guitaristes et personnes tapant au clavier des dix doigts sont un peu plus agiles, mais tout de même... tracer des mudras reste un exercice rudement compliqué, voire douloureux pour les doigts. Je vous recommande quand même d'essayer. C'est une bonne gymnastique.
Pour la danse, l'enjeu est moins important, mais la population de deuxième et troisième génération aura besoin de sentir qu'elle n'a pas le même statut que la première. Certes, leurs parents ont été privés de leurs droits humains, et eux-même ne se les sont pas vu rendre entièrement, mais une citoyenneté spatiale les détachera de cette absence de statut. Les lois galactiques qui s'instaureront feront une différence entre types génétiques. Pour le moment, la première génération est principalement "primohumaine", le terme le plus employé dans les Errances étant "basic-ADN". Ce sont des humains tels que nous. Certains sont porteurs de gènes modiclonés sans effet visible. Viennent ensuite les personnes porteuses des gènes facilitant la vie dans l'Espace, lesquels définiront d'être Homo Sideralis. Ils peuvent être de type 2 ou 3. La première est très majoritairement primohumaine. La deuxième l'est aussi très largement. On espère que la troisième soit majoritairement "type 1" Une population de "type 2" et "type 3" est attendue à terme, mais ne viendra qu'au fil des génération. Dans les Errances, le "type 2" est majoritaire dans l'Espace. Après "modiclones", on parlera de "mutants" mais à l'époque des Errances, les Spatiaux en ont raz-la-casquette de ce terme qui donné l'impression d'une modification génétique récente. On parle alors de pseudohumains mais le mot fait penser au "similihumain" qui désigne une catégorie d'androïdes. Donc : Homo Sideralis et basta. Le "type 3" sera universel dans la caste aristocratique, laquelle descend en droite ligne des modiclonés figurant parmi les fonctionnaires. Quant aux fonctionnaires non modiclonés (la plupart, en fait), il est probables qu'ils soient retournés sur Terre passé un certain temps (puisque de toute façon ils ne sont pas adaptés à la vie spatiale). Sur Terre, les "mutants" seront interdits de résidence, à une date possiblement voisine de Nils Hamsa. Suite à quoi, il n'y aura que des primohumains sur la Planète-Mère (sauf clandestins). Mais ce n'est pas supposé faire partie de Sideralis.
J'hésitais sur le type de danse, et songeais plutôt à quelque chose de lent, mais j'ai récemment eu le coup de coeur pour ceci. Après tout, il peut exister plusieurs danses et rythmes en même temps ! Et si on se fie à son prénom, la jeune gouverneure est d'origine japonaise.
à quoi on peu ajouter ceci... pour avoir plusieurs types de danse
Et puisqu'il est question de mudras...
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Mar 19 Nov 2024 - 12:49
Clavier... à l'arrêt ?
19 novembre = les deux tiers de l'Expédition ! Et je n'ai pas grand-chose à écrire, parce qu'à force de patauger, mon inspiration s'est barrée en direction de mon western. Comme de ce côté ça a bien voulu aligner les mots, je n'ai pas cherché à rebrousser chemin.
Etat actuel du texte sur Sideralis : faut poursuivre un chapitre qui parle de générateurs énergétiques et de problèmes sociaux, notamment de drogue et d'abus d'autorité. Sur L'Ancestrale, c'est un peu un changement d'arc : après avoir voyagé un moment sur le Jimetsu, Estevès et Muirgen sont maintenant au palais Kalki avec perspective d'y rester un moment et suivre des formations pour les activités qu'ils exerceront plus tard. Ben oui... c'est ça avoir 17 ans...
Et je poste juste pour ne pas oublier que je fais l'expédition... Même si je la fais juste en brainstorming, c'est pas une réussite.
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Séléné.C/ La femme qui tomba amoureuse de la lune Dim 1 Déc 2024 - 14:20
Fin (?) de l'Expédition
Et voilà...le mois de novembre est terminé. Et en fin de compte, je n'ai pas fait grand-chose, sur ce brainstorming dont mes romans SF ont fichtrement besoin.
Peut-être par réaction, j'ai tout de même, pendant ce temps, avancé un peu sur mon western (Matoskah), et il est à peu près certain que c'est par "effet ricochet" que j'ai entamé le "journal des muses sélénites" où sont explorés mes différents textes et leurs inspirations.
Si le secteur des Explorations n'est pas fermé trop vite, je reviendrai faire un petit bilan un peu moins petit que celui-ci.
(aujourd'hui, pas le temps)
carnet de voyage dans la Légende de Muirgen Danshi
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