elopez7228 a écrit:

Depuis y'a du mieux, quand même.

(et puis l'invisibilisation des "minorités", c'est pas propre aux romances...)

Ben écoute, je n'en ai pas encore lu un seul avec des minorités ou même quand tu regardes les couvertures ça reste très blanc.
Et non ce n'est pas propre aux romances effectivement.

J'ai envie de dire, heureusement que ça a tendance à changer. Après, je trouver (personnellement hein) que forcer les romances autres (que ce soit différentes ethnies, différents types de couples ou couples LGBT+), ca ne donne rien de bien fameux, comme les romances hétéro forcées.

Je dis ça, parce que j'ai tenté le coup dans ce que j'ai écrit et franchement, pour le coup, je trouvais ça extrêmement forcé et faux (concernant l'héroïne en tout cas, il y a des multitudes de couples cités dans mon roman et pas que hétéro cis blanc).

Tengaar a écrit:

elopez7228 a écrit:

Depuis y'a du mieux, quand même.

(et puis l'invisibilisation des "minorités", c'est pas propre aux romances...)

Ben écoute, je n'en ai pas encore lu un seul avec des minorités ou même quand tu regardes les couvertures ça reste très blanc.
Et non ce n'est pas propre aux romances effectivement.

Moi j'en vois au moins deux. Alors sur un million ça fait pas lourd, mais ça existe.



@Valady, la diversité n'est pas forcée, elle est réelle. C'est l'invisibilisation qui est forcée. cf : ce topic

Je chercherai mieux la prochaine fois ^^

Je me suis mal exprimée. Dans les histoires que j'ai voulu écrire, si ça ne venait pas spontanément, ça faisait faux et forcé. Ca ne m'empêche pas d'en écrire, mais parfois ça ne colle pas à l'idée que j'ai de mes productions.

Valady A. a écrit:

.../...
Alors j'ai mon avis sur la question, mais pour vous, vraiment, les histoires d'amour dans les romans, c'est juste énervant et pas utile?

Je me centre sur la question de départ.

Mon constat, si on parle de littérature autre que "blanche", donc, SFFF, etc. j’ai le sentiment qu’il en est de même de leur utilité (des histoires d’amour) que de celle de "l’originalité" en littérature.
Dans le genre "romance", la question ne se pose pas...

Rien n’est "obligatoire", ni, et peut-être encore moins, "interdit". Comme en toute chose, si c’est bien mené, utile à l’intrigue, etc. alors, oui, c’est bien qu’il y ait une histoire d’amour dans le roman.

Si le contexte s’y prête également. Par exemple, mon roman SFF, a pour héroïne, une jeune fille de douze ans. Je me vois mal y introduire une histoire d’amour avec l’un des héros secondaires. Ça ferait un peu louche quand même. Même dans un monde fictif hors du temps.

Ensuite, il y a ce que le lectorat attend de ce genre littéraire. Si le lectorat attend de trouver une histoire d’amour dans le roman qu’il achète, il serait déçu de ne pas en trouver une. Mais encore faut-il l’inclure avec tact et savoir-faire.

Encore une fois, l’objectif que se fixe l’auteur ou l’autrice du roman est primordial.

Comme il a été dit à plusieurs reprises dans le thread, on ne peut plaire à tout le monde en même temps avec la même chose. Que cherchons-nous ? À être lu ? À vendre ? À être reconnu ? À être original ? À plaire à une ME ? À être édité ? Parce que si on veut tout ça en même temps… c’est possible, mais ce n’est pas gagné d’avance. Des Harry Potter, il n’y en a qu’un par génération. Et encore.

Dans bien des cas, il faut choisir son camp. Alors, selon l’objectif que l’on se fixe, on mettra ou pas une histoire d’amour dans nos écrits.

C’est comme ça que je vois les choses.

En toute amicale estime, Philippe.

Merci pour ton avis, qui recentre le débat sur le sujet de départ Effectivement, selon l'âge des protagonistes, une histoire d'amour se justifie ou non (encore que, j'ai eu mes premiers amoureux en maternelle, donc... On ne raconte peut-être juste pas la même histoire, et pas de la même manière pour un personnage de douze ans et un personnage adulte).

Valady A. a écrit:

Merci pour ton avis, qui recentre le débat sur le sujet de départ Effectivement, selon l'âge des protagonistes, une histoire d'amour se justifie ou non (encore que, j'ai eu mes premiers amoureux en maternelle, donc... On ne raconte peut-être juste pas la même histoire, et pas de la même manière pour un personnage de douze ans et un personnage adulte).

Nous nous comprenons...

J'ai l'impression aussi qu'on s'attend plus souvent à une romance quand le personnage principale est une femme. Genre, c'est une femme, elle peut pas se contenter de tuer Grandméchantpasbeau avec l'Artefact comme un homme. Il FAUT qu'elle tombe amoureuse en chemin, sinon elle n'est pas "complète"

Ce systèmatisme devient extrêmement agaçant à la longue.