Hé bien, je pense non pas avoir "progressé", mais rendu publiable quelque chose qui ne l'était pas, tout simplement.
Cela veut dire : intégrer dans l'acte d'écriture des aspects techniques, pour qu'un lecteur soit "content de ce qu'on lui offre à lire".
DONC : pour ma part, au niveau du feel good, je suis passée d'une chose sans structure à une histoire construite, avec un début, une fin, et entre les deux, des rebondissements et bien sûr, le coeur de l'histoire... le tout, en tâchant de rendre le personnage principal plutôt attachant.
Au passage aussi, en maîtrisant les temps = ne plus jamais s'amuser à avoir des chapitres au présent, puis au passé, puis à nouveau au présent... sans aucune raison.
Enfin : j'ai conservé les "environ 7000 caractères par chapitre, espaces inclus" + le tout faisant entre 200 000 et 250 000 caractères.
J'ai dépassé depuis longtemps l'idée selon laquelle on pouvait se permettre d'écrire sans structure, que c'était "la tendance"...
CONCLUSION : je pense avoir désormais intégré le bon logiciel dans mon cerveau, qui fera que je ne me retrouverai plus jamais à avoir cru écrire "un truc vachement bien" alors que non, et que je n'aurai donc plus jamais besoin de tout reprendre, au point de tout réécrire... voilà, voilà...
PS : j'ai parlé du feel good
car c'est ce qui m'a demandé le plus de boulot, mais c'est valable pour à peu près n'importe quel genre, je suppose, puisque j'applique les mêmes règles au niveau du thriller, de la romance, de la dystopie...
PS 2 : et puis surtout : une fin, une vraie fin travaillée, et surtout pas un truc bâclé parce qu'on en a marre d'écrire en non-stop depuis de longues semaines...