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 Modèles masculins dans la littérature ; les bons, les mauvais, les absents.

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MrIous
   
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MrIous  /  Clochard céleste


Alors, personnellement, j'ai toujours eux un problème avec ce genre de question ^^'. Depuis que j'ai commencé à me poser des questions sur la manière de construire mes personnages, je me suis efforcé et même encore aujourd'hui, à ne pas faire la distinction homme/femme. Tout simplement parce qu'un trait de caractère n'est pas spécifique à un genre, selon moi. Certes, cela dépend des histoires. Dans un contexte historique, où par le passé, les hommes étaient décrit comme très machiste envers les femmes, voire insultant, violent, bref, plein de mot en -ant. Dans une histoire fantaisiste où les mœurs peuvent se mêler à une époque moyenâgeuse et donc proche de ce que j'ai déjà décrit précédemment. Au delà de ce genre d'exemple, un trait de caractère ou un stéréotype peut se greffer au deux genres.

Loin de moi l'idée de dire qu'il n'y a pas de stéréotype propre aux hommes ou aux femmes, disons qu'il y en a qui sont beaucoup plus exploité pour l'un que pour l'autre. Mais dans mon cas, j'ai toujours préféré me dire que tout était possible. Les stéréotypes existent et sont bien pratique quand on veut faire comprendre rapidement aux lecteurs à quel genre de personnage il a à faire, le tout est pouvoir jouer avec.


- Une ligne supplémentaire pour tous les membres masculins (y compris ceux s'identifiant comme tel) ; avez-vous une expérience, un ressenti à partager ? Vous êtes-vous construit un idéal par le biais de personnages masculins, ou au contraire, avez-vous été déçu par ce que l'on vous proposait ?

Je ne sais pas comment répondre à cette question. Je n'ai jamais vraiment eu d'attente envers les personnages masculins que les fictions me proposait. J'en ai détesté certains, adoré d'autres et parfois, rien. S'il devait avoir un idéal je préfère le construire moi-même (c'est surtout que de mémoire, je ne sais pas si je connais un personnage qui pourrait le représenter aujourd'hui.) Pour le coup, les hommes ne sont pas en manquent en ce qui concernent les différents caractères que l'on peut retrouver en fiction. Je n'en dirais pas plus des femmes, même si ce n'est pas le sujet ici ^^'

:mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
 
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VivianW  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Le plus sain reste de ne pas se poser la question et d'écrire sur ce que l'on connait
 
Chimère
   
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Chimère  /  Constamment Fabulous


VivianW a écrit:
Le plus sain reste de ne pas se poser la question et d'écrire sur ce que l'on connait

C’est triste de ne pas chercher à évoluer et sortir de sa zone de confort, non ?

Ce genre de sujet montre justement que la littérature colporte certains modèles et archétypes qui ne sont plus sains (ou même, qui ne l’ont jamais été, d’ailleurs). Parce que la société évolue, parce que nous évoluons, ce n’est pas une surprise.
Perso, j’aimerais éviter de reproduire des erreurs anxiogènes par ignorance. Et même sans parler de ma petite personne, je trouve intéressant de se poser des questions, d’être curieux.se.
Quand je vois beaucoup d’auteur.e.s qui, de nos jours, écrivent d’énormes conneries parce qu’ils n’ont jamais fait l’effort de se remettre en question, ça interpelle.
 
Mariolo
   
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Mariolo  /  Tapage au bout de la nuit


Je pense que ce que Vivianw veut dire, c'est que en s'inspirant des hommes de son entourage, amis, connaissance, collègues, le boulanger du coin..., pour construire un personnage, on ne sera ni caricaturale, ni faussement original, mais on exprimera quelques chose de réaliste, de vrai.
En tout cas c'est ce que j'ai compris.

 
Chimère
   
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Chimère  /  Constamment Fabulous


Je réagissais plus généralement au « le plus sain est de ne pas se poser la question », vu que c’est un peu aux antipodes du but de ce sujet. À mon sens, il est sain même vital de se poser des questions, régulièrement et même si c’est inconfortable, ça nourrit la personne en plus de son écriture. Mais c’est « à mon sens » justement, je conçois tout à fait que ce ne soit pas l’envie de chaque individu ☺
 
Profsamedi
   
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   Pensée du jour  :   "Là où l'on brûle des livres, on finit aussi par brûler des hommes." Heinrich Heine (écrivain allemand du XIXᵉ siècle)
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Profsamedi  /  Roberto Bel-Agneau


Je découvre le sujet à l’occasion des derniers posts qui viennent d’y être… postés justement. En fouillant dans “Nouveaux messages depuis votre dernière visite”. (rire)

Je suis et je reste indécrottablement classique et sans aucune imagination et encore moins d’originalité. Chacun le sait.
Il en faut non ? (rire).  

– Quel sont les modèles masculins qui vous dérangent, et pourquoi ?
Tous ceux qui ressemblent de près ou de loin à ceux que je peux croiser dans la vraie vie IRL. Si je les ai autour de moi, je n’ai pas envie de les retrouver dans les romans que je lis. Je lis pour m’évader, être ailleurs, rêver, changer du quotidien, etc.

— Quels sont les modèles masculins que vous recherchez, que vous appréciez ?
Au lieu de donner une description, je préfère donner des exemples :

Ceux que j’ai déjà bien aimés ailleurs dans d’autres romans : style le conte de Monte Christo. (mais surtout pas incarné par le gros pseudorusse bourré du soir au matin). Robinson Crusoé, le professeur Challenger (C. Doyle), l’inspecteur Harry, les personnages incarnés par le même acteur dans tous les rôles de ses autres westerns, Gandalf, le petit japonais dans Karaté Kid. Toshirō Mifune dans les sept samouraïs. Yul Brynner dans les sept mercenaires. Moïse dans les dix commandements. Et tant d’autres sur le même modèle. Sur un autre registre, tous les super héros Marvel qui n’ont que faire des conquêtes féminines à la chaîne (il y a les romans érotico-pornos pour ça… et je sais de quoi je parle ! [rire]).

– Quels sont les modèles masculins trop peu mis en avant/qu’il reste à développer, selon vous ?
Les gentlemen bien éduqués, respectueux de la gent féminine, galants, distingués, cultivés, quelle que soit leur apparence physique. Ceux dont on ne met pas en avant les performances sexuelles, ceux qui savent parler d’autre chose que de foot, de bagnoles en sirotant de la bibine au coin du zinc ou ailleurs.

— Une ligne supplémentaire pour tous les membres masculins (y compris ceux s’identifiant comme tels) ; avez-vous une expérience, un ressenti à partager ? Vous êtes-vous construit un idéal par le biais de personnages masculins, ou, au contraire, avez-vous été déçu par ce que l’on vous proposait ?

Être déçu par les personnages masculins que propose la littérature blanche (que je n’apprécie guère) est juste un euphémisme. No comment !

Maintenant, attention, je n’exprime ici que mon seul ressenti personnel. Je n’ai aucune mauvaise pensée envers celles et ceux qui apprécient autre chose, tout au contraire, il faut de tout pour faire un monde. Mais puisque la question posée demande une opinion personnelle, je la donne, sans aucune intention de convaincre, ni même d’en discuter.

Pour ce qui me concerne, j’aime assez peu les personnages masculins. Dans mes romans, ils sont très minoritaires. Voire parfois inexistants. Je trouve le registre des personnages féminins infiniment plus riche, plus diversifié, plus profond psychologiquement comme philosophiquement. Une mine d’or.

En toute amitié, Philippe.


Dernière édition par Profsamedi le Dim 9 Jan 2022 - 9:33, édité 1 fois (Raison : Ajout de précisions)
 
SuperAlice
   
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Coucou, j’ai peut-être cinq minutes...

J’ai fait un mémoire sur la thébaïde version médiévale. Du coup, je suis tombée amoureuse d’Eteocle.

- Quel sont les modèles masculins qui vous dérangent, et pourquoi ?
Polynice le frère est pour moi méchant, même si c’est dur à capter dans la version médiévale vu qu’est pas mal neutralisé le clivage bien et mal.
C’est son acharnement dans la réalisation de sa personnalité, pas tant son désir d’être le grand gagnant ; Eteocle aussi voulait gagner, snif.

- Quels sont les modèles masculins que vous recherchez, que vous appréciez ?
Mon poussin d’amour, pas un faible homme hein, c’est mon affection qui parle.
C’est son mouvement de force dans la lutte, et sa droiture.

- Quels sont les modèles masculins trop peu mis en avant/qu'il reste à développer, selon vous ?
Je ne sais pas trop, mais en cours, peut-être que ça te parlera mais, on avait vu que c’était à partir, il me semble, du XIIIe que les hommes avait arrêté de pleurer et de s’évanouir de tristesse ou d’émotion. Étrange. Ça n’enlevait vraiment rien à leur force de caractère et à leur force tout court, c’était simplement magnifique.



Désolée si c’est hors sujet, des fois je me plante.

Je pense aussi que l’idéal masculin que je me suis construit avec les personnages que j’aime resteront toute ma vie dans mon esprit, ce sont mes amant qui ne me tromperont jamais. Idéaux et exclusifs. Inclusifs peut-être aussi. Je ne m’en lasse jamais. Je pense souvent à eux et ait toujours aimé me les imager.

J’essaierai de repasser au cas où il y ait un retour.


Dernière édition par alicededarty le Sam 8 Jan 2022 - 0:31, édité 1 fois
 
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VivianW  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Fais nous plutôt un retour sur Giverny : ça donne quoi les nénuphars en hiver, les parkings de graviers, déserts, la cuisine et son mobilier jaune débarrassée des touristes... Dis moi donc Darty
 
SuperAlice
   
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Hihi, j’ai pas compris, je sais pas si c’est le fait que je sois plus trop présente et qu’il y ait un langage parlé qu’ici...

Allez hop poubelle dirait Hobbes !

Tin j’suis vieille 😂
 
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VivianW  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Ton avatar chérie... Modèles masculins dans la littérature ; les bons, les mauvais, les absents. - Page 2 Screen14

Et non, t'es pas vieille : tu rafraichis le topic (merci)
 
SuperAlice
   
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Mouac mouac Modèles masculins dans la littérature ; les bons, les mauvais, les absents. - Page 2 200.gif?cid=a9c9a183ukk3phwox8to8uo3d7mwiuj1rh6j5islu74vsds0&rid=200
 
lili-orionis
   
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Je rejoins globalement ce qui a été dit jusqu'ici  Wink

1) Quel sont les modèles masculins qui vous dérangent, et pourquoi ?
Les hommes dont le mode de communication passe par la violence, l'intimidation et/ou la domination. Ceux qui cherchent à se définir par le nombre de leurs conquêtes, leur pouvoir d'achat/statut social ou leurs biceps. En clair, du kéké-wesh agressif à la montagne de muscles dont le cerveau fait ding dong tellement il y a de la place dans sa boite crânienne en passant par l'homme d'affaire névrosé.

2) Quels sont les modèles masculins que vous recherchez, que vous appréciez ?
Des figures réalistes et en apparence communes mais intéressantes quand on creuse un peu. Une âme bienveillante, plutôt exempte de vice type Geralt de Riv ou Norbert Dragonneau qui a déjà été évoqué (oui, j'ai réussi à caser ensemble ces deux personnages que tout semble opposer :mrgreen: ). J'aime bien le personnage intello un peu torturé qui parvient à se révéler en développant sa générosité et son empathie. Et j'aime qu'il ait un but extérieur à lui-même : défendre une créature magique incomprise, retrouver un artefact mystique pour sauver un village ou ce genre de chose.

3) Quels sont les modèles masculins trop peu mis en avant/qu’il reste à développer, selon vous ?
Beaucoup restent à développer !
Je me désole quand je vois éternellement et invariablement le modèle du bad boy beau et ténébreux dont les biceps saillent sur la première de couverture... Celui-là même qui fait tomber toutes les filles comme des mouches mais qui, finalement, n'aura d'yeux que pour l'héroïne qui, elle, se définit par sa banalité et à laquelle on peut facilement s'identifier.
Soyons réalistes, dans la vraie vie, ce genre de type a peu de chance de tomber amoureux de la nana classique, un peu timide et maladroite. Il ne risque pas non plus de se transformer tout d'un coup en petit ami romantique et fidèle qui n'aura du jour au lendemain plus un regard pour la pléthore de nanas sexy et superficielles qui gonflent la poitrine à son approche. Bref, je trouve que ce fantasme qu'on brode aux jeunes filles (et aux femmes) est clairement néfaste. Si dans la vraie vie elles pensaient reproduire le même schéma, la grande majorité s'y casseraient sans doute les dents.
Ensuite, c'est aussi un message très contradictoire envoyé aux garçons : Si tu veux être désirable, muscle-toi parce que c'est ça être virile et enchaîne les conquêtes tout en ayant l'air inaccessible ! Ah... mais non, tu dois respecter les femmes et tomber amoureux d'une fille un peu réservée qui se définira par son naturel. C'est ça qui fera de toi un type bien ! Il y a de quoi s'y perdre...
Pour moi, on peut difficilement prôner le respect homme/femme et être d'accord avec ce genre de schéma impossible.
Donc, j'aimerais bien voir beaucoup d'autres modèles masculins dans la littérature et notamment en YA et en romance Very Happy
 
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Noxer  /  Au nom de l'Abeille – Et du Papillon – Et de la Brise – Amen !


Citation :
- Une ligne supplémentaire pour tous les membres masculins (y compris ceux s'identifiant comme tel) ; avez-vous une expérience, un ressenti à partager ? Vous êtes-vous construit un idéal par le biais de personnages masculins, ou au contraire, avez-vous été déçu par ce que l'on vous proposait ?

J'ai construit mon idéal masculin par le biais de personnages féminins pour la grosse part. Je ne me suis jamais identifié aux personnages masculins sauf dans leur rapport au personnage féminin de l'histoire. Je n'ai pas souvent été "déçu" (je n'attends pas d'un personnage que je puisse m'y identifier) mais la plupart m'ennuient. Je ne crois pas qu'il "manque" de modèles masculins positifs, il en manque juste qui soient personnages principaux. Paradoxalement, je ne les aime pas lorsqu'ils sont personnages principaux (Norbert qui est évoqué plusieurs fois, mais aussi Steven universe et autres qui me fatiguent à force). Je crois que tous mes personnages préférés sont des sidekick, le plus souvent d'une héroïne, et je crois que je les apprécie parce que j'apprécie l'héroïne, ou inversement.

J'aurais tendance à dire qu'il faudrait plus d'anti-modèles. J'aime les personnages complexes et craignos, genre Walter White, qui est la pire ordure qui soit. Je trouve que dépeindre un anti-modèle marque beaucoup plus les esprits sur tel ou tel trait de telle ou telle masculinité que d'en dépeindre son modèle. Il y a toujours plus de complexité qui peut faire construire un individu qui la ressent également. Le modèle de la masculinité positive qui commence à être populaire pour moi n'existe pas et n'aide pas vraiment les hommes présenté tel quel. C'est comme si on mettait un tutu rose sur la moralité et qu'on nous demandait de le porter.
https://letombeaudespaquerettes.wordpress.com/
 
questiondepointure
   
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questiondepointure  /  Tycho l'homoncule


Je déteste les héros "parfaits", chevaleresques à outrance, qui pardonnent à leur ennemi une fois qu'ils ont l'occasion de l'abattre. J'aime le héros antique, comme Ulysse, qui ne cède pas à la pitié facile, et assume sa volonté de vengeance et sa violence.

Coté femmes, la petite fifille fragile qui baisse les yeux en attendant son sauveur m'insupporte autant que celle qui joue au dur et qui bat 5 mecs à mains nues. Je trouve ça ridicule, c'est plus fort que moi.

De façon globale, j'aime l'originalité, la fidélité, la dévotion à un idéal, la passion et logiquement j'aime retrouver ça chez les héros de fiction, comme chez les personnages historiques. Et LE truc qui me fait vibrer le plus (on va encore décrier mon romantisme archaïque), ce sont les gens qui se battent contre le mouvement général du monde, qui tentent de sauvegarder ce qui semble voué à la destruction, ceux qui essayent de s'opposer à la tempête, même si le monde entier considère qu'elle va les emporter. Ou les gens dont la supériorité individuelle fait peur, qui semblent un instant pouvoir vaincre, et qui finissent emportés par la coalition de tous leurs adversaires.
https://www.wattpad.com/user/questiondepointure
 
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Invité  /  Invité


les questions qui sont posées me semblent être complètement accessoires et me paraissent ressortir d'un mythe selon lequel il y aurait un "critère" pour bien écrire ou apprécier un livre, et que ce critère coïnciderait avec une évaluation abstraite. c'est-à-dire qu'il faudrait écrire un livre "comme il faut", et qu'on ne devrait pas apprécier un livre qui n'est pas "comme il faut" ou qui n'est pas de bon ton. c'est omettre qu'un livre a dix mille inclinations possibles dans un roulement permanent, et que les grands auteurs n'ont rien attendu pour s'affranchir des modèles, et qu'une dépréciation n'est jamais "en soi" mais relative au lecteur qui ne devrait pas en imposer à l'écrivain
 
   
    
                         
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