Fantast’ink Editions est à la recherche de textes pour sa collection Numér’ink qui verra le jour au plus tard au second semestre 2021. Il s’agit d’une collection spécialement dédiée aux nouvelles et histoires courtes qui seront proposées à la vente seulement au format numérique.
Tous les genres et sous-genres de l’imaginaire sont les bienvenus, que ça soit du fantastique, de l’urban fantasy, de l’horreur, ou même une romance paranormale, etc. nous sommes preneurs !

Si votre récit retient notre attention, nous vous proposerons un contrat d’édition et vous compterez parmi nos auteur(e)s.

Les textes doivent faire entre 10 000 et 15 000 mots et être envoyés avant le 31 janvier 2021, dans une version finale et (de préférence) exempte de fautes, avec un synopsis de quelques lignes, à l’adresse manuscrits@fantastinkeditions.com. Nous n'acceptons que le format type WORD et vous demandons de nommer votre fichier de cette façon : nom-prénom-titre. Pour plus de détails concernant nos exigences, vous pouvez vous référer à notre page des soumissions de manuscrit.

Pour toutes questions, n'hésitez pas à nous contacter via notre formulaire de contact.

Challenge accepted! ^^

C'est intéressant, mais le fait que ce soit uniquement numérique m'a immédiatement refroidie

Bonne chance à ceux qui participeront !

L'histoire se suffit à d'elle-même, indépendamment du support sur lequel elle est reproduite

Un pied à l'étrier pour un JE en herbe qui veut se faire connaître, c'est toujours bon à prendre. Le Goncourt, ce sera juste après, un peu avant le prix Nobel de littérature.  
Soyons modestes.

Markus Charret a écrit:

L'histoire se suffit à d'elle-même, indépendamment du support sur lequel elle est reproduite

Je suis une traditionaliste... Tous mes romans ont été édités en papier et numérique jusqu'à présent et je ne me sens pas prête à dire totalement adieu au papier. C'est le bonheur d'avoir son ouvrage littéralement entre les mains
Et c'est très important pour moi également.

Je comprendrais que ce ne soit pas aussi vital pour d'autres, car de plus en plus de ME numériques voient le jour, mais voilà... pour moi, le livre est un objet de collection

Profsamedi, ça peut effectivement être un tremplin comme un autre (même si la ME est toute jeune et que la proposition est exclusivement numérique), mais ce n'est pas difficile d'être édité en papier dès un premier roman

BoiséeNoire a écrit:

mais ce n'est pas difficile d'être édité en papier dès un premier roman

Je suis certain qu'il y aurait moyen d'en débattre TREEEEES longement sur ce forum ^^

BoiséeNoire a écrit:

Je suis une traditionaliste… Tous mes romans ont été édités en papier et numérique jusqu’à présent et je ne me sens pas prête à dire totalement adieu au papier. C’est le bonheur d’avoir son ouvrage littéralement entre les mains
Et c’est très important pour moi également.

Je suis aussi un traditionaliste dans ce domaine comme dans de multiples autres, et je ne peux que t’approuver entièrement. Note que je n’ai jamais parlé d’abandonner le papier.
Mon rêve est de pouvoir offrir à mes proches un gros volume en plusieurs tomes de mes œuvres — et pleurer toutes les larmes de mon corps en constatant qu’ils ne les ont même pas ouverts après dix ans passés à prendre la poussière dans la bibliothèque.  

BoiséeNoire a écrit:

Je comprendrais que ce ne soit pas aussi vital pour d’autres, car de plus en plus de ME numériques voient le jour, mais voilà… pour moi, le livre est un objet de collection

Comme pour moi.  

BoiséeNoire a écrit:

Profsamedi , ça peut effectivement être un tremplin comme un autre (même si la ME est toute jeune et que la proposition est exclusivement numérique), mais ce n’est pas difficile d’être édité en papier dès un premier roman

Je te rois sur parole, mais les multitudes de refus cités dans ce forum m’avaient laissé penser que ça n’était pas aussi facile que ça. Cependant comme je n’ai jamais essayé, je ne peux que constater ce que je lis.
Néanmoins, je penche de ton côté quand je vois les daubes qui sont éditées papier en parcourant les rayons de la Fnac ou ceux du salon du livre. Alors je me dis que si le texte et l’histoire sont de qualité, et à la mode, il n’y a pas de raison de ne pas être retenu par une ME.

J'ai mal exprimé ma pensée : être publié, c'est un concours de circonstances parfois assez extraordinaires (plaire à l'éditeur, entrer parfaitement dans sa ligne éditoriale, que le planning ne soit pas encore complet, que l'éditeur n'ait rien de trop semblable dans son catalogue... etc.), mais une fois qu'on a reçu un "oui", alors là, ce n'est ni rare ni difficile d'avoir une publication en papier au contrat
La preuve ? Mes trois (premiers) contrats d'édition ont une clause concernant la vente des brochées et, mon dernier, un tirage à quelques deux-milles exemplaires !

En tous cas, tout ça pour dire que l'appel à textes est très intéressant, mais que je suis une fille de papier, alors ça me déçoit que ce soit uniquement numérique, surtout que je dépose beaucoup de mes textes sur Wattpad (plateforme de lecture et d'écriture en ligne) et que mes lecteurs me lisent donc déjà sur écran... et que c'est plutôt la version papier qu'ils veulent pour m'encourager et collectionner

Je comprends et j'adhère.

Super challenge !

Allez, c'est parti !

Quelqu'un a-t-il des nouvelles de cette ME ? Je n'ai reçu aucun accusé de réception à mon envoi, et je remarque seulement que son Facebook n'a plus été mis à jour depuis presque quatre mois. De plus, j'ai découvert que leur projet de financement sur Ulule n'a pas abouti Ca me laisse un -très- mauvais pressentiment...

J'ai reçu confirmation que la santé de la ME n'était pas au top, mais n'ai pas encore obtenu d'information quant à l'état de leur AT. Je reviens vers vous dès que j'en sais d'avantage, que ce soit pour ce dernier, ou pour le moyen d'aider cette jeune ME.

Bonjour, bonsoir.

Espérons que la pandémie actuelle n'ait pas tué dans l'oeuf cette future ME.
A te lire, Markus Charret, je crains le pire.