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 Éditions Complicités

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Tengaar
   
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Séléné.C a écrit:
Dommage qu'il n'apparaisse pas aussi un vocabulaire pour définir et désigner ces différentes formes...

Prestataire de services d'édition. Voilà voilà.
 
Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Tengaar a écrit:
Séléné.C a écrit:
Dommage qu'il n'apparaisse pas aussi un vocabulaire pour définir et désigner ces différentes formes...

Prestataire de services d'édition. Voilà voilà.

Formule un peu trop globale.
Un éditeur qui fonctionne au pourcentage, pour fabriquer les livres et gérer les ventes mais n'effectue pas la diffusion n'est pas la même chose qu'un éditeur qui prend tout en charge y compris la diffusion mais pas non plus la même chose qu'un prestataire qui fait payer pour réaliser techniquement le livre.
On manque de vocabulaire, et ce n'est à mon avis pas un petit problème.
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Valjean
   
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Valjean  /  Clochard céleste


S'il est vrai que cette maison d'édition était à compte d'éditeur avant, cela signifie qu'elle progresse et grandit petit à petit. Après, j'écris comme un hobby. Etre publié, je ne m'y attendais pas, alors c'est déjà un bonus.
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Emma Sages
   
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Emma Sages  /  Roland curieux


Donc, si je résume, ce qu'apporte une petite ME ce sont les corrections, mise en forme du bouquin, couverture. Ça ne fait pas cher payé pour ça (qui de mon point de vue de novice me semble être le moins compliqué de la partie) ?

Pour moi, le gros avantage d'une ME, ce sont sa diffusion et ses opportunités de promotion qui ne sont pas à la portée de tout le monde ... C'est ça qui justifie sa rémunération.
Je suis bien d'accord qu'il faut s'investir dans la promo, mais, comme le dit Séléné, lorsque tu signes avec une ME, je ne voyais cette promotion que comme complémentaire par rapport au travail de la ME en la matière.

Car le but, c'est quoi, lorsqu'on choisit une petite ME ou l'AE ? Ce n'est pas de gagner de l'argent, il me semble, mais de gagner un potentiel lectorat qui deviendra un argument dans la recherche d'une ME "correcte" pour le manuscrit suivant, non?
Je vois ça plus comme un moyen que comme une fin, en fait.

Et donc, dans cet objectif-là, quel est le meilleur canal ?
La petite ME qui va te faire payer au prix fort la mise en forme (au sens large) du bouquin, mais ce sera à l'auteur ensuite d'assurer le reste tout en subissant les contraintes de la ME (par ex, pas de possibilité de modifier le prix de vente en numérique).
Ou l'AE pour laquelle tu vas effectivement avoir un travail de dingue pour la mise en forme, mais ensuite, le travail à fournir est le même qu'avec une petite ME, sauf que tu as l'avantage de pouvoir tout maitriser.

Il me semble aussi que ce qui est vraiment porteur aujourd'hui, ce sont les ventes en numérique, notamment sur Amazon, et que ça, c'est plus facilement maitrisable en AE, non ?

Encore une fois, tout ça n'est que réflexions de ma part, suite à mes lectures un peu partout, et je continue de m'interroger.
 
Valjean
   
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Valjean  /  Clochard céleste


Après, il ne faut oublier l'aspect contact de la presse. Ma maison d'édition va s'en charger, et si mon livre attire l'attention d'un quelconque média ou distributeur, alors il recevra des critique ou sera demandé par un distributeur, qui en commandera à ma maison d'édition.

Honnêtement, c'est peut-être léger pour beaucoup, mais je ne crois pas que les communiqués d'un auteur inconnu en auto-édition soient lus par la presse ou les distributeurs. De ce côté-là, il y a un avantage majeur. Après, il faut que le sujet du livre plaise et attire, et là, c'est un peu la loterie.
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Valjean
   
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Valjean  /  Clochard céleste


Un écrivain qui fait sa promo en auto-édition va passer ses weekend dans les salons littéraires à essayer de vendre, rentrant heureux quand il a écoulé 5 livres. C'est un investissement phénoménal. Je compte faire assez peu de salons littéraires, car je ne crois pas que ce soit la clé pour se faire connaître, même si ça peut aider.
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Maih'em
   
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Maih'em  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Moi je pense le contraire. Les salons, c'est la clef. C'est un échange humain qui compte là où tous les autres sont très artificiel.
Les promos Facebook, Twitter, Instagram, c'est un jeu auquel on doit aussi se prêter, mais qui est à mes yeux nettement moins productif. On pose des likes par ci par là, mais ça n'amène pas vraiment à une pluie de ventes, même si les chroniques sont bonnes.
En revanche, un contacte chaleureux en salon suivie d'une lecture qui tient ses promesse, là ça fait des émule. Et en plus, les gens que tu y rencontres sont un réseau nettement plus efficient.
Enfin, c'est mon avis et mon ressenti.
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Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Valjean a écrit:
Un écrivain qui fait sa promo en auto-édition va passer ses weekend dans les salons littéraires à essayer de vendre

J'espère que non, parce que je n'ai pas de voiture et ferai sûrement très peu de salons pour mon autoédition.
Quand bien même j'aurais une voiture, ma santé est beaucoup trop aléatoire pour ce genre de vie !

Maih'em a écrit:
Moi je pense le contraire. Les salons, c'est la clef. C'est un échange humain qui compte là où tous les autres sont très artificiel.
Maih'em a écrit:
un contacte chaleureux en salon suivie d'une lecture qui tient ses promesse, là ça fait des émule. Et en plus, les gens que tu y rencontres sont un réseau nettement plus efficient.  

Oui... c'est pour ça que les salons sont souhaitables.
Je n'ai pas d'expérience dans le domaine, mais j'ai l'impression que ce qu'il faut attendre des salons, c'est des prises de contacts, des échanges, c'est à dire de la diffusion (et non de la vente uniquement)

Emma Sage a écrit:
Il me semble aussi que ce qui est vraiment porteur aujourd'hui, ce sont les ventes en numérique, notamment sur Amazon, et que ça, c'est plus facilement maitrisable en AE, non ?

Le fait est qu'il y a beaucoup d'autoédités qui ne font que du numérique, notamment par kindle (amazon)

Petit détail à propos de l'autoédition en numérique uniquement : on fait rarement des salons avec un ebook posé sur la table ! Si bien que l'autoédition numérique dément totalement la vision que Valjean a de l'autoédition (salon sur salon tous les dimanche). Pour la même raison, il est inutile en AE numérique, de démarcher les libraires.
Ici, on est renvoyé à la question des moyens disponibles pour effectuer la promo du livre.

Amazon est dur à éviter tout à fait, car il est une énorme vitrine. Les avis sur les pages de vente amazon sont sûrement beaucoup plus consultés que ceux sur Babelio. Pour les ebook, il est donc déjà un "bon point", mais comme il y a beaucoup de livres sur le site, il faudra tout de même encore que le livre se démarque.
Et on retombe encore sur la diffusion, qui exige un minimum de talent à communiquer

Les réseaux sociaux, si on sait les employer, sont sans doute un bon outil, très complémentaire aux envois de service-presse. Mais il faut savoir les manier, justement.

Valjean a écrit:
Après, il ne faut oublier l'aspect contact de la presse.
Oui... mais quelle presse, au juste ? Et est-ce que l'article amènera des lecteurs ?
Quant à ce que l'article amène un diffuseur à s'intéresser au livre, je n'y crois pas beaucoup
Valjean a écrit:
et si mon livre attire l'attention d'un quelconque média ou distributeur
Attention à ne pas confondre diffuseur et distributeur

Valjean a écrit:
je ne crois pas que les communiqués d'un auteur inconnu en auto-édition soient lus par la presse
Un simple communiqué, peut-être pas...
... mais avec des extraits de critiques obtenues par envoi de service-presse à des blogs ?
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Valjean
   
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Valjean  /  Clochard céleste


Attention, les ventes de livres numériques ne sont pas si importantes que cela. Voici un site avec les chiffres.

https://www.sne.fr/actu/les-chiffres-de-ledition-francaise-en-2018/

Après, 212 millions d'euros, ça reste un gâteau intéressant à goûter. Tout est affaire de choix, et ceux d'un écrivain ne sont pas faciles.
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Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Quand je vois des livres publiés par de gros éditeurs vendus à 14 euros pour la version numérique et 20 euros pour la version papier, je me dis qu'ils ne doivent pas beaucoup se vendre en numérique. Or, c'est chez les gros éditeurs qu'on voit ce genre de chose (ceux qui ont les moyens d'une bonne diffusion).
A côté de quoi, chez les petits éditeurs, la version numérique est très nettement moins chère que la version papier. Évidemment, il en faut plus pour obtenir le même chiffre d'affaires qu'avec des livres vendus 14 euros, mais du coup, la différence avec le nombre de ventes papier est plus grande.
Une petite maison fonctionnant en ebook surtout + papier en impression à la demande + service-presse à des blogeurs littéraire n'a pas du tout la même stratégie commerciale qu'une grosse maison qui ne s'inquiète pas pour les invendus à détruire et dont le distributeur inonde les libraires pendant que le diffuseur inonde les boites mails des critiques publiant dans des magazines.
La comparaison n'est sûrement pas facile pour quelqu'un aimant les maths, et moi je les déteste, alors je ne vais pas m'y risquer. Mais ce dont je suis sûre, c'est d'une part qu'un autoédité ou une petite maison n'a pas les moyens d'expédier des tonnes de livres partout en France et d'autre part que le chiffre d'affaire total est nettement plus gros du côté des grandes maisons.
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Emma Sages
   
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Emma Sages  /  Roland curieux


Et puis, surtout, il ne faut pas réfléchir en termes de revenus générés, mais en nombre de ventes : l'objectif pour un AE n'est pas de gagner de l'argent, mais de faire le plus de ventes (quitte à brader littéralement son bouquin) pour espérer acquérir un lectorat ou, mieux, être repéré par une bonne ME.

Donc, selon moi, ce chiffre n'est pas très significatif. Il faudrait plutôt raisonner en nombre de bouquins vendus pour mesurer l'importance du secteur numérique.
 
MaddyForeigner
   
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MaddyForeigner  /  Journal du posteur


Sincèrement, je n'ai pas le temps pour les salons.
Et je suis plutôt mauvaise dans l'exercice. Je vends beaucoup lors de mes dédicaces en librairie (ça a été entre 4 et 23 exemplaire en 2 à 4 heures de présence), mais pas en salon (ou je peux même revenir chez moi bredouille après une journée complète de présence). On me propose des résidences d'auteur, des interventions scolaires ou autre que je ne peux pas accepter puisque je n'ai pas de numéro de SIRET et que je suis déjà fonctionnaire, donc ça ne m'avance à rien. Les bibliothécaires veulent commander mes livres, mais ne peuvent pas commander ceux qui ne sont pas distribués/diffusés, donc ça ne m'avance à rien non plus. Je ne vois pas vraiment l'intérêt des salons pour un auteur auto-édité (à moins de bien savoir se vendre, d'y aller en mode cosplay avec flyers, de savoir fidéliser ses fans d'une année sur l'autre).

Sinon j'ai été virée par ma ME, une petite ME, avant sa fermeture. J'ai testé : 300 ventes, des DA jamais versés.
Puis je l'ai auto-édité. Il me semble qu'il y a encore eu une centaine de ventes. Là, je suis rentrée dans mes frais. J'ai aussi eu beaucoup de lecteurs en numérique via "Simplement Pro" avant que je n'y mette un terme (ai-je eu tort ou raison ? Je n'en saurai jamais rien, mais j'en ai eu assez au bout d'un moment : on me le réclamait encore un an après sa sortie pour faire des chroniques... c'est sans doute un lectorat, mais bon : sont-ce encore des services presse à ce niveau ? La dernière chronique était négative mais se terminait par "à bientôt pour votre prochain roman !"  Suspect Donc elle était déjà assurée que je lui enverrai le prochain PDF gratuitement... au bout d'un moment, ça m'a fatiguée, même si c'est sans doute ainsi qu'on fidélise son lectorat).

Mais ça répond à :
Emma Sages a écrit:
Et puis, surtout, il ne faut pas réfléchir en termes de revenus générés, mais en nombre de ventes : l'objectif pour un AE n'est pas de gagner de l'argent, mais de faire le plus de ventes (quitte à brader littéralement son bouquin) pour espérer acquérir un lectorat ou, mieux, être repéré par une bonne ME.

Donc, selon moi, ce chiffre n'est pas très significatif. Il faudrait plutôt raisonner en nombre de bouquins vendus pour mesurer l'importance du secteur numérique.

En auto-édition, j'ai fait peu de ventes (une centaine) mais il a été lu deux fois plus si on compte les chroniques presse. On me l'a demandé, je n'ai pas forcément su refuser (sauf pour les envois papier... mais dès qu'il a été disponible en SP papier, j'ai eu trois demandes en quelques heures et je l'ai vite rendu indisponible). Mais au niveau des SP numériques, ça n'a jamais arrêté, et si au début, il m'arrivait d'envoyer des demandes à des chroniqueurs, ensuite j'ai reçu des demandes parce que tel chroniqueur l'avait conseillé donc tel autre chroniqueur voulait le lire, toujours en SP numérique gratuit (c'est logique que ça soit gratuit puisque c'est un service presse mais quand le SP est une chronique de 10 lignes sur Babelio, c'est très différent d'une chronique longue et nuancée sur un blog... seulement les gens lisent encore plus les commentaires de 10 lignes sur Babelio et Instagram que les longues chroniques sur les blogs, donc on va finir à des lecteurs d'auto-édités en numérique qui vont tous s'inscrire sur "Simplement Pro" pour lire gratuitement en échange d'un commentaire), et c'était pratiquement tout. Ça ne débouchait pas sur des ventes mais sur des commentaires Babelio de plus en plus nombreux. Je ne sais pas si c'est un lectorat acquis (?) et je ne pense pas du tout que ça m'ait aidé à me faire repérer.  :rain: Mais je tiens à le signaler parce que ça fait partie de mon expérience d'AE.

Je n'ai pas d'idée pour la suite. Je lis des mangas, je suis plutôt dégoûtée. J'ai un album jeunesse qui va sortir dans l'année mais plus trop l'envie d'écrire des albums jeunesse par la suite même si ça s'est toujours bien passé de ce côté-là.
En tout cas pour le moment, je ne cherche pas à vivre de l'écriture. Donc c'est un loisir. J'aime bien tout contrôler, j'ai déjà les couvertures de mes deux prochains romans (si je les termine), je me corrige toute seule (je l'ai d'ailleurs vu avec mes romans précédents : il y a très peu de travail sur mes écrits surtout quant à la syntaxe ou à l'orthographe, et la correction spéciale qui viserait à limiter mes digressions et/ou mes longueurs n'existe pas) et mon conjoint a réalisé la mise en page et les derniers ajustements.
Le seul truc qui m'inquiète dans l'auto-édition, c'est que je suis fonctionnaire (et donc que je ne peux pas être auto-entrepreneur). Mais vu mon expérience en petite ME, je n'ai pas envie de remettre ça non plus. :rain:

D'ailleurs, ça, j'ai connu aussi :
Valjean a écrit:

La politique de la maison est donc que l'auteur doit faire une grande partie de sa promotion. Ils communiquent par exemple les calendriers de salons littéraires de notre région, etc...

J'avais vendu 100 exemplaires d'un album jeunesse non distribué, non diffusé, puis j'ai été enceinte et la ME a mis fin au contrat car l'album jeunesse ne se vendait plus depuis trois mois (pardi !). Il n'y a pas de congé maternité pour les auteurs.  study
Bilan : j'avais gagné 10% du prix de chaque album jeunesse que j'avais écrit et vendu... et que la ME avait imprimé (avec agrafes). Faire signer 100 auteurs pour qu'ils vendent 100 livres à leurs proches, dans les salons locaux, etc. et qu'ils cèdent 90% de leur droit à la petite ME qui a payé l'imprimeur pour un tirage à 100 exemplaires, ça doit être rentable quand on y réfléchit.
 
Valjean
   
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Très intéressant comme expérience. Quel était le nom de ta maison d'édition?
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MaddyForeigner  /  Journal du posteur


Elle existe encore donc j'aime autant ne pas la citer (celle pour l'album jeunesse) et je présume qu'elle fonctionne toujours selon le même système.
Des petites maisons d'édition, j'en ai eu une dizaine avant de passer à l'auto-édition.
Bilan : c'était sans doute un tremplin quand les petites maisons d'édition étaient régionales, mais maintenant... le plus souvent elles viennent d'être créées et disparaissent plus d'une fois sur deux dans les 5 ans qui suivent.

Si je récapitule, j'ai signé entre 2014 et 2017 avant de pratiquement me retirer avec : Hugues Facorat, Demdel éditions, La Palissade, Bayard Presse, Nats Éditions, Anyways Éditions (fermées), Dreamcatcher (fermées), Bozdodor (fermées avant même la parution de mon livre), Nutty Sheep, Erato Éditions. L'Ivre-Book qui a fermé aussi aurait voulu le même manuscrit que Bozdodor.
J'en oublie peut-être. Actuellement mes albums jeunesse sont édités aux éditions du Dahu qui sont la seule maison d'édition avec laquelle j'ai vraiment l'impression de collaborer et d'avancer.
Mais depuis 2017, je suis en pause ou pratiquement. Tout ça m'a donné l'impression de bâtir des châteaux de sable que le vent a détruits.
 
Valjean
   
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En ce qui concerne ma maison d'édition, elle a été créée en 1991. C'est donc un peu rassurant de ce côté-là. Sinon, tant pis.
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