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Spacemen
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  17
   Âge  :  30
   Date d'inscription  :  28/03/2019
    
                         
Spacemen  /  Homme invisible


Si quelqu'un peut m'aider en me trouvant le contact d'un avocat dévoué...


Citation :
Maître,

J'en appelle aujourd'hui à vous et à votre ordre car je me retrouve dans la défaveur de constater une situation désespérante, notamment par rapport à plusieurs abus et à la condition que j'éprouve, ne pouvant subsister plus longtemps dans un cadre ou je me retrouve victime d'un psychopathe, de solitude, d’une dépendance financière (curatelle renforcée), de prises d'antipsychotiques irraisonnées et des répercussions de crimes commis dans l'enfance. La dilution d'un acte de terreur à travers le viol dans l'outrage de ma génitrice a eu lieu selon des préméditations variées en ce qui concerne la perte de reconnaissance humaine et la fatigue physique et psychologique engendrées entres autres par les internements et administrations médicamenteuses ayant eux-mêmes été provoqués insidieusement par les préméditations de la mère qui a voulu se venger de l'influence d'un psychopathe en la personne de mon père. Il est à noter que je souhaite également trouver l'énergie vitale nécessaire pour me protéger de certains risques éventuels du fait que ma mère a pu les susciter indirectement en ce qui concerne mon intégrité physique et mentale. Dans une mesure exemplaire de volonté, j’ai été diplômé d’une école de commerce sous injections d’antipsychotiques injustifiées qui plus est, je souhaite retrouver ma dignité ainsi que retrouver une indépendance psychologique décente en m’en remettant auprès de vous pour effectuer un nouveau diagnostic et être aidé dans les démarches juridiques nécessaires à la revalorisation de ma personne. Depuis ma naissance, je souffre d'un rapport auprès d’un psychopathe manipulateur et violent, des préméditations d’une criminelle et des souffrances traumatiques issues des actes commis par cette dernière ainsi que d’une relation difficile auprès de ma famille paternelle et maternelle. Ma mère a obtenu ma garde à la suite de la séparation au père alors que j'étais âgé de 2 ans. Sans peut-être même l'avoir réellement voulu, elle commence au départ par asseoir un premier type d'influence psychologique en relatant à tout mon entourage que je suis quelqu'un de blessé par la relation auprès du père et fragile, "sensible depuis la naissance" alors que malgré ses débordements incessants, celui-ci me témoigne de la reconnaissance dans la seule volonté de récupérer ma garde et témoigner la raison qui lui est si chère après la perte du procès. Le psychopathe sombre très vite dans mon oubli du fait du démantèlement spontané ou prémédité de l'image que je lui porte mais je suis âgé de quelques années lorsqu'un acte de terreur survient au village de Vieux Boucaux.

Ma mère commet un acte de terreur tôt dans la jeune enfance de manière indirecte, de sorte qu’elle engendre un oubli total chez moi en suscitant uniquement l’accident car la finalité essentielle de l’acte n’est peut-être pas le meurtre qui constitue un évènement espéré ou anticipé, mais la terreur que cet acte a occasionnée car elle s'est préparée psychologiquement à ce que je ne décède pas. En effet, le but ultime de ma mère ce jour là est purement et simplement de me traumatiser pour se venger car elle estime probablement qu’il faut en venir jusque là pour atteindre psychologiquement mon père. Il devait y avoir du monde sur le parking lorsqu’elle a commis sa préméditation qui est de me laisser longer dangereusement la pente rocheuse haute de 3 mètres. Le problème pour moi, c’est que mon père est tout ce qu’il y a de plus psychopathe dans le sens ou il est un cas psychiatrique de psychopathie mais l’instinct, ce jour là, n’a pas pu me tromper. Je suis arrivé devant les passants auprès desquels ma mère s’était positionnée à distance de la côte et j’ai hurlé tout en reprochant à ma mère qu’elle n’était pas auprès de moi lorsque je me suis relevé. Elle s’est contentée de dire que j’aurais dû faire attention et nous ne nous sommes même pas rendus à l’hôpital alors que mon corps était scarifié de haut en bas, et cela a été cru car dans la panique et la honte, j'ai dû ressentir que personne n'avait vu que ma mère guettait au loin comme si elle avait vu quelqu'un, alors que j'étais fixé sur le jeu dangereux et risqué de la pente. Par la suite, je deviens démonstratif car l’instinct, l’inconscient et le ressenti de ce traumatisme m’emmènent à en parler à l’école subjectivement car je n'ai pas considéré alors qu'il s'agissait également d'une tentative de meurtre, et il est même possible que par fierté, je n’en ai pas parlé à ma famille. Ma mère doit parler aux parents d’élèves ou aux proches du fait que j’explique à mes camarades que j’ai remonté la pente rocheuse tout seul et que je suis miraculé car le traumatisme était encore présent. Ce qu’il arrive est que ma mère, d’une manière ou d’une autre, a su que je parlais. Elle ne m’aurait jamais violé en prenant le risque que j’en parle à mon père si je ne représentais pas un risque pour elle. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle prend des dispositions à évoquer le père lors de la scène car elle reste un moment avec la cuisse sur mon corps pour que cela représente un mouvement féminin, puis se positionne à l'inverse au-dessus de mon corps avec le sien et appuie sur mon torse avec son menton de sorte à me faire mal sans me toucher avec une partie érogène et en me touchant le visage avec les cheveux, puis pratique l’écrasement avec son poids pour enfin se replier sous la couverture et commencer l’acte. J'ai en effet été convié ce soir là lors de l'une des "exceptions" que cette femme m'accordait à dormir avec elle dans sa chambre, puisque je suspecte que cette fois ait constitué la première "exception" dont elle m'ait fait part tout comme je lui ai redemandé de dormir avec elle par la suite étant donné que je percevais une solitude exacerbée du fait de l'idée négative que j'avais déjà du père. L'étendue du souvenir qui me parvient remonte à une atmosphère apaisée ou il est plausible que je sois heureux à l'idée d'aller dormir auprès d'elle. Dans ma mémoire, nous sommes nus sous la douche et ma mère me jette de l'eau froide avec le pommeau avant que j'en ressorte. Une fois séché frénétiquement et maladroitement et donc encore humidifié, je me retrouve dans la chambre mitoyenne à la douche située au dernier étage de la maison. Je lui demande alors ce que je dois faire dans un état second de stress dont j'émet encore des résurgences, puis me décide à aller me coucher pendant qu'elle épiait peut-être mon mouvement pour sortir de la salle de bain d'une manière irruptive. Il est également un fait dont je ne peux me souvenir mais dont l'interrogation provient d'un cheminement intellectuel personnel qui est de savoir si j'étais encore nu lorsque je suis sorti de la douche, et y compris lorsque je me suis couché car ma mère aurait très bien pu me laisser sortir nu d'une manière précipitée, et m'accorder l'occasion de dormir nu alors que je me sentais mal-à-l'aise sinon, c'est que j'étais vêtu d'un slip. Je me vois maintenant dans le lit adossé au mur fenêtré de la chambre et ma mère, qui se préparait soi-disant, y entre maintenant à son tour. D'une attitude silencieuse, elle vient se coucher juste à côté de moi et reste sans bruits. Elle m'a masturbé et inséré son doigt dans l'anus d'une façon sexuelle très violente car passionnelle, et je revois son postérieur se découvrir à l'extrémité du lit dans l'obscurité. Deux interrogations demeurent en la question de la fellation et de la durée de l'acte. En effet, à partir du moment ou ma mère a commencé à me violer, j'ai fermé les yeux très forts et j'ai tourné la tête du côté droit. J'ai sûrement été manipulé par un jeu psychologique très vil afin de rechercher le sommeil du côté de celle-ci. Je suis resté les yeux serrés devant elle et durant une partie de la nuit alors qu'elle me caressait les cheveux à la fin pour que je dédramatise. Elle m'a tourné le dos puis je me suis retourné sur le côté droit avant de trouver l'endormissement. Le début de l'instauration de ces "exceptions" remonterait quant à lui au viol – d'ou des travaux psychanalytiques. J'ai donc pu rechercher la sécurité en manifestant ensuite mon envie de dormir à ses côtés par peur de l'abandon total dans une position de dépendance à la mère. Les "exceptions" marqueraient ainsi la fin des fois ou je dormais quand je le voulais auprès de ma mère, et elles constituent un indicateur psychologique en ce sens ou je me souviens peu des évènements antérieurs à la phase du viol. Il est donc possible que j'aie été obligé d'entretenir une relation avec le bourreau qui déboucha sur des sentiments plutôt que de chercher à me conforter dans l'image du père car il représente le danger imminent et caractéristique de la psychopathie. Il est donc possible que désuni, j’ai souhaité oublier la peur que j’ai ressenti ce jour là car j’avais beaucoup plus peur du père et de sa violence malgré ce viol et l’acte de terreur dont j'ai élucidé le symbolisme primaire peu de temps après, et également voulu rester discret à ce sujet car ma mère m’avait traumatisé par l'évocation de mon père ce qui devait alors générer chez moi l’horreur d’un sentiment de peur exacerbé.

Il est donc possible que j’aie été emmené à faire un choix dans ma vie, qui est celui du choix du parent que j’allais considérer en tant que tel. Par un excès de fragilité, j’ai dû essayer de me convaincre que je n’allais pas choisir mon père étant donné que nous étions incompatibles du fait qu’il est un psychopathe, et de ce fait j’ai commencé à essayer d’en savoir plus sur lui. Il est possible qu’à ce moment là, mon père se rende compte que j’ai été violé ou que j’ai subi un traumatisme et cela sans qu’il sache que j’avais vécu un premier traumatisme expliquant cela cependant, étant donné sa maladie le seul fait que je compte pour lui est représenté par le procès de garde qu’il veut absolument réparer du fait que sa raison a pour lui été atteinte et qu’il prête, en tant que psychopathe avéré, une attention particulière à détenir la légitimité de la raison cependant pour moi, il connaît depuis très longtemps mon homosexualité et assoit une domination typique de psychopathie à mon encontre sans me soumettre qu'il le sait et je plonge dans le reniement mental et moral de ma propre sexualité. Plus tard, je suis complètement décidé à pardonner ma mère, cela ne sachant encore nullement ce que constitue un viol, et la relation à ma mère fusionne de sorte que je la pardonne mais que j’incorpore la notion de peur à la relation sentimentale que j’espère faire perdurer, car je sais tout de même que j’ai eu peur dans ce moment effrayant, et ma mère me manipule beaucoup afin de contribuer à cette réunification superficielle. En effet, alors qu’elle en ressent le besoin dans une préméditation innée et incroyable de médiocrité, elle me convie tout d’abord une fois qu’elle statue que je ne lui en veut vraiment plus devant des spécialistes du viol qui m’ont ausculté et à qui je n’ai rien avoué étant donné que seul le père est évoqué dans l'hypothèse donnée par ma mère, et que je ne m’imagine alors pas qu’une mère peut pratiquer "un viol" et de plus, j’ai déjà oublié cet épisode par amnésie consciente d’un certain traumatisme dont je ne peux définir l'origine et les répercussions qu'il a sur moi. Cela instaure sûrement un climat de confiance pour elle et c’est alors qu’elle me convie auprès Mme. Seglarec, une pédopsychiatre. Je me retrouve ainsi devant un médecin qui ne sait rien de moi au final, puisque je ne fais que parler du père dans un désir psychologique d’éviter la mère et cela fonctionne, bien évidemment. A cette époque, ma mère communique à tout mon entourage de façon que son ensemble croit que je suis sensible, fragile et heurté par le père alors que celui-ci tente de me manipuler dans le sens inverse afin de me soustraire à ma mère, et aussi que je suis très fusionnel à ma mère, ce qui est en quelques sortes vrai pour ma part étant donné que je la protège alors déjà de manière presque inconsciente face à la peur représentée par le père. Je n’ai cessé de raconter les mêmes choses à cette pédopsychiatre qui m’a pourtant suivi durant des années et des années. Ma mère a selon moi prémédité la relation avec la psychiatrie tôt dans l’enfance, de sorte qu’elle comprend à un instant donné que mon père est un psychopathe en ayant peut-être su que lui-même sait que j’ai été atteint par elle d’une manière ou d’une autre tout en sachant que je ne lui dévoilerai rien puisque j’avais très, très peur de lui. En effet, il est possible que ma relation future aux psychiatres, qui a pour but d’étouffer totalement ma crédibilité face aux actes commis et à la vérité, était préméditée et introduite à un très jeune âge, ce qui expliquerait par ailleurs la prescience instinctive dans sa métaphysique, et la perspicacité de certains rêves que j'avais déjà réalisé à mon jeune âge. J’en arrive donc à évoluer dans la dégression au fur et à mesure que j’enchaîne les classes scolaires, puis j'arrive au lycée quand ma mère m’a certainement drogué par substitution à coups d’antidépresseurs ou même d’autres types de médicaments car « je dors sur place, debout et en marchant ». Elle connaît à ce propos le domaine médicamenteux du fait qu'elle a travaillé et s'est beaucoup investie en pharmacie bien qu'elle se soit potentiellement faîte licencier à des fins de falsification de preuves. Il est à noter qu’elle agit dans la pure préméditation et ce passage ou j’ai été drogué constitue uniquement pour moi un moyen de décrédibilisation sécurisant pour elle, car selon moi, cette préméditation anticipe le déroulement d’un procès malgré d’autres préméditations qui auront pour but qu’il n’ait pas lieu ou elle-même, comme la psychiatrie pourraient arguer de sorte que l'entité juridique m'assimile véritablement à un schizophrène qui est plongé insidieusement dans la maladie. En effet, après que je me sois posé des questions sur mon père en pleine phase de maturité et en sortie de l’adolescence, voire même que j’ai essayé puis considéré que je l’aimais un court moment, cela suscite bien évidemment des embarras avec ma mère qui manipule mon beau-père en son sens. Dans un contexte ou j’ai réussi un concours d’école de commerce et que ma famille souhaite la financer, ou j’exprime dorénavant mon désaccord face à elle et ou je me montre dans la capacité d’indépendance (ou pour le moins, psychologique…), elle en vient d’abord à me convaincre (elle a encore une influence à ce moment) que je dois prendre des cachets (car je suis violent dans les mots, ce qui répercute chez moi un sentiment de colère à mon encontre) suite à des rendez-vous chez des psychiatres qu’elle a aussi organisés par préméditation et par la manigance ou la manipulation, chantages, menaces d'hospitalisations... Face aux résultats des premiers cachets sur le stress (qui n’est que ça…) que je ressens alors, je décide le jour même ou l’on m’a donné le premier antipsychotique à ne plus en prendre car je ressens instinctivement que ces médicaments m’empêchent d’évoluer, étant donné que je suis déjà très fatigué nerveusement et psychiquement, et que les médicaments ne font que brouiller une situation ou j’ai peu d’occupations. Au final ma mère, la veille de la première hospitalisation obligatoire, me fait croire qu’elle me donne un cachet qu’elle a rudement (d’ailleurs…) débattu auprès de moi avant que je le prenne sauf qu’il s’agit de SUBUTEX. Le lendemain, alors que je n’ai pas crié plus fort qu’une autre fois sur mes parents (beau-père et mère), arrivent l’infirmier et les policiers et je pars dans la direction du CHU de La Candélie à l'âge de la majorité.

Le lendemain soir précédant la phase ou j’ai été drogué au Subutex, alors que je n’ai pas dormi depuis plus d’un minimum de 30h et que j’ai un rythme de sommeil déconstruit par les antipsychotiques qu’elle m’a indirectement (démarche psychiatrique émanant de ma personne sous les conseils et les requêtes de ma famille entière, manipulée par ma mère) et directement forcés à prendre par chantage et menaces, un infirmier débarque chez moi avec des policiers et m’emmène jusqu’à la Candélie ou je vivrai ma première hospitalisation obligatoire sous l’autorité tierse de ma mère devant laquelle je me suis montré violent dans les mots ainsi que devant son mari par épuisement induit de la consommation de marijuana – j’ai également poussé légèrement de quelques centimètres ma grand-mère puis ma mère a d'ailleurs dramatisé l’instauration d’un scandale familial discret, temporaire mais aussi insidieux que la finalité pensée de la plupart de ses actes. Il doit être compris que face à tant de violence, d’isolement et surtout de médication, j’ai commencé par tomber dans un état dépressif relatif et dans une forme de paranoïa légère. Mon père n’a eu de cesse de vivre un rapport ultra conflictuel avec ma mère et à l’encontre de sa personne, vécut chez sa mère jusqu’à ses 50 ans et devint de plus en plus violent verbalement au fur et à mesure qu’il me correspondait dans l’enfance, puis sous médication dans la majorité. En effet, il me conduit à croire que cela dépend de mon choix en me faisant croire qu'il connaît peu la psychiatrie, et que je pourrais la convaincre seul de mon intégrité mentale. Un des faits adjacents à ma vie est qu’il m'en a tenu pour responsable avant de me rejeter totalement - cela fait 5 ans. Triste, désœuvré et empli de colère, j’en arrive à engendrer une tentative de suicide mais c’est lorsque je débarque après une longue course à pied au-dessus du Pont de Pierre de la ville d’Agen que je commence à rechercher la cause de ce mouvement et c’est à partir de ce moment que j’ai engagé une introspection afin de connaître les raisons qui faisaient que j’étais dans cette situation. Un homme me conseilla de remonter la barrière du pont et j’ai décidé inconsciemment d’écouter ma peur, simulant alors un malade mental effrayé lors de l’attente avec les policiers, du transfert avec les pompiers puis à l’hôpital public car je me demandais effectivement dans l’instantanéité d’un sentiment de gêne et de source médicamenteuse si une certaine mafia, compte tenu de l’incompréhension de la situation dont je témoignais la confusion de l’instinct, les mots tenus par mon père et mon isolement social, ne m’en voulait pas. Il est nécessaire de vous expliquer que mes conditions de vies sont bafouées en ce temps, que mon père prête une attention farouche à son patrimoine et qu’il m’a fait croire et suggéré implicitement (tel un psychopathe), y compris durant nos derniers rapports et durant nos dernières correspondances (mail, téléphone…) après la cession de nos contacts physiques, qu’il procédait à des affaires illégales et que mon comportement était celui d’un escroc – j’étais très malléable du fait de mon âge et d’un environnement solitaire, peu enrichi et légèrement dangereux pour ma personne - et je l’ai donc cru tout en ayant mené une introspection fortuite par la suite de plus, j'ai été heurté par la première hospitalisation obligatoire d'une longue série d'internements – une dizaine au long de six années de traitement médicamenteux aux neuroleptiques. De manière désespérée suite à cette tentative de suicide et à l’hospitalisation, j’ai été conduit après 3 semaines succédant le passage à l’hôpital de la Candélie pour un deuxième internement obligatoire, qui marqua un tournant dans ma vie et le début de ma relation hors du commun auprès de l'ordre psychiatrique, et cela malgré l'état décent de mon intégrité physique et mentale et l’interprétation morale de mon libre arbitre qui fût cependant écourté au bout d’un certain temps. L'accomplissement de ma volonté de passer pour un malade mental devant l'infirmière afin de clamer ma clairvoyance aux psychiatres et leur administration dans un contexte solennel et pour me mettre en sécurité, ainsi qu’un état ou des hypothèses incessantes m'ayant poussé jusqu'à mes limites psychologiques m’ont emmené à penser que j’étais véritablement songeur à l’égard de ceux-ci et leurs constats. Au fur et à mesure, mes fréquentations et mon hygiène de vie mêlées à une forme d’hypocondrie des diagnostics psychiatriques me feront conscientiser ce qu’ils appellent d’abord mon comportement de type « schizoïde » comme une erreur, puis ma personnalité de type « psychotique » comme la transition aux premiers états interrogatifs réels à l’encontre des diagnostics et enfin ma « schizophrénie simple » qui n’est autre que le constat déjà subjectif d'un état confus et dépressif mineur et peut-être de TOCS liés au stress, ce qui représente un scandale en soi. Ce qu’il s'est passé est que j’en ai parlé à mes amis, puis aux amis Facebook et enfin à la totalité de mon entourage. Au début, je me montrais perplexe par rapport aux opinions psychiatriques, cependant au fil des années j’en arrivais presque consciencieusement à démontrer aux personnes que j'étais « véritablement » psychotique et des personnes ont dû discuter à mon propos, ce qui prouve par ailleurs l’incompatibilité des réseaux sociaux avec la psychiatrie et son ordre. Jusqu’à présent, la dernière étape fondamentale de ma vie est le constat psychique du viol. Il y a un an et demi, bien après plusieurs hospitalisations, j’ai émis des premières réminiscences puis des aveux de viol à la gendarmerie de Laplume et aux psychiatres puis des suspicions car personne ne me croyait du fait de la place légale et ascendante léguée par la psychiatrie à la personne de ma mère en qui elle a donné sa pleine confiance, et j’en suis même arrivé à imaginer qu’il s’agissait de mon père devant des psychiatres et des infirmiers qui m’avaient déjà entendu parler puis regardé évoluer. Je me retrouve aujourd’hui sous l’injonction d’une curatelle renforcée et d’une injection mensuelle par voie cutanée de neuroleptiques qui m'affaiblissent alors que je reconnais enfin pleinement ce qui m'est arrivé. Il est également un fait notoire qui est que mon père ainsi que la personne dont je vais parler m’ont raconté que ma belle-mère était issue d’une famille mafieuse d’un certain pays en période de préadolescence, qu’ils avaient été pris avec 1 kilo de marijuana « haussé dans le coffre » dans un pays étranger dont les risques étaient conditionnels pour un européen et que ma belle-mère leur avait chuchoté quelque chose de déculpabilisant afin qu’ils reprennent la route, qu’ils auraient eu plusieurs types de contact auprès de sa famille et toutes sortes d’aventures et il m’a également questionné à l’âge de 16 ou 17 ans alors que je pratiquais la conduite accompagnée de convoiter de l’herbe et il en plantait une quantité restreinte donc je cherche à connaître les différents recours de protection qui se présentent à moi. D'autre part, le sens donné à la préméditation de ma mère ferait écho à la psychologie de la personne qui est mon père en ce sens qu’il témoigne beaucoup de nervosité et de caractère, d’illogismes comportementaux et d'une profonde souffrance qui proviendrait du fait que sa personne et "notre amour" ont été atteints par les actes commis par ma mère, tout comme celles des membres de ma famille maternelle qui m’a prêté une grande attention jusqu’à ce que l’on m’assimile soit à un malade mental, soit à quelqu’un dont les responsabilités sont vacantes. J'ai vendu tous mes meubles dans une situation de colère et de non sens afin de me désolidariser de la famille et son symbôle. Je reste cloitré chez moi et tout pourrit. Je ne sais plus quand je mange. J'ai de plus en plus de nausées et j'ai même des fourmis dans tout le corps, quand je souris encore de pouvoir constater que je n'ai plus le goût de vivre ou le goût salé de la minorité.

Si je peux bénéficier de l'aide émanant de votre personne, ou même de conseils ou de l'aide juridictionnelle tant convoités, je vous en serai extrêmement reconnaissant. Il s’agit d’une affaire de renom et je crois en votre bienveillance sur cette question relative que je me porte aux souvenirs faciaux et corporels de la patronymie biologique du père, et donc un test ADN. Si tel est le cas, je pourrais avoir été victime d’une autre manigance. J’ai également peur que l’on me prenne pour un état psychiatrique, un marginal ou plus précisément pour un fou puisque je dépends légalement et administrativement de cela. Je suis prêt à faire un travail avec un psychiatre, un psychologue , mais je veux me donner les moyens de pouvoir m'extirper d'une situation intolérable et indigne ainsi que plaider en justice et défendre mes droits.

Je vous remercie.

Bien cordialement,
 
Gary.D
   
    Masculin
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   Date d'inscription  :  19/09/2015
    
                         
Gary.D  /  Barge de Radetzky


Salut, tu as besoin de quoi exactement ?

Je n'ai pas lu cet énorme pavé que tu mets en citation. Juste le début, et le style m'a paru fort pompeux
 

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