FICHE TECHNIQUE
Titre : Chicago Requiem
Auteur : Carine Foulon
Type: roman
Genres : multiples (saga familiale, polar historique, sombre romance...)
Plume violette : Dark - Plume noire : Suspense.

Éditeur : Editions Dreamcatcher
Nombre de pages : 429
Dimensions : 16 * 24
Disponibilité : toutes les plateformes numériques, ou au format papier sur le site des éditions Dreamcatcher ou à la commande dans les librairies.

Livre-Voyageur : NON


Quatrième de couverture :

À la fin de l’année 1923, un corps est repêché dans le fleuve Chicago.

Les années qui suivent, chaque mois, à la même date, un homme arpente les allées du cimetière.

Il vient fleurir la tombe de la victime.

Comment celle-ci a-t-elle filé sa corde ?

L’histoire commence deux ans plus tôt, en 1921.

Elle relate les événements qui ont conduit au drame.

Bravo pour cette sortie ! J'aime beaucoup la couverture. Je pense que je vais m'y tester
Pourquoi ne serait-il pas mon prochain achat JE ?

Je suis moins portée à parler de lui maintenant qu'il est sorti qu'avant. C'est bizarre.
Mais merci pour ton post ici, Avada-Kevadra !
Il faut que je m'habitue.

C'est sûr que ça ne va pas être facile au début, mais il faut que tu te fasses à l'idée que ... ça y est, ton livre est sorti. Et qu'il va se retrouver dans les mains de centaines de personnes.

Les premiers avis sont pour l'instant bons, voire très bons ou excellents. Je suis rassurée.
Le genre se précise : thriller (ou Romantic suspense sans scènes de sexe, selon les lecteurs).
Mais "thriller" est celui qui revient le plus.

Très jolie couverture (et pourtant, je suis difficile) ! Qui est l'illustrateur/illustratrice ?
Félicitations et beaucoup de succès à ce roman

Nicolas Jamonneau.

Les deux premières critiques sur Amazon sont tombées aujourd'hui.
Sur Booknode, il a été classé une fois en argent, une fois en diamant, mais il n'y a aucun commentaire.
J'ai reçu une longue lettre (deux feuilles de classeur recto-verso) très élogieuse par la Poste lundi soir... mais me réclamant une suite.
Une blogueuse, qui ne va pas tarder à publier son avis, m'a aussi dit que ce n'est pas possible de laisser les choses en l'état, que du coup, ça vaudrait 4 étoiles, et du coup, je me demande si les avis à 4 étoiles (sur Babelio aussi) ne sont pas dus à ça : ils ne mettent pas la 5e parce qu'ils restent sur leur faim.
Dur à dire. En live, j'ai aussi des super retours.
Je croise les doigts.

Et puis... je crois qu'il va falloir que je me mette à travailler. Pour mes happy few.

On peut dire que ton roman a pris un bon départ ^^
Pourvu que ça continue sur cette voie

On écrit un roman, on pense "enfin" lorsqu'il est publié, et voilà que ceux que l'on n'espérait plus, les lecteurs, demandent "la suite, la suite !". Et nos personnages commencent alors à prendre une nouvelle dimension, leur vie propre... Bravo !

Je veux bien écrire la suite avec les rescapés. Mais comme c'est un roman noir, les lecteurs, surtout les lectrices, espèrent une suite rose, heureuse, où la romance succéderait au thriller.
Je suis déjà prévenue que si je touche à ... et à ... dans la suite, je perdrais une lectrice.
Je vais finir comme Paul Sheldon face à Annie Wilkes : "Ressuscite Misery !"
Gloups...

C'est épineux d'écrire une suite. Beaucoup d'y cassent les dents. Je pense qu'il faut en écrire une seulement si l'histoire en a besoin et si l'auteur en a envie. Et il faut amener du neuf pour que la suite n'entache pas la qualité du premier tome.

Ma mère a lu mon roman et l'a aimé. Elle m'a dit que ça ferait un superbe film.



(C'est mon petit bonheur du jour. Quand j'étais ado, je répétais inlassablement à mes parents "Un jour, je serai écrivain !" Ils me conseillaient d'avoir d'abord un vrai métier. J'écrivais déjà des poèmes, un roman... mais ça ne les intéressait pas. Rien à faire, même quand je laissais une pochette remplie de poèmes recopiés à la machine à écrire bien en évidence. Vingt ans plus tard, ils ont lu mon roman et l'ont aimé, comme ils apprécient mes poèmes. L'ado que j'étais serait fière de moi.)

Je n'aurai qu'un mot : bravo

Merci ! Ça semble une petite victoire, mais ça en est une énorme pour moi.

Mon père, qui m'a toujours dit que la littérature, ça ne sert à rien, que ça n'est pas un vrai métier, et puis à quoi ça sert à moins d'être publiée par Gallimard ou de gagner le Goncourt ? m'a écrit cette semaine à propos de mes poèmes : "Maman adore ton sonnet mais aussi ta prose. Dommage que tu te sois trompée de siècle. On aurait pu te nommer Ronsard, Baudelaire, Hérédia... Persiste malgré tout ! Un jour, un recueil sera peut-être publié. Ça le mériterait."

Il m'aura fallu attendre vingt ans pour lire ça.

Tout arrive en temps et en heure, ce n'est peut-être pas un hasard de décrocher cette petite victoire après les épreuves que tu as eu ces derniers temps Bravo en tout cas !