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 [Auteur] Georges Bernanos

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Fatalité
   
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Fatalité  /  Blanchisseur de campagnes


En lisant le Siècle des intellectuels, de Michel Winock, je découvre Georges Bernanos : un auteur catholique maurrassien début XXème siècle, c'est-à-dire un type d'extrême-droite royaliste antisémite à la base ! inspiré par Charles Maurras, donc, Charles Maurras qui aima bien l'hitlérisme, le franquisme, le mussolinisme ... ! ... Par contre, Georges Bernanos se positionna contre les fascismes, et finit par mépriser la démarche de Charles Maurras, d'autant plus que Maurras était antigermaniste avant Hitler !!! Amis du ridicule bonjour ... Bref.

Le truc, c'est que dans les années 30 - apprends-je - Georges Bernanos habitait l'Espagne (il finira sa vie au Brésil, après être passé par le Paraguay, ne supportant pas l'atmosphère publique française !), et qu'il vécut la montée du franquisme, ainsi que sa prise de pouvoir. Or, qu'écrit-il alors, dans une revue catholique nommée Sept, le 18 janvier 1937 ? ... Je trouve ça excellent, au sujet donc des pouvoirs qui tolèrent tout ce qui se passe (le pacifisme, le scepticisme et l'attentisme règnent en France et en Angleterre démocratiques, malgré le risque européen). Bernanos s'en prend à ...

Citation :
... une société qui, lorsque ses affaires vont mal, n'a jamais réellement connu d'autre expédient que celui d'exterminer les pauvres [...] Pardon, dira le citoyen sérieux, elle extermine les révoltés. Si les révoltés sont justement les pauvres, qu'y faire ? L'événement nous prend généralement au dépourvu, et la mitrailleuse ressemble à la sauce béarnaise, elle n'attend pas. — D'accord ! Je regrette avec vous qu'il n'y ait pas de temps en temps une insurrection de millionnaires. Mais au nom de quoi réprimez-vous ? — Au nom de l'ordre. — Quel ordre ? L'ordre des hommes d'ordre ? Depuis que je suis au monde, j'entends vanter les hommes d'ordre. Un homme de guerre fait la guerre, un homme de lettres fait des livres. A-t-on jamais vu l'homme d'ordre faire de l'ordre ? Ils ne font pas d'ordre, leur rare génie n'allant pas plus loin que réprimer le désordre. Quel désordre ? Celui qui les menace — eux — et nul autre.

Magnifique ! J'adore comme ça brouille les frontières idéologiques ! ... Mais bon : pas de politique sur le forum. Par contre, si quelqu'un a lu du Bernanos, pourrait-il me dire ce qu'il en a trouvé ? Merci d'avance !
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Ce midi, je me suis procurée La Liberté, pour quoi faire ? de Georges Bernanos, essai paru en 1953 aux éditions Gallimard, dans une édition du même éditeur chez Folio essais. La quatrième de couverture dit :

Georges Bernanos a écrit:
Un prophète n'est vraiment un prophète qu'après sa mort, et jusque-là ce n'est pas un homme très fréquentable. Je ne suis pas un prophète, mais il arrive que je voie ce que les autres voient comme moi, mais ne veulent pas voir. Le monde moderne regorge aujourd'hui d'hommes d'affaires et de policiers, mais il a bien besoin d'entendre quelques voix libératrices. Les voix libératrices ne sont pas les voix apaisantes, les voix rassurantes. Elles ne se contentent pas de nous inviter à attendre l'avenir comme on attend le train. L'avenir est quelque chose qui se surmonte. On ne subit pas l'avenir, on le fait.

Et un commentateur ensuite :

Citation :
Pour la dernière fois, à la vielle de mourir, Bernanos jette son défi d'homme libre au monde contemporain, tant il est vrai qu'une des fonctions de l'esprit est de réveiller sans cesse l'inquiétude, et de renverser toutes les garanties du confort intellectuel.

Comment vous dire que je crois me retrouver, a minima, dans ces quelques lignes, et que c'est pour cela que l'achat m'a tentée. Peu importe. Je reviendrai vous en dire des nouvelles, toute prudence gardée devant le catholicisme et l'antisémitisme de Georges Bernanos.


(Merci à ma lecture de Michel Winock, le Siècle des intellectuels ! ... je lis d'ailleurs de plus en plus des ouvrages d'Histoire, car il me semble qu'elle détermine tant le présent, qui soudain perd quasiment tous ses caractères étonnants a priori, comme si aujourd'hui valait mieux qu'hier ! mais sans dire qu'hier vaudrait mieux qu'aujourd'hui - et surtout sans dire qu'hier ou aujourd'hui valent mieux que demain : on ne connaît pas demain ...

C'est-à-dire que ça permet de dépasser le réactionnarisme et le progressisme voire le futurisme, au profit de - quoi ? ... d'un "sempiternalisme" ? ... L'idée me séduit : "la sempiternalité des choses" ... )


Des bisous
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Bon.

J'ai lu la Liberté, pour quoi faire ? en écornant quelques pages, histoire de pouvoir vous faire quelques citations. Mais avant tout, un point sur cette liberté.

En fait, quand Georges Bernanos dit liberté il ne parle absolument pas de licence, vous savez : le droit, la permission, l'autorisation, la transgression, la velléité, l'envie. Tout ça, ce sont des licences (c'est moi qui interprète en introduisant cette notion de licence, mais l'idée est là). Pourtant c'est généralement ainsi qu'on pense le mot liberté, se disant que ce sont les possibilités qui s'offrent à nous, les choix qu'on fait, les pentes que l'on suit.

La notion de liberté chez Georges Bernanos, a un sens pour ainsi dire étymologique, et c'est assez troublant (encore une fois, c'est moi qui interprète étymologiquement, lui n'en fait pas mention) : libre, vient d'assemblée, de peuple, figurez-vous, et puis ça a aussi donné livre, que l'on retrouve pour nous les amateurs d'écriture et de lecture, mais aussi dans le fait de livrer, délivrer. Quel rapport ? ... Le rapport, c'est qu'il s'agit dans les deux cas (s'assembler, se livrer) d'une sorte d'énergie.

La liberté chez Geroges Bernanos, est une sorte d'énergie, comme un mouvement de libération, ou un courage, et tout simplement une franchise (d'ailleurs, le mot franc, qui vient des Francs, de qui vient notre France, Français, signifie justement cet affranchissement). Tout cela rejoint éminemment son patriotisme sans nationalisme (il conspue les nationalismes explicitement, tout en chérissant son pays sans chauvinisme, au contraire, puisqu'il lui fait la leçon à travers divers exemples tirés de ses voyages à l'étranger).

Bon.

Chez Georges Bernanos évidemment, cette énergie est spirituelle, et on voit mal comment lui donner tort en ce sens qu'on parle d'esprit d'une démarche, de tournure. Mais à ce point, Georges Bernanos fait la relation avec son catholicisme, alors que nous serons d'accord pour dire que ce n'était pas nécessaire ! ... encore que dans les années où il écrit ('50s) le catholicisme soit toujours prégnant, socioculturellement.
C'est que Georges Bernanos relie ça au devenir européen, dont il s'effraie du machinisme technique, qui fonctionne au fond comme une machination lui-même, une machinerie qui n'a aucune raison de s'arrêter en chemin (et là ce sont ces mots) bombe atomique à l'appui, ainsi que propos d'Einstein regrettant de l'avoir rendue possible après son emploi contre le Japon. Évidemment, il déteste cette machination, et cela le rend profondément triste, à l'animer d'une espérance qui - dit-il - n'a rien d'optimiste.

Sur ce point de la non-nécessité de relier cette liberté au catholicisme, et de distinguer l'optimisme de l'espérance, au fond, Georges Bernanos est aussi personnaliste qu'Emmanuel Mounier, un catholique relativement anarchiste à la même époque (fondateur de la revue Esprit), qui reconnaissait honnêtement qu'on pouvait trouver ses valeurs en dehors du catholicisme (le personnalisme est un mouvement philosophique).
Donc, si ces catholiques trouvent que l'énergie libératrice procède d'un Christ vivant, c'est-à-dire d'un état d'âme particulièrement vif, instinctif, fidèle, il faut dire qu'il est possible de sentir la même espèce de motion autrement et, précisément, ce n'est qu'une fois avoir senti cette motion, que les catholiques la rattachent au Christ vivant. Mais bon : après, c'est le débat des croyants et des incroyants, pour savoir qui est l’œuf, qui la poule. Peu importe.

Je voudrais insister sur cette espérance non-optimiste, parce qu'elle est importante sous la plume de Georges Bernanos (et il me semble qu'Emmanuel Mounier parlait quant à lui d'un "optimisme tragique" ... ). Pour Georges Bernanos, l'optimisme n'est pas l'espérance, parce que l'espérance - contrairement à ce qu'on pourrait avoir tendance à dire - ne se nourrit pas d'illusions.
Pour Georges Bernanos en fait, l'espoir fait vivre au sens le plus vivace du terme, parce que ça n'est qu'une fois désillusionné, ça n'est qu'une fois qu'on a touché le fond du désespoir, que vient l'espérance. C'est dire que l'espérance en question n'est pas l'espérance commune mais, encore une fois, une liberté. Entre autre, le choix et l'intelligence d'aimer au sens fatidique du terme.

Bon.

J'ai beaucoup parlé de son catholicisme, mais c'est que j'avais dit que je serai prudente à ce sujet. Or, il faut bien noter que Georges Bernanos s'y réfère peu, au final. En fait, il s'y réfère de temps à autre, comme pour rappeler à son auditeur (ce sont des conférences) des éléments familiers (il parle dans les '50s) mais ce qui lui importe le plus ça n'est pas de prêcher, on le voit bien dans la quatrième de couverture citée un post plus haut. Ce qui lui importe en fait, c'est bien le devenir européen, et c'est évidemment au sujet de ce devenir qu'il est convié à donner des conférences, quoi que la presse d'alors le qualifie de réactionnaire. Cela, il en a conscience, et il s'en moque plus d'une fois, puisque son affaire - dit-il - est que l'on ne sombre pas dans l'irresponsabilité machinique la plus totale.

C'est que, justement, il pense que le totalitarisme dont l'Europe de l'Ouest venait de sortir, la travaille intrinsèquement, et il considérait l'Allemagne nazie comme le bubon d'une peste bureaucratique et machinique répandue partout dans la modernité, bien avant que ne suppure le bubon nazi.
De plus, Georges Bernanos nous met justement en garde contre ce fait que le totalitarisme n'est pas mort, manifestement en URSS alors, mais aussi dans nos modes de fonctionnement. Il dit que ce sont d'ailleurs de tels modes qui vinrent à bout du nazisme, modes bureaucratiques et machiniques, alors justement que le nazisme était le fruit trop mûr de tels modes : on n'en sort plus.

Georges Bernanos, La Liberté pour quoi faire, p.105, Folio essais, 1995, a écrit:
Au terme de cette évolution, il ne subsiste de l’État qu'une police, une police pour le contrôle, la surveillance, l'exploitation et l'extermination du citoyen.

Bon.

Et puis, sur la question de l'antisémitisme de Georges Bernanos, un simple renseignement sur Wikipédia nous apprend qu'il l'abandonna au cours de sa vie. C'est-à-dire que lors de ces conférences, Georges Bernanos n'est plus antisémite et, s'il l'a été un moment, ça n'a jamais dépassé chez lui le stade du propos, or le début du XXème siècle baigne dans une telle ambiance qu'antisémite, sans trop de scrupules, affaire Dreyfus à l'appui, qui inaugura le siècle français.

Néanmoins, je me suis permise de relever les éléments où mon oreille a tremblé :

Georges Bernanos, La Liberté pour quoi faire, p.65, Folio essai, 1995, a écrit:
Nous savons en effet, nous autres, chrétiens ou musulmans, que la souffrance est une force de rédemption, une véritable surcréation.

C'est le propos classique, selon lequel surmonter la souffrance est une épreuve, une expérience, dont on tire de profitables leçons (et dans un sens, qui le renierait, au sens où - sans rechercher la douleur - nous retenons tous nos mauvaises expériences pour nous en défendre ?). Néanmoins, les juifs ne sont pas cités, quand on note l'islamophilie. Du coup on se dit que les juifs ne connaîtraient pas la souffrance force de rédemption, selon Georges Bernanos, ou du moins qu'ils la connaîtraient moins que les chrétiens et les musulmans.

Ensuite :

Georges Bernanos, la Liberté pour quoi faire, p.121, Folio essais, 1995, a écrit:
Le monde moderne ne reconnaît guère d'autre règle que l'efficience. C'est pourquoi les démocraties elles-mêmes ont pris leur matériel humain dans le réseau d'une fiscalité impitoyable. Au nom de la fiscalité, nous les voyons renforcer chaque jour hypocritement le pouvoir de l’État. Les dictateurs se faisaient offrir la liberté des citoyens, ou au besoin ils la prenaient de force.

Jusqu'ici tout va bien, si l'on peut dire, encore que le constat reste édifiant pour moi. Mais ensuite :

Citation :
L'attitude des démocraties ferait plutôt penser à celle de l'usurier juif qui, dans l'ancienne Russie, étant aussi cabaretier, faisait signer au moujik, à chaque soûlerie, une petite reconnaissance de dette, avec des intérêts. Un beau jour, le moujik apprenait que sa terre, ses bestiaux, sa maison, et même le touloup en peau de mouton qu'il avait sur le dos appartenaient à son bienfaiteur. L'équivalent de la soûlerie, pour le citoyen des démocraties, c'est la guerre. A chaque guerre pour la liberté, on nous prend 25% des libertés qui subsistent. Quand les démocraties auront fait décidément triompher la liberté dans le monde, je me demande ce qu'il en restera pour nous...

Là encore, le constat sur le monde moderne me semble édifiant, par contre c'est la comparaison à l'usurier qui est malheureuse ! ...

Ceci étant, ayant lu le Siècle des intellectuels de Michel Winock, je m'avise que la question juive et l'atrocité que les juifs subirent, n'était pas du tout à l'ordre du jour de nos républiques, après la Seconde Guerre mondiale ! ... La sensibilité à l'holocauste est venue bien plus tard, à force de militances pour le travail de mémoire.
Donc en somme, ce qui nous choque heureusement aujourd'hui, ne choquait en fait paradoxalement pas au sortir de la guerre, cette guerre dont nous avons surtout retenu l'holocauste pour ainsi dire, aujourd'hui.
Et finalement, si Georges Bernanos parlait aujourd'hui, on le soupçonnerait d'être de mèche avec des complotistes tels qu'Alain Soral ...

Enfin :

Georges Bernanos, La Liberté pour quoi faire, p.191, a écrit:
L'homme n'est pas responsable de l'histoire, nous pouvons nous laver les mains dans l'histoire, ainsi que dans la cuvette de Ponce Pilate. Que le sang des Justes retombe sur nous ! s'écriaient les Juifs, voilà deux mille ans. Mais il n'y a plus ni juste ni injuste, comme d'ailleurs ni haut ni bas, et le sang ne retombe jamais !

Les vieux poncifs, n'est-ce pas ...

Néanmoins, je reste sage dans mon raisonnement, et je remarquerai que sur 250 pages de livre, ce n'est pas l'essentiel. On aurait mauvais jeu de le perdre de vue, au titre d'affolements militants : le fond de la critique du monde moderne demeure, et l'époque n'était pas la même donc.

Il y a le style, et l'essentiel du propos :

Georges Bernanos, La Liberté pour quoi faire, p.190-191, Folio essais, 1995, a écrit:
... l'humanité moyenne, frappée au cœur par le pressentiment des catastrophes prochaines, avide de s'en déclarer irresponsable, de les subir au lieu de leur faire face, prêtait l'oreille au moindre murmure. Elle eût été capable de lire de loin sur les lèvres la sentence qu'elle attendait, qui allait la décharger de sa conscience. L'homme n'est pas libre, quel bonheur ! Le savant n'est pas plus libre que l'ignare, le sage que le fou, quel soulas ! L'égalité [technocratique] gagne d'un seul coup, d'un coup décisif, tout ce que perd la liberté, la liberté vaincue, non pas seulement vaincue mais anéantie dans son principe même, dans son principe spirituel, désintégrée. Il n'y a plus d'injustice, non par la victoire, reconnue impossible, de la justice sur l'injustice - vaine illusion de la dialectique -, mais parce qu'il n'y a plus de justice, comme on rapprocherait les distances au point de les réduire à rien, en supprimant radicalement l'espace ! [...] Une telle doctrine peut bien passer pour révolutionnaire. Elle n'est pas révolutionnaire. Ou elle est révolutionnaire dans ce sens qu'elle révolutionne la révolution en la supprimant. Elle supprime la révolution en supprimant l'Histoire. Et, supprimant l'Histoire, elle supprime l'Europe du même coup. Il n'y a plus de place pour l'Europe dans un monde sans liberté. On me dit que l'homme n'est pas libre. Mais qui me le prouve ? Et si l'on me demande qui me prouve le contraire, je répondrai à mon tour : "Puisque tout ceci doit se résoudre, en fin de compte, par un pari, eh bien ! je parie pour l'homme." L'Europe a toujours parié pour l'homme. Et la preuve qu'elle a mis toutes ses chances sur ce pari, c'est qu'elle s'effondre en même temps que la liberté.
Qui sauvera la liberté, sauvera l'Europe. Qui perdra la liberté, perdra l'Europe... Mais est-ce bien la liberté qu'il faut dire ? Le sort de la liberté est lié au sort de l'homme libre, la liberté c'est l'homme libre. Car nous savons tous que, par un paradoxe étrange, c'est au nom du libéralisme que le capitalisme naissant sacrifiait l'homme libre à ce même impitoyable déterminisme des choses que nous dénonçons dans le marxisme.

Comme je le disais en tout premier sur ce topic, Georges Bernanos brouille toutes nos catégories sociopolitiques. Par esprit libre ?

Merci de m'avoir lue jusque là car, en somme, avec un peu d'intelligence, j'ai aimé.


On peut mettre le propos de Georges Bernanos avec celui de Milan Kundera, d'ailleurs.
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