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 Ecriture - Deux problèmes pour le prix d'un

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Ratatosk
   
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Ratatosk  /  Clochard céleste


-> Melgane

Ah mais je suis pas très concours...^^

J'ai surtout peur de commencer par ce projet là, parce que j'ai remarqué que lorsqu'on est créateur et que l'on regarde ce qu'on a fait/créé avant, on voit beaucoup de défauts dans nos oeuvres et on est souvent les pires critiques envers nous mêmes, et j'ai vraiment pas envie de regarder mon "oeuvre" 5 ans plus tard pour me dire que j'aurais du attendre pour l'écrire pour faire mieux et m'exercer sur autre chose. Mais je prends bien en compte qu'il faut pondre quelque chose au bout d'un moment sinon on fait rien, mais j'ai l'exemple d'un projet "vidéo" sur lequel je travaille en parallèle et ou j'ai obtenu de bons retours. Le truc, c'est qu'après avoir vu plusieurs fois mon travail, les défauts me sautent aux yeux et je me demande alors comment j'ai pu faire pour les laisser, alors que personne (?) n'y fait vraiment gaffe.

Oui je suis assez d'accord avec toi sur la cohérence du monde, je suis juste un peu maniaque à ce sujet et j'ai envie de faire en sorte que mon histoire ainsi que son univers tiennent la route, avec une "fondation" level béton armée ultra solide.

Dans ce cas, j'vais tenter d'écrire d'autres "trucs"...^^


-> Hanaé

Oui je prends des notes depuis maintenant presque 2 ans j'dirais. Je fais ça avec Evernote que je trouve extrêmmement pratique et dès que j'ai une idée je l'écris pour pas l'oublier. Et oui j'ai commencé à faire ce genre de "plan" pour me repérer mais il manque encore des choses. Après pour les personnages, j'aime bien faire des fiches de persos.


En tout cas merci pour vos réponses, ça aide vraiment ! Wink
 
Alphonsine
   
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Alphonsine  /  Tentatrice chauve


Ratatosk a écrit:


Quand un auteur utilise deux fois la même idée, ça parait pas bizarre ou gênant pour le lecteur ? Parce que si le lecteur se dit "tiens c'est marrant ce personnage il ressemble à ce personnage, et c'est le même auteur, il s'est pas foulé le gars lol" j'ai pas envie que ça soit interprété comme de la feignantise que de reprendre les mêmes idées  Very Happy

Et justement, comme je suis motivé par mon truc de SF, j'ai moins d'idées pour écrire autre chose, après il me semble que Asimov avait écrit des nouvelles qui étaient liées à l'univers de Fondation, je pourrais peut être commencer par des nouvelles ou des histoires courtes se passant dans mon univers de SF non ?

Puisque tu cherches à créer un univers, je pense au contraire qu'il est très intéressant de commencer par des textes courts qui te permettent, par touches, de mieux le cerner avant de te lancer dans la construction et rédaction de ton oeuvre longue. Et pour prendre un exemple classique, je viens de lire Melmoth réconcilié de Balzac, et j'y ai croisé quelques personnages de la Comédie humaine (Baron de Nucingen, Lucien de Rubempré). Ça m'a rappelé que Balzac réutilisait souvent ses personnages d'un roman à l'autre : Lucien est le héros d'Illusions perdues mais apparaît en toile de fond de quelques autres romans, par exemple. Je n'en ai pas conclu que Balzac était paresseux ou même qu'il devait écrire rapidement (c'est en partie vrai, mais pas pour tous les romans) ; en revanche, plus je connais son œuvre, plus je m'y retrouve, et recroiser des têtes familières décrites d'un nouveau point de vue a même quelque chose de plaisant.
https://nolwennpamart.wordpress.com/
 
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Invité  /  Invité


@Ratatosk : "j'ai vraiment pas envie de regarder mon "oeuvre" 5 ans plus tard pour me dire que j'aurais du attendre pour l'écrire pour faire mieux et m'exercer sur autre chose." Alors tu n'écriras jamais. Je me souviens de l'interview d'un auteur à succès, états-unien, je ne me souviens plus son nom... le journaliste demande "si vous deviez réécrire l'un de vos livres aujourd'hui ce serait lequel ?". Il a dit, du tac au tac, sans réfléchir une seule seconde : "tous".
Pourquoi ? Parce que 5 ans c'est long. En 5 ans on apprend des tas de choses et on s'améliore, en on change de vision sur la vie... J'ai peu la notion du temps (comme chaque humain, j'ai des points de repère "ah oui, c'était en même temps que l'achat du lave-vaisselle alors ça devait être il y a deux ans"). Mais il se trouve que comme je suis en Histoire je chope des prénoms et des notions dans mes cours. Un prénom d'une de mes personnages secondaire je l'ai récupéré l'année dernière dans un cours sur l'Histoire des steppes au Moyen Âge. Là comme ça tu ne vois peut-être pas le rapport mais je vais m'expliquer et j'espère que ça sera clair. J'ai pour habitude de ne pas me relire tout le temps. C'est à dire que quand je commence une nouvelle séance d'écrire je relis ce que j'ai fait la fois d'avant, si j'ai besoin de vérifier quelque chose je remonte vérifier ladite chose, mais c'est tout. Fatalement le début de mon roman je ne l'ai pas relu depuis longtemps (d'autant plus longtemps que je suis très lente à écrire celui-là par rapport au précédent) et donc l'écriture ne correspond pas forcément tout à fait à celle des dernières pages mais, surtout, l'Histoire. Quand je retombe sur certains passages je me rends compte que j'ai étendu des bras que je n'ai ensuite pas développé tant que ça par rapport à d'autres qui ont pris plus d'espace. Parce que l'histoire évolue en même temps que mon esprit évolue. Et quand je vois ce fameux nom de mon personnage ça me le rappelle "ah oui, ça fait déjà un an, va falloir que je relise dans l'ordre pour corriger".
Si tu dis "non, non, j'attends, j'attends" tu n'écriras jamais. Et, vieux et malade, tu te mettras à écrire, à 90 ans, en te disant que maintenant tu sais assez de choses, que maintenant tu peux. Mais auras-tu le temps de le finir ? Seras-tu en état ? Je vais volontairement dans l'extrême mais l'idée est là. On passe notre vie à apprendre. Quand je vais relire mon roman, les premières pages vont me rappeler que j'avais voulu me lancer vers telle ou telle notion et que finalement j'ai mis le point sur une autre, qui paraissait plus adaptée, plus importante, et va falloir que je remette tout à niveau. Par exemple je me rends compte que j'ai fait une jolie connerie : j'ai trop séparé nobles et esclaves type nobles/libres/riches et esclaves/serviles/pauvres alors que des libres peuvent être pauvres et que des riches peuvent être non noble. Du coup c'est embêtant. Du coup il va falloir que je corrige ça. Entre autre. Mais ce n'est pas grave. Je verrai les erreurs, je les remettrai à niveau, et la chose sera globalement unifiée.
Il est aussi intéressant de voir l'évolution. On écrit toujours quelque chose de notre présent. Quand on parle de la mémoire des guerres, par exemple, on le fait de notre présent, des choses qui nous interpellent nous, quand on pose des questions à l'Histoire, au passé, ce sont nos questions de nous maintenant à l'instant T. Eh bien quand on veut raconter quelque chose (le courage, la liberté, l'amour, l'amitié, la mort, la guerre, la foi, la croyance, le pouvoir, etc.) on le fait de notre instant T (T multiplié par le nombre d'années que tu passes sur ton foutu projet). Nos questionnements, nos réflexions, et, évidemment ! évidemment que demain, quand tu reliras, après avoir fait une rencontre, tu auras un autre avis... Saint Augustin a fait ça : il a publié un catalogue de ses écrits et il s'est auto-critiqué. On écrit à un instant T. Si toi à ton instant T tu as ton questionnement sur le fond de ton histoire (parce qu'une histoire n'est pas juste une histoire, il y a des notions derrière (liberté, tolérance, etc.)) maintenant alors écrit maintenant, et peu importe si demain tu ne penses plus la même chose !

Un univers peut tenir la route sans être logique à 100% Wink
 
Ratatosk
   
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Ratatosk  /  Clochard céleste


-> Alphonsine

D'accord pour les textes courts mais je peux aussi commencer par écrire un chapitre "au hasard" pour voir ce que ça donne et pour mieux cerner les personnages ?
Ah ça me rassure de voir que quelqu'un comme Balzac réutilise ses personnages et que c'est pas génant, au contraire plaisant à la lecture Wink

-> Melgane

Effectivement c'est intérressant comme point de vue maintenant que tu le dis ^^
Moi aussi j'ai eu le même problème justement avec les premiers écrits de mon histoire qui n'ont presque plus rien à voir avec ce que j'écris maintenant. Faut faire une "upgrade" de ton texte en faite en quelque sorte.
Intérressant l'histoire sur Saint Augustin ! J'irais me renseigner plus à son sujet je pense. Mais c'est vrai que j'oublie un peu que j'écris une histoire à l'instant T et que du coup c'est normal qu'une lecture quelques années plus tard voir beaucoup plus loin, il peut sembler avoir des illogismes et des choses qui ne vont pas pour le point de vue du mec qui lit tes machins 50 ans après et donc pas trop se prendre la tête pour pondre un machin parfait puisque c'est impossible.
 
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Ratatosk a écrit:
mais je peux aussi commencer par écrire un chapitre "au hasard" pour voir ce que ça donne et pour mieux cerner les personnages ?

Tu m'épuises.
Tu fais ce que tu veux, tu commences par ce que tu veux, tu fais selon où tu es le plus à l'aise, il n'y a pas de règle nom d'un chien !
Quand j'étais au lycée j'avais un carnet à côté de mes feuilles et j'écrivais des bouts de mon "roman" j'ai écris au bas mot sans doute dix fois la même scène, encore et encore, entre-coupées de "trucs", de mini scènes, de flashs, qui n'avaient rien à voir.
Fais là où tu te sens bien, là où tu as envie.

Ratatosk a écrit:
il peut sembler avoir des illogismes et des choses qui ne vont pas pour le point de vue du mec qui lit tes machins 50 ans après et donc pas trop se prendre la tête pour pondre un machin parfait puisque c'est impossible.

Exactement.
Peu importe les grands discours : on écrit d'abord pour soi, pour vider quelque chose. Si maintenant tu veux pondre un truc sur la confiance pond ton truc sur la confiance sans te poser de questions...

Je me demande pourquoi tu hésites autant. Pourquoi tu repousses le moment de commencer en disant d'abord "je veux un univers 100% cohérent avant de commencer" puis "j'attends parce que je veux pas me dire que j'aurais pu faire mieux 5 ans plus tard". C'est quoi ? De la peur ? Si c'est de la peur de ne pas être à la hauteur de tes ambitions sache que j'ai la même et que ça ne m'empêche pas d'écrire Smile Si c'est de la peur de mal faire sache qu'il n'y a pas de méthode pour bien faire. L'écriture, si elle a des points communs avec l'Histoire, a une grosse divergence : ce n'est pas une science. L'Histoire a ses méthodes, on peut "mal faire". En écriture c'est impossible. Il n'y a pas de méthode : il y a des méthodes. Certains font des fiches de personnages : moi non ; certaines font des frises chronologiques : moi non ; certains font des plans : moi non. A contrario je fais aussi des choses que d'autres ne font pas.

Mets toi dans ta foutue caboche (je ne veux pas que ça soit mal pris, je le dis tout à fait amicalement !) qu'il n'y a pas "d'ordre". Je n'ai jamais écrit de nouvelles pour commencer... j'ai écrit des dizaines de trucs littéralement sans fin, des dizaines de petites scènes uniques... Pour "se faire les dents" il n'y a qu'une chose à faire : écrire. Peu importe quoi. Des nouvelles, des chapitres, des contes, des poèmes, répondre à des appels à texte, écrire des trucs juste comme ça, comme ça vient, écrire des mémoires, peu importe. On s'en tamponne. Tu veux te faire les dents ? Ecris, un point c'est tout. Commence avec ce avec quoi tu es le plus à l'aise, commence avec ce qui te fais envie, commence même par un défi si tu veux (mots imposés, ce genre de choses par exemple). Commence par une nouvelle tirée de ton univers ou indépendante... peu importe. Il n'y a pas d'ordre, il n'y a pas de règles, et ceux qui diront le contraire sont au mieux des rabats joie. Pour se faire les dents faut écrire. Encore une fois : peu importe quoi.

Tu veux écrire ? Tu as envie d'écrire ? Ecris et arrête de te poser des questions et de repousser.
Je vais finir en citant un proverbe arabe : "qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui veut ne rien faire trouve une excuse" et conclure en t'envoyant vers la citation de Sénèque de ma signature.
 
Nibelung
   
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Nibelung  /  Guère épais


Bonjour Ratatosk,

Je vois qu'il y a déjà pas mal de commentaires utiles, alors pour éviter de faire doublon ou paraphraser quelqu'un d'autre, je vais te faire profiter (ou t'infliger, selon comment on voit la chose) de mon expérience en la matière. Car je me trouve très exactement dans la même situation, à savoir :

-un univers en expansion manifestement inarrêtable ;

-la peur de "griller" certaines idées qui auraient pu être plus judicieusement exploitées dans un autre cadre.

Je me suis vraiment mis à l'écriture courant 2004, juste après avoir fini mes études (essentiellement pour meubler un temps désespérément libre, mais là n'est pas le sujet Very Happy). Sans trop rentrer dans les détails, il s'agissait d'une enquête policière sur fond de guerre entre "superpuissances", le tout dans un univers de fantasy qui à l'époque n'était qu'embryonnaire. Le roman ayant plu aux quelques rares personnes à qui je l'avais fait lire (je précise que je n'envisageais pas le moins du monde de le faire publier), j'ai eu envie d'écrire une suite. Puis une suite à la suite.

L'univers a donc "enflé" au fil de ces trois histoires (mes cours de géopo se sont avérés utiles à quelque chose, en fin de compte Very Happy), chaque nouveauté donnant à son tour naissance à de nouvelles idées potentielles que je conservais "pour plus tard".

Puis ma vie professionnelle démarrant enfin, j'ai été contraint de laisser tout ces beaux projets de côté, et ce durant un paquet d'années. Je ne m'y suis de nouveau intéressé qu'en 2011, et là, stupeur, horreur, rage, désespoir, acné, feuille d'impôts : "est-ce moi qui ai écrit ça ?" me suis-je demandé. Bon, ce n'était pas catastrophique en soi, mais le constat était inégal : l'univers me convenait, mais je trouvais que l'histoire en elle-même manquait de souffle, que certains personnages secondaires faisaient de l'ombre à ceux qui étaient, supposément, les héros.

Voilà où mon expérience (pour modeste qu'elle soit) rejoint ton interrogation : à trop me soucier de conserver des "munitions" pour des récits ultérieurs parfaitement hypothétiques, j'ai tout simplement raté une bonne occasion de les exploiter, impactant négativement le récit, le privant de certains ressorts susceptibles de lui conférer ce souffle qui lui faisait défaut. Idem pour certains personnages qui, je m'en suis rendu compte lors d'une relecture plus récente, présentaient sans doute un potentiel, potentiel avorté du fait de ma trop grande pusillanimité. Du coup, je me suis retrouvé avec un univers construit, détaillé, cohérent, mais en un sens trop grand, trop foisonnant pour mes pauvres personnages, eux-mêmes faisant l'effet d'une anorexique qui voudrait s'habiller avec du XXL. C'est la question de ce qu'on pourrait appeler "l'échelle narrative".

J'ai brièvement repris l'écriture en 2011-2012, en essayant de gérer cette problématique. J'ai conservé le même univers, mais ai déplacé l'action, en un temps et un lieu où les répercussions de l'histoire seraient moindres (moins d'implications géopolitiques, donc moins d'événements en cascade à gérer), avec moins de personnages, des enjeux moins importants, etc. et le résultat a été plutôt probant : c'est-à-dire que, rétrospectivement, je ne renie pas ce dernier bouquin autant que les trois premiers Very Happy. Et en fait de "moindre histoire", il fait tout de même ses 450 pages, le corniaud (contre 600 en moyenne pour les autres). Comme toi, j'éprouve quelques difficultés à écrire des histoires courtes Wink.

En conclusion je pense que le mieux, à la fois pour mettre à l'épreuve la cohérence d'un univers et entamer un processus créatif sans redouter de gaspiller trop d'idées potentielles, n'est pas nécessairement de chercher à produire des textes plus courts, mais simplement (façon de parler, hein) de réduire le "cadre" dans lequel se déroule le récit (une ville plutôt qu'un pays, un pays plutôt qu'un continent, une planète plutôt qu'une galaxie, etc.), ce dernier pouvant ensuite faire office de marchepied pour une histoire plus étoffée.

Espérant avoir pu t'aider, ne serait-ce qu'un peu, avec cette histoire digne d'un vieux schnock sur le retour Very Happy.
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Ratatosk
   
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Ratatosk  /  Clochard céleste


-> Melgane

Je sais Wink
Ok alors je fonce.

Peur de pas être à la hauteur et de "rater" mais je sais bien que c'est bête au fond mais comme ça compte vraiment je veux juste pas me louper. Mais je vais m'y mettre quand même toute façon, je me rends bien compte que ça paralyse plus qu'autre chose. En faite je dois avoir du mal avoir le faite qu'il n'y est pas de méthode, mais si tu le dis je veux bien y croire ^^ (Ou alors ça viens du faite que j'ai lu Vogler je sais pas Very Happy)

(Pas de problème) D'accord, bah je pensais pas qu'il n'y avait pas de règles à ce point.
Je connaissais déja les deux proverbes héhé.

-> Nibelung


Salut ! (Je choisis profiter)

Ah c'est super intéressant comme expérience, bah voilà j'aimerais éviter ça mais je suis sûr qu'on est obligé d'y passer...En faite il faut se dire qu'on doit tout donner sur un projet, même les "munitions" de réserve et que de toute manière les idées ça se retrouve.
Effectivement la question du cadre aussi est très intéressante, pour le coup moi c'est plutôt une histoire à grande échelle mais j'essaye de la construire en agrandissant l'échelle au fur et à mesure. Eviter de balancer un univers étendu méga gigantesque dans la poire du gars random qui va lire derrière. D'ou ma question sur le faite de commencer par des trucs courts et donc avec un "petit cadre".

Sympa de partager ça en tout cas Wink
 
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Personne veut se louper. On se lance jamais dans quelque chose en disant "je veux me louper". On se lance dans quelque chose en disant "je vais tout déchirer" ou, au pire, de l'autre côté du spectre "j'ai pas beaucoup de chances mais ça se tente". Personne veut se louper. Mais à hésiter parce qu'on ne veut pas se louper on ne fait rien. Du tout. "J'ai peur de me louper, donc je n'essaye pas de faire mes lacets, je préfère les scratchs de toute façon...". C'est en se loupant qu'on s'améliore. C'est l'échec qui nous fait apprendre (mon Dieu c'est tellement cliché mais c'est tellement vrai !).

Oh oui oui ! Crois-moi : il n'y a pas de méthode ! C'est toute la magie et toute la difficulté aussi !

Tant mieux si tu les connaissais ! Alors penses-y souvent ! Very Happy
 
Ratatosk
   
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Mais le pire c'est que je pense exactement de la même manière ! Sinon j'aurais jamais essayé l'écriture mais c'est sûr que c'est jamais évident de se dire "je vais tout déchirer", va falloir que je reprenne l'habitude de me dire ça quand j'me met au travail Very Happy

Bon bah ça tombe bien, j'aime bien la magie !

Yes, en tout cas merci pour ta réactivité sur le forum, c'est assez appréciable Wink
 
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De rien Smile Il me reste quelques jours de vacances donc, globalement, j'ai que ça à faire x) (et quand je travaille faire des pauses fait du bien ! Razz).
 
Ratatosk
   
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C'est sûr ! Wink
 
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Ratatosk a écrit:

Sympa de partager ça en tout cas Wink

Faut bien. Finalement les JE, c'est un peu comme les AA : une bonne thérapie de groupe Very Happy.
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