C'est intéressant la réponse de cette éditrice. Je comprends qu'elle ait été piquée au vif car la métaphore du dragon n'est peut-être pas la plus heureuse. J'ai pour ma part trouvé le document de La Charte assez mesuré. A aucun moment ils ne dénigrent les ME (il me semble, en tout cas). Ils expliquent juste aux auteurs qu'ils ont le droit (voire le devoir) de négocier leur
contrat, qu'ils n'ont pas à avoir peur du jargon juridique et que rien n'est gravé dans le marbre. Ils expliquent aussi qu'il y a des ME très à l'écoute de leurs auteurs, et d'autres moins. Ce qui n'empêche, le
contrat reste un document qui nous lie à vie (et bien au delà) à une entreprise. Toutes les entreprises ne sont pas mauvaises, tous les patrons ne sont pas de gros cons (je suis moi-même dans ce cas). On peut être copain-copain avec salariés, ses clients, ses fournisseurs, cela n'empêche aucunement la négociation des clauses du
contrat qui nous lie. Et ça peut même se faire dans la bonne humeur