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 [Inspiration] Les faux départs

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Mikaroman
   
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Mikaroman  /  Jeune et fringant retraité


Et si nous parlions de nos faux départs, ces textes que l'on a commencé et pour lesquels l'inspiration ou l'entousiasme se sont évaporés, ou ceux qui ont été suplantés par d'autres idées, d'autres envies. Les texte dont on s'est dit qu'on les reprendrait plus tard et que finalement...

Quelle place ont ils à vos yeux ? Quel sort leur réservez vous ? Comment, en tant qu'auteur, les considérez vous ? Arrivez vous à en faire le deuil ou les considérez vous éternellement comme des textes à venir ?
http://romainmikam.free.fr/
 
Rulae
   
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Rulae  /  Le bruit et la pudeur


Hum, ça dépend des textes.

Il y en a certains que je considère comme "relevant de ma jeunesse" : je sais, avec certitude, que je ne les continuerai pas, parce que je suis passée à autre chose et que ça ne m'intéresse plus tellement.

D'autres... sont nés d'un embryon d'idée et je les considère comme des textes en phase de maturation. Ils ne sont pas abandonnés, ils sont juste là, incomplets, en train de mûrir tranquillement dans un coin de mon esprit et je pense que je les reprendrai un jour. Faut juste attendre que je sois prête à les construire correctement, avec une expérience que je n'ai pas encore acquise.

Parfois, d'autres idées me viennent et je les ajoute à l'embryon pour plus tard. C'est comme une barre de vie qui se remplit peu à peu !
 
Trench
   
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Trench  /  Le bruit et la pudeur


Dieu merci ça m'arrivait vers le début du lycée mais plus du tout maintenant, j'ai bien fait de les foutre au fin fond de mon ordi, ils ont disparu pour toujours. Je ne fais plus de "faux départs" depuis deux ans, quand j'ai commencé et fini mon premier roman.

Il faut brûler ces textes impis ils vous détournent de la lumière
 
Jana-Ships
   
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Jana-Ships  /  Barge de Radetzky


J'en ai plein, de ces textes commencés avec toute la passion que j'avais à l'époque. Des tas, des tas de trucs à moitié finis, en plus! Ce qui a fait que je les ai abandonnés, ces machins, c'est probablement que je les écrivais d'abord en manuscrit et je les recopiais après seulement en tapuscrit, en changeant des tournures de phrase, une sorte de mini correction pas très sérieuse.

Ca, c'était dans mes années collège. Une mauvaise méthode, car dès que je rentrais à la maison, je recopiais ce que j'avais écrit dans la journée, et c'est sans doute ce qui me faisait abandonner mes écrits. Tout simplement parce que je ne voyais rien de bon dedans, et que ça me lassait. Je ne savais pas à cette époque qu'il valait mieux laisser reposer mes textes avant de les reprendre.

Depuis mes années lycée, j'évite d'abandonner mes textes. Par exemple, pour mon premier NaNo, je suis arrivée à la fin du concours avec le bon score, mais j'ai complétement arrêté après ça. D'une, parce que j'étais exténuée après avoir cravaché (et que l'année de seconde, c'est pas si tranquille mine de rien), de deux, parce que j'ai BETEMENT mal enregistré mes dernières avancées et que j'ai perdu 3 000 mots d'un coup. Pas beaucoup, mais ça a suffi à me miner. Du coup, c'était un faux départ. Une histoire que j'ai méchamment abandonné.

Quoique, pas trop, parce que cette histoire-là, je sais que je vais la reprendre. L'avantage, c'est qu'aujourd'hui j'ai un regard neuf dessus, donc je changerais plein de choses pour rendre le papyrus meilleur.

Enfin, cette année, j'ai aussi fait un NaNo que j'ai brillamment réussi (à mon humble avis, bien sûr!) J'étais exténuée, mais je n'en étais qu'à la moitié de mon bidule, et je l'ai fini en février. Piouf, soulagement! Sauf que l'écriture étant mon carburant indispensable, il me fallait un autre projet avant de passer aux corrections. Donc j'ai fais un projet de transition, c'est comme ça que j'appelle ça. Entre deux gros projets et les corrections, je prévois de faire des novellas, ou des romans vraiment légers.

Sauf que, bah, Big projet était très impatient de sortir de ma tête, donc que s'est-il passé? Bah oui. Transition novella thriller au placard. Et en y repensant, je pense que je vais l'abandonner pour de bon. Ca me chagrine un peu parce que j'aime écrire et que je considère que mon but est de terminer l'histoire, quoiqu'il arrive, mais il y a aussi une forme de soulagement, parce que le personnage principal, trop naïf, m'insupporte. C'est normal puisque je l'ai écrit ainsi, mais quand un personnage m'énerve de trop, rien à faire, je me bloque. Je suis aussi déçue et fâchée avec moi-même, car l'un de mes énormes problèmes, c'est que la motivation me gagne vite et que j'ai un grand besoin de changer régulièrement d'horizon: je ne peux tout simplement pas tenir en place sur la même histoire pendant plus de deux mois. C'est un énorme problème, que j'arrive à surmonter quand la volonté est là, mais pour ce projet de transition, je n'ai pas réussi.

Donc voilà, sentiments partagés, colère contre moi-même parce que j'estime que même si je n'aime pas forcément mes personnages, ils méritent une fin à leur début d'histoire. Depuis, j'essaye de ne pas reproduire la sottise. Je m'empêche par exemple de débuter plusieurs papyrus en même temps sinon je sais que je suis cuite pour de bon. Par contre, ça ne m'empêche pas de préparer le terrain pour d'autres projets, tout en gardant bien en tête que je n'y toucherai qu'une fois le papyrus actuel achevé.

Et y a encore du boulot, avant!
 
Gemili
   
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Gemili  /  Tapage au bout de la nuit


Pouf, j'en ai eu des faux départs. Surtout à cause d'un manque de préparation de ma part et d'une extrême lenteur de l'écriture. Mes doigts sont tellement plus mou que ma pensée ...

Maintenant, depuis que j'ai fini mon premier roman et que j'ai ressenti la petite douceur au coeur d'un projet fini, je me suis dit que j'allais faire un effort.

Je me suis lancée dans une fantasy un peu dark, assez complexe qui me tournait dans la tête depuis un moment. Je me suis jetée sur la rédaction sans préparation (abrutie) et bien sûr je me suis rapidement retrouvée dans des impasses, à ne plus savoir où j'allais...

Ensuite est arrivé Pandémonium. Ce n'est qu'à ce moment que j'ai décidé de m'y mettre sérieusement, quitte à y prendre le temps. J'ai fait exprès de choisir une idée où je ne POUVAIS PAS ne pas faire un plan détaillé dès le début. Et après un an j'y suis encore :write:

Ceci dit, j'ai trouvé comment rattrapé ma dark fantasy et je m'y lance dès que j'ai fini Pandémonium. Je vais éviter de lancer deux projets en même temps, me connaissant ça va se casser la tronche.

Surtout, je trouve un écho dans ce que dit Jana. Je pense que mon erreur est de me relire trop souvent et de corriger au fur et à mesure. Si je regarde derrière moi, le seul roman que j'ai terminé, j'ai attendu la toute fin pour le reprendre. Bien sûr, je me relisais une fois entièrement après la correction d'un chapitre mais après, si je devais me relire, ce n'était pas dans le but de me corriger mais dans celui de me souvenir de comment j'avais emmené les choses.
Je commence à me dire, après 6 mois sur JE que poster mes chapitres ici risquent de me conduire à un faux départ. Parce que la rédaction n'est pas si avancée mais qu'on me fait déjà remarqué que le début a des défauts, j'ai du mal à ne pas y penser et je n'avance plus bien. Et comme je n'avance plus je n'ai plus envie et mon roman est presque en train de devenir un faux départ.
 
Ars
   
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Ars  /  Gloire de son pair


Je fais assez peu de "faux départs", j'ai des fichiers où je stocke mes idées sous forme de listes à puce, parfois de bouts de phrases et de paragraphes, mais je me force à ne pas commencer d'autres romans sinon ça fait un peu vase communicant et mon inspiration se transfère du roman que j'étais en train d'écrire à celui que je commence. J'ai une quarantaine de brouillons, actuellement. Je ne compte pas ceux que j'ai écrit avant 15 ans parce que là on atteint la centaine de bouts de romans bourrés de clichés et mal écrits, avec des phrases alambiquées comme pas possible. Enfin, ce sont des bouts de ma jeunesse o/

Donc je les considère comme des projets en attente, des possibilités qui mûrissent au fil du temps. Si l'un d'entre eux me plaît suffisamment, je m'y attaquerai sans doute quand j'aurai fini mon projet actuel.
 
Raven
   
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Mikaroman : Et si nous parlions de nos faux départs, ces textes que l'on a commencé et pour lesquels l'inspiration ou l’enthousiasme se sont évaporés, ou ceux qui ont été supplantés par d'autres idées, d'autres envies. Les texte dont on s'est dit qu'on les reprendrait plus tard et que finalement...
Perso, je n'ai aucun enthousiasme quand je commence à écrire un roman. Laughing J'en ai à inventer l'univers, les personnages et le scénario. Mais les mettre sur papier, c'est une plaie, c'est une vraie souffrance.

Cependant, je me surprends toujours lorsque j'ai fini d'écrire une nouvelle : quand j'ai fini, je me demande comment j'ai fait pour finir. (Sidenote. Finir veut dire “finir le premier jet” — je ne corrige jamais mes textes.) Du coup, on pourrait dire que tous mes textes sont des faux départs parce que je ne les retravaille jamais, c'est toujours du premier jet, donc c'est un peu toujours de l'inachevé.

Mikaroman : Quelle place ont ils à vos yeux ? Quel sort leur réservez vous ? Comment, en tant qu'auteur, les considérez vous ? Arrivez vous à en faire le deuil ou les considérez vous éternellement comme des textes à venir ?
À mes yeux, du coup, les faux départs sont des échecs complets mais pas dramatiques : j'ai eu une idée de nouvelle, j'ai pas réussi à me mettre dans le bon esprit pour écrire (de sorte que je ne me surprends d'avoir fini quand j'ai fini), alors je la fous à la poubelle et j'essaie avec une autre. Un faux départ de nouvelle, c'est une heure ou deux de perdues, tout au plus.

Pour ce qui est des romans… Car c'est sans doute de roman qu'on parle, en fait… Laughing

Je crois pratiquer (plutôt inconsciemment) une sorte d'“économie des idées” : jusqu'à présent, j'ai trois idées de romans — les autres sont venues et reparties parce qu'elles n'étaient pas assez bonnes, je pense.

Je me souviens d'une conférence où Stephen King répondait à la question : utilisait-il des carnets pour noter ses idées quand il n'était pas à sa table de travail ? Il disait que c'était le meilleur moyen d'immortaliser nos idées les plus pourries : une bonne idée, d'après lui, est une idée qui reste en tête, fait son trou, nous rappelle à elle régulièrement (il faisait référence à Dome, dont il a eu l'idée plusieurs années avant de commencer à l'écrire, parce que c'était pas le moment, qu'il se sentait pas assez bon ou j'sais plus quoi).

Et je suis assez d'accord, pour le coup.

Mon impression est que, quand on écrit une nouvelle, c'est l'exécution qui est déterminante, et les idées sont secondaires et “vraiment” inépuisables, surtout lorsqu'on a besoin que d'une poignée d'heures pour l'écrire.

Lorsqu'on écrit un roman, je rejoins Trench : il faut s'éloigner de tout risque de faux départ, parce qu'un roman, c'est un véritable gouffre chronophage sans fond. Je n'ai “que” trois idées romanesques, perso, mais elles me restent en tête, maturent leur univers lentement mais sûrement sans vraiment que j'ai d'effort à faire.

Mais bon, comme je disais, vu que je n'ai aucun enthousiasme à écrire, seulement à inventer, l'écriture est une galère quoi qu'il arrive — et je crois que toute idée peut trouver l'exécution qui lui correspond, si elle est bonne.

L'exécution n'est qu'une question de technique : toujours améliorables, potentiellement corrigeable. Il n'existe pas de “faux départ” à base d'exécution pourrie, mais seulement à base d'idées qu'on juge médiocre.
 
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Quelle place ont ils à vos yeux ?
Difficile à dire... J'aurais tendance à dire qu'ils ont la même place que celui ou ceux que j'écris dans le moment mais s'ils ont été écartés ou mis en stand-by, il y a forcement une raison. Manque d'envie, priorité revue à la baisse, bref, ils doivent avoir moins d'intérêt à mes yeux.

Quel sort leur réservez vous ? Arrivez vous à en faire le deuil ou les considérez vous éternellement comme des textes à venir ?
Actuellement la poussière... Mais je compte bien les dépoussiérer un jour. Je ne fais jamais le deuil de ces textes. A un moment ou à un autre, ils s'imposent à moi. Ils me hantent.
 
mythos
   
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mythos  /  Barge de Radetzky


Je suis peut-être encore trop “jeune” pour dire avoir commis quelques “vieux” faux départs, mais il m’est assez familier de me dire que je vais commencer :
-un roman
-un poème
-une nouvelle*

et de laisser tomber au bout de quelques :
-pages
-paragraphes
-lignes
-mots**

Mais il m’arrive aussi de ressortir quelques vieux textes et de leurs redonner un petit coup de jeune en les continuant.

*rayer les mentions inutiles
**rayer les mentions inutiles (encore) Rolling Eyes
 
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Invité  /  Invité


Justement, j'en ai deux là x) L'idée me plaisait bien et puis au final c'est resté une idée de départ, sans plus de fond vraiment intéressant ou satisfaisant... dans ces cas-là je laisse tomber, je me dis que l'idée ne peut pas vivre par elle-même et qu'elle doit trouver un écrin plus large dans lequel s'inscrire donc j'attends mon heure haha x) J'attends le moment où je vais avoir une autre idée et où l'idée avortée va pouvoir venir compléter la nouvelle Smile Pour reprendre ce dont parlait Raven, ces idées-là, elles me trottent dans la tête régulièrement, mais simplement elles ne peuvent pas vivre par elles-mêmes et constituent plus des éléments d'un truc plus grand. Je j'attends et je laisse mariner Smile
 
Séléné.C
   
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Ca dépend...

Je n'ai vraiment commencé à écrire qu'assez récemment. Avant, je laissais très facilement mes textes tomber en rade. C'était même leur sort ordinaire. j'écrivais pour me défouler, et du coup, ne finissais pas mes textes. Je suivais l'inspiration et basta.

Les premiers textes que j'ai fini ont été des très petits. Puis des nouvelles. Une longueur relativement facile à suivre sans changer d'idée en cours de route, quoi...
Les "idées longues", je n'ai commencé à les traiter sérieusement que ces dernières années.

Certaines de mes idées "en rade" le resteront à jamais. Elles ne m'intéressent plus.
D'autres ont continué à mijoter.
La plus représentative est sans doute DiscoBall... Dont la plus ancienne version a été entreprise voilà une vingtaine d'années. Ensuite sommeil. Puis reprise. Puis abandon. etc. (d'où pas mal de changements dans l'histoire et dans les personnages)
Martin, c'est différent. Tout comme DiscoBall, il en est à moult versions, déjà, mais elles ont été tout à fait successives. La première il y a 5 ans.

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mythos a écrit:
Je suis peut-être encore trop “jeune” pour dire avoir commis quelques “vieux” faux départs,
Désolée mais je rebondis sur cette phrase ^^ Tu n'es pas trop jeune, loin de là.
L'écriture n'a pas d'âge.
 
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Writer a écrit:
mythos a écrit:
Je suis peut-être encore trop “jeune” pour dire avoir commis quelques “vieux” faux départs,
Désolée mais je rebondis sur cette phrase ^^ Tu n'es pas trop jeune, loin de là.
L'écriture n'a pas d'âge.
Je pense le contraire, il faut une certaines maturité, des connaissances et surtout du vécu pour pouvoir produire quelques chose d’intéressant... (évidemment c'est pas absolue, il y a des exceptions).
http://rapturestudio.fr
 
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Matrix a écrit:
Je pense le contraire, il faut une certaines maturité, des connaissances et surtout du vécu pour pouvoir produire quelques chose d’intéressant... (évidemment c'est pas absolue, il y a des exceptions).
Je pense que chacun réagira différemment mais certaines jeunes ont parfois plus vécus que certaines personnes plus âgées. Je suis d'accord que sur certains points, ils auront des lacunes mais sur d'autres, ils peuvent très bien avoir vécus davantage.
 
Nemuyoake
   
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Nemuyoake  /  Tapage au bout de la nuit


Mais est-ce que ce sont VRAIMENT des textes avortes ? Est-ce qu'ils ne sont tout simplement pas en gestation ? Peut-etre qu'ils sont en train d'etre travailles dans votre subconscient, qui sait ?... Tant qu'on est pas mort, le texte n'est pas mort lui non plus.
https://nemuyoake.wordpress.com/
 
   
    
                         
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