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 [Structure] Roman et suites : savoir s'arrêter au bon moment

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Richard-James
   
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Richard-James  /  Autostoppeur galactique


J'imagine que bon nombre d'entre vous ont songé à une suite pour leurs écrits bien avant d'avoir terminé le premier volet. Je suis un peu dans ce cas là. Mon premier roman en est à la phase de relecture par une personne autre que moi, et je planche déjà sur le numéro 2. Au départ je me suis rendu compte que je n'avais pas envie d'abandonner mes personnages, tout ce petit monde que j'avais créé, comme si j'avais peur qu'ils me manquent et que mes journées n'allaient plus être rythmées de la même manière, que ma créativité allait en prendre un coup. J'ai laissé tombé l'idée d'une suite en tentant de me pencher sur d'autres projets à l'opposée de ce que j'écris habituellement, à savoir la dramédie. Me voilà donc déjà avec une vingtaine de pages de cette suite, où tout se construit à une vitesse incroyable dans ma tête.

Est-ce que certains d'entre vous ont eu du mal à passer d'un univers à un autre ?
 
Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Avoir du mal à passer d'un univers à l'autre... Oui. C'est comme un déménagement brutal. Il faut tout réapprendre.

Quitter ses personnages, c'est autre chose. Ca aussi, ça peut être dur, mais ce n'est pas le même problème. Ca peut se faire dans la douleur ou pas. On peut les abandonner avec le sentiment que "tout va bien, ils ont vécu leurs aventures, ils peuvent vivre en paix", ou bien se sentir comme déchiré de les quitter. On peut aussi avoir les deux impressions à la fois.

Quand on abandonne l'univers lui-même, il est difficile de ne pas abandonner les personnages aussi... A moins de recréer des personnages ayant des traits de caractère communs, mais le lecteur qui lirait les deux livres aurait un sentiment de redite, et toi-même risquerais de te sentir limité dans les possibilités.

La "suite" est tentante, oui, mais présente l'inconvénient que le lecteur peut se lasser d'un récit au fleuve trop long. Une solution intermédiaire peut être de choisir un personnage secondaire ou un figurant comme héros d'une tout autre histoire, dans le même univers. Cela limite le dépaysement et la coupure.

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Richard-James
   
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Richard-James  /  Autostoppeur galactique


Citation :
La "suite" est tentante, oui, mais présente l'inconvénient que le lecteur peut se lasser d'un récit au fleuve trop long. Une solution intermédiaire peut être de choisir un personnage secondaire ou un figurant comme héros d'une tout autre histoire, dans le même univers. Cela limite le dépaysement et la coupure.

C'est ce que je me disais concernant cette suite. Du coup j'étais tenté de partir sur une suite accessible à un lecteur qui n'aurait pas lu la première partie. Un travail assez particulier vu que la narration se fait à la première personne et qu'il faut ni faire trop de redite par rapport au premier opus mais donner assez d'infos pour comprendre le déroulement de l'histoire.
 
MaddyForeigner
   
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MaddyForeigner  /  Journal du posteur


Je suis en plein dans ce problème. J'ai en tête une suite pour mon roman que je n'écrirai peut-être pas.
J'écris un conte en ce moment. Mais je trouve que mes personnages masculins sont tous un peu frères : Cyrian dans mon conte, William dans mon roman, Victor d'Estragues, Maxime ou les narrateurs dans mes nouvelles. Ils sont à la fois semblables et différents. Cyrian est presque un double de William...mais plus jeune, et transposé très loin des années 20, au Moyen âge, entre un château et une forêt.
 
Raven
   
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Hé ben moi non.

Mais comme le problème que j'ai à la place n'est pas sans lien, je me permets.

Quand je conçois l'histoire, le background politico-social-et-tout, je me retrouve souvent à penser les événements et les personnages qui précèdent le roman. Assez pour faire une préquelle, la plupart du temps. Du coup, il peut être difficile de trouver le point exact où commencer le roman — puisque le premier point de départ n'est pas nécessairement le meilleur. Il est probable que pour ceux qui ne savent pas quand finir, un problème similaire se pose — éventuellement plus diffus. À voir…

Mais quant à savoir s'arrêter « au bon moment »… On doit s'arrêter quand on a plus rien à dire, à mon sens.
 
MaddyForeigner
   
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De fait, si je m'arrêtais quand je n'ai plus rien à dire, je ne m'arrêterais jamais.
Mais je pourrais aussi écrire une préquelle. Laughing Je sais d'où viennent mes personnages, quelle a été leur enfance. J'ai eu du mal à trouver le point de départ aussi.
Sans compter que mes personnages ont des enfants...
 
Lily M
   
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Lily M  /  Effleure du mal


Je suis actuellement en train d'écrire un tome 2. Quand j'ai commencé à écrire le premier tome, je ne savais pas qu'il y en aurait 3... mais l'intrigue s'est construite et j'ai très vite compris que pour aller au bout de cette histoire, il faudrait 3 tomes. Si d'un côté je suis contente d'enchainer avec le tome 2 (je retrouve mes personnages et peut ainsi les aider à "continuer"), d'un autre côté j'aurais aimé aller voir ailleurs, car j'ai d'autres personnages qui m'attendent, et qui parfois refont surface et viennent me titiller.
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Mikaroman
   
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On peut avoir envie de raconter une histoire sans verser dans la biographie d'un personnage.

Le petit chaperon rouge, on commence l'histoire quand elle est enfant, et on la finit quand elle est enfant, et personne ne se sent lésé si on ne raconte pas son adolescence, sa vie amoureuse, ses problèmes de santé, sa ménopause et sa fracture du col du fémur.

Avoir envie de raconter une histoire parce qu'on aime un personnage, c'est une mauvaise raison. Ça ne fait pas forcément une bonne histoire. Nous avons tous tout un tas d'amis qu'on aime beaucoup mais dont il ne nous viendrait pas à l'esprit de raconter la vie. Le fait des les aimer ne rend pas forcément leur vie palpitante.

Se pose la question de savoir si on raconte l'histoire pour passer du temps avec ce personnage, ou s'il y a un réel intérêt à raconter cette histoire (question qu'on peut se poser par : si un lecteur ne lit que ce tome, aimerait-il l'histoire quand même ? )
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MaddyForeigner
   
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Mikaroman a écrit:
On peut avoir envie de raconter une histoire sans verser dans la biographie d'un personnage.

Le petit chaperon rouge, on commence l'histoire quand elle est enfant, et on la finit quand elle est enfant, et personne ne se sent lésé si on ne raconte pas son adolescence, sa vie amoureuse, ses problèmes de santé, sa ménopause et sa fracture du col du fémur.

Comme j'écris aussi des contes pour enfant, study je vois bien les limites de cette comparaison. Perrault n'est pas Zola. La brièveté de l'un condamne-t-elle la longueur de l'autre ?
Du coup, la première phrase sonne comme une évidence, mais même si l'on peut raconter une histoire sans verser dans la biographie d'un personnage, verser dans la biographie d'un personnage a son charme aussi.

Mikaroman a écrit:
Avoir envie de raconter une histoire parce qu'on aime un personnage, c'est une mauvaise raison. Ça ne fait pas forcément une bonne histoire. Nous avons tous tout un tas d'amis qu'on aime beaucoup mais dont il ne nous viendrait pas à l'esprit de raconter la vie. Le fait des les aimer ne rend pas forcément leur vie palpitante.

Il y a ici une inversion : c'est le fait de trouver la vie d'un personnage palpitante au fur et à mesure de l'écriture du roman qui fait qu'on finit par l'aimer, et non l'inverse. On raconte une histoire ; on finit par aimer le personnage et l'imagination faisant le reste, on a du mal à le laisser.

Mikaroman a écrit:
Se pose la question de savoir si on raconte l'histoire pour passer du temps avec ce personnage, ou s'il y a un réel intérêt à raconter cette histoire (question qu'on peut se poser par : si un lecteur ne lit que ce tome, aimerait-il l'histoire  quand même ? )

Tout auteur de fanfiction l'écrit pour passer du temps avec des personnages inventés par d'autres plus que pour raconter une histoire.
Cela est sûrement valable aussi pour les auteurs de biographies. Mais le fait de vouloir passer du temps avec un personnage historique n'empêche pas que son histoire puisse présenter un réel intérêt.

Le plus étrange, c'est qu'on a souvent, depuis la mort du personnage décrétée dans les années 50, évincé celui-ci du champ littéraire au profit du moi. L'auto-fiction. Mais c'est souvent bien pire : des livres écrits par des nègres, des gens se complaisant à raconter leur vie, des fragments de sa propre existence dont on accable d'office un équivalent romanesque...Le plus souvent, il n'y a même plus d'histoire ou elle devient un simple prétexte, alors que les personnages et l'histoire fonctionnaient de concert. Des miroirs sur un chemin et non des miroirs sans chemin.
 
Aventador
   
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Concernant mon premier roman publié ("Shooting Brake"), je suis parti de mon précédent roman, insuffisamment abouti pour sortir de mon disque dur, et en ai fait ce qu'on appelle un spin-off, c'est-à-dire que j'en ai extrait quatre personnages (très) secondaires pour raconter leur propre histoire. Il en est ressorti un polar/thriller bien plus intéressant et palpitant que mon roman "disque-dur", avec des persos que j'ai pu développer comme je l'entendais, sans réelle contrainte puisqu'ils n'étaient qu'assez peu présents dans le roman "de base".
Lorsque j'ai terminé "Shooting Brake" (en 2012), j'ai eu du mal à quitter mes persos auxquels j'étais très attachés, mais je ne me voyais pas repartir dans l'écriture d'un second polar sans faire un "Shooting Brake" bis, j'avais besoin de prendre de la distance par rapport à eux, à leur histoire, de me plonger dans un tout autre univers pour m'en détacher.
Et puis, assez récemment, m'est venu l'envie et l'idée d'en écrire une suite qui se situerait bien plus tard. En la centrant là encore sur un perso à peine effleuré dans "Shooting Brake" (il n'a alors que 2 ans et demi) pour développer sa propre histoire, bien entendu influencée par celle de ses parents, son passé. Ca permet de changer d'angle, de mettre en lumière un personnage très secondaire au départ, et d'évoquer/intégrer à l'histoire les persos principaux du tome 1 mais sans centrer l'histoire sur eux.
La principale difficulté que je vais avoir à surmonter sera de me projeter dans le futur (les années 2020) parce que l'anticipation (même si je compte rester dans un univers "polar") n'est pas du tout ma spécialité. Bref, de toute façon, il faut que je laisse mûrir de façon à savoir s'il y a vraiment des possibilités de raconter quelque chose d'intéressant. Et puis, j'ai mon second roman (totalement différent) à finir auparavant.


Dernière édition par Aventador le Mer 17 Aoû 2016 - 17:06, édité 1 fois
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Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Il y a "suite" et "suite"...

J'ai une série de nouvelles, avec les mêmes personnages. On peut considérer qu'il s'agit de suite. Pourtant les épisodes sont lisibles indépendamment les uns des autres. Et à vrai dire, ils ne sont pas présentés dans l'ordre chronologique, donc c'est aussi de la préquelle...

Sur mon "machin" DiscoBall, les "saison" ne sont pas dissociables. C'est pourtant un style assez dur à avaler, et encore plus sur une grande longueur (je pense y mettre un avertissement conseillant de ne pas "enfiler les chapitres" mais faire des pauses). Si je les sépare, ce sera donc un truc à suite, et même à suite "incontournable".

Concernant "Howahkan" et les "Errances Galactiques", je me suis donné des limites et je m'y suis tenue de mon mieux...
Sur les "Errances", elles étaient mal calculées. Le machin laisse beaucoup d'ouvertures à la fin. Bien plus que je n'avais pensé au départ. La question spatiale est bouclée, mais la question terrestre est en suspens. Du coup, il y a matière à une suite.
J'ai des idées qui pourraient s'y placer, mais pour le moment, je ne mets pas ça en chantier. Ca attendra...
Spoiler:
D'abord parce que j'ai déjà "Martin" et "DiscoBall" en cours, ensuite parce que je voudrais refaire un peu des petits contes, pour changer des gros trucs. Et puis, ça serait mieux de voir si ma SF a sa chance avant d'en refaire (vu que je n'ai pas l'impression d'être une pointure dans le domaine)
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MaddyForeigner
   
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C'est marrant, Aventador. J'avais déjà repéré ton nom et ton prénom, sans t'avoir jamais lu, parce que ça signifiait pour moi : auteur phare des éditions "L'Ivre Book".

Mais je n'avais jamais fait le rapprochement : c'est Aventador.

Smile

(Ce qui est encore plus drôle, c'est que si j'avais regardé ta signature, j'aurais compris...mais c'est quand j'ai tapé Shooting Brake sur Google après avoir lu ton post que j'ai compris. What a Face )
 
Aventador
   
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Auteur phare, auteur phare... Non, en termes de vente, je suis très très loin des auteur(e)s phares de L'Ivre-Book, plus spécialisé dans les littératures de l'imaginaire, la romance ou l'érotisme. Ni même en termes de nombre d'ouvrages publiés d'ailleurs. Mais peu importe, je suis flatté que tu m'aies "repéré" Rolling Eyes Wink .
A ta décharge, Maddy, j'ai modifié assez récemment ma signature, donc le lien devait être moins évident auparavant... Smile .

D'après ce que j'ai compris, tu fais dans la littérature jeunesse, un genre dans lequel je me suis aventuré (avec un premier opus, puis un deuxième avec les mêmes personnages) mais je n'ai jamais eu l'opportunité d'être publié (ça a failli une fois, c'est illustré et tout mais ça a capoté). L'édition jeunesse est encore plus difficile à investir que l'édition plus généraliste, c'est dire...
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MaddyForeigner
   
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Je t'envoie tout de suite un mp.

J'écris à la fois de la littérature jeunesse (albums et non romans même si j'aimerais bien) et depuis peu, de la littérature adulte.

J'ai eu la chance, en 2013, de signer avec les éditions La Palissade, qui se lançaient en même temps que moi et ont adoré un de mes textes (je l'avais envoyé à 20 h et ils m'ont envoyé un mail enthousiaste à 23 h...). Le souci, c'est que j'ai un peu essuyé les plâtres : ils n'étaient pas aussi célèbres que maintenant, c'était un de leurs premiers albums. Maintenant des grands noms de la littérature jeunesse les ont rejoints. Mais avoir signé trois contrats avec eux m'a permis de me faire connaître.
Quelque part, il faut...de la chance. J'avais aussi eu des oui de Booxmaker (qui n'existe plus) et de Nats editions (pour un album, qui n'existe plus). C'étaient aussi des éditeurs débutants. C'est souvent comme ça : les ME cherchent leurs auteurs et une fois qu'elles les ont trouvées, c'est plus dur de se trouver une place.
 
Aventador
   
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Aventador  /  Iphigénie in a bottle


Moi j'avais fait de mauvais choix... Deux ME jeunesse me voulaient, j'ai choisi celle qui a fermé par la suite (Booxmaker)... Mais ne polluons pas ce topic. Et laissons les JE débattre de l'opportunité de faire des romans en X volumes ou non.

Tiens, j'ai discuté avec ma fille de ce qu'elle aime lire en ce moment : La guerre des clans. Elle en est je ne sais plus où tant il y a de volumes par série et de séries déclinées. Elle adore, mais je me suis dit d'une part que je me lasserais de lire le même type d'histoires sur X volumes, et d'autre part que je serais incapable de concevoir une "saga" sur plusieurs volumes (quand je vois tous ces JE, notamment en Fantasy, qui inventent tout un monde et d'emblée savent qu'ils vont avoir à le décliner en plusieurs volumes pour aller au bout de ce qu'ils veulent raconter, je suis impressionné !).
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