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 Livre présent

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Hobbes
   
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Hobbes  /  Attention : chat méchant


Bouclé Aucune bête aussi féroce, à mi-chemin du film de cavale et de la méditation neurasthénique sur la force d’inertie des mauvaises habitudes. C’est peut-être dans les notations sociologiques, évidemment pas très sophistiquées mais toujours remarquables quand il s’agit d’un livre mis à l’office il y a plus de 45 ans, que Bunker se démarque : ses premiers rôles y apparaissent en forme de tocards ordinaires portés au crime autant par goût de la richesse que par les circonstances et le pressoir bureaucratique — fichage partout, recours systématique au débinage, officiers de probation prévenus contre les anciens taulards. Le premier tiers ronronne un peu mais le bouquin se réveille quand le protagoniste accepte son destin — avec tous les guillemets que l’expression mérite — de criminel à vie et organise de nouveaux casses. La dernière ligne droite, marquée ici encore par une approche presque holistique du milieu délinquant, alterne le crescendo du sauve-qui-peut final avec des monologues désenchantés, presque bilieux, qui contredisent l'espèce de geste usuellement mise à contribution pour raconter les figures de gangsters. Très original, sans doute parce que l'auteur sait de quoi il parle.

Enchaîné sur Le diable, tout le temps, globalement pas du tout à la hauteur de ce que j’en espérais, peut-être parce que je m’attendais à quelque chose de plus expressément vénère et/ou jovialement sataniste. L’intention y est mais le roman souffre à la fois de sa construction pas très heureuse et d’une certaine absence d’imagination dans le décorum comme dans la langue qu’il tente bon an mal an de rehausser par des passages non sequitur noyés d’hémoglobine : il aurait sans doute mieux valu choisir entre la fresque de facture plus classique et la boucherie totale. La double figure du diable, comme « créateur d’intrigues » et comme représentant du mal sur terre, justifie à la fois les moments de convergence autour du personnage central et la prégnance des meurtres, mais le brio très relatif avec lequel Pollock déploie ses passages les plus gores et ses twists narratifs rend le livre au mieux tiède.

Lu L'Astragale, l'histoire aussi bien de la cheville de la narratrice, rompue alors qu’elle s’évade de prison, que d’une fracture plus large entre la vie bourgeoise et un petit monde de mœurs interlopes auquel elle appartient sans y ressortir absolument : les maquereaux, les truands, les vieilles prostituées. Le reste du livre est à l’avenant, pas très fin mais plein de charme, narré au plus fleuri, parfois jusqu’à l’affectation, avec un sens de l’intranquillité qui le place en marge aussi bien des récits prolétaristes plus traditionnels que de ses modèles immédiats — Céline ? Genet ? C’est probablement dans les dialogues, alertes et libérés de l'enflure qui grève les passages plus introspectifs, que Sarrazin se distingue le mieux. Même s’il s’agit d’un titre en grande partie autobiographique, pas convaincu du tout par la toute dernière page en forme de retournement final presque onirique ; c’est à la fois peu nécessaire et peu raccord avec les 250 pages qui précèdent.

Dans Zombi de Joyce Carol Oates. Honnêtement déçu pour l'instant.
https://premierdegre.com/
 
rodé
   
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rodé  /  Blanchisseur de campagnes


J'ai lu le Journal d'Alix-Cléo Roubaud, qui réunit plusieurs cahiers écrits de 1979 à 1983 (elle meurt en janvier 83)
en le lisant, j'ai compris pourquoi Quelque chose noir était le seul recueil de Jacques Roubaud que j'aimais : il y emprunte beaucoup au style d'Alix-Cléo dans l'expression très précise de la souffrance. La lecture du Journal m'a désolée, parce qu'on y trouve une Alix-Cléo rongée par l'asthme, l'alcoolisme, les troubles du comportement alimentaire, le manque de confiance en elle (elle dit notamment qu'elle n'arrive pas à écrire parce qu'elle est « femme de poète » et que la photographie est l'art qui lui sied car il lui permet de « disparaître »)
ce qu'elle écrit dément tout à fait ses doutes : elle évoque la mort de son ami Jean Eustache, son obsession de la mort et ses tentatives de suicide, sa souffrance continue, sa religion, ses rares moments de joie avec son époux (plusieurs photos du couple sont intégrées au corps du texte I love you ) avec pudeur et délicatesse. elle a aussi un don pour les listes minutieuses, de courses, de médicaments, de photos, de films vus, de vêtements. on sent que le journal joue le rôle d'une thérapie (il l'aide à organiser le chaos de sa vie)
comme elle est très peu sûre d'elle, les notes écrites sur la photographie et la philo sont hélas souvent très ramassées, et ses idées peu explicitées : dommage Sad
évidemment terminer la lecture du Journal laisse un goût amer quand on sait qu'elle décède 9 jours après avoir écrit la dernière page d'une embolie pulmonaire Sad

un extrait du 7 août 1881
« Dans la cuisine, sur la table, terrifiée, odeur de mort, un loir mort en un sens, grise, je vais m'effondrer entièrement, la partie de moi qui continue le jeu travaille automatiquement et est creuse, cependant l'été gris s'en va comme une fuite d'eau et j'aurai bientôt trente ans et j'ai peur, pure, abrupte, panique je suis terrifiée à l'idée que je vais me tuer, et je me regarde m'y préparer avec indifférence, je n'ose rien dire à Jacques ni à personne et le mois d'août vide rampe, ma famille loin et pas une seule photo pendant des mois sauf Via Crucis, morne, avec le mur final vide et rien d'autre qu'une fenêtre qui devrait mettre fin à tout et je remercie Dieu, le Dieu qui me regarde sans expression, heureusement que la fenêtre n'est qu'au deuxième étage, si peur que je n'ose même pas aller chez le docteur.
Je suis un ratage complet pas une photographie même les livres me terrifient lire les romans policiers les plus bêtes me plonge dans la panique ivre la nuit nuits interminables parlant à Jacques plus de passeport un relevé de banque qui dit rien à mon compte trop de poids vieillissante le poids n'est que de l'alcool pas de thèse pas de coups de téléphone pourquoi m'appelleraient-ils
obsession de propreté, lavages, nettoyage, bains

rien n'est réel, temps reculant vers l'absence de temps »
 
Kid
   
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   Pensée du jour  :  SUR JE DEPUIS 10 ANS C'EST LA FÊTE
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Kid  /  Un talent FOU


Fini Dune numéro 4.

Plus que deux volumes. Je veux faire un petit résumé de ce que j'ai compris. Je spoile tout ici :

Dune 1-4:

Bon c'est clair qu'il n'y a que le premier volume qui soit vraiment hyper bien. Le quatrième tome était très intéressant dans les développements qu'il apporte et le motif qui commence à se dégager de l'ensemble (et j'aime bien le concept de l'homme-ver mutant), mais les volumes 2 et 3, qui sont à la suite directe du premier, sont un calvaire à traverser tant c'est rempli jusqu'à la nausée de dialogues philosophiques pourraves et surtout incompréhensibles.
En tant qu'auteur, si tu veux dégager un propos, une réflexion sur des concepts comme la politique, la religion, le sens de l'Histoire, etc... vaut mieux être clair, non ? Ici, les personnages parlent par énigmes, certaines phrases n'ont aucun sens et sont présentées comme des évidences ("tout le monde sait qu'une valeur relative engendre toujours son exact contraire dans un cadre socio-tribal !!") et l'histoire n'avance jamais, ça parle, ça complote, ça complote dans les complots, mais il ne se passe rien, c'est une référence perpétuelle à "attention vous verrez bientôt ce qui va arriver dans l'avenir !" sans qu'aucune explication ne soit jamais fournie par l'auteur. Dès le premier tome est suggéré qu'en voyant dans l'avenir Paul aperçoit des évènements tragiques. Trois tomes plus tard, les personnages ont tous une idée précise de ce dont il s'agit mais ne l'expliquent jamais, ils suggèrent, ils abordent le sujet et l'abandonnent aussitôt, et ça devient frustrant.
Dans le premier l'aventure, la politique et le propos de fond s'équilibrent bien et ne se perdent pas dans des longueurs verbeuses, et qu'est-ce que c'est bien putain. C'est fascinant du début à la fin : cette grande planète de sable, les grands vers géants qui dévorent les voyageurs, le peuple de nomades qui recyclent leur eau comme un trésor... et les transes de l'épice où le passé et le futur s'ouvrent comme dans une vision transcendantale. Le livre a cette saveur unique et obsédante, cet univers si particulier et qui ne sonne jamais creux ou en trop, mais qui est simplement beau en soi.
Et tout ceci sert un propos finalement très politique, sur la valeur des religions et celle de l'écologie, le danger des autorités et la futilité des épopées. Je sais pas, c'est juste BIEN

Je ferais peut-être une critique un peu dense quand je serais vraiment inspiré.
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DC
   
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DC  /  Gueule d'ange et diable au corps


fini Appelfeld.

Là je me promène entre les journaux de bord (1947-1954) de Kerouac (pas tellement parce que j'aime le gonze, mais plus quand il raconte ses séances d'écritures), les lettres de Bukowski "Sur l'écriture" (au diable vauvert), et j'hésite entre commencer Marcu Biancarelli - Massacre des innocents et Larry Brown - Sale boulot
 
PlumeSombre
   
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PlumeSombre  /  Tentatrice chauve


Je viens de finir "Call me by your name" de André Aciman. ("Appelle-moi par ton nom" en version française)

A la base je me suis mise à le lire en mode: "J'préfère lire le bouquin avant de voir le film, mais bof..." et j'ai fini en chialant à chaque troisième page.

Éblouissant! Il n'a peut-être pas déthrôné mon livre préféré de tous les temps (depuis 1994) mais l'a rejoint sur le podium.

Allez, un oscar pour le film!
 
DC
   
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DC  /  Gueule d'ange et diable au corps


fini Massacre des Innocents de Marcu Biancarelli. C'est un livre vraiment très dur. Il est bien hein, mais dur. Il te secoue bien.

Maintenant je lis La réceptionniste du New Yorker de Janet Groth, parce que ca faisait longtemps que j'avais plus lu de la non-fiction des Editions du Sous-Sol
 
Hobbes
   
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Hobbes  /  Attention : chat méchant


Fini Zombi, très décevant après Confessions d’un gang de filles, pas tellement pour son geste ou pour ses intuitions — faire le portrait d’un tueur en série avec une attention soutenue aux petites choses de la quotidienneté comme témoignage a) des préparatifs nécessaires à chaque meurtre et b) de la puérilité de son protagoniste — que pour la manière convenue et/ou poseuse dont elles s’actualisent : esperluettes partout, recours à l’italique, aux majuscules, poncifs omniprésents, beaucoup de tiédeur dans le traitement des scènes de viol et de torture. La figure de Jeffrey Dahmer, qui sert de modèle explicite au narrateur, permet de soulever plusieurs questions sur la justice raciale et le traitement des disparitions dans les communautés minoritaires mais circonscrit toute l’armature du livre à une guirlande de lieux communs, notamment celui — toujours très apprécié — du pédé refoulé violeur de garçons de moins de seize ans. Pas évident non plus de passer derrière Dennis Cooper, qui fait (faisait) la même chose en bien mieux, avec un brio dans l'outrance qui ne se retrouve nulle part ici.

Lu Avec Bastien de Mathieu Riboulet, tout petit livre au carrefour de Michon et de Genet, qui décrit l'obsession de son narrateur onaniste pour un acteur porno devenu sœur de la Perpétuelle Indulgence. Il arrive que le texte, peut-être emporté par sa langue effusive, se laisse aller à deux ou trois analogies dont le manque de rigueur peut devenir un peu crispant mais, dans l’ensemble, c’est de très bonne facture : précis, délié, emphatique sans lourdeurs et habité par une vision assez « old school » des marges sexuelles qui donne lieu à tout un tas de sorties originales sur le mariage, les mœurs, le camp et l’ordre bourgeois en général. Pas inoubliable mais très chouette.

Bouclé Monsieur Teste, objet curieux très en avance sur son temps — partiellement rattrapé, un demi-siècle plus tard, par le Nouveau Roman — mais sans émules à ce jour, peut-être aussi parce que la gloire des « anti-réalistes » n’aura pas duré bien longtemps. Cet échec relatif, même si c’est le dire avec un peu de prétention vu le succès du texte et ses troupeaux de zélotes à l’époque, lui donne un abord très daté, lointain, même carrément hostile, puisqu’on n’a rien gardé ou presque de cette littérature violemment cérébrale qui se présente, comme disait Barthes, en tant que « figure de son propre problème » : tout le monde y a renoncé plutôt vite et le sillon s’est comblé de lui-même. Je trace sans doute une continuité trop rapide et/ou douteuse entre Paul Valéry et des corpus qui ne lui ressemblent que d’assez loin ; n’empêche que j’ai du mal avec ces tentatives scientistes, frigides, toujours légèrement ridicules, qui se touchent la nouille en se regardant comme les déménageuses de la pensée mondiale parce qu’elles ont dépassé les bouffissures XIXème siècle. Quelques punchlines bien senties malgré tout.

Dans Mon suicide de Roorda.
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Pasiphae
   
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Pasiphae  /  Truquage geniphasien


Ce que tu dis de Matthieu Riboulet me donne envie d'essayer un de ses livres.
 
Kid
   
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Kid  /  Un talent FOU


Je lis l'arc-en-ciel de la gravité

Les annotations sur le wiki me changent la vie. Elles éclairent considérablement le texte et me font apparaître l'étendue de ce qui m'aurait échappé sans elles. Mais ça ne procure aucun remède pour la désorientation chronique due aux changements brutaux d'environnement, les apparitions et disparitions invisibles de personnages, les contextes flous, les noms bizarres, le déroulement impossible à suivre et la présentation d'éléments importants de l'intrigue comme si le lecteur les connaissait déjà par cœur.
Sinon il y a une scène de voyage d'un caca dans les égouts
http://jackspirou.wordpress.com/
 
Tim
   
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Tim  /  Morceau de musique survitaminé


Désormais ressorti d'un couloir de 5 minutes et demi.
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Raven
   
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   Pensée du jour  :  Homo Homini Caleportus.
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Raven  /  ☠ Corps ☠ Beau ☠ Blond ☠


Ah, t'as pris le temps.

Ça t'a plu ?
 
DC
   
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DC  /  Gueule d'ange et diable au corps


La réceptionniste du New Yorker c'était bien.

Sale Boulot de Larry Brown pas mal.

Là j'attaque Ceux d'ici de Jonathan Dee
 
AppleCokes
   
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AppleCokes  /  Pectine sauvage


J'ai du mal à finir Demain les chats de Werber.
C'est un peu perché.
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Silence écrit
   
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Silence écrit  /  Péril 666


AppleCokes a écrit:
J'ai du mal à finir Demain les chats de Werber.
C'est un peu perché.

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AppleCokes
   
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AppleCokes  /  Pectine sauvage


Silence écrit : tu peux pas savoir comme j'ai ri toute seule en postant ça. Oui je suis grave...

Mais en vrai, j'aimais bien le principe d'avoir une histoire du point de vue d'un chat et tout mais il part trop loin notre ami Bernard. Je vais terminer parce que je suis un peu curieuse quand même, mais sans énorme enthousiasme.
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