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Ferreol
   
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Ferreol  /  Hé ! Makarénine


Histoire vécue d'Artaud-Momo , petit livre : texte lu par lui au théâtre du Vieux-Colombier en 1947, acheté sur un coup de tête au milieu de Tsvetaeva et Rilke après avoir vu le documentaire (disponible sur youtube) La véritable histoire d'Artaud le Mômo - entrelacs puissants de très jolies voix. Un peu nébuleux, tourbillonnant, porte d'entrée vers le reste de son oeuvre que je réserve, goutte-à-goutte : c'est de cette sorte d'écrit intense qui peut me plonger dans un état de torpeur suspendu pendant quelques jours, alors doucement. Je lirai ensuite Suppôts et suppliciations - si seulement j'arrivais à mettre la main sur ses lettres à Génica !

Requiem, celui d'Akhamatova acheté tout à fait par hasard parce que mentionnée sommairement dans Vivre dans le feu (que je poursuis en pointillé, je suis arrêtée à son départ de Russie, merci à elle d'avoir ouvert cette petite fenêtre sur la littérature russe), ensemble de poèmes composés de 1930 à 1957 - mort de son mari, emprisonnement de son fils, ère soviétique noire que tout le monde connait, mots simples et dépouillés, peur ambiante, désespoir, résignation, mort partout.
Je vous recopie son "en guise de préface"
"Dans les années terribles de la "Iéjovchtchina", j'ai passé dix-sept mois à faire la queue devant les prisons de Léningrad. Un jour, quelqu'un a cru m'y reconnaître. Alors, une femme aux lèvres bleuâtres qui était derrière moi et à qui mon nom ne disait rien, sortit de cette torpeur qui nous était coutumière et me demanda à l'oreille (là-bas, on ne parlait qu'en chuchotant) :
- Et cela, pourriez-vous le décrire ?
Et je répondis :
- Oui, je le peux.
Alors, une espèce de sourire glissa sur ce qui avait été jadis son visage.
1er avril 1957. Léningrad
"
Alors j'ai hâte de découvrir le reste d'elle. Je pense qu'elle me touchera plus que Tsvetaeva, même si magnifique, un peu trop en colimaçon. Akhmatova, elle, dit
"Et la conscience de plus en plus terrible
Sévit. Elle exige un énorme tribut."
Impatience de la voir, je vous dirai, obsession nouvelle.

Plus léger : les petites nouvelles de Pouchkine, pour entrer à petits pas chez les russes. Fondants sous la langue, petits gâteaux (de ceux qui vont avec un un thé), La dame de pique et Récits de feu Ivan Pétrovitch Bielkine - recueil de 5 petites nouvelles. Apparemment Pouchkine, le moins russe des russes. Nous verrons. Je poursuis avec Doubrovski qui est aussi dans mon édition, petit roman inachevé dans la même veine semble-t-il. Des histoires qui tiennent un peu du conte sur la noblesse et la campagne russe avec des caractères rudes d'autrefois et des jeunes filles en pâmoison et... ! Bref, ça c'est très chouette.
Ensuite pour poursuivre naïvement en Russie (je crois y rester un moment), il y aura soit la poursuite de Pouchkine avec un autre roman, ou Les nuits blanches - Dostoïevski, ou aussi les Nouvelles de Pétersbourg - Gogol, petit petit avant d'aller vers les gros machins qui font un peu peur...
 
Lohengrin
   
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Lohengrin  /  Chevalier au Pancréas


Et quelquefois j’ai comme une grande idée, Ken Kesey — roman fleuve et ça tombe bien, on est ballotés d’un bout à l’autre du récit comme entre les eaux de la Wakonda Auga, torrent impétueux servant de toile de fond à cette grande fresque familiale et sociale.

En bref, il est question de la montée du capitalisme dans l’Ouest américain des années 60, vue à travers les yeux d’un clan de bûcherons, les Stamper, mené par Henry, le patriarche à moitié fêlé et son fils Hank, « l’un des dix durs à cuire les plus coriaces à l’Ouest des rocheuses ».

Bien décidés à braver le mouvement de grève qui agite la région, les Stamper s’attirent les foudres des travailleurs syndiqués (et donc de l’ensemble de la communauté), mais sous le climat éternellement humide et froid de l’Oregon se joue également un autre drame, interne : pour faire face au manque de main d’oeuvre et honorer à temps le contrat qui les lie à la Wakonda Pacific, l’entreprise à laquelle ils fournissent du bois, les Stamper font appel à Lee, fils cadet de Henry exilé à New York douze ans auparavant. Davantage versé dans la consommation de barbituriques et les tentatives de suicide ratées que dans l’exploitation forestière, cet étudiant paranoïaque (dont la conscience ne cesse de crier « FAIS GAFFE ») y voit néanmoins l’occasion idéale d’assouvir une vengeance nourrie depuis l’enfance à l’encontre de son demi-frère, Hank.

Ça, c’est pour l’histoire. Mais on ne peut pas rendre compte de la puissance de Et quelquefois… sans évoquer sa structure complexe, qui peut sembler fouillis au premier abord mais dénote en réalité une maitrise magistrale de la narration. Roman polyphonique, il nous plonge dans l’intimité des personnages et nous fait basculer d’un point de vue à l’autre, d’une époque à l’autre sans autre transition que des repères typographiques somme toute assez basiques (parenthèses, italiques, incises…)

De ces changements constants de focalisation, cette multitude de voix et de souvenirs enchevêtrés découle une immersion complète dans le récit, encore renforcée, en arrière-plan, par une splendide peinture de l’Oregon, brossée à petites touches afin de nous promener des bords de la rivière aux forêts battues par des pluies incessantes, en passant par le bar crasseux où chacun vient noyer sa misère dans l’alcool, sur fond de musique country, de jazz, des aboiements de chiens et des cris lancinants des oies du canada.

Pour résumer, Et quelquefois j'ai comme une grande idée, par la force de ses personnages, ses thèmes, sa technique narrative et son style à la fois simple et époustouflant tient à la fois du roman psychologique et du roman d’ambiance, dont on ressort ravis et un peu chamboulés.

Bref, vous l’aurez compris, j’ai kiffé et je recommande.

Extrait racoleur :

Spoiler:
 
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Martin Eden, Jack London. :woowoo: Je commence tout juste, ça fait très longtemps que je voulais le lire.
*prie les ondes de la bonne lecture*
sinon Les corps inutiles était un vrai navet, ça commence par le viol d'une fille qui portait même pas de talons en plus... Rolling Eyes partant de là j'avais déjà envie de le jeter contre le mur, le reste est tiré par les cheveux, écrit avec les pieds, etc
 
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Fini Bill Bryson.

Je pars sur John D.Voelker (Robert Traver) - Testament d'un pêcheur à la mouche.

En ce moment je suis accro à la non-fiction américaine.
 
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Les œuvres gratuites du domaine public sur liseuse c'marrant.

J'ai pris un truc au hasard: La maison à vapeur: Voyage à travers l'Inde septentrionale de Jules Verne. C'trop bieng. Des anglais qui veulent visiter l'Inde dans des maisons/wagon. L'histoire est dingue, je n'avais jamais entendu parler de ce roman de Verne jusqu'à présent, c'est très documenté, sur l'histoire coloniale, la géographie Indienne, on apprend plein de choses, on en découvre plein d'autres, c'est passionnant.
 
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Jules Verne <3

Sinon là je me fais Gay Talese - Le motel du voyeur
 
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Il me fait envie, ce Motel du Voyeur. Je me demande si je vais pas le mettre dans la file d'attente, juste après Verne ^^
 
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Il est assez particulier. Par moments Talese se contente de recopier directement le journal de ce voyeur et je trouve ca limite quoi.
Mais c'est bien.

Je l'ai fini. Et j'ai eu besoin de le digérer avec tout autre chose à savoir Antoine Blondin - Un singe en hiver
 
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Je m'intéresse beaucoup à l'emprise des lieux et au raffinement esthétique, en ce moment. J'ai dépensé un peu cher pour me procurer l'éloge de l'ombre de Junichirô Tanizaki, très bel ouvrage, publié aux éditions Verdier, (les pages ont même un délicat parfum Surprised) qui détaille la conception japonaise traditionnelle du beau.

L'auteur insiste sur la façon dont la matière et la lumière modifient notre perception, rejette la culture de la brillance, des éclats superficiels et de la blancheur, qu'il qualifie de typiquement occidentales. Il leur oppose l'importance de l'imperfection, de la crasse, des reflets voilés, de l'empreinte humaine.
Il critique "l'électrisation brutale", la disparition des fenêtres en papier huilé, qui auraient détruit la subtilité des habitations japonaises :

Citation :
la beauté d’une pièce d’habitation japonaise, produite uniquement par un jeu sur le degré d’opacité de l’ombre se passe de tout accessoire.

Les sens se répondent l'un à l'autre.  La disparition de ces jeux d'ombres subtils sur la vaisselle japonaise affecterait le goût des aliments, leur ferait perdre de leur attrait, de leur aura.

Citation :
La cuisine japonaise, a-t-on pu dire, n’est pas chose qui se mange, mais chose qui se regarde.
il détaille longuement ce point de vue en prenant pour exemple les bols en laque noire d'une soupe dégustée à la lueur diffuse des chandelles, dans une maison traditionnelle. Il y aurait ces teintes plus "profondes", une impression de générosité, qui stimulerait l'appétit. Cette cuisine qui se serait construite sur ces accords, verrait ainsi toute sa subtilité mise à mal.

quelques passages marquants :

La description des toilettes traditionnelles

Spoiler:

lumières et reflets

Spoiler:

tiédeur du papier

Spoiler:

Très bel ouvrage, malgré une vision un peu simpliste de l'occident (au vu de l'époque et de la situation de domination culturelle) et quelques passages, inévitables, sur la "fâme" pudique et mystérieuse, qui elle aussi révélerait sa beauté dans l'ombre, de même que le bol de soupe Laughing Rolling Eyes

Pour les cours, je commence à lire quelques historiens du sensible :

Le sentiment de soi : Histoire de la perception du corps XVIe-XXe siècle, Georges Virarello

Le miasme et la jonquille: L'odorat et l'imaginaire social, XVIIe-XIXe siècles et
L'homme dans le paysage, Alain Corbin

Vivre dans la rue à Paris au XVIIIe siècle, Arlette Farge
 
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Le Loup des Steppes : La fin m'a beaucoup fait sourire. :')


Je me suis procuré L'odeur de l'Inde et Samarcande.
 
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Du coup, j'ai rongé ma frustration de sans connexion sur Martin Eden, que j'ai dévoré, juste tout le monde devrait le lire, vraiment.
edit : ah je suis preneuse d'autres possible Jack London possiblement chouettes.
Je sais pas sur quoi je vais enchainer, la dame de la biblio m'a gentiment prolongé tous mes bouquins, j'ai plein de trucs chouettes. Am stram gram...
 
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Un soir d'été a écrit:
Du coup, j'ai rongé ma frustration de sans connexion sur Martin Eden, que j'ai dévoré, juste tout le monde devrait le lire, vraiment.

Oui je suis bien d'accord, il est trop bien Smile
J'avais noté ces citations qui m'avaient bien plu lors de la lecture :

Citation :
— Les hommes sans talent ont la rage de juger ceux qui en ont [...].

Citation :
— Mais cet individu, ce Wiki-Wiki, pourquoi le faites-vous parler si grossièrement ? Vous choquerez vos lecteurs et c'est sûrement à cause de cela que les éditeurs refusent vos oeuvres.

— Le vrai Wiki-Wiki parlerait comme ça.

— Mais c'est une faute de goût.

— C'est la vie, dit-il brusquement. C'est la vie vraie. Je ne peux dépeindre la vie que telle qu'elle est.


Ce Martin Eden a fort raison Twisted Evil




En ce moment je lis "Mirage", de Douglas Kennedy puisque j'ai envie de lire tous ses romans, et j'y suis bientôt arrivée. Je n'en suis qu'au début mais je sens ce roman un peu plus lourd dans la construction que les autres que j'ai lus. Il n'est pas dans mes habitudes de "deviner" des choses ou des supercheries dans les romans, j'aime bien me laisser guider, et surprendre (grossièrement, je n'aime pas chercher qui est le meurtrier dans un polar), et là j'ai déjà l'impression de deviner qqc et je n'aime pas cela... J'ai déjà été déçue par "La femme du Ve", j'espère ne pas l'être par celui-ci. Pour autant, alors que je trouve généralement le début de ses romans assez ennuyants, le début de celui-ci est plaisant à lire, avec les belles descriptions de la lumière et du Maroc.


Livre présent - Page 27 Mirage

 
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Alors about Un singe en hiver... J'ai préféré le film en fait... J'accroche pas trop a la plume de Blondin...

Du coup je l'ai fini et là j'ai obliqué sur du John Dos Passos - La grande époque
 
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Ecoute la pluie
Citation :

Si tu étais déjà là-bas, tu ignorais qu'au même instant je me noyais dans des rues désertes où l'été finissant dévoilait encore des jambes et des dos nus. Tu croyais peut-être m'apercevoir, marchant sur le sable et te faisant signe de me rejoindre. Tu irais bientôt m'attendre à la gare où je ne serais pas, nous n'irions peut-être plus jamais à l'hotêl des Embruns, quelque chose de nous gisait sous les roues du métro. Un bâteau avait sombré, que tu ne pouvais apercevoir au-delà des vagues qui te berçaient, tu ne pouvais deviner que le corps d'un vieil homme avait disparu sous une tempête de ferraille, ni que je tournais à droite et à gauche comme si je voulais fausser compagnie à ce qui me poursuivait, l'instant suspendu ou l'imperméable beige se déployait comme les ailes d'un oiseau atteint en plein vol. Les sanglots du conducteur de la rame se faufilaient dans la rumeur de la ville, accompagnaient la chute ralentie du corps, se perdaient et revenaient. J'avançais comme une somnambule, je t'imaginais sur la plage, je te voyais disparaitre dans les vagues, ouvrir les bras et fermer les yeux comme tu le fais lorsque que tu es heureux et que tu ne sais comment le dire. Je courrais comme une voleuse, on se retournait sur moi, j'ai failli renverser une femme qui tenait son chien en laisse et m'a insultée, j'ai traversé au feu rouge, une voiture s'est immobilisée, une homme en est sorti et a crié des mots dans une langue que je ne connaissais pas, je ne savais plus où j'étais.

Citation :
Depuis que nous ne vivons plus dans la même ville, quelques terrains vagues se faufilent entre nous, ceux de nos imaginaires, qui parfois me font peur.

je suis au tout début, j'attends tout, mais j'aime jusque-là, le rythme, et le tu bien manier qui ne fait même pas faire la grimace, l'urgence, les je ne sais quoi de vide et de rien, et de fuite, c'est chez moi un peu.
 
Pangolin
   
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Lohengrin a écrit:
Mais on ne peut pas rendre compte de la puissance de Et quelquefois… sans évoquer sa structure complexe, qui peut sembler fouillis au premier abord mais dénote en réalité une maitrise magistrale de la narration. Roman polyphonique, il nous plonge dans l’intimité des personnages et nous fait basculer d’un point de vue à l’autre, d’une époque à l’autre sans autre transition que des repères typographiques somme toute assez basiques (parenthèses, italiques, incises…)
Oh, chouette, et le côté polyphonique aussi.

Junichirô Tanizaki a écrit:
Nos ancêtres, qui poétisaient toute chose, avaient réussi paradoxa­lement à transmuer en un lieu d’ultime bon goût l’endroit qui, de toute la demeure, devait par destination être le plus sordide et, par une étroite association avec la nature, à l’estomper dans un réseau de délicates associations d’images. Comparée à l’attitude des Occidentaux qui, de propos délibéré, décidèrent que le lieu était malpropre et qu’il fallait se garder même d’y faire en public la moindre allusion, infiniment plus sage est la nôtre, car nous avons pénétré là, en vérité, jusqu’à la moelle du raffinement. Les inconvénients, s’il faut à tout prix en trouver, seraient l’éloignement, et l’inconfort qui en résulte lorsqu’on est obligé de s’y rendre en pleine nuit
Intéressant, et un peu étrange aussi, cette façon de présenter la relégation des toilettes au fond du jardin (en ça les Japonais sont pas différents de beaucoup de peuples) comme une façon de communier avec la nature.
Les autres citations renforcent aussi cette idée d'une personne à ce point imprégnée de sa culture (son raffinement, sa délicatesse) qu'elle est incapable d'envisager aucune évolution comme positive. Du coup je me demande si tout le livre est dans la même tonalité et fait l'impasse (notamment) sur la misogynie très ancrée dans le Japon traditionnel, qui est aussi une société martiale et violente.
Jasmin a écrit:
et quelques passages, inévitables, sur la "fâme" pudique et mystérieuse, qui elle aussi révélerait sa beauté dans l'ombre, de même que le bol de soupe  Laughing  Rolling Eyes
Ah ! J'ai une partie de la réponse.
 
   
    
                         
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