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 [Master Création littéraire]

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Wise-wolves
   
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Wise-wolves  /  Tapage au bout de la nuit


Très intéressant, ce débat. Tout comme HarryBeth, je trouverai logique de trouver des masters d’écriture tout comme il existe des masters musicologie, arts plastiques, etc... L’objectif n’étant évidemment pas de formater mais de faire digérer aux étudiants des techniques éprouvées tout comme l’on enseigne aux dessinateurs l’usage de plusieurs techniques (gouache, crayon, etc...). L’auteur reste dans tous les cas responsable du contenu de son œuvre et aussi du mix de techniques qu’il emploie.
Je suis aussi d’accord avec Nagio et Alphonsine.
Je pense aussi qu’un tel master n’aurait quasiment aucun débouché...

Rulae a écrit:
ce travail-là ne s’enseigne pas, je pense. Il s’agit d’un travail très personnel, dans le sens où tu écris, écris et écris encore jusqu’à trouver ton style : le style qui transmet parfaitement tes émotions, tes idées, tes ressentis, etc.
Hypochondriaque a écrit:
apprendre la théorie de comment bien écrire, comment faire ci ou ça, sans pratiquer de façon spontanée, c’est tuer l’art.
Oui mais le style développé de façon autodidacte est issu de la rencontre d’un écrivain amateur avec des auteurs, des lecteurs qui sont évidemment normatifs, à un degré au moins comparable à un enseignement. Un écrivain amateur forge ses armes en imitant, en écoutant des avis extérieurs. La différence avec un véritable enseignement construit, essayant d’approcher un semblant d’exhaustivité, serait alors qu’on gagne du temps grâce au master. À mon sens, ce serait moins normatif que d’écrire en amateur pour peu que les enseignements soient bien saisis en tant qu’outils et non en tant que doctrines.

Insane a écrit:
Le problème du talent, c’est qu’il est présent dès la naissance ou non.
Comment tu l’as dit, le talent finit par émerger. S’il est bien caché, faut continuer à creuser. Apprendre, c’est mettre au jour son talent.
http://bascule-leroman.blogspot.fr
 
Rulae
   
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Rulae  /  Le bruit et la pudeur


HarryBeth a écrit:
Je ne crois pas que la littérature ne soit qu'affaire de subjectivité. Certes, on peut se faire plaisir avec du vin de table, mais pourtant il existe d'ineffables Saint-Emilion, Pauillac, Minervois à vous jeter au paradis. Il existe Amélie Nothomb, il existe Balzac. N'est-ce qu'une affaire de subjectivité ? Dans ce cas là, je ne peux plus vous convaincre!
Bien sûr que c'est subjectif : il y a des gens qui n'aiment pas le vin rouge, quand bien même il est estampillé Saint-Emilion. Il y a des gens qui n'aiment pas Balzac. Il y a des gens qui aiment Stephenie Meyer. Il y a des gens qui ne boivent pas d'alcool et d'autres, qui n'aiment pas écrire, qui trouvent la lecture inintéressante. Il y a des gens que le Coca fait planer.

Mais tu as raison : c'est tout à fait le genre des universitaires de mettre la littérature et l'écrivain sur un piédestal, d'intellectualiser et d'étiqueter le tout millésime de l'année 1986.

Enfin, je crois qu'on ne pourra pas se convaincre l'un l'autre Smile Maintenant, si tu tentes ce fameux Master, je serai très heureuse d'avoir ton avis et tes conclusions. Je pense, comme vous, qu'il y a tout de même un intérêt.
 
DC
   
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DC  /  Gueule d'ange et diable au corps


Tiens, encore ce débat sur "l'écriture ca s'apprend pas il va y avoir formatage"...

Je vais juste citer quelques noms:

Richard Ford. Toni Morrison. Joyce Carol Oates. Dan Fante. Flannery O'Connor. Philipp Roth. James Welch, un des pères de la renaissance amérindienne.

J'ai du mal à voir le formatage de l'écriture entre tous ces gens...

Après, quand on voit la plupart des noms que je cite, on voit des prolos et gosses de prolos, des femmes dont une femme noire, un amérindien... Bref des gens qui à la base ne sont pas forcément haut placés dans la hiérarchie sociale étatsunienne (euphémisme)... Donc sans les habitus culturels d'une certaine élite... Pas la même possibilité de consommation littéraire qu'une certaine élite... Et je pense que ces cours de creative writing les ont aidé à structurer un peu leur écriture, et surtout, leur a permis de prendre la parole, de les décomplexer...

C'est sûr que c'est pas le même esprit qui est à l'oeuvre chez nous quand on défend le mythe de l'écrivain génial seul contre tous, qui a les moyens de lire et d'écrire... Parce que bon, pour être cet écrivain génial, pour se vivre comme ça... Il faut déjà à la base avoir un capital culturel pas forcément accessible à tout le monde... ni au mec bloqué au fin fond de la charente, ni a celui de grigny 2.

Et sinon, Schmitt, Gavalda, Lévy, Musso, Jardin, Delerm; ils sont passés par des cours de Creative Writing ? Parce qu'ils écrivent tous et toutes la même chose.
 
HarryBeth
   
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HarryBeth  /  Clochard céleste


J'aime.
Domini-COLL a écrit:
Et sinon, Schmitt, Gavalda, Lévy, Musso, Jardin, Delerm; ils sont passés par des cours de Creative Writing ? Parce qu'ils écrivent tous et toutes la même chose.
Vous exprimer les choses très bien.
La France n'est jamais vraiment sortie de son romantisme et garde le mythe chéri de ses grands poètes. J'en suis un exemple, un exemple que j'essaie de tuer.
Le style lui même n'est pas orphelin d'influences extérieures. Même les plus grands ont été influencés par leurs pairs/pères. Je suis désolé de vous l'apprendre : le Père-Noël n'existe pas : vous n'aurez pas de génie à noël.
 
DC
   
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DC  /  Gueule d'ange et diable au corps


Et puis, il y a un autre truc qui joue, c'est la différence dans l'enseignement supérieur.

Au delà des tarifs prohibitifs pour pouvoir entrer à la fac (quoi que dans quelques années, en France on s'y mettra aussi) , c'est le format des cours...

En France on a la passion des cours magistraux avec le professeur qui sait et explique ce qu'il faut comprendre et penser à un amphi, à une foule indistincte et plus ou moins passive...

Aux USA, moins. On s'oriente davantage sur des petits groupes qui aident à discuter, entre prof et étudiants...

C'est marrant comme c'est le pays qui a théoriquement fait de sa valeur cardinale l'égalité comme la France où il y a le plus de goût pour cette structure hiérarchique, élitiste; que ce soit celle du génie romantique littéraire dont on vient de parler ou celle du Maître qui transmet son savoir...

Aux USA, c'est tout le monde doit pouvoir écrire, même si c'est de la merde, on va lui donner des pistes et des méthodes pour s'améliorer... En ce sens, à la limite j'en veux même pas à celle qui a écrit 50 shades of grey ou celle de twilight... Même les ahuriEs ont le droit à l'expression...
En France, c'est juste les grands génies qui peuvent écrire, parce que la littérature c'est sérieux tout ça tout ça, c'est théoriquement réservé à une élite, et il faut montrer patte blanche et prouver que sur ta table de chevet il y a Dostoievski/Céline/Proust... Tout en laissant se reproduire et se maintenir un petit monde de bobos consanguins et sans autre talent que la lèche en soirée et le carnet d'adresses avec comme je l'ai dit Gavalda, Schmitt, Beigbeder, Jardin, Delerm, Musso, Lévy...
 
Géronimo
   
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Géronimo  /  Tapage au bout de la nuit


Domini-COLL a écrit:


Richard Ford. Toni Morrison. Joyce Carol Oates. Dan Fante. Flannery O'Connor. Philipp Roth. James Welch, un des pères de la renaissance amérindienne.

J'ai du mal à voir le formatage de l'écriture entre tous ces gens...

Après, quand on voit la plupart des noms que je cite, on voit des prolos et gosses de prolos, des femmes dont une femme noire, un amérindien... Bref des gens qui à la base ne sont pas forcément haut placés dans la hiérarchie sociale étatsunienne (euphémisme)... Donc sans les habitus culturels d'une certaine élite... Pas la même possibilité de consommation littéraire qu'une certaine élite... Et je pense que ces cours de creative writing les ont aidé à structurer un peu leur écriture, et surtout, leur a permis de prendre la parole, de les décomplexer...


Domini-COLL a écrit:
En France on a la passion des cours magistraux avec le professeur qui sait et explique ce qu'il faut comprendre et penser à un amphi, à une foule indistincte et plus ou moins passive...

Aux USA, moins. On s'oriente davantage sur des petits groupes qui aident à discuter, entre prof et étudiants...

C'est justement pour ces raisons que je ne comparerais pas les cours de creative writing à un "master de création littéraire". À mon sens, ce master n'a pas vraiment de sens, a fortiori en France où, comme tu le dis très justement, la relation étudiant-professeur n'est pas du tout la même que dans les pays anglo-saxons. En France, il existe des ateliers d'écriture, à la Sorbonne par exemple, même si c'est largement moins répandu que dans d'autres pays. Ces cours de creative writing permettent de discuter, de travailler en groupe, de s'entraider. C'est finalement le même principe que ce forum, à la différence qu'on parle directement à ses interlocuteurs. Tandis qu'un master, ça fait tout de suite beaucoup plus pompeux, en mode "ferme ta gueule, le Maître va te révéler comment écrire un chef-d'oeuvre". Dans l'idée, je trouve le concept de la maîtrise un peu trop passif, trop théorique.
 
Alphonsine
   
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Alphonsine  /  Tentatrice chauve


Tout d'abord, je remercie Domini-coll qui a mis des mots sur ce qui me gênait dans ce débat sans que je réussisse bien à dire quoi.
Sinon, j'ai consulté un peu la maquette de la formation, ça a l'air d'être tout de même de l'ordre du rapport personnel (promo de 20 élèves) et de la pratique (beaucoup d'ateliers, stages d'écriture, etc). Je trouve que c'est un pari risqué, mais pourquoi forcément tabler sur le fait que ce sera mauvais ?
https://nolwennpamart.wordpress.com/
 
DC
   
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DC  /  Gueule d'ange et diable au corps


mdg a écrit:
Domini-COLL a écrit:


Richard Ford. Toni Morrison. Joyce Carol Oates. Dan Fante. Flannery O'Connor. Philipp Roth. James Welch, un des pères de la renaissance amérindienne.

J'ai du mal à voir le formatage de l'écriture entre tous ces gens...

Après, quand on voit la plupart des noms que je cite, on voit des prolos et gosses de prolos, des femmes dont une femme noire, un amérindien... Bref des gens qui à la base ne sont pas forcément haut placés dans la hiérarchie sociale étatsunienne (euphémisme)... Donc sans les habitus culturels d'une certaine élite... Pas la même possibilité de consommation littéraire qu'une certaine élite... Et je pense que ces cours de creative writing les ont aidé à structurer un peu leur écriture, et surtout, leur a permis de prendre la parole, de les décomplexer...


Domini-COLL a écrit:
En France on a la passion des cours magistraux avec le professeur qui sait et explique ce qu'il faut comprendre et penser à un amphi, à une foule indistincte et plus ou moins passive...

Aux USA, moins. On s'oriente davantage sur des petits groupes qui aident à discuter, entre prof et étudiants...

C'est justement pour ces raisons que je ne comparerais pas les cours de creative writing à un "master de création littéraire". À mon sens, ce master n'a pas vraiment de sens, a fortiori en France où, comme tu le dis très justement, la relation étudiant-professeur n'est pas du tout la même que dans les pays anglo-saxons. En France, il existe des ateliers d'écriture, à la Sorbonne par exemple, même si c'est largement moins répandu que dans d'autres pays. Ces cours de creative writing permettent de discuter, de travailler en groupe, de s'entraider. C'est finalement le même principe que ce forum, à la différence qu'on parle directement à ses interlocuteurs. Tandis qu'un master, ça fait tout de suite beaucoup plus pompeux, en mode "ferme ta gueule, le Maître va te révéler comment écrire un chef-d'oeuvre". Dans l'idée, je trouve le concept de la maîtrise un peu trop passif, trop théorique.

Ben aux states c'est des MA, des MFA et des PHD de creative writing... http://www.pw.org/mfa

C'est tout aussi pompeux comme intitulé je trouve...

Et je vois pas pourquoi on aurait pas à sortir du schéma maitre-eleve personnellement... Ou si en fait c'est impossible, de pas limiter ses effets...

#TeamJacquesRancière
 
Pangolin
   
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Pangolin  /  Très premier degré


Domini-COLL a écrit:
ni au mec bloqué au fin fond de la charente, ni a celui de grigny 2.

Hé je me suis reconnu là-dedans ! Même si je ne vais en Charente que pour les vacances et que je suis un enfant d'Evry 2. Mais, c'est vrai, je n'ai jamais eu la prétention d'être génial (pas en écriture en tout cas).
Tiens ça me rappelle la chanson qu'on nous faisait apprendre à l'école primaire...
"Evry, la ville nouvelle
Evry le petit trou perdu
Des Aunettes aux Epinettes,
La ville nouvelle, et tout est fini (x2)"

Tiens, je suis HS.
Je dirais juste : tous les chemins mènent à l'écriture, du moment que la passion est là.
 
Géronimo
   
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Géronimo  /  Tapage au bout de la nuit


Domini-COLL a écrit:


Ben aux states c'est des MA, des MFA et des PHD de creative writing... http://www.pw.org/mfa

C'est tout aussi pompeux comme intitulé je trouve...

Et je vois pas pourquoi on aurait pas à sortir du schéma maitre-eleve personnellement... Ou si en fait c'est impossible, de pas limiter ses effets...

En effet comme tu dis, je trouve ça tout aussi pompeux ! En l'occurrence, je comparais seulement avec leurs cours de creative writing, puisque je croyais que tu faisais référence à ça dans ton premier message.

Et sinon je pense aussi qu'il faudrait sortir de ce schéma maître-élève. Cette hiérarchisation démesurée n'aide pas à améliorer la réputation de l'université en France, ni ses cours d'ailleurs. L'image du "maître inaccessible", c'est pas très constructif..

 
DC
   
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DC  /  Gueule d'ange et diable au corps


D'accord, moi quand j'en parlais ça me semblait évident que je parlais non seulement des cours, mais aussi dans les diplômes et les programmes d'études dans lesquels ils étaient...

Comme quand on parle d'Histoire à la fac, on sous entend le cursus précis...
 
Géronimo
   
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Géronimo  /  Tapage au bout de la nuit


Haha en fait, je crois qu'on ne s'est simplement pas comprises. Je me suis mal exprimée : ce que je voulais dire à la base, c'est que je suis d'accord avec toi. Je pense aussi qu'il faudrait changer ces relations, je pense aussi que ces cours peuvent être valables ; mais ce que je voulais dire, c'est qu'en France, le système et l'image de l'université font que ce master, à mon sens, ne dégage pas la même idée. Aux États-Unis, pour reprendre l'exemple, c'est plus libre, plus ouvert, plus pratique ; En France, on a tout de suite l'image justement du prof qui déblatère son cours en bloc sans se soucier de ses étudiants ; plus théorique. Peut-être que ce master, en l'occurrence, ne correspond pas du tout à ça. Je parle seulement de la façon dont, en France, on sera amené à (dé)considérer un master qui s'intitule "Création Littéraire".
 
DC
   
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DC  /  Gueule d'ange et diable au corps


Donc tu parles de la perception et de l'image éventuelle du bouzin ?
 
Géronimo
   
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Géronimo  /  Tapage au bout de la nuit


Yes, that's it !
Si on y regarde bien, un master en création littéraire, c'est le même principe qu'un master en journalisme.. c'est simplement pas la même forme d'écriture.
 
Lo.mel
   
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Lo.mel  /  Troll hunter un jour, troll hunter toujours


mdg a écrit:
Si on y regarde bien, un master en création littéraire, c'est le même principe qu'un master en journalisme.. c'est simplement pas la même forme d'écriture.

Je ne reviens pas sur le reste du débat, mais si ce que tu dis était vrai, ce serait inquiétant, étant donné que tout bon journaliste qui sort de l'école vend son langage robotisé, très souvent pour paraphraser la dernière dépêche AFP.

Enfin, sans aller dans la généralisation : le formatage de la plupart des jeunes journalistes est manifeste.
 
   
    
                         
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