Citation :

Je trouve que le 'rythme' (description/action) du Seigneur des Anneaux est trop irrégulier, mais sinon, l'histoire est très cohérente (plusieurs années de recherche...), les héros ne sont ni trop forts, ni trop faible.

Pas d'accord avec le dernier passage (le rythme et la cohérence, je te rejoins là dessus par contre): il est vrai que certains personnages ont une force parfaitement équilibrée (je pense aux hobbits, particulièrement, qui n'ont rien de héros imbattables et se débrouillent avec les moyens du bord et leur maigre talent physique) mais certains autres sont simplement improbables: je ne me lasserai pas de ressortir la fin de Boromir, ou le bonhomme, avec trois flèches empoisonnées dans le corps, arrive encore à masscrer trent orcs ou quelque chose dans le genre, c'est parfaitement impossible. Et ça n'est pas le seul cas de disproportion. En fait, c'est un peu l'une des autres choses que je reproche à Tolkien: d'un côté tout est parfaitement cohérent et réaliste (enfin, dans la mesure du possible, c'est de la fantasy quand même), mais de l'autre, il sort des moments de bravoure pas du tout adaptés.

Je suis assez d'accord sur ce point, mais ça fait partie du charme, en quelque sorte...

Si Boromir mourrait d'une flèche, ce serait moins... Héroïque... C'est aussi ça la fantasy...

Enfin, je "ne peut pas" être objectif là dessus : "j'aime" les héors qui souffrent, qui en bavent jusqu'aubout ^^

Allmoon, sadique ?

Euh... Je viens de me rendre compte que ce que tu demandes Allmoon, on peut le trouver dans la section "un livre en particulier"... Pourquoi ce besoin de réponse au fait ?

Non, non, c'est différent...

J'ai besoin de commentaires sur les livres que vous avez lu dans le genre désigné.
Je veut vooir quels sont les gros points faibles et les gros points forts de ces ouvrages.

Donc il me faut le détail et une synthèse, ainsi que vos avis personnels, c'est à dire, ce que vous auriez aiméz en plus.
Par exemple, peut-être aimeriez vous d'un peuple "homme-poulpe" dans un univrs de fantasy.
(L'exemple est assez idiot, mais je ne veut pas influencer le débat maintenant.)

Allmoon.

Korrigan a écrit:

Euh... Je viens de me rendre compte que ce que tu demandes Allmoon, on peut le trouver dans la section "un livre en particulier"... Pourquoi ce besoin de réponse au fait ?

En fait, c'est nous qui avons dérivé spécifiquement sur le seigneur des anneaux, il veut savoir en général (et apparemment pour ne poas faire trop de bêtises dans ses écrits, je suppose )

Nous sommes sur la même longueur d'ondes...^^

Je veut comprendre pour mieux faire et ajouter aux idées que j'ai déjà.

Allmoon.

Le Seigneur des Anneaux et le Monde de Narnia sont de mauvais exemples, puisque ce sont à la base des contes (selon les auteurs) et non des romans.
Or, tandis qu'un roman peut englober toute sorte d'intrigue, le conte se base sur une intrigue très simple, avec peut d'intrigues secondaires.

Pour ne pas gâcher cette intrigue, il faut aussi savoir 'doser' les divers éléments du récit. Racourcir les scènes de bataille, dynamiser les descriptions en les incorporant dans des actions, etc. Ce que je reproche au livre 'les milles orcs' (encore un TSR), c'est que l'auteur (les auteurs, je crois) s'attardent beaucoup trop sur les batailles, ce qui efface l'intrigue, seule la fin donne envie de lire la suite. L'histoire est trop longue (si vous avez déjà lu des TSR, vous savez, qu'il vont souvent par trois ou quatre livre pour une histoire), car on a pas spécialement envie de lire 400 pages sur le caractère des personnages (surtout si on a déjà lu des sagas où apparaît Drizzt do'urden, qui est présent dans ce bouquin) ou leur relations.

Personnellement, je n'aime pas trop les histoires où seule la puissance magique compte. Dans les livres de D.Eddings, la magie a une place importante, mais seuls quelques élus peuvent la pratiquer au nom de leur dieu, mais l'histoire se basant sur les conflits et la vie de tout un monde à travers les siècles et les millénaires, ces personnages sont indispensable. De plus, ils ne peuvent pas utilisé la magie n'importe comment et ils ne règlent pas les conflits d'un simple claquement de doigt. La magie n'est pas démesurément puissante. La philosophie d'Eddings à travers les personnages est intéressante et son histoire émouvante et accrocheuse car il développe métaphoriquement (ça se dit?) des problèmes courrants.

Je ne t'ai pas apporté grand chose si tu n'as pas lu les livres mentionné, je pense. Aussi je te conseille de les lire.