Citation :

Semaine du 22/07/2013 :
CONSTANCE 200/3000

Bilan : J'étais tellement fatiguée et démoralisée que j'ai très vite su que la constance était foutue. Comme j'étais en plus sur un passage difficile dans mon roman, je n'étais absolument pas inspirée...

Méga-paresseuse...

Akiel a écrit:

Akiel a écrit:

Semaine 22/07/13
Constance 5000/5000
Titre : Les voyageurs (titre provisoire)
Réécriture première partie (presqu'achevée) et début 2e partie

Bilan : J'ai écrit pas mal, corrigé un tout petit peu, mon histoire avance c'est ce qui compte.

Voici un extrait de ce que j'ai écris :

"De son côté, Malia, beaucoup plus terre à terre, remuait ses méninges pour trouver une façon de leurrer les agents et se débarrasser d’eux. Rien ne lui venait à l’esprit, à son grand dépit. Soudain, elle entendit quelque chose derrière elle. Qu’est-ce que c’était ? Des pas ? Elle se tourna, scrutant la profonde obscurité, sans rien remarquer. Puis elle l’entendit encore : comme des pas, comme si quelqu’un les suivait. Elle s’arrêta brusquement, tendant l’oreille. Patrick, intrigué par l’attitude de la jeune femme, s’arrêta à son tour.
« Qu’est-ce que tu…
-Chut ! Tu n’entends pas ? » Il écouta à son tour, mais n’entendit pas ce qui avait alerté Malia. Il haussa les épaules. Ils continuèrent à avancer tout en restant aux aguets. Devant, Marc boitait de plus en plus. Il s’inquiétait de Laurianne et du professeur, ignorant s’ils s’en étaient sortis. Qu’avait-il en tête pour avoir sauté ainsi ? Connaissant Karajan, il avait certainement un plan, sinon il n’aurait pas risqué sa vie et surtout pas celle de Laurianne. Ses pensées s’attardèrent sur la jeune femme. Elle était belle, intelligente, courageuse, sexy….il aurait bien voulu la connaître de façon, disons, plus approfondie ! Mais il n’était pas aveugle, il avait constaté la façon dont elle regardait Karajan, les gestes intimes, les sourires. Il n’était pas du genre à s’interposer. Perdu dans ses pensées, il sursauta lorsque Patrick cria.
« Hey ! Il y a quelqu’un ? Montrez-vous ! »
Tout le monde s’arrêta. Robert le rejoignit. «Qu’est-ce que vous avez à crier comme ça ?
-Il y a quelqu’un qui nous suit. On entend des pas depuis une demi-heure.
-Il n’y a personne, c’est votre imagination.
-Il y a réellement quelqu’un, dit Malia. Écoutez.
L’agent écouta. Il y avait effectivement un bruit, léger mais constant, comme si on marchait d’un bon pas plus loin. Ça venait vers eux. Le mieux était quand même de continuer à avancer. Ce n’était peut-être qu’un phénomène acoustique. « Allez, on …. » Il fut interrompu par le bruit de plus en plus fort, de plus en plus rapide de quelqu’un, ou quelque chose qui s’approchait. «En avant ! Vite ! » Tout le monde l’entendait à présent. Ils avancèrent le plus vite que le leur permettait l’étroitesse des couloirs tortueux. A chaque embranchement, ils prenaient une voie au hasard, pressés d’échapper à leur poursuivant. Patrick et Malia étaient terrifiés. Ils se doutaient de qui les suivait ainsi, et cela ne les tentait pas trop de tomber face à face avec lui ! Qui sait à quoi il pouvait ressembler depuis tout ce temps ! Déjà qu’il soit vivant, ça tenait de l’impossible ! Dans leur tête, des images de momies égyptiennes, de zombies et autres horreurs de vieux films en noir et blanc les assaillaient. Patrick avait pris la tête du groupe, suivi par Malia, Julie, Robert, Nicolas, Stevens, Nathalie et Marc qui peinait à les suivre. "