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 [Éditeur] Editions L'ivre-Book, si vous êtes intéressés...

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Shub
   
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Shub  /  Roberto Bel-Agneau


L'édition numérique ne représente chez nous que 3% de l'édition en général. Elle marche surtout en Allemagne (je sais pas pourquoi) et aux USA: dans le dernier cas, il y a assez peu de librairies ce qui explique son succès. Certains e-book se sont vendus à un million d'exemplaires. Des romans érotiques semble-t-il. Donc si tu écris ou peux écrire en anglais, vas-y...
Il faut prendre l'édition numérique pour un marchepied et une reconnaissance de la part d'un éditeur. Sans compter que pour le narcissisme et l'amour propre, ça fait du bien: après avoir été refusé par moult maisons d'édition, en trouver une qui te publie en te faisant des compliments c'est une valorisation évidente de ton travail. C'est comme cela que je le prends.
Par ailleurs, c'est un marchepied. Un éditeur fera + volontiers confiance à un autre éditeur, même numérique: si ton livre a été accepté et publié qq part même s'il n'est vendu qu'à un nombre confidentiel d'exemplaires, cela signifie qq chose pour eux. La reconnaissance d'un ou une confrère...
Si tu es publié en numérique, ne t'attends vraiment pas à faire des ventes, à moins -coup de pot terrible- de faire comme Agnes Martin-Lugand qui est passée à la télé et dont le titre a été véhiculé par les medias comme une "autre" manière de se faire éditer et d'être lu. J'ai pas lu son livre mais j'ai peur que ce soit de la daube. De toute façon quels sont les best-sellers ? Les livres de Musso (merci pour lui, l'auteur-phare des best-sellers), Valerie Trierweiler, Eric Zemmour, ...
Faire des ventes même des grosses ventes n'est pas synonyme de qualité et/ou de nouveauté, raison pour lesquelles tu écris peut-être...  Loin, très loin de là même. En tout cas j'imagine que tu écris parce que tu as qq chose à raconter qui n'est pas les secrets d'alcove du Président ou la supposée déperdition identitaire en France, qu'elle soit hypothétique ou réelle.
 
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jerome83  /  Pippin le Bref


Shub a écrit:
Si tu es publié en numérique, ne t'attends vraiment pas à faire des ventes, à moins -coup de pot terrible- de faire comme Agnes Martin-Lugand qui est passée à la télé et dont le titre a été véhiculé par les medias comme une "autre" manière de se faire éditer et d'être lu. J'ai pas lu son livre mais j'ai peur que ce soit de la daube. De toute façon quels sont les best-sellers ? Les livres de Musso (merci pour lui, l'auteur-phare des best-sellers), Valerie Trierweiler, Eric Zemmour, ...
Faire des ventes même des grosses ventes n'est pas synonyme de qualité et/ou de nouveauté, raison pour lesquelles tu écris peut-être...  Loin, très loin de là même. En tout cas j'imagine que tu écris parce que tu as qq chose à raconter qui n'est pas les secrets d'alcove du Président ou la supposée déperdition identitaire en France, qu'elle soit hypothétique  ou réelle.

Merci Shub, j'ai vu que tu avais un livre édité chez Bookless. Sans vouloir être indiscret, honnêtement, tu sais combien tu as vendu d'exemplaires pour l'instant ?
 
Shub
   
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Shub  /  Roberto Bel-Agneau


Très mais alors vraiment très peu. Je veux dire c'est pas mon principal souci. Certains best-sellers sont  complètement oubliés dès l'année suivante. Qui se souvient des best-sellers des années 90 ?
Ça remplit le porte-monnaie de vendre et je n'ai aucun mépris pour cela mais je n'écris pas pour me faire des sous.
On est suffisamment bouffés par cette préoccupation (non négligeable certes!) pour que pour moi, ça se reporte pas sur un truc qui me tient à cœur, l'écriture et la littérature.
J'écris pas pour le fric, c'est tout. Si ça rapporte tant mieux, mais je me méfierais du succès en librairie, surtout un succès rapide.
Non pas que les éditeurs soient stupides (loin de là !) mais ce n'est pas un critère.
Si tu écris pour le fric et faire un succès en librairie, ce n'est déjà plus une démarche d'écrivain pour moi. Suis informaticien et peut-être je vais soumettre un projet d'utilitaire Mac sur Appstore.
J'aime bien l'informatique aussi (c'est mon métier) mais je sais que cette démarche ce sera à 50% pour le fric, et à 50 % pour faciliter utilisation du Mac et ergonomie pour les utilisateurs.
Pas de complexe: on vit dans un monde régi par la loi du profit et de l'argent et il faut bien gagner sa croute pour payer ses factures et remplir son frigo non ?
 
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jerome83  /  Pippin le Bref


Shub,

Ce n'est pas pour me faire de l'argent que j’écris, c'est juste, un indicateur : si on se fait de l'argent, c'est qu'il y a des lecteurs... Et s'il y a des lecteurs, c'est déjà un premier pas vers la satisfaction personnelle...

C'est pour cette raison que je me demande de quel(s) moyen(s) dispose L'ivre-book afin d'assurer la promotion de leurs publications... Déjà que cela semble dur pour un éditeur classique avec les salons et les dédicaces, alors pour ce genre de maison d'édition...

Si j'ai bien compris, si je me fais éditer par L'ivrebook ou Bookless, si je vends 10 exemplaires je peux m'estimer heureux... ?

En fait, ce genre de maison d'édition fonctionne sur le nombre de publications plutôt que sur la promotion, c'est bien cela ?

Merci.
 
Florence_C
   
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Florence_C  /  Sang-Chaud Panza


Il faudrait que tu demandes directement  à ceux qui sont chez l'Ivre-Book.

Ce que je sais, c'est que les auteurs  (que je connais) sont satisfaits.

Edit  : Sur le forum, Jo  Ann V. a publié chez eux.
http://fcochet.wix.com/fcochet
 
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jerome83  /  Pippin le Bref


Florence_C a écrit:
Il faudrait que tu demandes directement  à ceux qui sont chez l'Ivre-Book.

Ce que je sais, c'est que les auteurs  (que je connais) sont satisfaits.

Edit  : Sur le forum, Jo  Ann V. a publié chez eux.

Merci Florence ; L'ivre-book ne répond pas directement sur ce forum ?
 
Delf
   
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Delf  /  Journal du posteur


jerome83 a écrit:
Shub,



Si j'ai bien compris, si je me fais éditer par L'ivrebook ou Bookless, si je vends 10 exemplaires je peux m'estimer heureux... ?

Merci.

NON! J'ai une nouvelle éditée chez l'Ivre book, clairement, je ne suis pas dans les top sellers, mais il y a tout un faisceau de raisons à cela, raisons dont je suis pour la quasi totalité responsable. Certains de leurs auteurs par contre vendent très bien (plusieurs centaines si je ne m'abuse, il vaudraient qu'ils donnent leurs propres chiffres eux mêmes), d'autres moins, mais l'éditeur fait une vraie promo, les auteurs de la maison relaient aussi l'info. De plus, je crois que Bookless n'a pas du tout le même principe que l'Ivre Book, qui est une maison d'édition avec des contrats à compte d'éditeur classiques, mais un produit uniquement numérique.

Ceci dit, je ne sais pas si Lilian accepte de nouveaux auteurs actuellement et si les soumissions sont ouvertes (j'ai un doute, boss, si tu passes par là). Il faudrait le contacter pour s'en assurer.

Ce qui est sûr, c'est que c'est une maison où on se sent vraiment bien, et dans laquelle certains auteurs montrent un potentiel de création et de ventes vraiment intéressant.
http://www.delphine-laurent.com/
 
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J'ai l'impression que pour Shub, choisir le numérique est juste un moyen d'atteindre le papier. OR, pour moi, le numérique est un réel choix, pas une décision prise par dépit. Le numérique correspond à mon mode de vie, à ma façon de voir l'écriture et la l'édition. Les textes que j'ai soumis à L'ivre-Book, je ne les ai soumis nulle part ailleurs.
 
Laura Atréïdes
   
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Laura Atréïdes  /  Tentatrice chauve


Pourquoi ce choix du numérique plus qu'un autre Jo Ann ? Cela m'intéresse car je fais partie de ceux qui ne sacralisent pas l'objet livre, et du coup j'aime bien en discuter avec d'autres.
http://www.laura-ferret-rincon.com
 
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Je vis entre deux continents, Laura. En tant que grande lectrice, je devais me contenter de 3/4 romans à emporter d'un pays à l'autre pour éviter tout excès de bagage (et je voyage très léger !). C'est de cette façon que j'ai acheté ma première liseuse (il y a trois ans) et mes habitudes ont totalement changé. Avoir ma bibliothèque en permanence sur moi, peu importe l'endroit où je me trouve, avoir accès à des livres à n'importe quel instant (alors que pour commander du papier, il faut pouvoir se fier à la poste... ce qui n'est pas mon cas). Je ne vois que des avantages. C'est tout naturellement qu'en tant qu'auteur, j'ai fait le choix du numérique. Pouvoir avoir mes livres partout dans le monde, c'est fantastique. Ça ne veut pas dire que je tourne le dos au papier, hein ? C'est juste que le numérique est ma priorité.
 
Shub
   
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Shub  /  Roberto Bel-Agneau


En fait je redis ce que j'ai dit. En ayant eu marre de ces lettres de refus stéréotypées, j'ai prospecté du côté du numérique et là, ô bonne surprise, Corinne de chez Bookless m'a fait des compliments quasi-dithyrambiques et m'a tout de suite proposé  de me publier en numérique. Ceci dit chaque éditeur même numérique a ses propres choix car l'Ivre-book m'a refusé avant, ce dont je ne leur tiens absolument pas rigueur. Ce n'est pas le seul.

jerome a écrit:
Ce n'est pas pour me faire de l'argent que j’écris, c'est juste, un indicateur : si on se fait de l'argent, c'est qu'il y a des lecteurs... Et s'il y a des lecteurs, c'est déjà un premier pas vers la satisfaction personnelle...

C'est clair !! Ceci dit, peut y avoir aussi des douches froides, genre le lecteur mécontent et qui le manifeste sur un blog ou ailleurs. Depuis le passage au numérique, tout le monde peut et veut donner son avis sur tout. C'est clairement un nouvel espace de convivialité, mais faut s'attendre à tout. Comme dans le monde non virtuel.
Du point de vue satisfaction personnelle, lorsque je tape mon nom et le nom de mon roman sur Google, j'obtiens quelques liens, en gros ça doit tourner autour de 5.
C'est un pari d'écrire: en général les gens le font car ils sont fortement et même très fortement motivés. Maintenant savoir si on va atteindre des gens, il y a de multiples facteurs qui rentrent en ligne de compte: démarches personnelles de l'éditeur (trice), ses démarches à soi, le bouche-à-oreille. Des forums comme celui-ci peuvent aussi jouer un rôle.
 
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Invité  /  Invité


Les blogs littéraires existent depuis le début des années 2000 et ont eu leur apogée autour de 2006. Alors "depuis le passage au numérique" est un peu beaucoup erroné.


AJOUT : et si on craint les mauvaises critiques (justifiées ou pas), autant ne pas publier et garder ses écrits pour soi. Cool
 
Florence_C
   
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Florence_C  /  Sang-Chaud Panza


Bookless, de l'extérieur, a l'air d'être un éditeur peu sélectif : beaucoup de parutions sur peu de temps et dans tous les styles.

J'ai un peu l'impression de voir  Edilivre, sans le format papier.(  ? )

Je préfère garder mon texte, le reprendre, plutôt que choisir une maison qui ne me convainc pas.
Mais j'ai appris après m'être cassé les dents. Publier à tout prix, c'est fini pour moi.
http://fcochet.wix.com/fcochet
 
Nagio
   
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Nagio  /  Pippin le Bref


Je pense également que le choix du numérique doit être mûrement réfléchi et pas un choix "par dépit". Si un éditeur papier a refusé votre roman c'est au choix
1- qu'il est mauvais
2- qu'il ne pense pas pouvoir en vendre assez, pour diverses raisons, pour rentrer dans ses frais
Avec le numérique la contrainte du 2- disparaît plus facilement, ce n'est pas pour autant que le livre se vendra davantage.
Après, tout le monde sait qu'il ne suffit pas d'éditer un livre et de le balancer sur la vaste mer du web pour qu'il se vende. La question de la promotion - concrètement, qu'est-ce que l'éditeur apporte de plus à l'auteur en terme de promo que s'il s'auto-éditait - me paraît donc pertinente. Certains auteurs de la maison vendent bien, soit, mais est-ce grâce à l'éditeur ? Toute la question est là.
Par exemple, les gros éditeurs se payent des bandeaux de pub sur les sites de vente - Amazon et consorts - ce qu'un plus petit peinera à faire. Or la visibilité, pour le numérique, est un enjeu majeur.
 
Sebuster
   
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Sebuster  /  Tapage au bout de la nuit


Pareil pour moi, je suis publié en numérique chez l'Ivre-book volontairement, par choix. Je vais être aussi publié en papier par une autre maison d'édition dans quelques mois.

En ce qui concerne la transparence de mon éditeur vis-à-vis de ses auteurs : je peux demander quand je veux le point sur les ventes et il me les transmet (faut pas demander tous les jours non plus hein, c'est un monsieur très occupé, vu son succès). Je suis également mes ventes sur Amazon sur mon profil auteur.

Il faut bien voir la publication comme un investissement sur le long terme et pas sur le court terme, et ne pas penser que parce qu'on accède à la publication pour la première fois qu'on va faire fortune, surtout en numérique ! Si on publie pour devenir riche, il faut oublier de suite. Moi je publie pour mon plaisir et pour faire voyager mes lecteurs, même si bien sûr que je ne vais pas cracher sur mes droits d'auteurs, mais ce ne sont pas eux qui me font vivre... (pas pour l'instant lol).
http://Mon roman : http://jeunesecrivains.superforum.fr/t31542-l
 
   
    
                         
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