Carcasse a écrit:

Samedi 29/09/2012 :
CONSTANCE 644+1107=1751/+1000 mots
Texte : Album
Pari : réussi
Remarque : merci qui ? merci la constance !
Et en plus, j'ai abordé d'autres sujets difficiles.

Citation :

Samedi 29/09/2012
CONSTANCE 2 474 + 1 013 mots de plus, donc 18 820/ 10 000
Texte : Léana (roman, titre provisoire) + Les Corbeaux ou le journal de Kialys
Rythme : Bon, je reprends doucement... hier je n'ai pas écrit, mais je me suis bien rattrapée... Quelques corrections apportées à Kialys

Citation :

Dimanche 30/09/2012
CONSTANCE 3080/2000
Rythme : J'ai bien avancé en je suis contente de mon texte
CONSTANTE!

Citation :

Semaine du 24/09/2012 :
CONSTANCE 1742/5000
+ sur-lignage chapitre 1 et 2 terminé.
Bilan : Je suis pas fier du nombre de mots que j'ai écris. Mais ce que j'ai écris c'est pas trop mal. Y'aura pas beaucoup de corrections, sauf les répétitions.
Paresseux...

Citation :

Dimanche 30/09/2012
CONSTANCE 1 906 mots de plus, donc 20 726/ 10 000
Texte : Léana (roman, titre provisoire) + Les Corbeaux ou le journal de Kialys
Rythme : Je flotte un peu... j'ai fini un chapitre dont je ne suis pas sûre, juste avant une scène qui doit avoir une intensité certaine... on verra par la suite si j'ai eu tort de l'écrire ^^

Citation :

Semaine du 24/09/2012
CONSTANCE 20 726/10 000
Rythme : Bon, la semaine prochaine, j'augmente ma constance, histoire de me lancer un défi... je remarque cependant que j'ai été plus régulière que la dernière constance à laquelle j'ai participé. J'ai écrit chaque jour un nombre de mots à peu près équivalent, alors qu'il y a deux semaines, c'était un peu aléatoire... Je vais continuer la constance la semaine prochaine, puisqu'elle me permet d'écrire tous les jours malgré la rentrée !

Constante ^^

Mais il faut expliquer ce regard aussi porté sur soi-même comme objet parce qu'il ne tombe pas des nues, mais il me vient du regard que portait mon propre père sur moi et probablement sur ma petite sœur aussi : il avait toujours le regard halluciné et les yeux comme des billes dès que quelque chose sortait de ses standards et de ses attendus et de ses croyances d'homme empli par le doute d'un collégien sur la valeur de l'existence. Je n'ai pas compté toutes ces fois où il a déboulé dans ma chambre sans prévenir pupilles écarquillées et bras ballants parfois écartés comme arrêté dans son mouvement ou comme si à chaque fois il me tombait dessus en train de me masturber – ce qui manqua d'arriver plus d'une fois. Quelle indélicatesse !
Par n'importe quel bout qu'on le prenne, mon père était intrusif et pourtant, depuis le promontoire posthippie-écolo-survivaliste-new age duquel il s'estime et se pâme il n'a jamais cru ni en mes récriminations ni en celle de toute la famille ; c'était une fouine comme dirait ma sœur, un touche-à-tout, un tripatouilleur, un fouineur donc, un méli-mélo de relations humaines dans lesquelles il compliquait tout et par lesquelles il humiliait tout sans conscience mais parfaite innocence. Écoutez-le dire un jour sur le ton de l'humour je suis un père vert et de partir en un rire gros et gras moitié-réaliste moitié-simulé… un rire de collégien-foutage-de-gueule… un rire perfide-malgré-soi, un rire qui détruit la confiance et la confidence, et pourtant je devais bien lui faire confiance dans mon enfance, par-devers les anecdotes du claquage de main contre la table déjà cité et autres histoires mettant en jeu la fidélité et la foi. Par exemple un jour que j'avais laissé un pot de yaourt sous un arbre dans le jardin par flemme de le ramener à la poubelle – j'avais sept ou huit ans – mon père m'a demandé ce que j'en avais fait et j'avais dit que je l'ai jeté, mais il tomba dessus et puis il me raconta cette histoire (mon père ne jouât jamais son rôle qu'en paraboles ainsi qu'en invocations d'auteurs plus ou moins écolo-occultistes-complotistes tels que Bové, Pelt ou Reeves) : « Il y avait un enfant qui n'arrêtait pas de mentir aux gens. Mais un jour qu'il jouait avec de grosses pierres, il en lâcha une sur son pied, et il hurla pour appeler à l'aide. Sauf que personne n'est venu, parce que tout le monde croyait qu'il mentait encore. » Je ne vous explique pas le traumatisme pour moi qui n'était pas du genre à mentir, d'habitude. Comme il fallait que je décrypte ce qu'il voulait me dire du haut de mon petit âge, je ne pouvais que constater que j'étais assimilé à un grand menteur, et dans le genre claque à l'estime de soi et à l'amour de soi c'est pas mal.

Citation :

Semaine du 24/29
CONSTANCE 1200/500 mots
Texte : Jolly Roger
Rythme : Prolifique que cette semaine ! J'ai peu écrit en début de semaine mais ce weekend loin de la ville a été très très satisfaisant ! (comme quoi, loin d'internet et de toutes sortes de tentations, j'écris plus et mieux)
Extrait : "Celui-ci, dans une réaction tenant du réflexe salvateur, réceptionna la bombe et l'envoya d'un coup de pieds sur vers d'autres horizons et surtout, loin de lui. Elle trouva sa place sous un meuble après quoi elle explosa dans un panache de fumée et un vacarme tel, que les acteurs en présence crurent être soudain devenus aussi bien aveugles que sourds. Une seconde explosion, tout aussi violente souffla les vitres et précipita sur le sol quantité de débris de verre dont beaucoup étaient déjà ensanglantés. Dès lors, oubliant leurs uniformes aussi bien que les heures qu'ils recevaient les soldats se précipitèrent vers la sortie. Écrasant parfois quelques cadavres sans vie sous leurs pas ils sortirent de cet enfer dans un bien piteux état.
Villères, qui avait survécu aux deux premiers assauts du lui-même se faire une raison car le magasin où de nombreux armes et échantillon de poudre étaient entreposé devient encore plus menaçant que la grenade initiale. Mais il était résolu à retrouver la dépouille de ce maudit forban."