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| | [Nuit 22 septembre] commentaires | |
| | Nombre de messages : 6087 Âge : 35 Localisation : Liège Pensée du jour : La "recherche d'équilibre" sur JE est interrompue, ça manque de mécènes en temps de crise. Date d'inscription : 11/01/2010 | QuillQueen / Wallonne OUvreuse de LIttérateurs POstiches Sam 22 Sep 2012 - 21:11 | |
| Postez ici vos commentaires sur les extraits des textes écrits pendant cette Nuit JE et répondez aux commentaires reçus sur les vôtres ! En postant des extraits, vous vous engagez à commenter les autres.Participants : Hollyanne Red-Scarf Ecrivaine lelaser Revan ... |
| | | Invité / Invité Dim 23 Sep 2012 - 9:49 | |
| Mes commentaires en direct-live et en gras dans le spoiler, pour toi Quia Scorpio sum. - Spoiler:
La vitre réfléchissait son visage avec indifférence "son visage indifférent." Ce n'est pas la vitre, qui reflète avec indifférence . Mais son regard pa ssait au travers sans s’attarder sur ses propres traits. Il y a là une allitération en S assez pénible à mes oreilles. Et pourquoi ne pas avoir mis d'alinéa ensuite, vu qu'on change de sujet ? Il était déjà près de dix-neuf heures. De l’autre côté de la grande baie vitrée, Bogotá étirait paresseusement ses filaments longilignes vers un océan de ciel ocre, et le coucher de soleil s’était déversé sur la ville comme un trop-plein d’acide. J'aurais plutôt envie d'écrire "un trop-plein acide". Je butte sur le D apostrophe. Tout dans ce paysage maussade le renvoyait à l’odeur de funérarium qui collait encore à ses vêtements. La phrase sonne de façon laborieuse aussi à mes oreilles. Je dirais plutôt (cette suggestion n'est pas prescriptive mais indicative) : "Tout dans la morosité du paysage lui rappelait l'odeur de funérarium qui collait encore à ses vêtements."La compassion avait été le pire, cette première séquence est trop orale par rapport au reste ; plutôt "Le pire avait été la commpassion" suivi d'un point, majuscule : "Plus insupportable..." plus insupportable encore que les larmes de crocodile de son père, ou les commentaires des dizaines d’imbéciles Imbéciles ? Là le narrateur me semble bizarrement trop adopter la vision du personnage. Plutôt dire "des dizaines d'inconnus qui l'irritaient" ou un truc dans le genre. présents aux funérailles. Tous s’étaient répandus en condoléances, appuyant les lamentations d’Ebenezer Ashford d’une complaisance calculée, de cette écœurante sollicitude que l’on témoigne toujours aux riches et aux puissants. Sous l’œil des caméras surtout.Le pauvre homme. Quelle douleur. Elle était si jeune. Et son fils…Mais malgré le rituel de circonstance, personne n’était dupe du manège du veuf "du... du..." fait un peu lourd. Quant à la phrase suivante, il me semble que le "Et" initial alourdit. "Surtout pas Jonas" suffirait à mon sens. Et surtout pas Jonas. Beaucoup avaient loué le courage du garçon dans l’épreuve, surtout à son âge, le pauvre, mais cela ne lui avait inspiré Le plus-que-parfait alourdit ; pourquoi ne pas s'en tenir à un imparfait, puisque ce mépris perdure après les faits ? que mépris. Il préférait de loin ceux qui commentaient, dans son dos, sa froideur et son absence de larmes Je dirais : "Il préférait de loin les commentateurs qui, dans son dos, accusaient sa froideur et son absence de larmes. Au moins, les "ces" ? sarcasmes étaient honnêtes, eux. Il avait en réalité "Car au vrai, il avait..." ? passé les trois jours qui avaient suivi "suivants" ? la mort de sa mère à pleurer tout son saoul, On pourrait ôter la virgule. loin des regards. Et ces longues heures à sangloter l’avaient fait vieillir de dix ans, du moins c’est "était-ce" ? l’impression qui pesait sur ses épaules "l'impression qu'il avait" tout court, car ce genre d'impressions est plutôt libérateur (désillusion sur la vie) que pesant. C’était l’une des raisons pour laquelle il n’avait pas pleuré à l’enterrement, la deuxième étant la colère et le dégoût que lui inspiraient le responsable et sa clique de courtisans. Je crois qu'on avait compris, alors pourquoi ne pas conclure succintement : "Voilà pourquoi il n'avait pas versé une larme."Le carillon de la porte retentit. "Le carillon retentit." plutôt, parce qu'il s'agit d'un événement soudain diminué dans sa soudaineté par "de la porte", tandis qu'on comprend qu'il s'agit d'une sonnette avec ce qui suit :— Entrez, répondit Jonas "face" ? à la fenêtre, sans se retourner "bouger" ? ou "ni" ? même ? poser son verre de scotch. Il savait très bien ? qui venait l’importuner, il "et" ? avait d’ailleurs attendu "et attendait d'ailleurs" car le plus-que-parfait implique une antériorité mais il l'attendait toujours au moment de la narration. ce moment toute la soirée, laissant sa haine monter doucement en lui comme les vapeurs de l’alcool. — Bonsoir, mon garçon, lança le président Ashford en pénétrant "une fois" ? dans l’appartement faiblement éclairé. Jonas se fit violence pour ne pas se resservir de whisky : le ton mielleux de son père faisait resurgir la répulsion ressentie dans la chapelle. Et pourquoi ne se resservirait-il pas un scotch, tiens ? ... pour sa théâtralité à lui.— Je venais juste voir… si tu avais besoin de parler. Comment tiens-tu le coup, fils ? Encore et toujours ce numéro, joué par le plus mauvais acteur que Jonas pouvait imaginer. La bienveillance était probablement ce que cet homme ventripotent au regard de fouine feignait le plus mal. — Merci de t’en soucier, père, grinça le garçon entre ses dents. Ce n’était vraiment pas la peine de te déranger. Comme s’il attendait une suite à ces mots, le président resta un long moment à considérer son héritier qui lui tournait toujours le dos. Mais la vitre ne renvoyait qu’un visage impassible et neutre, muré dans le silence qui s’épaissit jusqu’à suffoquer la pièce. Comme ça, on dirait plutôt que c'est Jonas qui n'accepte pas la bienveillance de son père, et que, adolescent, il lui reproche d'autres choses que ce que le texte prétend. En ce sens, le texte se plante
La scène de funérailles décrite rétrospectivement ainsi que l'échange père-fils me paraissent manquer de réalisme, mais je serais curieuse de lire ton histoire depuis le début... |
| | | Invité / Invité Dim 23 Sep 2012 - 11:04 | |
| Ecrivaine, même s'il n'existe pas de règle intangible, les nuits ne sont pas le lieu idéal pour de véritables beta lectures comme celle-ci. Déjà parce qu'un si court extrait (500 mots) ne permet absolument pas de saisir un certain nombre d'éléments et peut amener à des confusions et donc à des commentaires complètement à coté de la plaque. Ensuite proposer des corrections toutes faites, je ne pense pas que cela aide beaucoup l'auteur. Selon son caractère, tu peux le vexer ou plus bonnement lui être complétement inutile car chacun a sa vision des choses, de l'écriture. Mais de toute façon, ce n'est pas le but des nuits... si tu veux faire du commentaire détaillé d'un auteur en particulier fais le dans la partie romans ou nouvelles. Elles sont faites pour ça.
Si tu regardes les précédents rdv, tu comprendras comment sont faits les commentaires sur les extraits tirés des nuits ( qui sont souvent du 1er jet donc bien souvent pas ou très peu relus donc forcément imparfaits, une raison de plus de pas jouer au correcteur...). Ils sont plus globaux, parlent plus du ressenti, relèvent un oud eux défauts récurrents. A la limite si l'auteur précise avoir posté un texte en phase de correction et relativement propre donc, un relevé de quelques erreurs lui sera utile. Ensuite, par esprit de convivialité, il est préférable de lire et de commenter TOUS les participants. Même s'ils ne sont que deux...
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| | | Invité / Invité Dim 23 Sep 2012 - 18:43 | |
| En tant que deuxième participante ayant posté un extrait ilham, tu veux que je m'auto-commente ? |
| | | Invité / Invité Dim 23 Sep 2012 - 18:46 | |
| Ouaip, ça serait un exercice intéressant... après tout se relire et se corriger, c'est bien ce qu'on fait tous ? Non, en fait, pour être honnête, j'ai voulu corriger mon erreur ce matin et puis je suis passée à autre chose et j'ai oublié... J'aid e petits soucis de mémoire à court terme en ce moment... faudrait que je fasse des noeuds partout. Et puis, non, je ne veux rien... je rappelais juste quelques petites principes de bases de l'exercice. Et tant qu'à faire, j'ai été trop zélée. |
| | | Invité / Invité Dim 23 Sep 2012 - 18:53 | |
| Dans un sens tu n'as pas tort, mais non. Dans l'autre, je pense que c'est sur ce type de texte (des premiers jets, des épreuves) qu'on peut se permettre d'agir sur le style d'un auteur. Ce n'est pas sur un produit fini qu'on va faire ça, parce que ce produit fini doit pouvoir se justifier, être argumenté par l'auteur, et là il n'y a plus qu'à dire : à jeter ou à garder. |
| | Nombre de messages : 7093 Âge : 42 Pensée du jour : Zut Date d'inscription : 27/05/2012 | Manfred / Pouyoute (© Birdy) Dim 23 Sep 2012 - 21:35 | |
| Houlà. C'est une véritable bêta que tu as fait là, Écrivaine. Bon, puisque tu t'es donnée la peine de faire un travail poussé, je vais essayer de te répondre dans le détail. - Spoiler:
- Écrivaine a écrit:
"son visage indifférent." Ce n'est pas la vitre, qui reflète avec indifférence . Non. C'est réellement la vitre que je décris comme indifférente. C'est une sorte de personnification, si tu veux. - Écrivaine a écrit:
- Imbéciles ? Là le narrateur me semble bizarrement trop adopter la vision du personnage. Plutôt dire "des dizaines d'inconnus qui l'irritaient" ou un truc dans le genre.
C'est justement le but du style indirect libre. - Écrivaine a écrit:
- Sous l’œil des caméras surtout.
Oui, en effet. - Écrivaine a écrit:
- "du... du..." fait un peu lourd. Quant à la phrase suivante, il me semble que le "Et" initial alourdit. "Surtout pas Jonas" suffirait à mon sens.
C'est pas faux, tu as raison. - Écrivaine a écrit:
- Le plus-que-parfait alourdit ; pourquoi ne pas s'en tenir à un imparfait, puisque ce mépris perdure après les faits ?
Moui, pourquoi pas. - Écrivaine a écrit:
- c’est "était-ce" ?
Bien vu! - Écrivaine a écrit:
- l’impression qui pesait sur ses épaules "l'impression qu'il avait" tout court, car ce genre d'impressions est plutôt libérateur (désillusion sur la vie) que pesant.
Là, tu projettes ta propre vision de la vie et réinterprètes un peu à l'emporte-pièce. - Écrivaine a écrit:
- C’était l’une des raisons pour laquelle il n’avait pas pleuré à l’enterrement, la deuxième étant la colère et le dégoût que lui inspiraient le responsable et sa clique de courtisans. Je crois qu'on avait compris, alors pourquoi ne pas conclure succintement : "Voilà pourquoi il n'avait pas versé une larme."
Oui, c'est vrai que c'est inutile ici. - Écrivaine a écrit:
"et attendait d'ailleurs" car le plus-que-parfait implique une antériorité mais il l'attendait toujours au moment de la narration. Ça apporte une nuance à son emploi du temps des dernières heures que je ne souhaite pas. - Écrivaine a écrit:
- Mais la vitre ne renvoyait qu’un visage impassible et neutre, muré dans le silence qui s’épaissit jusqu’à suffoquer la pièce. Comme ça, on dirait plutôt que c'est Jonas qui n'accepte pas la bienveillance de son père, et que, adolescent, il lui reproche d'autres choses que ce que le texte prétend. En ce sens, le texte se plante
Voici un conseil qui te servira pour chaque commentaire d'extrait: lorsque tu vois un extrait de 500 mots ou moins, tiens compte du fait que tu n'as pas le contexte et que tu ne connais pas les tenants et les aboutissants d'une scène ou les motivations d'un personnage. D'habitude je précise le contexte de l'extrait. Là, j'avais négligé de le faire, et je l'ai rajouté après (mea culpa). Mais ma remarque reste valable: face à un petit bout de texte, tu ne peux pas juger des implications d'une scène. Du coup, c'est un peu à côté de la plaque de dire que c'est le texte qui se "plante": ce ne sont pas d'autres raisons que ce que le texte "prétend", mais des raisons qui ne sont pas dans le texte parce que (ô surprise) ce n'est qu'un extrait. Le contexte: le père est un mafieux (premier motif de mépris aux yeux du fils) qui a rendu sa femme malheureuse au point qu'elle s'est suicidée (deuxième motif de haine: il tient le père pour responsable). - Écrivaine a écrit:
La scène de funérailles décrite rétrospectivement ainsi que l'échange père-fils me paraissent manquer de réalisme, Oui, là tu n'as pas tort, j'ai eu une approche trop émotionnelle de la scène, et pas assez fouillée. - Écrivaine a écrit:
- mais je serais curieuse de lire ton histoire depuis le début...
Justement, si tu lis ce que j'ai posté juste avant l'extrait, c'était le début. Pour le reste, tu te projettes trop dans le texte et essaies de le plier à tes propres envies (voire ma remarque pour "l'impression qui pesaient sur ses épaules"). Beaucoup de tes "corrections" sont inutiles, voire passent à côté des nuances nécessaires au sens voulu. Tu revendiques les solécismes et libertés de ponctuation comme étant ton style, alors mets en pratique ce que tu demandes aux commentateurs, et ne fais pas trop de réécriture (même en précisant que c'est suggestif et pas prescriptif, ce dont tout le monde est conscient, t'inquiète). Ce n'est pas le but.
Pour ton extrait: - Spoiler:
Tu as une belle plume, et ton propos est intéressant. On sent l'immédiateté générationnelle dans ce que tu décris. J'aime l'utilisation de tes mots composés "halos-verts-qui-ne-montrent-rien" et "caméra-tremblote", ils sont personnels et créatifs, ça rend le texte plus intime et mordant à la fois. J'aime moins l'emploi du verbe "hypocrise". La familiarité est de mise dans un récit comme le tien, bien sûr, mais les mots de ce genre à la limite du barbarisme (comme "solutionner" et autres) me font toujours tiquer. Question de goût.
Il y a un rythme prenant, c'est sûr, mais c'est à double-tranchant. Chacun de tes deux paragraphes est une phrase à lui tout seul, dont la première est vraiment longue. Face à un parti pris aussi audacieux, on aime ou on n'aime pas. Personnellement... je suis partagée. C'est vrai que cette forme colle bien avec le fond et à le mérite d'être originale, mais ces phrases très longues me donnent une impression d'écriture automatique et de linéarité. Ça a un intérêt comme ça a ses limites: parfois on est entraîné dans le mouvement (tes trouvailles comme "hummer-hélicos-rockets" font rebondir l'inflexion de la phrase), et d'autres fois on décroche à la virgule avec une impression d'essoufflement.
Au fait, "dénoter" signifie indiquer ou dévoiler. C'est vraiment ce que tu voulais dire?
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| | | Invité / Invité Dim 23 Sep 2012 - 21:49 | |
| C'est pas grave pour cette fois vu que vous étiez que deux, mais bon, c'est pas trop l'esprit d'origine des nuits quoi, je pense... Enfin, je ne veux pas parler au nom de ceux qui les ont lancées. C'est toujours intéressant de toute façon d'avoir un avis détaillé, je dis pas le contraire. Mais bon, sur le forum, y'a aucun texte "fini" nulle part, non plus... Un texte "fini" c'est un texte publié, édité pour moi... et un texte édité ça reste en général pas sur un forum sur le net... Sauf qu'un extrait, c'est forcément sorti de son contexte, parfois coupé abruptement, parfois ce sera jeté ( ben oui... un premier jet ça se jette aussi) Mais tant mieux si pour vous deux ce soir ça vous a permis d'échanger. C'est aussi le but, quelque part. Et je ne vais rien dire moi qui ai pas eu le courage de vous lire... |
| | Nombre de messages : 7093 Âge : 42 Pensée du jour : Zut Date d'inscription : 27/05/2012 | Manfred / Pouyoute (© Birdy) Dim 23 Sep 2012 - 21:59 | |
| L'avis détaillé, je trouve ça utile même pour les Nuits (quand on est pas nombreux, bien sûr). Mais c'est l'interventionnisme trop poussé (c'est une façon d'imposer son style, je trouve) et la surinterprétation que je déplorais. Sinon, pour le reste, c'est sympa d'avoir une lecture approfondie. |
| | | Invité / Invité Dim 23 Sep 2012 - 22:04 | |
| Oui, je pense aussi qu'il faut se garder de trop intervenir. Et c'est pas toujours évident de trouver la bonne distance justement dans des extraits qui ne correspondent pas forcement à ce qu'on aime lire d'ordinaire. C'est pour ça aussi que je préfère ne pas faire de relevé en général sur ce genre de texte. Ailleurs, sur le forum, on choisit donc y'a des affinités qui se jouent déjà dans le fait de commenter ou pas. ici, on est plus ou moins engagé à le faire, y compris pour des gens à des stades très différents, des écritures très variées. Ca devient un peu périlleux et parfois inutile... c'est tout. |
| | Nombre de messages : 7093 Âge : 42 Pensée du jour : Zut Date d'inscription : 27/05/2012 | Manfred / Pouyoute (© Birdy) Dim 23 Sep 2012 - 22:10 | |
| C'est juste. J'étais un peu embêtée les fois où, après une Nuit, j'ai dû commenté de la fantasy alors que ce n'est pas ce que je lis d'habitude. |
| | | Invité / Invité Dim 23 Sep 2012 - 23:12 | |
| Désolée si j'ai pu sembler indélicate et abrupte Je prends bonne note de "l'esprit Nuits-JE" Et merci pour ton commentaire Quia scorpio sum, il est dans la lignée d'autres commentaires sur mon écriture. Je fais des trucs controversés |
| | Nombre de messages : 7093 Âge : 42 Pensée du jour : Zut Date d'inscription : 27/05/2012 | Manfred / Pouyoute (© Birdy) Dim 23 Sep 2012 - 23:58 | |
| Non, non, pas indélicate, Écrivaine, t'inquiète. Disons que commenter, ça s'apprend. Avant je faisais un peu comme toi, sur un autre forum, avant qu'on ne m'en parle et que je me rende compte qu'effectivement il y a une frontière entre "là, j'ai tiqué sur ce passage, je trouve ça maladroit" et "voilà comment moi je ferais". Aucun souci. |
| | Nombre de messages : 5683 Âge : 41 Localisation : En confinement dans moi-même. Pensée du jour : La solitude est la patrie des forts. Date d'inscription : 23/04/2010 | Orcal / Déesse du foyer à la retraite Lun 24 Sep 2012 - 16:42 | |
| Il ne s'agit pas de remettre en cause ton commentaire, Ecrivaine. Au contraire, il est tout aussi valable qu'un autre - et même très intéressant, car comme Ilham l'a fait remarquer il s'agit de véritable bêta-lecture (relevé de tous les détails)! Merci du temps passé, car d'expérience je sais comme c'est long. Il s'agirait plus d'une manière de faire, catégorie "us et coutumes" Les Nuits JE ont été bâties sur le principe "on s'encourage, on poste un extrait et on se commente, tout cela dans un esprit décontracté". Si tu regardes les topics précédents, les commentaires sont assez courts et ne relèvent pas de la bêta, car l'ambiance ne s'y prête pas, les participants n'ont pas forcément le temps dans les jours qui suivent la Nuit, bref. Tout le monde a trouvé son compte dans cet équilibre. Les commentaires sont donc moins 'contraignants', pour permettre à un grand nombre de participants de poster et d'être commentés (je t'assure que ça commence à jouer quand on est une dizaine). Ce n'est pas du tout une critique sur la manière de commenter, mais plutôt une précision sur le fonctionnement des Nuits. Voilà voilà |
| | | Invité / Invité Lun 24 Sep 2012 - 18:37 | |
| Merci Orcal |
| | | | | | [Nuit 22 septembre] commentaires | |
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