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 Faire évanouir ces personnages :D

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Benji
   
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Benji  /  Gloire de son pair


Bonjour,
comment faites-vous pour faire évanouir vos personnages ?(Il y a un autre topic comment tuer ses personnages mais je ne sais pas si je devais m'incruster dedans donc je le mets là !)
Cela m'intéresse de savoir vos différentes façons, si vous ne voulez pas les garder secrètes ! Que ce soit du point de vue de l'héros ou de vous ?
Alors qui se jette à l'eau ? Basketball
 
Adler
   
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Adler  /  Tycho l'homoncule


j'ai pour habitude d'écrire à la première personne , ça me permet de me focaliser sur les sentiments et les impressions du personnage, et donc de pouvoir explorer toutes les facettes du héros...

en ce qui me concerne je rend son écriture de plus en plus délirante pendant deux ou trois ligne, ou il perds tout ses repères et ou ses sens deviennent trompeurs ( il vois moins bien, son audition se détériore , il entend des voix etc ça peut même aller jusqu'aux visions ) et le plus souvent je conclue par un truc du genre: "et je plonge dans un monde fais d'ombres et de fantômes"

voilà ^^
 
Benji
   
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Benji  /  Gloire de son pair


Le truc classique je pense mais c'est bien, c'est celle que j'utilise le plus souvent ! Smile Et des fois, je continue avec un petit cauchemar ! :mrgreen:
 
Adler
   
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Adler  /  Tycho l'homoncule


ah, toi aussi ? ^^ moi c'est plus des rêves prémonitoires...mais bon, ça c'est parce que mon perso est doté d'un pouvoir plus ou moins surnaturel...
 
Benji
   
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Benji  /  Gloire de son pair


Oui, dans un autre roman, il avait des visions aussi ! Very Happy
 
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Invité  /  Invité


Comment mes personnages s'évanouissent?

Ben, c'est simple: ils perdent conscience ^^


deux exemples tirés de mon roman en cours:


Citation :
Il s’arrêta pour franchir le gué en enjambant les rochers disposés à cet effet. Il allait reprendre sa course quand quelque chose le piqua violemment sous l’oreille. Il porta vivement la main à son cou, retirant une aiguille de bois creuse et pourvu de petites ailes soigneusement taillées. La pointe perlait d’un mélange de sang et d’un liquide visqueux. Il se sentit blêmir, son cœur marquant un bref arrêt. Il se mit aux aguets, se positionnant le dos contre un arbre, la main qui ne tenait pas la fléchette cherchant son automatique à tâtons. Mais c’était déjà trop tard. Sa vue se brouillait et ses jambes flanchaient. Il n’avait pas prévu l’éventualité d’un empoisonnement. Ses doigts de plus en plus engourdis lâchèrent la fléchette. Il ne réussit pas non plus à attraper son arme à feu. Il glissa le long du tronc de l’arbre, luttant de toutes ses forces contre l’évanouissement.
Deux silhouettes s’approchèrent de lui. Il ne les distinguait plus que vaguement, mais il cru reconnaître le chef des faux fermiers dans l’une d’elle.
- Vous voyez ! lança une voix qu’il ne connaissait pas. Je vous l’avais dit. Même le plus malin des soldats ne peut rien contre mes gros moustiques.
- Faites gaffe ! Il n’est pas encore inconscient.
- Il essaie de résister mais je vais l’aider à dormir.
La plus large des silhouettes se pencha vers lui et Cat ne put rien faire pour éviter le poing qui lui heurta la tempe avec force. Il sombra aussitôt.

Citation :

Cat se mit à courir aussi vite que lui permettait le sol inégal, suivi de près par son ami. Une nouvelle série d’impact les fit chanceler. Ils durent s’appuyer sur la paroi pour ne pas tomber. Un grondement assourdissant accompagné de violentes secousses emplie la montagne. Les deux hommes sentirent le sol se tordre sous leurs pieds. Pris de panique, Henrik essaya de fuir, tâchant de rejoindre le boyau qui menait à la sortie, pourtant très lointaine. Cat, au contraire, se cramponna aux anfractuosités de la pierre, se recroquevillant sur lui-même pour se protéger des gravats et de la poussière qui commençaient à tomber. Le fracas s’amplifia encore. La montagne semblait prise de convulsions. Matthias se sentit obligé de lâcher la lanterne pour s’accrocher à deux mains. La petite pluie de cailloux et de débris était maintenant une véritable tempête de pierre. Malgré le raffut, il entendit Henrik hurler de terreur et de douleur. Il lâcha son rocher désormais branlant et voulu rejoindre son ami. Un choc le déséquilibra. Une terrible souffrance envahi son épaule, se propageant dans tout le bras. Incapable de garder son équilibre, il chuta au milieu des éboulis.
Il y eu un grand éclair.
Puis le noir et le silence.

Voila. Pas de vision, de rêve. juste l’inconscience. En même temps, à part les fois où j'ai été opéré, je n'ai jamais perdu conscience de ma vie. donc, difficile de puiser dans mon expérience personnelle pour décrire un évanouissement.
 
Pomcassis
   
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Pomcassis  /  Tentatrice chauve


Parce que je me suis déjà évanouie plusieurs fois, je peux dire que c'est un état sans rêve, sans rien, complètement déconnecté du monde qui nous entoure, mais avec malgré tout une certaine conscience de ce "rien"... Comme si ton corps et ton cerveau t'imposaient une pause, et c'est un moment qui ne peut durer qu'une demi-seconde, mais qui peut paraître durer des heures, et c'est calme, très calme.

Quand on se sent "partir", ça va très très vite, pour ma part ça bourdonne dans mon cerveau, ça me fait toujours comme si j'avais envie de vomir, si si, (désolée pour les détails) et - boum, plus rien. Je précise que je suis déjà tombée, et que je n'ai absolument rien senti. J'imagine qu'on ressent la douleur de la chute uniquement après.

Ceci est ma petite expérience personnelle, après j'imagine que chacun ne vit pas l'évanouissement de la même façon, selon le contexte, les raisons etc.
 
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Pareil que Pomcassis, envie de vomir (glamour !), phosphènes puis voile noir devant les yeux, oreilles qui bourdonnent, sensation que mes jambes vont se dérober sous moi (et c'est souvent ce qui arrive), voire je ne les sens mêmes plus, impression d'avoir beaucoup trop chaud alors que ma peau est glacée, mal au coeur et difficultés à respirer... Parfois tout ça en même temps, parfois juste quelques uns de ces trucs.

Pour ce qui est de la narration, je prends souvent, dès le début de l'histoire, un "fil conducteur" ou arc narratif que je ne change pas (ex : prologue + épilogue à la 1ère personne et tout le reste à la 3ème personne du singulier, ou au contraire, tout à la 1ère etc...). Par contre, je m'arrête souvent au moment où le personnage perd connaissance, je ne décris pas ce qu'il ressent ensuite, j'embraye directement sur son réveil.
 
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Comme je disais, je ne me suis jamais évanoui, mais les malaises que vous décrivez je les connais. Et c'est dingue comment on peut se sentir mal à ce moment là.

Sinon pour en revenir à l'écriture, j'ai mis deux exemples de perte de conscience, mais plus haut dans mon roman, je décris des malaises qui ne débouchent pas sur de l'inconscience et ça se rapproche de ce que vous racontez. Et comme Ehweyn, après ces deux scènes de perte de conscience, j'embraye sur le réveil du perso.
J'ai aussi une autre scène où il sombre dans le délire suite à une poussée de fièvre, mais j'ai "triché", je décris la scène vu par les yeux d'un des témoins. J'ai trouvé ça plus intéressant et plus réaliste. De plus un délire dû à la fièvre, je trouve que c'est quelque chose d’extrêmement intime, où on est très vulnérable, on se livre trop. Et comme c'est au début de mon histoire, je n'ai pas voulu trop en montrer de mon perso à ce moment là. En plus, c'est quelqu'un de très pudique, je ne pouvais pas lui infliger ça...
 
QuillQueen
   
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QuillQueen  /  Wallonne OUvreuse de LIttérateurs POstiches


Pomcassis a écrit:
Parce que je me suis déjà évanouie plusieurs fois, je peux dire que c'est un état sans rêve, sans rien, complètement déconnecté du monde qui nous entoure, mais avec malgré tout une certaine conscience de ce "rien"... Comme si ton corps et ton cerveau t'imposaient une pause, et c'est un moment qui ne peut durer qu'une demi-seconde, mais qui peut paraître durer des heures, et c'est calme, très calme.
Quand on se sent "partir", ça va très très vite, pour ma part ça bourdonne dans mon cerveau, ça me fait toujours comme si j'avais envie de vomir, si si, (désolée pour les détails) et - boum, plus rien. Je précise que je suis déjà tombée, et que je n'ai absolument rien senti. J'imagine qu'on ressent la douleur de la chute uniquement après.


c'est drôle pompom, moi je me suis déjà évanouie d'une façon brutale, et j'ai fait un rêve d'une seconde. En m'étant pourtant évanouie durant 20minutes. Un vrai flash. Ca m'a marqué, je m'en suis souvenue en reprenant conscience. Mais pour moi, je venais à peine de tomber au sol, alors que mon compagnon m'a donné plusieurs coups sur la joue légers en m'appelant. Il me l'a raconté après.

En plus c'était dans une salle d'attente des urgences, j'ai vécu ça comme dans un film... la vue toute floue... "oh tiens, chui tombée que tout est en plongée, comme ça ?". Tu sens pas encore tes fesses au sol. Les visages en gros plan de l'infirmière et du copain inquiets. "ça va madame ?".

Et puis on te lève, mais tout est si flasque et ralenti dans le cerveau, tu piges pas trop ce qu'on te dit, ce qu'on te fait faire Laughing mal au crâne, très chaud...

Alors, je me suis évanouie en m'appuyant contre mon compagnon, car la salle étant pleine y avait aucun siège libre. Et là j'ai marmonné "fait chaud... fait lourd... som-" et bam, au sol. Même si moi, je suis persuadée de lui avoir dit "il fait chaud, il fait lourd, j'ai sommeil". j'avais une sale barre au front qui était devenue un serre-tête, le souffle chaud, et les jambes flageolantes. Je m'étais vraiment laissée à moitié tombée sur lui avant de chuter net au sol. Sans rien sentir.
 
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Citation :
Alors, je me suis évanouie en m'appuyant contre mon compagnon, car la salle étant pleine y avait aucun siège libre. Et là j'ai marmonné "fait chaud... fait lourd... som-" et bam, au sol. Même si moi, je suis persuadée de lui avoir dit "il fait chaud, il fait lourd, j'ai sommeil". j'avais une sale barre au front qui était devenue un serre-tête, le souffle chaud, et les jambes flageolantes. Je m'étais vraiment laissée à moitié tombée sur lui avant de chuter net au sol. Sans rien sentir.

Ma mère est tombée dans les pommes il y a pas longtemps, ça s'est passé tout comme qu'est-ce que tu viens de raconter !

Sinon, ma cousine a perdu connaissance une fois, et elle a eut des convulsions. Mais apparemment, pendant son "sommeil", elle avait l'impression de tourner autour d'un point lumineux, au milieu du néant.

Citation :
Je vous trouve tous sympas quoique certains un peu bizarres voir fous ! Hein, Ehweyn
Benji, petit plaisantin, va !
 
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Invité  /  Invité


Tombée dans les pommes à 14 ans après une première prise de sang très laborieuse (piquée cinq ou six fois, très mal). Grande faiblesse, fleurs noirs devant les yeux, t'entends les gens te parler et t'essaie de répondre, pi paf, extinction des lumières. Me suis réveillée comme si je venais de faire un gros somme , un peu surprise...
Deuxième évanouissement, un soir, au lit. Grosse douleur abdominale. Là, je ne me suis pas senti partir du tout. Me suis réveillée, un peu paumée.
sinon, j'écris en ce moment plutot à la 1ere personne au présent. Donc sur l'instant, ben le personnage parle tant qu'il est conscient, qu'il se sent partir ( si c'est le cas) et puis coupure nette. ( et je me rends compte qu'il tombe souvent dans les pommes quand même ! )

Un exemple, dans un flash-back ( l'évanouissement est précédé d'une hallucination)

Citation :

Karim m’avait suivi.
Il avait trouvé, je ne sais où, de quoi allumer sa cigarette. La fumée ressortait en un mince jet de vapeur par ce trou, tout en haut de son abdomen, d’où s’échappait cette longue et dégoutante guirlande de saucisses brunes.
J’ai encore hurlé.
Mon crâne a cogné contre quelque chose de dur.
Et je me suis évanoui.

Un autre où le récit s'arrête juste avant.
Citation :
Crise cardiaque. Je suis en train de faire une crise cardiaque. Je n’ai le temps de penser qu’à cela avant que les lucioles ne disparaissent devant mes yeux aveugles.
J’ai peur du noir.
« Maman !!! »

Citation :
Le liquide remonte vers mes bronches. Je l’inhale, tousse, crache et je crois que je commence à convulser. Pas certain. Normalement, on perd connaissance avant, mais ça arrive. Très vite. Juste le temps d’entendre un : « Merde ! Tu veux le tuer ? » paniqué. Et de fermer les yeux avec ce mot, ce nom que je n’arrive pas à articuler.
Mahmoud.
 
Anatole Deibler
   
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Anatole Deibler  /  Tapage au bout de la nuit


Après s'être évanoui, durant les quelques secondes où on immerge, on se sent royalement bien.

Le même sentiment que lorsqu'on sort d'une anesthésie : "Je suis bien, laissez-moi dans cet état pour toujours, ne me faites pas la cruauté de me faire revenir s'il vous plait doc' !".

Mais bien vite le corps repend le dessus, et la fête commence.
 
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Invité  /  Invité


Citation :
Le même sentiment que lorsqu'on sort d'une anesthésie : "Je suis bien, laissez-moi dans cet état pour toujours, ne me faites pas la cruauté de me faire revenir s'il vous plait doc' !".
Ah ? J'ai détesté les deux fois où j'ai émergé après l'anesthésie. Vraiment. Complètement désorienté, douleurs dues à l'opération, assoiffé comme je ne l'avais jamais été. Pour moi, ce ne fut pas une partie de plaisir que d'en sortir (mais d'un côté, c'est peut-être le contrecoup des opérations dont la dernière était assez lourde).
 
FrenchKamit
   
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FrenchKamit  /  Bile au trésor


Revan a écrit:
Citation :
Le même sentiment que lorsqu'on sort d'une anesthésie : "Je suis bien, laissez-moi dans cet état pour toujours, ne me faites pas la cruauté de me faire revenir s'il vous plait doc' !".
Ah ? J'ai détesté les deux fois où j'ai émergé après l'anesthésie. Vraiment. Complètement désorienté, douleurs dues à l'opération, assoiffé comme je ne l'avais jamais été. Pour moi, ce ne fut pas une partie de plaisir que d'en sortir (mais d'un côté, c'est peut-être le contrecoup des opérations dont la dernière était assez lourde).


Ce fut désagréable pour moi aussi, personnellement j'en suis sorti avec un affreux mal au crâne (j'avais été opéré du crane).Et sa s'aggravait lorsque j'essayais de regarder la télévision de la chambre d'hôpital... Crying or Very sad Crying or Very sad
 
   
    
                         
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