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 Donner un "super" pouvoir à son héro: Pour ou contre ?

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SuperIgor
   
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SuperIgor  /  Autostoppeur galactique


Firenze a écrit:
-Le héros entre dans le donjon, lance un énorme éclair qui tue dragon sur le coup puis jette la princesse sur son épaule et s'en va en sifflotant.

la troisième est surement la pire de toute.

Dépendant de comment c'est écrit, ce peut être très drôle, je pense au Disque Monde par exemple.

Par exemple :

SuperIgor a écrit:
-Le héros entre dans le donjon, lance un énorme éclair qui tue dragon sur le coup puis jette la princesse sur son épaule et s'en va en sifflotant.

Il la balance sur le dos d'un sanglier de trait, et la vend au marché des princesses contre 3 Guerriers du Chaos et une épée vorpale qui coûta la tête, et les yeux au vendeur...

Mais là n'est pas la question de Hexo. Wink

J'aime bien la définition d'Un Penseur, mais ne serait-ce pas un pouvoir de l'auteur dans ce cas ?
 
Penpen
   
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Penpen  /  Blanchisseur de campagnes


SuperIgor a écrit:
J'aime bien la définition d'Un Penseur, mais ne serait-ce pas un pouvoir de l'auteur dans ce cas ?

Libre à toi de te prendre pour un super-héros Very Happy
 
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Invité  /  Invité


CONTRE!!!!! :mrgreen:
Il ne faut pas mettre jamais mettre son HERO dans une position de si grande "puissance", ça rends l'ouvrage ''trop'' facile, le lecteur ne peut d’ailleurs jamais si identifier puisqu'il est "surnaturel".
Le mieux, pour moi, c'est de mettre son HERO dans une position confortable (où la chance lui sourit, où il fait de chouette rencontre,...) plutôt qu'une position dans laquelle c'est lui qui dirige le récit. Le HERO à la base est un personnage, petit, craintif, méfiant, naïf,...
Bon, vous l'aurez compris, imaginer des HERO simple et le plus vivant possible!!!!! Smile
 
Hexo
   
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Hexo  /  Tycho l'homoncule


Nera a écrit:
CONTRE!!!!! :mrgreen:
Il ne faut pas mettre jamais mettre son HERO dans une position de si grande "puissance", ça rends l'ouvrage ''trop'' facile, le lecteur ne peut d’ailleurs jamais si identifier puisqu'il est "surnaturel".
Le mieux, pour moi, c'est de mettre son HERO dans une position confortable (où la chance lui sourit, où il fait de chouette rencontre,...) plutôt qu'une position dans laquelle c'est lui qui dirige le récit. Le HERO à la base est un personnage, petit, craintif, méfiant, naïf,...
Bon, vous l'aurez compris, imaginer des HERO simple et le plus vivant possible!!!!! Smile

Mais et si ce n'était plus lui qui dirigeait réeellement les choses ? Et si il se mettait à aimer le "pouvoir" (pas le moyen mais la puissance et la crainte générée). Et si ceux qui l'aimaient essayaient de le guérir ? Voir même et si lui arrivait à se dominer ?

Non je suis contre un pouvoir trop illimité ou démesuré. Mais abandonner le héro qui se reveille dans un bain de sang avec des flashs de ce qui s'est passé, qui se demande si le prix à payer n'est pas trop important comparer au résultats, là je dis banco ...


Pour reprendre l'exemple cité plus haut:


Citation :

-Le héros entre dans le donjon, lance un énorme éclair qui tue dragon sur le coup. Il se sent fort, il est puissant, il a tuer le dragon. Ivre de pouvoir, Il entend un bruit , se retourne et grille par reflexe le nouvel arrivant. il se rend compte que c'est sa princesse qui git par terre baignée dans son propre sang. Il sort en pleurant, la princesse jetée sur son épaule comme un sac.


OUep, ça me plait plus. Une bonne contrepartie. Pas à chaque fois, mais quand il se sent en confiance, c'est le retour de baton. D'une certaine manière, dans un monde de magie, qu'est ce qui est un super pouvoir et qu'est ce qui ne l'est pas ?
 
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Invité  /  Invité


... (septique)
Hexo à écrit;
Citation :
qu'est ce qui est un super pouvoir et qu'est ce qui ne l'est pas ?

Oui difficile à définir. Il faut voir dans le contexte de l'ouvrage. Si le HERO vit dans un monde où pouvoirs sont, alors il aura forcément des pouvoirs. Mais il faut lui mettre des limites dès le départ sinon on peut parler d'un SUPER HERO, ce qui je trouve est trop. Wink Car le livre n'a plus de limite...

Mais après on écrit pour nous donc c'est dans notre droit de le faire comme on le veut du moment que cela colle au contexte (à l'histoire)

 
Go'
   
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Go'  /  Fou de la reine


Je pense que tu prends le problème complètement à l'envers.
Si c'est ton personnage principal, ne devrais-tu pas avoir réglé le problème de ses caractéristiques physiques ou mentales, de son passé, de son vécu, de sa vie... avant même de te pencher sur l'histoire ?
Je veux dire, et si tu envisageais le problème dans l'autre sens ?
Et si tu te disais "je veux un personnage comme ça et il vivra tel genre de péripéties" ce sera bien plus simple pour toi. Après, ce sera à toi de gérer et d'écrire.
Mais là, tu pars d'une liste de péripétie et tu te dis quel personnage tu pourrais mettre au milieu de tout ça.
Bien sûr, c'est une façon d'envisager le roman complètement différente. Mais essaie (pour voir) d'envisager le roman en fonction du personnage plutôt que l'inverse, et tu verras si ce n'est pas plus adapté.
 
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Hexo a écrit:

Pour reprendre l'exemple cité plus haut:

Citation :

-Le héros entre dans le donjon, lance un énorme éclair qui tue dragon sur le coup. Il se sent fort, il est puissant, il a tuer le dragon. Ivre de pouvoir, Il entend un bruit , se retourne et grille par reflexe le nouvel arrivant. il se rend compte que c'est sa princesse qui git par terre baignée dans son propre sang. Il sort en pleurant, la princesse jetée sur son épaule comme un sac.


Belle trouvaille. Le truc c'est de relancer une quête pour redonner un but au héros.
 
SuperIgor
   
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SuperIgor  /  Autostoppeur galactique


Bonjour,

Go' a écrit:
Je pense que tu prends le problème complètement à l'envers.
Si c'est ton personnage principal, ne devrais-tu pas avoir réglé le problème de ses caractéristiques physiques ou mentales, de son passé, de son vécu, de sa vie... avant même de te pencher sur l'histoire ?

Je ne suis pas d'accord, je pense que l'auteur écrit comme il le veut.

Soit il fait un travail rationnel, et il pose tout avant. Soit il peut partir d'une inspiration : une mélodie, un film, un événement... Et il décide de broder autour, c'est mon cas.

J'ai mélangé de nombreuses expériences et j'essaye de les faire coller. Parfois, au contraire, je ne travaille pas sur le roman mais sur l'univers et les personnages, la datation. Je peux produire de très nombreux détails qui ne seront jamais mentionnés dans le roman. J'en écris autant, si ce n'est plus, que du roman.

Pour Hexo, sa question était de connaître nos impressions sur la relation : lecteur, héro, pouvoirs, limites.
Et sans doute un peu, se conforter que ce serait bien l'éclate de faire une double personnalité avec un démon... Wink Twisted Evil

Beaucoup de réponses vont en ce sens. Pour la relation avec le lecteur, il faut la voir en fonction des souhaits de l'auteur :

  1. Je veux plaire au lecteur, et faire un roman qui va se publier et qu'on lira.
  2. J'écris pour moi, je veux des conseils car j'ai un doute.


Dernière édition par SuperIgor le Jeu 3 Mai 2012 - 8:49, édité 1 fois (Raison : orthographe)
 
bozdodor
   
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   Pensée du jour  :  Merci à Irkan pour mon joli logo :)
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bozdodor  /  Bile au trésor


Hexo a écrit:

Mais abandonner le héro qui se reveille dans un bain de sang avec des flashs de ce qui s'est passé, qui se demande si le prix à payer n'est pas trop important comparer au résultats, là je dis banco ...


Je suis d'accord, sous cet angle tu peux faire un truc vachement intéressant.
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Go'
   
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Go'  /  Fou de la reine


SuperIgor a écrit:
Bonjour,

Go' a écrit:
Je pense que tu prends le problème complètement à l'envers.
Si c'est ton personnage principal, ne devrais-tu pas avoir réglé le problème de ses caractéristiques physiques ou mentales, de son passé, de son vécu, de sa vie... avant même de te pencher sur l'histoire ?

Je ne suis pas d'accord, je pense que l'auteur écrit comme il le veut.

Soit il fait un travail rationnel, et il pose tout avant. Soit il peut partir d'une inspiration : une mélodie, un film, un événement... Et il décide de broder autour, c'est mon cas.

J'ai mélangé de nombreuses expériences et j'essaye de les faire coller. Parfois, au contraire, je ne travaille pas sur le roman mais sur l'univers et les personnages, la datation. Je peux produire de très nombreux détails qui ne seront jamais mentionnés dans le roman. J'en écris autant, si ce n'est plus, que du roman.

Pour Hexo, sa question était de connaître nos impressions sur la relation : lecteur, héro, pouvoirs, limites.
Et sans doute un peu, se conforter que ce serait bien l'éclate de faire une double personnalité avec un démon... Wink Twisted Evil

Beaucoup de réponses vont en ce sens. Pour la relation avec le lecteur, il faut la voir en fonction des souhaits de l'auteur :

  1. Je veux plaire au lecteur, et faire un roman qui va se publier et qu'on lira.
  2. J'écris pour moi, je veux des conseils car j'ai un doute.

Oui mais non. Je respecte ton avis même s'il n'a aucune importance pour moi parce que je n'attends que la réponse d'Hexo.
 
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Invité  /  Invité


Et si les super pouvoirs pouvaient être issus de super défauts ?

J'ai un anti-héros devenu invicible grâce à une obésité, un je-m'en-foutisme et une paresse hors-norme.

Jean-Mi est invicible car le gras qui entoure ses organes vitaux l'empêche d'être blessé mortellement même face à un ennemi puissant. Ne s'inquiétant de rien - sauf quand il risque de ne plus pouvoir s'enivrer - il évite stress et fautes tactiques durant le combat. Paresseux au possible, il attaque rarement et épuise tous ses adversaires.

(Sinon "hero" c'est de l'anglais)
 
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Citation :
Soit il fait un travail rationnel, et il pose tout avant. Soit il peut partir d'une inspiration : une mélodie, un film, un événement... Et il décide de broder autour, c'est mon cas.

''Poser tout avant'' n'oblige pas au rationnel. Au contraire, il permet de cultiver les paradoxes du personnages. De créer un clivage entre les résolutions liés au passé et la situation présente, et tout un tas de cas qui manqueront de tension dramatique si ils ne sont pas (correctement) préparer à l'avance.

Et, dans tous les deux cas, l'écrivain part d'une inspiration ^^
 
Banway
   
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Banway  /  Homme invisible


Je "plussoie" qu'il n'y a pas de "bonne méthode". Il y a une méthode adaptée à chacun, et parfois même conjuguée avec le moment, l'âge, la maturité, ou le "feeling" du moment...

Je ne suis pas spécialement du même avis que Nera : même s'il est plus "dangereux" d'écrire un personnage doté de trop de pouvoir en raison du risque de griller toute tentative de le mettre en défaut = perte d’intérêt envers le personnage en question.

On peut donner à son "héros" des pouvoirs incommensurable. Mais cela devient alors un petit défi amusant à relever : garder une intrigue intéressante malgré des pouvoirs ahurissant. Le danger ne viendrait plus de la force physique ou magique... cela reviendrait à en faire la trame du "quotidien" du personnage. Bref, il y a toujours des choses à creuser.
Certaine sont simplement plus aisée à traiter que d'autre.

ps: perso mon (z)héros se transforme en dragon pour égaler la puissance de son ennemi, le zigouille et prend sa place en tant que gardien de la belle : c'est la sienne, le chateau idem, et pas touche au magot... et oublie au passage de redevenir humain...aaaah la puissance infinie aaaaaaAAAAAAAhh..... oups pardon...
 
FrenchKamit
   
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FrenchKamit  /  Bile au trésor


Donner à son protagoniste un talent surnaturel n'est pas rédhibitoire si le pouvoir est original,et s'il est judicieusement exploité.

En ce moment je prépare une héxalogie rétro-futuriste ou mes protagonistes possèdent eux-aussi des "super-pouvoirs". En attachant un pouvoir à un personnage j'essaye toujours de faire en sorte qu'il soit atypique,peu ou pas exploité auparavant,car je sais que mon lecteur potentiel a été bercé depuis l'enfance d'histoires de héros aux pouvoirs magiques hyper-cools mais vus et revus,genre maîtriser le feu,l'air,devenir invisible,pouvoir voler,atteindre la vitesse supersonique,etc,etc

L'originalité est la clé en ce qui concerne les super-pouvoirs,à mon avis,donc pour ton roman je dirais que c'est l'idée de la possession partielle d'un être démoniaque me plait le plus. De plus tu peux créer une relation complexe et assez interessante entre ton héros et son subalterne démoniaque,amour-haine,peur-fascination,camaraderie teintée de disputes,incompréhension mutuelle,etc...
 
EternelleDamnation
   
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EternelleDamnation  /  Barge de Radetzky


Je pense que les héros ont toujours une capacité particulière qui les différencie des autres même ce n'est pas forcément un pouvoir donc, je suis pour donner un pouvoir à un héros.
J'apprécie tout particulièrement le premier que je trouve plûtot original, la maîtrise des éléments c'est utile mais, c'est vu et revu. La possession par un démon c'est plus intéressant surtout si le héros ne contrôle pas bien ce pouvoir et ne sait pas à l'utilisé. Ca peut être intéressant pour créer du suspens : genre le héros est pris dans une affreuse situation, il semble désespéré, il n'arrive pas à contrôler le démon, il va mourir mais à la dernière minute, le démon croyant qu'il allait perdre ce fabuleux corps prend le contrôle et le sauve. Mais, après, difficulté pour le héros de revenir à la normal, le démon a pris possession de son corps, il l'envahi.
Enfin, on peut imaginer pleins de scénario avec ce genre de "pouvoir" qui s'apparent plus à coup du sort qu'à un véritable pouvoir.
J'aime bien.
 
   
    
                         
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