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| [½ Nuit 10 Fév.] Commentaires | |
| | Nombre de messages : 5683 Âge : 42 Localisation : En confinement dans moi-même. Pensée du jour : La solitude est la patrie des forts. Date d'inscription : 23/04/2010 | Orcal / Déesse du foyer à la retraite Ven 10 Fév 2012 - 19:25 | |
| Postez ici vos commentaires sur les extraits des textes écrits pendant cette demi-nuit du 10 février, et répondez aux commentaires reçus sur les vôtres ! |
| | | Invité / Invité Sam 11 Fév 2012 - 0:03 | |
| Autanr s'y mettre de suite, maintenant que je suis à peu près en forme ! Plume : d'un point de vue purement formel, y'a rien à dire. Par contre la première moitié de ton texte m'a un peu gênée. Sur deux paragraphes grosso modo,c 'est une succession d'actions qui se se bousculent sans lien les unes avec les autres. J'ai du mal à dire ce qui manque, mais ce qui me vient à l'esprit c'est du "liant". t'as le squelette de ta scène ( là on la visualise bien, c'est un bon point déja) mais pas la chair. Le dernier paragraphe de narration n'a pas ce souci, tu as introduit un peu de description, ça aide... même si je note une répétition du pronom "il" pas très heureuse... rhha pas simple ces fichues scènes ! skaar : ce qui est appréciable dans ton extrait,c 'est la volonté de rendre les choses très visuelles. Mais ton texte gagnerait un cran en qualité si tu évitais l'emploi de verbes ternes comme l’auxiliaire être, faire, sembler. Il y en a pas mal qui appauvrissent le tout. et je pense aussi que tu pourrais aller plus loin dans la description, genre Jules vernes si t'as pas lu apparemment, t'as une diée bien nette en tete de tes scènes donc je pense qu'avec un peu de travail, tu y arriverais facilement. Revan : quelques petits soucis sur ton premier extrait : "mais réussit à se faire mouvoir" pas très heureuse cette accumulation de verbe ! Et je ne trouves la précision très utile voir même contradictoire avec ce que tu décris ensuite, la difficulté à la faire bouger. Bon non, il arrive à la bouger, mais ce qui est important,c 'est la difficulté je pense, pas le mouvement. Ensuite quand tu emploies le pronom "ils" plus loin, on hésite sur qui tu parles : les intrus ou liam et la fille.Par contre, niveau rythme, visualisation, ça marche très bien. J'ai moins aimé le deuxieme extrait : répétition du prénom liam. Et des images pas très réussies sur les torches qui approchent. Et les aboiements qui assaillent, mouais... Pas mal du tout le 3eme par contre : quelques détails : hum, la jugulaire, ça fait très vocabulaire de chirurgien oud e boucher, pas trop à sa place dans une scène qui se veut sensuelle ( pour la coup, ça la casse la sensualité ! ) Avis très perso, mais la peau d'albatre pour moi c'est un horrible cliché stylistique. Répétition embetante d'ascendante. Mais sinon, à part ces trois détails, j'aime bien. |
| | | Invité / Invité Sam 11 Fév 2012 - 11:57 | |
| plume_du_reve > Le début est pas mal. Par contre, un truc me gêne dans la suite, une fois que l'assassin est mort. Comment se fait-il que le cercle de gardes du corps n'évacuent pas la reine en vitesse ? Déjà des l'Antiquité, les prétoriens auraient évacué l'empereur romain en faisant barrage de leur corps et de leurs armes. Or, ici, j'ai l'impression que la reine est seule ... Pour moi, c'est une grosse incohérence. D'ailleurs, ils ont des armes à feu, peut-être même assez performantes (vu qu'il parle au micro, c'est très moderne et donc l'armement suit). Pourquoi tenter d'avoir un dirigeant avec un couteau ? C'est absolument pas logique. Les gardes du corps empêcheraient aisément l'attaque. Bref, la forme, c'est pas trop mal. Le fond, je suis très mitigé.
ilham > Le langage familier, très familier m'a rebutté. Les "couilles", "petite bite", "ce mec". Attention à ce que ce langage oral, efficace, ne se transforme pas trop. Pour les dialogues, ça passe. Mais pas besoin d'en rajouter avec la narration. Sinon, c'est fluide et toujours efficace, même agréable à lire ; bref j'aime bien. Il faudrait juste alléger sur les insultes et mots "durs". Voilà.
Skaar > Beaucoup de verbes faibles, beaucoup trop. Tu gagnerais en fluidité et en précision avec des reformulations de nombreuses phrases. Essaie de les éviter, penses-les autrement avant de les coucher sur l'écran. Ça devrait donner un résultat plus qu'appréciable. Sinon dans l'ensemble, le passage est très visuel ; et le roman m'a l'air vraiment intéressant. Continue comme ça.
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| | | Invité / Invité Sam 11 Fév 2012 - 12:22 | |
| Merci. je verrais à la relecture si ca choque tant que ça, car en même temps, il n'a pas du tout l'état d'esprit pour dire poliment pénis ou testicules... Edit : surtout qu'en vérifiant, à part les deux "ce mec" (où ça peut se discuter, oui. Surtout sur le premier.), ce n'est pas utilisé dans la narration, où ce sont des mots plus neutres qui sont employés, mais dans les dialogues. Donc non, je n'y toucherai pas. Dans un dialogue, les insultes, ça a toute sa place,je pense. Surtout dans une telle scène. J'vais pas les modifier par pudibonderie. on dit merde, pas mercredi quand on jure Enfin, c'est mon point d evue, mais dans un tel contexte, je ne vois vraiment pas l’enquêteur dire testicules ou micropénis. |
| | | Invité / Invité Sam 11 Fév 2012 - 14:51 | |
| Très bien, c'est ton choix ^^ Ma Orcal > La scène précédente ne devait pas du tout être évidente à écrire. Celle-ci est poignante et très réaliste. Naöreen (Elle a utilisé son Rhë pour changer de forme si je ne me trompe pas ?), malgré la souffrance partagée de Dolrei, se débarrasse de ces violeurs avec une redoutable efficacité. Une mort trop rapide pour eux, mais l'action est bien menée. Comme d'habitude, on plonge dans ton extrait et on le lit jusqu'au bout, avec une petite déception quand on arrive à la fin. Comme d'habitude, un style élégant et agréable à lire. Pas grand chose à en redire après cette première lecture ; on verra ça à la bêta-lecture |
| | Nombre de messages : 5683 Âge : 42 Localisation : En confinement dans moi-même. Pensée du jour : La solitude est la patrie des forts. Date d'inscription : 23/04/2010 | Orcal / Déesse du foyer à la retraite Sam 11 Fév 2012 - 16:00 | |
| Merciii mon Revan! Par contre non, elle n'a pas changé (pas encore?... ) d'apparence. Elle est encore dans les mêmes loques qu'elle portait lorsqu'elle a quitté l'auberge en catimini. En revanche, son comportement commence à vraiment basculer. PlumeDes tournures à modifier car elles sont vraiment bizarres ou un peu lourdes, comme "En arrivant le long du mur blanc de l’espace," ou "entre les doigts du mystérieux grand homme". Sinon, plutôt pas mal la scène d'action! En revanche, pourquoi la reine n'est-elle pas évacuée d'urgence? C'est la base de tous les 'services de sécurité', de mettre d'abord à l'abri le n°1, tant que la menace n'a pas été circonscrite ni éliminée. (Tiens, mon Revan a eu la même idée je vois.) ilhamPas mal, les scènes sont très réalistes comme toujours. J'ai juste buté sur le "mes couilles" tout de même, intégré à la narration. Je trouve qu'il dénote. SkaarBelle scène! Mais encore une fois, le langage et les techniques de description sont un peu pauvres. Par exemple, "La mer était déchaînée (...) le vent s’était amplifié et les vagues faisaient des creux (...) la pluie tombait"... C'est exactement ce qui se passe, mais tu l'écris trop comme tu le dirais. Essaie d'insérer les descriptions de météo et d'éléments déchaînés dans la narration (le regard du personnage qui fait autre chose pendant ce temps, une info météo au milieu d'une action...), plutôt que de lister l'état du tableau aussi scolairement. Et attention à 'voir, sembler', aux participes présents et aux comparaisons en 'comme' qui ne sont pas à proscrire, mais souffrent d'être accumulés. Revan1/ Beaucoup de il+verbe, l'action perd un peu de son charme dans cette énumération. - Citation :
- La porte subit alors leurs assauts. Des coups de boutoir furent donnés à cette vieille porte. Il craignait que la porte, trop vieille, ne cède ; mais cette dernière tint le choc, malgré les coups répétés.
Ce passage contient trop de répétitions, tant des mots que des idées. Et la tournure passive est vraiment bizarre ici. 2/ - Citation :
- Des aboiements percèrent le voile nocturne et assaillirent Liam comme de multiples épines sur une plaie à peine refermée.
L'image est un peu lyrique ^^ - Citation :
- Les faisceaux des lampes farfouillèrent le long de la haie puis s’immobilisèrent. Jusqu’à ce qu’elles s’estompent l’une après l’autre.
La scission des deux phrases n'est pas heureuse... 3/ - Citation :
- Il sentait les larmes couler le long de sa jugulaire,
En plus du "il sentait", la larme qui coule long de la jugulaire ça fait très... chirurgical. Donc très peu romantique Et attention aux répétitions: - Citation :
- ses mains étreindre son dos. D’une main maladroite, il caressa ses cheveux pour l’apaiser et se surprit à apprécier le contact de ses doigts sur la chevelure, puis sur son oreille et enfin sur sa joue. À mesure que sa main se rapprochait
- Citation :
- La jeune femme gardait des traits de son ascendance japonaise, mêlés à ceux d’une ascendance européenne
Encore un ptit "il sentit" avant la fin de l'extrait, huhu. Et sinon, je trouve que tu dis trop simplement ce qui rend le métissage de Naomi attirant. Oui, il l'est, pour Liam, mais pourquoi? Quelle particularité? Un petit détail?... Et pour la peau d'albâtre, je suis d'accord, ils l'ont déjà trop usé. On ne peut plus rien en faire Dans l'ensemble, j'ai préféré le 3e extrait, pas parce qu'il est plus sentimental hein! Mais parce que je le trouve mieux écrit. |
| | | Invité / Invité Sam 11 Fév 2012 - 16:14 | |
| rhaa, Orcal ( que d'histoires pour une paire de "c..." je commence à me dire que ça fait bizarre de mettre ce terme à toutes les sauces ici ! :fou:) non non, y'a pas ce mot dans la narration, juste dans le dialogue Par contre "ce mec", ouais, y'en a au moins un qui va jarreter... rien que pour éviter la répétition. Je sais que c'est très personnel, la tolérance à ce type de vocabulaire. Je peux avoir du mal sur certains textes qui en sont parfois bourrés. Mais dans un dialogue; ça ne me dérange pas. Je pense aux romans de stephen King ( où c'est assez présent, même dans la narration) En fait, si j'avais une interrogation sur cette scène c'était plutot sur les termes plus neutres employés dans le texte . |
| | | Invité / Invité Sam 11 Fév 2012 - 16:46 | |
| Orcal : peut-être parce que je en suis pas bien concentrée cet aprem, mais j'ai eu un peu de mal à rentrer dans ton texte. c'est une xtrait aussi, difficile de démarrer au milieu d'une action... Sinon, il y a pas mal de répétitions qui m'ont gênée dans ton extrait : "les deux autres" "que/qui" et "et"... je les ai relevés, tous ne sont pas superflus bien sur, mais ensemble ils me semblent trop nombreux. - Spoiler:
Les deux autres Frondeurs s’étaient avachis sur le côté, le membre flasque et le corps détendu. Le regard éperdu et rageur de Dorlei croisa l’un d’eux ; étendu au pied du mur de toile, l’homme au profil d’aigle souriait d’un air appréciateur et hochait la tête à la cadence des reins de son chef. Une lame jaillit de la toile de tente, creva la nuque du brigand et se retira aussitôt. Il mourut sur le coup et en silence, les yeux grands ouverts plongés dans ceux de la suivante. Une mince tache pourpre fleurit à l’endroit où le fil d’acier avait léché la toile. Aucun des deux autres n’avait vu la scène.
Et alors qu’elle s’attendait à ressentir un brasier de fureur, un gel mortel s’était répandu dans ses veines. Froid, lisse, redoutable. Elle s’était retournée et avait frappé l’homme le plus proche. Il se trouvait juste derrière le ciré, à un bras à peine de distance. Son Rhë lui révéla que les deux autres ne s’étaient aperçus de rien. Elle ne pouvait tuer les deux autres de la même manière sans se faire remarquer ; il lui faudrait passer sur le côté du pavillon de fortune, et même si l’obscurité régnait encore, les hommes qui patientaient devant l’entrée pourraient la remarquer. Et à chaque seconde augmentait le risque que le Frondeur assassiné soit découvert par ses comparses. Et Dorlei. Ma petite Lei. Pas une seconde de plus elle ne doit vivre cela. Näoreen s’aplatit au sol, souleva carrément la toile et en un clin d’œil roula à l’intérieur. Elle buta contre le mort et se releva d’un bond. L’homme à genoux qui violait toujours Dorlei avait les yeux fermés et gémissait de plus en plus fort, imperméable à tout ce qui pouvait se passer autour de lui. Un geste fluide lui trancha la gorge. Il ouvrit grand les yeux et la bouche, en un cri muet, et porta les mains à son cou. Näoreen empoigna ses cheveux immondes et approcha son visage tout près du sien. Un millier d’imprécations terribles se bousculaient sur sa langue ; finalement, tandis que l’homme s’étouffait dans son propre sang, elle retroussa les lèvres, avança les crocs et cracha, comme seuls les félins savaient le faire. Voilà ma pire injure. Aucun mot, aucune langue des hommes ne saurait transcrire ce que je ressens. — Eh ! L’autre Frondeur, à moitié nu, émergeait de la somnolence dans laquelle le coït et l’alcool l’avaient plongé. Il n’eut pas le loisir d’appeler des renforts ; Näoreen lâcha le moribond qui s’écroula en gargouillant et abattit son arme sur le dernier Frondeur, avec une telle violence que sa tête se détacha à moitié des épaules.
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| | Nombre de messages : 5683 Âge : 42 Localisation : En confinement dans moi-même. Pensée du jour : La solitude est la patrie des forts. Date d'inscription : 23/04/2010 | Orcal / Déesse du foyer à la retraite Dim 12 Fév 2012 - 11:54 | |
| Ah ouais quand même! Merci, je vais supprimer tout ça ^^ |
| | | Invité / Invité Dim 12 Fév 2012 - 15:37 | |
| Encre > Pas mal dans l'ensemble. Ça se laisse lire ; pour un premier jet, c'est pas mal. Même si c'est en première lecture, j'ai accroché aux verbes faibles "être", "sentir", ... L'idée de comparer la poursuite à une partie d'échecs est intéressante ; par contre, la narration est parfois confuse. Je me suis perdue plusieurs fois. Et les "Marges" avec majuscule |
| | Nombre de messages : 6087 Âge : 35 Localisation : Liège Pensée du jour : La "recherche d'équilibre" sur JE est interrompue, ça manque de mécènes en temps de crise. Date d'inscription : 11/01/2010 | QuillQueen / Wallonne OUvreuse de LIttérateurs POstiches Dim 12 Fév 2012 - 17:57 | |
| ilham bighit arwen : "Sourire Colgate" est venu TE donner un coup de main => faute de frappe ou ton héroïne parle à quelqu'un ? (oups ! C'est un héros ! Pourquoi tes phrases m'ont fait croire à une femme ? Je ne sais pas.. peut-être induite en erreur par le prénom "Salim", que je n'ai jamais croisé :s) J'ai du mal à comprendre quand il répond vraiment à l'homme, et quand il pense. Pas de distinction net entre ses paroles pour lui-même, et pour le tortionnaire. Est-ce voulu ? Sinon, je trouve que la précision qu'il est nu devrait arriver avant. Psychologiquement, ça devrait le perturber, et donc venir plus vite dans ses pensées, tu ne crois pas ? J'ai aimé le début, moins la fin, à mon avis le rythme des phrases courtes ne m'a pas gardée accrochée au récit comme la scène de la première claque. Ceci dit, tu as coupé ton extrait comme une vraie chute, ça m'a limite fait rire à l'image d'un cartoon absurde. (encore une claque pour la route ?) je te précise que c'est une remarque positive. qui tutoie-t-il ? C'est une scène qui suit l'autre ? (ben oui, sans contexte, le démarrage ici est hard ) "les phalanges mis à mal par les menottes" ? Ne serait-ce pas aux poignets, que les menottes font mal ? Ca m'a semblé bizarre. "comme il le ferait d'un ami" ? => "à un ami ?" Sinon, cet extrait me plaît moins, car niveau psycho je sens comme un vide. Il considère que les rôles ont été échangé, il cherche son pote absent... et ça semble ne rien lui faire. Une flegme qui fait un peu tache dans ce décor de violence et d'humiliation qui devrait rendre ton héros plus nerveux. skaar : "Dans la minute qui suivrait, la flotte en orbite nous repèrerait et nous pilonnerait." ohoh ! Cet usage de temps me laisse perplexe. Difficile de plonger dans l'extrait tant le vocabulaire est précis voire spécifique au récit. Même avec ton introduction J'ai bien aimé ton passage sur la remontée du sous-marin, mais ta dernière phrase en longueur est illisible. pour moi, en tout cas. revan : trois extraits ! t'abuses ! 1) est-il nécessaire de préciser "dans ce nuage grisâtre" ? A moins que la poussière n'ait eu un aspect inhabituel (dorée, bleue), je ne vois pas l'utilité de préciser cela. Des poussières qui volent, on sait à quoi ça ressemble. "comme un appel à la morte elle-même", pourquoi ? Bon, je te l'indique mais c'est sûr que c'est du premier jet : tu uses et re-uses du mot "porte". Battant ? "à cette vieille porte. Il craignait que la porte, trop vieille," => 2) "vers la route, vers le nord et leur salut." => enlever le second "vers" donnerait plus de force à ton énumération. Je n'ai pas réussi à faire le lien entre des aboiements de chien et des épines. pourtant j'aime le lyrisme, mais là, je sèche. Sinon, souci de sujet : on parle des faisceaux des lampes, puis tu mets "elles". Mais ce sont bien les faisceaux, toujours, qui s'estompent. Les lampes, elles, s'éteignent. De plus, tu parles de lampes, puis de torches... les "torches" tout court, chez moi, ce sont pas vraiment des lampes T'as peut-être voulu éviter une répétition avec "lampe torche", mais le sens en a pâti. "à peine deux cent mètres", bon, tout est relatif à al course à pied, c'est déjà pas mal, trois longueurs de terrains de foot. "Aidés de chiens, ils ne parviendraient pas à les semer dans les bois." => là ce sont les fuyards qui possèdent les chiens... je crois pas que ce soit ton idée... deux "allures" et un bon kilomètre de course sans peiner, ils sont vigoureux 3) oh nan mais "jugulaire" au milieu d'une image si humaine ça fait tache. Beaucoup d'énumérations physiques ne rendent pas le récit très élaboré, mais on ne t'en tiendra pas rigueur pour un premier jet. "À mesure que sa main se rapprochait de la peau d’albâtre, les larmes cessèrent d’imprégner le col de son tee-shirt" => j'ai pas compris. Oulah ! Grosse erreur qui m'étonne de toi revan : "; et" ! Un "si" qui est de trop, "ses lèvres tentantes" c'est déjà assez clair et intense ainsi. "Il sentit les doigts fins de la jeune femme remonter le long de sa nuque, puis s’y arrêter. Liam déglutit et céda enfin. " => la dernière partie de l'ultime phrase, moins. je fais la suite plus tard, ces commentaires m'ont pris un temps fou. Je les rédige depuis 16h20... quand je vous disais qu'il me fallait une bonne heure minimum pour commenter un texte... |
| | | Invité / Invité Dim 12 Fév 2012 - 19:02 | |
| Merci Plume ! - plume_du_reve a écrit:
- "Sourire Colgate" est venu TE donner un coup de main => faute de frappe ou ton héroïne parle à quelqu'un ?
Durant tout le roman, le narrateurs, Salim, qui est bien un homme s'adresse ainsi à l'enqueteur qui l'interroge, Mark, un ancien ami d'études. - Citation :
- (oups ! C'est un héros ! Pourquoi tes phrases m'ont fait croire à une femme ? Je ne sais pas.. peut-être induite
en erreur par le prénom "Salim", que je n'ai jamais croisé :s) c'est un prénom arabe assez courant pourtant... - Citation :
J'ai du mal à comprendre quand il répond vraiment à l'homme, et quand il pense. Pas de distinction net entre ses paroles pour lui-même, et pour le tortionnaire. Est-ce voulu ? Oui. Parfois ses réponses sont intégrées dans les dialogues, d 'autres fois dans la narration, genre quand c'est écrit "je proteste". Ca m'évite des dialogues interminables que je ne supporte pas de lire. Et qui prendraient toute la place car bon, un interrogatoire, à la base, c'est une succession de questions/réponses. Pas toujours intéressantes, très répétitives... - Citation :
Sinon, je trouve que la précision qu'il est nu devrait arriver avant. C'est un extrait, l'interrogatoire ne commence pas là... et il est vraiment HS à ce moment précis. Donc etre à poil, c'est le cadet de ses soucis. Surtout qu'il l'est depuis un certain temps déjà. - Citation :
J'ai aimé le début, moins la fin, à mon avis le rythme des phrases courtes ne m'a pas gardée accrochée au récit comme la scène de la première claque. Ceci dit, tu as coupé ton extrait comme une vraie chute, ça m'a limite fait rire à l'image d'un cartoon absurde. (encore une claque pour la route ?) je te précise que c'est une remarque positive. Pas de souci oui la scène est coupée brutalement, elle se poursuit ensuite... J'ai coupé là où ça se prêtait le mieux. - Citation :
qui tutoie-t-il ? C'est une scène qui suit l'autre ? (ben oui, sans contexte, le démarrage ici est hard ) Toujours Mark Oui, un peu plus loin dans le temps. J'aurais dû préciser, tu as raison - Citation :
"les phalanges mis à mal par les menottes" ? Ne serait-ce pas aux poignets, que les menottes font mal ? Ca m'a semblé bizarre. Pas très compréhensible hors contexte, j'avoue, mais avec des menottes trop serrées,c 'est pas les poignets qui font le plus mal mais les doigts qui enflent avec le sang qui y est retenu... - Citation :
Sinon, cet extrait me plaît moins, car niveau psycho je sens comme un vide. Salim est sonné, HS... il vient de s'évanouir et reprend conscience, donc à la limite, j'aime bien cette impression de vide... bon, j'ai p'tre pas assez insisté sur le coté un peu "paumé" - Citation :
- Il considère que les rôles ont été échangé, il cherche son pote absent... et ça semble ne rien lui faire. Une flegme qui fait un peu tache dans ce décor de violence et d'humiliation qui devrait rendre ton héros plus nerveux.
là aussi, manque de contexte : l'interrogatoire dure depuis plusieurs jours. Il est complétement ko et pas du tout dans l'état d'être "nerveux"... Merci encore à toi. Pour les commentaires, c'est vrai que sur des extraits, c'est pas simple à commenter. j'ai tendance à ne pas relever ce que je ne saisis pas sur le fond. Ou juste de dire que j'ai du mal à m'immerger dans le texte. ca peut arriver qu'on soit vraiment largué et je comprends tes remarques ( ca été le cas me concernant pour l'extrait d 'orcal cette fois-ci) car ce qu'on ne comprend pas est souvent expliqué avant, après... Et par exemple, je ne précise pas toutes les semaines que quand j'écris "tu" Salim s'adresse à Mark alors que oui, je sais que c'est important pour comprendre... C'est un tort d ema part, sans doute. Et mes excuses à Revan et orcal, exact, y'a une "couilles" dans la narration ! je l'avais pas vu à la fin du premier extrait. Mais je le maintiens. Je ne vois pas Salim utiliser un terme plus poli dans ces circonstances. C'est sa voix qu'on entend. Et le rendre plus poli amoindrirait la scène, je pense. |
| | Nombre de messages : 5683 Âge : 42 Localisation : En confinement dans moi-même. Pensée du jour : La solitude est la patrie des forts. Date d'inscription : 23/04/2010 | Orcal / Déesse du foyer à la retraite Dim 12 Fév 2012 - 19:36 | |
| - Citation :
- Et mes excuses à Revan et orcal, exact, y'a une "couilles" dans la narration !
Enfin! Nous sommes entendus! |
| | | Invité / Invité Dim 12 Fév 2012 - 19:37 | |
| bah, suffisait de me la citer |
| | Nombre de messages : 3865 Âge : 27 Date d'inscription : 12/07/2011 | Nywth / Ex-Ombre passée du côté encore plus obscur. Dim 12 Fév 2012 - 20:05 | |
| Je suis vraiment désolée de poster ça aussi tard, j'ai pas pu me reco avant. Plume >- Spoiler:
Allez, je vais chipoter un peu. - Citation :
En arrivant le long du mur blanc de l’espace, il parcourt la foule. Tout à coup, il remarque un type qui n’est pas du tout attentif aux enchères. Certes, il est bien vêtu, mais il se dirige vers la reine d’un pas trop assuré, d’un air trop grave, d’un regard trop intense. Anité se remet à courir Répétition que j'ai colorée. - Citation :
- entre les doigts du mystérieux grand homme
Un adjectif de trop. Selon moi, à moi que cela ait un sens particulier dans cette seconde partie, préciser ainsi que l'homme est très grand me semble maladroit. - Citation :
- l’homme du couloir. Le général Youguera
J'ai trouvé que ces deux bouts de phrases s'enchainaient mals, sans pouvoir expliquer pourquoi. - Citation :
La reine a dégluti
Le présent passerait mieux. - Citation :
- Ses yeux ne sont plus qu’un mince filet noir, tels des viseurs
J'ai été gênée par ''un mince filet noir'' et ''des viseurs'', la mauvaise concordance singulier/pluriel. Il y a un peu des répétitions de ''reine'' et d'Anité mais je ne vois pas trop comment tu peux les éviter, c'était donc juste pour le souligner. Sinon, au niveau du fond, j'aurai tendance à dire pareil que les autres ^^ Je trouve que les gardes ont agi avec une passivité étonnante, pas assez de dévouement pour une reine. S'ils ne l'évacuaient pas tout de suite, ils auraient au moins du l'entourer, guetter la foule pur intercepter le moindre geste suspect, faire évacuer les gens, tirer sur quiconque est louche. Bighit >- Spoiler:
Bon, et bien voilà ton style. Effectivement, on peut grincer un peu des dents au vu du vocabulaire très familier, mais ça passe toujours mieux que le feraient des termes, disons, chirurgicaux. En tout cas, ce sont de courts extraits, un peu courts peut-être pour qu'on puisse vraiment les saisir, mais sinon pas mal. C'est presque écœurant ces évocations de Sourire Colgate que l'on ne connait pas mais ce manque d'informations (du moins, je ne sais pas si les autres l'ont déjà entendu mais moi pas) rend vraiment le personnage cruel.
Skaar> - Spoiler:
Beaucoup, beaucoup trop de verbes faibles et d'expressions assez mornes, froides comme des constat qui venaient tâcher le récit, essentiellement la première partie. C'est dommage, parce que le reste est très correct, intéressant, mais j'ai très vite décroché à cause de ça. - Citation :
- L’océan sembla un instant se figer, comme une immense toile holographique
Ça, s'était une phrase cool.
Revan & Orcal, je vous fait ça d'ici une petite heure |
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