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 [Auteur] Amelie Nothomb

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Vraiment moi lire les névroses d'une morte vivante qui écrit par pathologie cela ne m'intéresse pas du tout, les deux trois que j'ai lu d'elle sont si flous pour moi maintenant, la seul chose dont je me souviens vraiment c'est la stupeur en lisant stupeur et tremblement, très" vive la France le Japon est horrible ", enfin bref, a classer à coté de Marc Levy, en pire parce qu'on la prend au sérieux. Je pense sincèrement que les gens aiment parce que c'est très facile à lire.
 
Graesch Nahmoffski
   
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Graesch Nahmoffski  /  Déité de la bouteille


Father Maerlyn McGruder a écrit:
la seul chose dont je me souviens vraiment c'est la stupeur en lisant stupeur et tremblement, très" vive la France le Japon est horrible ".

C'est drôle, ça m'a pas du tout fait cet effet, à moi. Je l'ai franchement pas trouvé insultant envers le japon et les japonais, ce bouquin, au contraire. Elle expose juste le choc des cultures en prenant un cas particulier (le sien) dans un univers particulier (grosse FMN). Et crois-moi, j'ai entendu le même discours venant d'amis français revenus du Japon, en moins exagéré peut-être, mais simplement parce qu'ils n'étaient pas dans les mêmes conditions extrèmes que l'autrice (et oui, moi je dis autrice, na ^^).

Citation :
Je pense sincèrement que les gens aiment parce que c'est très facile à lire.

Tu as raison, "du pain et des jeux", qu'il disait. Si les auteurs non prétencieux dans leur style réussissent, c'est uniquement à cause de l'ilotisme graisseux et incurable du pitoyable vulgum pecus. Mais heureusement, le grand et salvateur Ma est là pour leur apporter la lumière divine et leur montrer ce qu'est la vraie, l'unique littérature, la seule que l'on se doit d'admirer.

Halleluja.
 
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Citation :
Citation :
Je pense sincèrement que les gens aiment parce que c'est très facile à lire.


Tu as raison, "du pain et des jeux", qu'il disait. Si les auteurs non prétencieux dans leur style réussissent, c'est uniquement à cause de l'ilotisme graisseux et incurable du pitoyable vulgum pecus. Mais heureusement, le grand et salvateur Ma est là pour leur apporter la lumière divine et leur montrer ce qu'est la vraie, l'unique littérature, la seule que l'on se doit d'admirer.

Halleluja.


Exactement.
 
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Father Maerlyn McGruder a écrit:
Citation :
Citation :
Je pense sincèrement que les gens aiment parce que c'est très facile à lire.


Tu as raison, "du pain et des jeux", qu'il disait. Si les auteurs non prétencieux dans leur style réussissent, c'est uniquement à cause de l'ilotisme graisseux et incurable du pitoyable vulgum pecus. Mais heureusement, le grand et salvateur Ma est là pour leur apporter la lumière divine et leur montrer ce qu'est la vraie, l'unique littérature, la seule que l'on se doit d'admirer.

Halleluja.


Exactement.

Sont-ils de bon bouquins seuls les bouquins écrits avec seulement des mots de plus de 3 syllabes et/ou nécessitant d'ouvrir un dico toutes les lignes? Existe-il LE style que tout le monde devrait avoir pour obtenir le droit d'être lu? Le style suffit-il seul à faire d'un bouquin une oeuvre?

Il semble que se soit LE critère qui justifie tes goûts...

Personnellement je trouve que quelqu'un peut avoir un style complexe, travaillé, pour ne rien évrire d'interessant ou n'écrire que des inepties.

Et pour en revenir à Amélie Nothomb, je n'ai pas lu "Stupeur et tremblements" (à mon grand désespoir...), mais ayant lu "Métaphysique des tubes" et "Biographie de la faim" je ne suis pas d'accord avec toi. Une critique ne se limite pas au "c'est nul" ou "c'est trop bien" et dans les deux morceaux d'autobiographie que j'ai lu je n'ai pas du tout cette impression à propos du Japon. Et enfin je trouve remarquable la façon dont elle fait passer la mentalité complexe, ambigüe ou contradictoire de ses personnage et je pense qu'il n'y a pas tant d'oeuvres que ça qui arrivent à créer des personnage si sophistiqués. Il ne suffit pas d'écrire "joliment" mais aussi de se faire comprendre pour permettre au lecteur de s'imerger dans l'histoire.

Si c'est uniquement un style très travaillé qui t'attire, essaye au moins de comprendre qu'un style plus simple mais très spontanné peux être tout aussi interressant, plus agréable à lire et surtout donner un côté plus léger à l'histoires, histoires qui dans les oeuvres d'Amélie Nothomb n'ont rien de légendes ou de grands romans historiques, et sont aux contraire plutôt courtes et basées beaucoup sur les émotions, les échanges de paroles. Elle ne nécessitent donc pas forcément (de mon modeste avis de lectrice) un style très enjolivé et "lourd". De plus un style trop évolué a tendance je trouve à prendre le pas sur le contenu du bouquin (bien sur il se peut que le contenu de ce que tu lis ne t'intéresse pas).

Enfin as-tu lu "cosmétique de l'ennemi" et "hygiène de l'assassin" (dans lequel à mes souvenirs on trouve tout de même un joli débalement de vocabulaire, à moins que ça ne soit dans un autre...) qui illustrent sans doutes bien plus l'écriture très particulière d'Amélie Nothomb autant dans le style que dans les histoires?
 
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Il ne faut pas trop me commenter non plus, le " exactement" réponse à Gragra, c'était de l'ironie, je dis juste que je pense qu'elle a du succès parce qu'elle est facile à lire.

J'ai lu stupeur et tremblement, biographie de la fin et métaphysique des tubes, lu en une après midi, grand vide ensuite, j'ai eu l'impression de perdre mon temps, je ne me suis pas ennuyé certes, mais au final j'ai eu cette impression désagréable (vous savez comme quand vous regardez un mauvais film d'action), c'est tout, après ça n'engage que moi, le reste n'est qu'extrapolation fallacieuse.

Le pire c'est qu'à la base je m'en fous d'Amelie Nothomb, j'en lis plus et c'est très bien comme ça.
 
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Je crois pas qu’elle ait du succès seulement à cause de l’écriture. Des mots et des phrases simples, oui, et maintenant ça se résume à la complexité la littérature ? Une écriture simplifiée laisse davantage de place au reste : pas besoin de trois couches de confitures quand le pain est déjà bon. Mais ça n’enlève rien au style plus complexe, qui a aussi son charme. C’est au choix de l’écrivain.
En tout cas – et peut-être est-ce parce que je n’ai lu qu’Acide sulfurique-, classer Nothomb à côté de Marc Lévy manifeste d’une méconnaissance de la littérature, sinon d’un aveuglement. Apprécier réellement Nothomb, l’apprécier pour sa ‘richesse’ littéraire, nécessite de regarder au bon endroit. Mais ça va dans les deux sens : il est facile de l’aimer à cause de son style simple et parce que ses histoires sont « cool », et il est tout aussi facile de la détester pour ce même style simple et parce que son texte paraît vide.
Je ne dis pas qu’elle pond des chefs d’œuvres ni même de grandes œuvres - ni même de très bonnes œuvres. Mais rendons à Nothomb ce qui appartient à Nothomb. La mettre aux côtés de Lévy, c’est être à côté de la plaque.
 
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Pense ce que tu veux, pour moi c'est du Marc Levy névrosé, lui écrit pour le fric, elle comme une psychanalyse, mais voila tout ceci n'engage que moi.
 
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Vrai. Ça n'engage que toi si tu ne veux pas essayer de voir.
Bon, je viens de terminer Hygiène de l'Assassin hier soir. Je trouve le style composé essentiellement de dialogues très prenant, quoi qu’un peu répétitif à la longue. Le personnage de Prétextat Tach est une sorte de déjà-vu revigoré. Je vois avec ce livre-là l’humour de Nothomb, l’histoire est très drôle, c’est vrai, loin d’être ennuyante. J’ai aussi adoré la fin.
Malheureusement, je ne trouve pas dans Hygiène de l’Assassin la profondeur et la richesse littéraire d’Acide sulfurique. Ça n’a rien à voir. C’est loin d’être du même calibre, alors je suis déçu. Pas que je me sois ennuyé, mais à la fin du livre j’ai eu cette sensation de vide (peut-être celle de Maerlyn).
Hygiène de l’Assassin, un livre pour arrondir les fins de mois? Reste que le soucis d’une écriture bien faite y est, mais sans plus. Enfin, heureusement il y a Acide sulfurique (que Maerlyn pourrait lire s’il le souhaite, avec une chance de finalement faire la distinction entre Amélie et Marc). Je vais tout de même lire les autres livres de Nothomb, avec l’espoir de retrouver ce petit plus qui donne une bonne portée littéraire au texte. Je peux pas croire qu’elle n’ait écrit qu’un livre de vraiment pertinent.
 
Artemis
   
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Artemis  /  Pour qui sonne Lestat


Citation :
Mais ça va dans les deux sens : il est facile de l’aimer à cause de son style simple et parce que ses histoires sont « cool », et il est tout aussi facile de la détester pour ce même style simple et parce que son texte paraît vide.
Je ne dis pas qu’elle pond des chefs d’œuvres ni même de grandes œuvres - ni même de très bonnes œuvres. Mais rendons à Nothomb ce qui appartient à Nothomb. La mettre aux côtés de Lévy, c’est être à côté de la plaque.

C'est drole, la definition que je lis c'est exactement les meme choses qui se sont dites pour Marc Levy... Rolling Eyes Cool

Ceci dit je n'ai jamais lu cette dame la tout simplement parce que je n'aime pas les ecrivains dits contemporains s'ils sont en plus ancres dans le "reel". Mais si un jour j'ai le courage j'essaierai de lire. Mais je doute que j'aimerai moi qui aime les tournures recherchees qui enrichissent considerablement l'histoire... Un style simple me plombe completement... Peut etre qu'ils sont tres proches en fait, a la difference de comme le dit Maerlyn
Citation :
Pense ce que tu veux, pour moi c'est du Marc Levy névrosé, lui écrit pour le fric, elle comme une psychanalyse.
Enfin bref je me ferai mon propre jugement.
 
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Tu peux ne pas aimer le style simple et effacé comme ne pas aimer les auteurs contemporains, il s'agit d'un goût. ( Précisons au passage que je préfère, moi aussi, les tournures plus recherchées)
Mais, dépassée ton aversion pour la saveur du brocoli, apprends à voir, concevoir et admettre qu’il inclut de bonnes vitamines. C’est le même processus avec la littérature.
Facile de critiquer un écrivain lorsqu’on est vautré dans nos préférences égocentriques et la première impression. Facile également de critiquer un écrivain lorsqu’on s’avère malhabile à repérer et analyser le travail accompli par celui-ci (cependant, je conçois qu’un nombre effarant de lecteurs a l’esprit d’analyse aussi fin que celui d’un congélateur). Et souvent lorsque l’on sait « pourquoi » ceci est écrit comme ceci et cela comme cela, on apprécie mieux le texte, et, peut-être, nos goûts s’élargissent-ils.
Pour ce qui est de Marc Lévy : à ce que j’ai lu de lui –et seulement à ce que j’en ai lu-, il s’agit de paralittérature, et ça n’a donc rien à voir (et encore : il y a un travail analytique à faire pour décréter que son œuvre n’est pas littéraire, et cela peut porter à controverse – ce qui est très bien. Beaucoup d’auteurs ont été snobés à leur époque et sont aujourd’hui salués partout dans le monde, comme beaucoup ont été salués et sont aujourd’hui oubliés) Quant à savoir s’il est un bon écrivain paralittéraire, ça entre en plein dans le point de vue et les goûts. Mais c’est triste de voir certains imbéciles parler de lui avec condescendance, se remontant eux-mêmes comme pour dire : « non, moi je n’aurais jamais fait ça, voyons! C’est une honte! » Et à les entendre parler, ils connaissent l’écrivain par cœur (bein oui, ils sont de petits oiseaux, eux, et ils vont dans sa tête!) : ils savent qu’il n’écrit que pour le succès et l’argent, qu’ils n’aiment pas les lettres au fin fin fond. Ce genre d’attitude, c’est de la frustration et de la jalousie, parce qu’on peut très bien dire qu’un écrivain est un mauvais écrivain, mais il y a des limites… D’un côté, je comprends que certains puissent être dérangés par le fait que Lévy remporte autant de succès que d’argent parce qu’ils ne sont peut-être pas à la auteur de son talent. Reste que je suis très content pour lui, même si je crois que ce qu’il écrit ne mérite pas autant. Je suis aussi content qu’il amène à lire certaines personnes qui, autrement, ne liraient pas.

Et tout ça vaut pour Nothomb (afin de revenir au sujet de départ).
 
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Parlant de jalousie, je vénère King qui est considéré comme une sous merde par ceux qui se disent littéraires et qui vend des millions de livres. Lui au moins ne se cache pas derrière une simili profondeur et avoue n'écrire que des histoires.

Je le dis encore, ce qui me dérange le plus chez tout les auteurs que je n'aime pas ce sont les lecteurs.

Après je devrais sans doute lire " Acide Sulfurique " peut être y verrais-je une chose que je n'ai pas vu dans ces autres livres.
 
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Je ne connais pas les littéraires que tu fréquentes, mais ce sont certainement des tartes snobinardes. Parce que King n’écrit peut-être que des histoires, mais avouons qu’il les mène vachement bien. Et s’il n’y a rien de « profond » à observer chez lui, sa façon de ficeler ses récits et de maintenir l’attention de ses lecteurs est extrêmement intéressante à considérer.
Dommage que certains « littéraires » ne jurent que par ce qu’on pourrait aller jusqu’à appeler la « profondeur métaphysique ». Mais dans ce cas, Maupassant il fait quoi ? Pour moi, la valeur de Maupassant c’est d’abord sa façon de ficeler et de mener ses histoires, comme King.

Retour au sujet principal : oui, Acide sulfurique. Tu pourrais y voir quelque chose… ou pas ! Mais si tu le lis, ne t’attends pas non plus au bouquin du siècle (quoi, tu t’y attendais pas ?), parce qu’au final sa démarche est assez facile, quoi qu’intéressante comme je l’ai dit précédemment.
 
Artemis
   
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Tu peux ne pas aimer le style simple et effacé comme ne pas aimer les auteurs contemporains, il s'agit d'un goût. ( Précisons au passage que je préfère, moi aussi, les tournures plus recherchées)
Mais, dépassée ton aversion pour la saveur du brocoli, apprends à voir, concevoir et admettre qu’il inclut de bonnes vitamines. C’est le même processus avec la littérature.

Je suis desolee mais je ne suis pas d'accord avec ton raisonnement. Comme il s'agit d'un gout et que ce dernier fait appel au subjectif, tu ne peux pas t'obliger a aimer un livre...Tu peux t'interesser a la demarche mais si tu n'aime pas tu n'aime pas... Comme tu ne peux pas te forcer a aimer quelqu'un qui ne te plait pas... Maintenant, comme je l'ai dit, je reserve mon jugement puisque je n'ai pas encore lu l'un de ses livres... Je considere en general (et j'insiste sur le en general car il y a des exceptions! ^^')les tournures simples comme de la faineantise et comme une perte pour la langue francaise. C'est mon opinion et elle n'engage que moi. Je concois tres bien que tu puisses penser differemment mais ce n'est pas la peine d'agresser les autres parce que je te trouve tres agressif...
Citation :
Facile de critiquer un écrivain lorsqu’on est vautré dans nos préférences égocentriques et la première impression. Facile également de critiquer un écrivain lorsqu’on s’avère malhabile à repérer et analyser le travail accompli par celui-ci (cependant, je conçois qu’un nombre effarant de lecteurs a l’esprit d’analyse aussi fin que celui d’un congélateur). Et souvent lorsque l’on sait « pourquoi » ceci est écrit comme ceci et cela comme cela, on apprécie mieux le texte, et, peut-être, nos goûts s’élargissent-ils.

La tu m'as pris au premier degre quand je faisais de l'humour... Oui comme je ne l'ai pas lu et que je reserve mon jugement comme je te l'ai dit plus haut, que j'ai l'intention de le lire, je montrai juste une faille ... amusante... Alors deja j'ai eu l'occasion de lire des auteurs que je n'aimais pas du tout pour le lycee ou le college et donc j'aiu des raisons pour ne pas les aimer. De meme tu m'attaques mais tu te vautres completement et la je fais perroquet mais si je m'en tenais a ma premiere impression et a mes preferences, de un je n'aurai jamais tente de lire du Levy, de deux je n'essaierai meme pas Amelie... De meme quand je lis un livre je m'informe toujours avant... Oui figures toi que je fais de la lecture "intelligente" et non pas de la lecture de lire pour lire. Je regarde le style, le contexte de l'ecriture, la vie de l'auteur, bref je prends toutes les informations possibles et je retiens celles que je juge utile pour ma lecture... Mais je n'aimerai pas pour autant un auteur ou un style... Comme je considere quand meme avoir un esprit ouvert, je fais des efforts, voila tout.

Citation :
Pour ce qui est de Marc Lévy : à ce que j’ai lu de lui –et seulement à ce que j’en ai lu-, il s’agit de paralittérature, et ça n’a donc rien à voir (et encore : il y a un travail analytique à faire pour décréter que son œuvre n’est pas littéraire, et cela peut porter à controverse – ce qui est très bien. Beaucoup d’auteurs ont été snobés à leur époque et sont aujourd’hui salués partout dans le monde, comme beaucoup ont été salués et sont aujourd’hui oubliés)


La je suis tout a fait d'accord avec toi. Razz

Citation :
Quant à savoir s’il est un bon écrivain paralittéraire, ça entre en plein dans le point de vue et les goûts. Mais c’est triste de voir certains imbéciles parler de lui avec condescendance, se remontant eux-mêmes comme pour dire : « non, moi je n’aurais jamais fait ça, voyons! C’est une honte! » Et à les entendre parler, ils connaissent l’écrivain par cœur (bein oui, ils sont de petits oiseaux, eux, et ils vont dans sa tête!) : ils savent qu’il n’écrit que pour le succès et l’argent, qu’ils n’aiment pas les lettres au fin fin fond. Ce genre d’attitude, c’est de la frustration et de la jalousie, parce qu’on peut très bien dire qu’un écrivain est un mauvais écrivain, mais il y a des limites… D’un côté, je comprends que certains puissent être dérangés par le fait que Lévy remporte autant de succès que d’argent parce qu’ils ne sont peut-être pas à la auteur de son talent. Reste que je suis très content pour lui, même si je crois que ce qu’il écrit ne mérite pas autant. Je suis aussi content qu’il amène à lire certaines personnes qui, autrement, ne liraient pas.

Pour moi il est impossible de le classer dans la litterature car il n'ecrit plus pour le plaisir d'ecrire... Il a perdu quelque chose d'important ... Mais si je le critique c'est parce que je me suis aussi informee sur lui pour lire ses livres. Sans etre dans sa tete ou pretendre tout savoir, je ne dis que ce que je vois. Ce n'est certainement par frustration ou jalousie, deja parce qu'il n'y a pas moins jalouse que moi. Ce n'est pas l'un de mes nombreux defauts. Je trouve que la c'est toi qui va trop loin. Comme tu le disais c'est une affaire de gout. Peut etre que certains le denigre par jalousie et mauvaise foi, mais d'autres le font en fonction de leur perception des livres et de l'ecrivain. Ce que tu dis est je trouve tres reducteur. Personnellement et je suis des plus sinceres en disant sa, en imaginant que je sois lui, je ne l'aurai jamais publie. Oui je sais il n'etait pas au courant, reste que je n'aurai pas continue... Tout simplement parce que j'aurai conscience de ne pas avoir ecrit un chef d'oeuvre. Alors soit je continuerai et je travaillerai mes textes comme jamais, soit j'arrete et je ne fais plus rien. Je prefere encore ne rien ecrire que de faire de la paralitterature. Cela me briserait le coeur. Je serai incapable d'ecrire pour le fric c'est tout.

Pour King, je suis litteraire mais je l'apprecie. Il mene bien ses histoires et on est toujours un peu inquiet... J'aime bien ses confrontations entre le reel et le fantastique. Il est vrai qu'il sait retenir l'attention. Je prefere Maupassant pour le mouvement litteraire mais King, je le lis avec plaisir aussi...
 
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Le pire c'est tout les efforts fait pour défendre Nothomb alors qu'à la base je pense qu'on s'en fout pas mal, tu es donc si peu sûr de toi pour répondre avec force plâtrés d'agressivité ? (ps : c'était ironique ¬¬)
 
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ben Maerlyn ce post n'est-il pas consacré à Amélie Nothomb? pourquoi on s'en foutrait dans ce cas? Désolé j'ai pas du bien comprendre ce que tu voulait dire...
 
   
    
                         
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