Pendant vingt minutes, dans le tramway, un type qui puait de la gueule, penché par-dessus mon épaule, en train de lire le livre que je tenais dans les mains : "les idées noires", de Franquin.
Colgate, merde !

Au rayon BD d'un supermarché: Mon père lisant Kid Paddle, et se bidonnant sans retenue.

Un garçon à l'air rêveur, ce soir, dans le RER A, lisant du Sartre. Les mots.

Si, je vous jure.

Non, je ne lui ai pas sauté dessus.

En face de moi dans le RER, une madame lisant "l'empire des vaincus" de Goodkind ; à côté d'elle, une autre madame lisant un livre mystérieux car recouvert de papier blanc et donc sans titre ni rien...

J'ai tout de suite envie d'aller parler aux gens qui lisent l'Equipe, moi. Question de goût.

Dame, la quarantaine, qui lisait Coelho. La cinquième montagne, je crois.

Croisé jeune homme brun qui lisait le Le fléau. Sourire entendu.
(Il a finit par m'offrir l'Equipe qu'il trainait dans son sac, et qui dépassait de beaucoup, parce que je lui ai demandé avec un immense-grand-sourire.)

Homme, la cinquantaine, qui lisait Le silence de la mer.
Pour parler mal, je dirais que je surkiffe.

Lycéen black, absorbé dans les fables de la Fontaine fraîchement achetées chez Gibert comme en témoignait le sac et le fait qu'il lisait la première fable. Station Strasbourg Saint-Denis.

Une prière pour Owen, VO, pour une femme de 35 ans, bien habillée, ligne 9, direction Pont de Sèvres.

Ligne D, vers midi :
-Le 20 minutes, un homme debout
-Un Twilight reconnaissable à la couverture, mais elle avait les mains sur le titre, une femme d'une vingtaine d'années.

Ligne 14, direction Olympiades, heure de pointe retour du boulot : Bertrand Méheut (ou sosie) lit Fed Vargas, Pars vite et reviens tard.

Je suis jalouse, Menear, la dernière fois que j'ai pris la 14, j'ai vu Twilight.

Ce matin, dans le bus; l'air hagard, une dame entre deux âges lisant un Mary Higgins Clark non identifié.

Marx. le Capital.

Homme d'affaire dans un wagon 1ère classe faisant la liaison Paris-Nantes.

Nox, j'ai crois que j'ai pleuré en lisant Une prière pour Owen.

Hier soir, dans le rer B, vers laplace, une dame d'une cinquantaine d'année qui lisait la Cerisaie de Tchekov

Eh ben moi, je mets presque toujours une couverture sur mes livres pour pas que les gens jettent des regards plus ou moins discrets pour regarder le titre.
Sinon, jeudi dernier, j'ai vu trois Twilight à Paris dans la même journée, deux vers Nation et un vers Porte de la Chapelle. C'est une invasion.

Hier, avant une représentation d'Hamlet, une jeune femme d'une trentaine d'années en train de lire fébrilement le tome 3 ou 4 de twilight.

(Ce n'est pas un transport en commun, mais tout de même...)

Cette semaine, quel jour j'ai oublié, ligne 14 sens inverse (donc direction St Lazare), corps sans tête lit Max Gallo (reflet).

Beaucoup de classiques et de livres d'histoire. Comme quoi