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 Pourquoi s'en prend-on lâchement au mièvre ?

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Fatalité
   
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Fatalité  /  Blanchisseur de campagnes


En y réfléchissant, je me demandais si on ne s'en prendrait pas lâchement au mièvre, justement à cause de sa puérilité. C'est-à-dire que les enfants sont techniquement plus faibles, sur quoi tout ce qui y ressemble en nous (à l'enfance) ou bien tout ce qui l'évoque alentour (l'enfance) est plus bêtement et méchamment pris pour cible, par malignité - taxé de puéril, infantile, niais, naïf, mièvre, bébête, etc. C'est qu'on préférerait idéalement, faire partie "des forts", alors qu'en fait, on serait faible de s'en prendre à plus faible que soi sans raison viable.

Or, l'écriture et la lecture convoquent "nos âmes" (nos mouvements, nos motions, nos animations, nos animosités aussi) : comme ils mobilisent "l'enfant intérieur" si l'on veut, on s'en prendra facilement aux auteurs identifiés comme mièvres. Mais, ce faisant, on ferait en sorte de se mentir quant à notre propre mièvrerie. Ce serait exactement le même procédé que lorsque des personnes en harcèlent une autre, "bandes" ou "petits chefs", etc. Juste pour se sentir forts ensemble devant plus faible, etc. Et, finalement, Nothomb, Musso, Lévy ou Beigbeder font leur boulot, et j'en passe.

Il faudrait laisser la mièvrerie tranquille, quoi, genre :

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Fatalité
   
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Fatalité  /  Blanchisseur de campagnes


Je continue seule encore ... pour dire que sur le topic Nothomb, j'avais écrit cela :

Fatalité, Mer 08 Nov 2017 13:52, a écrit:
Enfin, les Anglosaxons ont beaucoup moins de problèmes que nous autres, Continentaux, avec le storytelling qui, comme son nom l'indique, consiste à raconter une 'stoire (lol). C'est un peu le but des littératures de tous les temps, y compris avant l'invention de l'écrit ("oralitures" mythiques, légendaires, fabulaires, aphoristiques, humoristiques, morales, etc.). (D'ailleurs, ces oralitures existent toujours, et nos fameux auteurs s'en rapprochent : ils se rapprochent de la littérature populaire, ce qui explique encore leur succès sans les dénigrer - les folklores sont des mines d'informations excellentes - bref, normal qu'on puisse facilement les ranger dans la littérature de gare, ce qui n'est toujours pas une façon de les dénigrer : moi, tous ces rayonnages me fascinent, imaginez tous ces "petits auteurs" lambda d'un seul roman, parmi lesquels, au fond, vous pourriez finir par trouver votre place ... ). Etc.

Ce que je veux dire, donc, c'est que le mièvre ressort plus des déroulements d'histoires, des narrations, du storytelling, comme effet narratif - serait-il suscité par des phrases, je ne sais pas moi, de style enfantin, ou bien sortant de la bouche d'un personnage enfantin, ou de sa démarche, ou bien encore des évocations thématiques de loin en loin, attendrissantes ou larmoyantes, par suspens humanitaire, etc. il y a mille manières de l'amener je suppose ...

Alors, les esthètes et autres critiques professionnels seront bien contents quand le fond épousera merveilleusement la forme, mais enfin : si le mièvre convoque notre puérilité significativement, c'est qu'il appartient peut-être plus facilement au storytelling. Comment faire souvent, avec cela, de la littérature d'art & d'essai ? ...

Vous savez, cette littérature, disons, intellectualiste ou "éthiciste", je ne sais pas, adorée par les esthètes et autres critiques professionnels, centrée sur le flaubertien ou le robbe-grilletien (sans les dénigrer, évidemment, c'est juste qu'il n'y a pas que Flaubert et Robbe-Grillet, dans la vie, puisqu'il en faut aussi pour les goûts et les imaginaires storytellers, plus prompts à faire des littératures de genre & de gare, non ?).
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Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Le terme "puéril" n'est pas toujours synonyme de "enfantin"

Peu de textes m'évoquent le terme "mièvre" (du moins parmi ceux qui me tombent sous les yeux), et ce mot m'évoque bien plus "pauvrissime" que "lié à la prime jeunesse".
En conséquence de quoi, s'en prendre au mièvre au niveau de l'oeuvre finale ne me semble pas choquant. Au niveau des ingrédients de base, ainsi que je l'ai déjà dit, cela augmente la difficulté du travail et donc ne peut rendre le travail de l'auteur que plus louable. Tout comme je considère que le cliché n'existe pas en tant que matériel de base, le mièvre non plus.
Ce n'est bien entendu que ma perception des choses, et comme j'emploie rarement le mot, chacun est libre de la partager ou pas.


Par moments il me semble que tu parles de l'ingrédient et par d'autres du résultat... dès lors, il faut en effet définir le mièvre.

En ce qui concerne la "littérature de gare", il faudrait définir cette fois le but de l'auteur quand il écrit. Atteindre le plus de monde possible ? Elaborer quelque chose dont on admirera la technique ? Se défier lui-même avec un projet compliqué ? Se détendre en alignant ses rêves ou cauchemars ? Un livre créé pour répondre à un lectorat ne sera pas forcément le même que celui qui vise d'abord son propre auteur.
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Dictionnaires a écrit:
MIÈVRE adjectif

Académie 9ème édition
XIIIe siècle. D'origine incertaine. Qui est d'une douceur affectée, maniérée. Des façons mièvres. Sourire mièvre. Des grâces mièvres. • Fig. Qui manque d'ampleur et de profondeur. Un style mièvre.

Le Robert
(ancien français esmièvre ; peut-être de l'ancien scandinave snaefr "vif")
D'une grâce enfantine et fade : poésie mièvre
Synonymes : affecté, maniéré, doucereux, sucré, mignard, gentillet
Contraires : vigoureux, vif

je doute que "mièvre" soit laudatif, ne serait-ce qu'un peu. Idem pour "roman de gare".
 
Fatalité
   
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Séléné.C a écrit:
Le terme "puéril" n'est pas toujours synonyme de "enfantin"

Ce n'est pas ce que j'ai dit. Ceci étant, qui fait le distinguo puéril-enfantin ? Cellui qui a passé l'enfance, pour la dédaigner d'un côté et - peut-être pas la valoriser, mais - pour en parler de façon relativement neutre ou enjouée de l'autre ("C'est enfantin !").

Séléné.C a écrit:
Peu de textes m'évoquent le terme "mièvre" (du moins parmi ceux qui me tombent sous les yeux), et ce mot m'évoque bien plus "pauvrissime" que "lié à la prime jeunesse".

En quoi tu rejoins le propos d'Amstramgram :

Amstramgram a écrit:
je doute que "mièvre" soit laudatif, ne serait-ce qu'un peu. Idem pour "roman de gare".

Des connotations péjoratives que j'entends bien aussi (cela dit, le dictionnaire de l'Académie me semble un cas à part quand même, très élitaire dans la définition ; quant au Robert, de quelle édition s'agit-il ?), mais pour quoi justement le topic est là à s'interroger. Car si mièvre n'est pas laudatif, et au contraire péjoratif, de même que littérature de gare (encore que je prenne cette notion factivement, comme la littérature que vous achèterez dans un kiosque en gare, et qui peut être de qualité, on y trouve régulièrement des auteurs primés, etc. c'est un excellent endroit de promotion livresque il faut croire, d'où que je ne dédaigne pas la notion, c'est nous qui lui donnons des connotations péjoratives, mais passons ... ), c'est donc qu'ils seraient péjoratifs par définition, et qu'il n'y aurait pas à s'en prendre lâchement au mièvre. Or les gens aiment s'en prendre au mièvre, ce qui était le it. Du coup, qualifier de mièvre devrait suffire, or il faut qu'ils en rajoutent souvent. CQFD.

Séléné.C a écrit:
En conséquence de quoi, s'en prendre au mièvre au niveau  de l’œuvre finale ne me semble pas choquant.

En conséquence de quoi au contraire, qualifier de mièvre (et expliquer pourquoi, dans l'idéal, peut-être conformément aux définitions qu'on y trouve/donne) devrait largement suffire, donc. Je n'ai pas dit qu'il était choquant de trouver une œuvre mièvre, mais d'en faire des caisses par contre, me semble de l'acharnement gratuit.

Séléné.C a écrit:
Au niveau des ingrédients de base, ainsi que je l'ai déjà dit, cela augmente la difficulté du travail et donc ne peut rendre le travail de l'auteur que plus louable. Tout comme je considère que le cliché n'existe pas en tant que matériel de base, le mièvre non plus.

Il est évident que ce sont des agencements verbaux, phrastiques et logiques, qu'émergent styles, thèmes et traitements, avant tout. Je te rejoins.

Séléné.C a écrit:
Ce n'est bien entendu que ma perception des choses, et comme j'emploie rarement le mot, chacun est libre de la partager ou pas.

Pour moi il est évident que chacun s'exprime en son nom seul, ici ou ailleurs, or c'est justement ce qui nourrit l'échange. On ne va pas encore s'excuser de dire ce qu'on pense, enfin sauf si c'est destructeur pour l'interlocuteur j'espère/je préférerais (excuses qui sont loin d'être toujours le cas sur Internet, et pas que sur Internet, hélas).

Séléné.C a écrit:
Par moments il me semble que tu parles de l'ingrédient et par d'autres du résultat... dès lors, il faut en effet définir le mièvre.

Je ne te comprends pas : j'ai amené une définition, et nous avons eu droit à deux autres définitions plus ou moins concordantes en plus. A ce stade, ce n'est pas définir le mièvre, mais le situer comme ingrédient ou comme résultat, ce que tu as fait au moment même où tu le distinguais dans ton propos là. C'est intéressant, mais contestable aussi : si le mièvre est l'ingrédient d'un texte, il peut aussi bien en être le résultat, j'ai du mal à saisir ta manière de découper les choses, du coup.

Séléné.C a écrit:
En ce qui concerne la "littérature de gare", il faudrait définir cette fois le but de l'auteur quand il  écrit. Atteindre  le plus de monde possible ? Elaborer quelque chose dont on admirera la technique ? Se défier lui-même avec un projet compliqué ? Se détendre en alignant ses rêves ou cauchemars ? Un livre créé pour répondre à un lectorat ne sera pas forcément le même que celui qui vise d'abord son propre auteur.

Je répète que je m'en tiens à la littérature de gare comme la littérature que vous achèterez dans un kiosque en gare, et qui peut être de qualité, on y trouve régulièrement des auteurs primés, etc. c'est un excellent endroit de promotion livresque il faut croire, etc. Seulement je crois qu'on dérive du coup, et que quelqu'un a récemment débloqué un topic sur le genre littéraire pour aller au-delà. J'imagine que je dois être naïve dans ma façon d'entendre la notion, mais bon, passe. Je ne (dé)juge pas, comme on a compris.
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En somme, si par "mièvre" on entend "qui manque de vigueur, d'ampleur, de profondeur, de caractère, qui est affecté, maniéré", si par "mièvre" on peut tout autant dire "qui est banal, fade, insipide", bref, si pour définir la mièvrerie on se réfère à un dictionnaire, on admettra volontiers qu'on qualifie de "mièvre" une oeuvre qu'on trouve plutôt mauvaise et qui nous déplaît.
Dès lors, à la question "pourquoi s'en prend-on lâchement au mièvre ?", eh, d'abord je suis gêné qu'on parte du postulat qu'on ne puisse s'attaquer à la mièvrerie que lâchement, mais, soit, passons et achevons en répondant que, si l'on trouve que ceci ou cela manque de vigueur, d'ampleur, de profondeur, de caractère, et est affecté, maniéré, le seul fait de le dire nous voudra déjà d'être qualifiés de "gens qui s'en prennent à", mais enfin, si nous en arrivons là, c'est que nous jugeons la chose mauvaise et voilà tout.

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Bon résumé, avec les fleurs bien mièvres. Cela dit tu t'es inclus dans le On-qui-s'en-prend-lâchement-au-mièvre, et cela te gêna voire te vexa, pour quoi tu pris quelque contre-mesure présumée nécessaire. Seulement, dans la mesure où le mièvre est mièvre, il est effectivement facile de s'en prendre à lui, et tout ce qui est facile à attaquer ne l'est généralement que de notre lâcheté. J'ai bien dit généralement : à combattre sans péril on vainc sans gloire. Donc si la chose est mauvaise, et voilà tout, il n'y a pas à s'en prendre à elle au-delà de l'avoir qualifiée telle, mauvaise ou - en l'occurrence - mièvre, comme il est facile de s'en prendre à tous ces auteurs jugés mièvres, d'autant plus qu'apparemment la mièvrerie est la chose du monde la mieux partagée, puisqu'ils en vivent. Il était donc a priori inutile de te sentir concerné, et tu répétas ce que je venais de dire, cela dit non sans classe.
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Lol !
Quand M. de Tréville nous confie une mission à moi et aux mousquetaires, nous devons bien nous moquer de la gloire ! Eh ! Que répondrait-il si nous lui disions : "Monsieur, l'aventure que vous nous proposez nous paraît trop facile, alors nous la refusons." Pardi ! Un ouvrage est un ouvrage !
Je dis que tout le problème de cette affaire, c'est qu'il faut savoir s'asseoir sur son orgueil et déféquer ensuite.
 
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Fatalité a écrit:
Guillaume Musso, Frédéric Beigbeder, Amélie Nothomb ou Marc Lévy sont des cibles faciles, auxquelles il semble qu'on s'en soit pris sur le forum quelques fois (pour ma part, j'ai dit ce que j'en pensais, essentiellement via le topic sur Nothomb Mer 08 Nov 2017, 13:52).

S'en prendre au mièvre, ce n'est pas s'en prendre aux mièvres.
 
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Oui mais, pourquoi ?
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D'abord remarquons que la mièvrerie ne saurait être les mièvres. La question est donc non triviale. Soit A un mièvre, B un non mièvre tel que B s'en prend à la mièvrerie. Supposons que cela implique que B s'en prend à A, alors si les mièvres et les non mièvres peuvent être amis, il suffit de prendre A tel que B soit un ami proche, donc B ne s'en prend pas à A par définition de l'amitié : absurde. Si les mièvres et les non mièvres ne peuvent pas être amis alors B s'en prend à tous les A, la singularité de A est effacée donc il n'y a pas implication : absurde. Dans tous les cas on a une absurdité. Donc cela n'implique pas que B s'en prend à A, i.e. B s'en prend à la mièvrerie et ne s'en prend pas à A. On montre aisément pour finir que les cas non traités correspondent aux cas où B s'en prend à la mièvrerie et à A sans que l'on puisse affirmer qu'il y a implication. Si par ailleurs C est un mièvre s'en prenant à A, supposons toujours que l'implication est vraie, si C est non aliéné, C s'en prend aux mièvres donc C s'en prend à lui-même : absurde car C non aliéné. Si C est aliéné, il est illusoire de considérer que C puisse s'en prendre à quiconque (à tout x dans l'ensemble des êtres mièvres) conséquemment à une volonté de son psychisme. On ne peut pas conclure : absurde. Dans tous les cas on a une absurdité, ergo C ne s'en prend pas à A et il n'y a pas non plus implication, ce qu'il fallait démontrer.
 
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Fatalité a écrit:
Dans la mesure où les quatre premiers auteurs cités sont aggro par certain-e-s, si, mais peut-être pas aggro par toi donc tu n'es pas concernée, hé. Au fond je répète que ce n'était qu'un prétexte pour en parler. Par contre quant à la définition, il entre la notion de puérilité. Eh bien, les émois "nothombiens", le merveilleux "mussolien", le sentimental "lévyien", le piteux "beigbederien" soulèvent très vite sur ce point.

Pardon, mais aggro veut dire quoi (je sens que c'est une réduction d'un mot, mais qu'on n'utilise pas de ce côté-ci.
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J'aggro, je suis aggro = j'agresse, je suis agressé-e, j'attaque, je suis attaqué-e. Truc de jeu vidéo ...
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Fatalité a écrit:
J'aggro, je suis aggro = j'agresse, je suis agressé-e, j'attaque, je suis attaqué-e. Truc de jeu vidéo ...
bon, je ne joue pas! Donc, je n'aurais pas deviné. Merci de la précision
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Citation :
S'en prendre au mièvre, ce n'est pas s'en prendre aux mièvres.
Citation :
Oui mais, pourquoi ?


Parce que le Mièvre en tant que notion est absolu comme un élément à l'état pur. Etat chimique qui relève plus de la théorie ou du laboratoire que de la réalité et dont on se fout totalement s'il est présenté de forme ronde ou carrée.
Alors que les mièvres sont ceux qui emploient cet élément, et qui en général l'allieront à d'autres, et le mouleront à leur idée.

Citation :
bon, je ne joue pas! Donc, je n'aurais pas deviné. Merci de la précisio
Pareil... je ne pratique pas les jeux videos, et sur le terme "aggro" mon imagination me présente plutôt un gars sur son tracteur qui aurait trouvé un geai.
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